Margot_de_volpilhat
[Sur la route, dans le carrosse au renard]
Le visage de sa mère reflétait absolument tout ce qu'elle pensait à ce moment la ou elle regardait sa fille.
Hors elles étaient seules dans l'habitacle du véhicule et donc Margot n'avait aucun autre regard à accrocher pour éviter en quelques sortes les reproches silencieux de la rousse Duchesse.
Et d'abord c'est elle qui l'envoyait ici, que pouvait-elle donc lui reprocher.
Le sourcil se tend, le sang se chauffe, les mains se serrent, la plus jeune des Volpilhat est une sauvageonne c'est sur.
Elle finit par planter le regard vert dans celui de sa mère, et plie les bras.
Qu'avez vous donc?
La mère lève à son tour les yeux au ciel, ou plutôt au toit du carrosse, s'apprête à ouvrir la bouche. Mais la blondinette ne lui laisse pas le temps de répondre.
C'est bien vous qui avez voulu ...
Accent du sud chaleureux, mais ton de reproche glacial.
Ne vous en faites pas mère, je serais ne pas vous décevoir!
Et elle se renfrogne un peu plus.
Colérique...
La réaction n'est pas mesurée, pourtant elle n'est pas malheureuse d'aller en Anjou, peut-être même qu'elle en est ravie.
La solitude étant la seule chose que l'on trouve à Salm. Et Yolanda n'a t-elle pas son âge?
Elle tourne les yeux vers sa mère qui semble avoir abandonné l'idée de se défendre verbalement.
N'avez vous rien à dire?
Devrait-elle parler ainsi à sa mère, elle soutient le regard. Effronterie.
Et pourtant elle connait bien la duchesse, elle ne devrait pas.
Devant les chevaux ralentissent, et elles semblent toutes deux réfléchirent. C'est surement pour ca que sa mère l'envoie ici, pour calmer les ardeurs et les débordements d'une jeune fille qui n'a pas encore compris comment on se comporte.
Le visage de sa mère reflétait absolument tout ce qu'elle pensait à ce moment la ou elle regardait sa fille.
Hors elles étaient seules dans l'habitacle du véhicule et donc Margot n'avait aucun autre regard à accrocher pour éviter en quelques sortes les reproches silencieux de la rousse Duchesse.
Et d'abord c'est elle qui l'envoyait ici, que pouvait-elle donc lui reprocher.
Le sourcil se tend, le sang se chauffe, les mains se serrent, la plus jeune des Volpilhat est une sauvageonne c'est sur.
Elle finit par planter le regard vert dans celui de sa mère, et plie les bras.
Qu'avez vous donc?
La mère lève à son tour les yeux au ciel, ou plutôt au toit du carrosse, s'apprête à ouvrir la bouche. Mais la blondinette ne lui laisse pas le temps de répondre.
C'est bien vous qui avez voulu ...
Accent du sud chaleureux, mais ton de reproche glacial.
Ne vous en faites pas mère, je serais ne pas vous décevoir!
Et elle se renfrogne un peu plus.
Colérique...
La réaction n'est pas mesurée, pourtant elle n'est pas malheureuse d'aller en Anjou, peut-être même qu'elle en est ravie.
La solitude étant la seule chose que l'on trouve à Salm. Et Yolanda n'a t-elle pas son âge?
Elle tourne les yeux vers sa mère qui semble avoir abandonné l'idée de se défendre verbalement.
N'avez vous rien à dire?
Devrait-elle parler ainsi à sa mère, elle soutient le regard. Effronterie.
Et pourtant elle connait bien la duchesse, elle ne devrait pas.
Devant les chevaux ralentissent, et elles semblent toutes deux réfléchirent. C'est surement pour ca que sa mère l'envoie ici, pour calmer les ardeurs et les débordements d'une jeune fille qui n'a pas encore compris comment on se comporte.