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[RP] A la Rosée de l'Aubépine

Mondine
Mondine, enchantée de voir arriver son nouveau veilleur de nuit, lui avait d'emblée collé un long baiser digne de l'établissement où ils se trouvaient. A présent, elle suivait d'un oeil distrait les pérégrinations de ses employés et des clients, le regard revenant inlassablement à Hero.

Mais, tout de même, elle ne put ignorer la jolie demoiselle qui fit son entrée. C'était une femme tout à fait délicieuse, et, cette fois, elle espéra vivement une nouvelle employée et non une cliente. L'arrivante ne pipait mot, mais Mondine remarqua qu'elle ne scrutait pas les personnes présentes du coup d'oeil gourmand et inquisiteur des consommateurs prêts à vider leur bourse pour vider leurs bourses.
Elle alla vers elle avec un sourire chaleureux.


Bonjour, m'zelle... je suis Mondine, la taulière. Là-bas, qui discute, vous pouvez voir Smooth, la caissière. Mais vous ne venez pas pour payer, je me trompe... ?
Auquel cas il vous suffira de signer ce registre...

Elle désigna l'intéressé, toujours sur le bureau.
De plus près, la rouquine constata que la nouvelle avait un air de ressemblance avec Shae, mêmes boucles brunes, même genre de beauté sauvage malgré l'altérité des traits ; elle nota qu'elle pourrait en jouer si un client pas trop regardant était tenté pour faire d'une pierre deux soeurs.

Mais à peine avait-elle eu le temps de remarquer ce détail, que Lestat fit son apparition par la porte de l'escalier, puis, par la porte d'entrée, un autre bonhomme qui commença à l'enguirlander.
Elle n'aimait pas beaucoup ça, Mondine... déjà, les embrouilles, c'était pas le domaine de l'établissement, lequel proposait plutôt les bienfaits inverses, pis... hé mais ?
Il était en train d'embarquer le roux, là ?


Hep, messire !

Elle accourut et attrapa Lestat par l'autre main, commençant à le tirer de son côté à mesure que Voncarstein le tirait du sien.


Non non non ! Ca va pas d'arriver et de me chourer mes employés ?
L'a un contrat ici, Lestat, y bouge pas !
Non mais ! Est-ce que je viens piquer les épis de blé dans vot' propre champ, moi ?

Pis Cécile
, poursuivit-elle sans cesser d'écarteler Lestat, tu peux toujours dire ce que tu avais à dire à ceux qui sont là, non ? Ils répéteront aux autres... ?
Shae
La belle attendit patiemment une réponse de la vieille femme, laquelle semblait trop occupée à se forger, en observant Rivian, une définition plus pointue du mot concupiscence. Rien ne vint. Le temps s'étirait, et elle s'efforça de rester de marbre à l'arrivée de la nouvelle demoiselle, puis aux cris du drôle de messire qui venait chercher le roux, puis au départ de la blonde. Seule l'entrée du vigile l'avait troublée ; elle l'avait gratifié d'un demi-sourire séduisant, car c'était là le genre de client qui faisait que le travail n'en était plus vraiment, mais elle avait tristement oublié l'idée quand elle avait vu la taulière lui fourrer sa langue dans la bouche. Elle restait donc près de Jack, et, tandis que les allées et venues des clients et employés s'emmêlaient confusément, elle s'appliquait à dispenser ça à là de légères caresses, aux endroits dont elle savait qu'ils faisaient frémir les messieurs. Rien, cependant, de trop appuyé, car il y avait là beaucoup trop de monde et que le client n'avait jamais fait la requête d'une audience... Shae avait de la patience, mais son expérience lui avait enseigné que cela n'était guère le cas des clients. Ou, du moins, guère le cas de leurs désirs. Au silence prolongé de la dame, elle décida qu'il était temps d'agir. Elle se glissa derrière Jack avec une grâce d'ombre, et, posant ses mains sur ses épaules, susurra, la bouche frôlant son oreille :

C'est par ici...


Puis, jetant un oeil presque suppliant à la nouvelle :

Mademoiselle... Mademoiselle peut peut-être nous rejoindre, elle ? C'est la porte mauve, au troisième étage...

Après quoi elle poussa Jack, d'une pression délicate mais décidée, vers l'escalier. Elle le gravit, prenant au passage le soin de doubler à nouveau Jack et d'exagérer outrageusement la danse de ses hanches tandis qu'elle montait les marches. Il la suivait... Ils la suivaient toujours. La belle lançait par dessus son épaule, de temps à autre, un bref regard vers son compagnon ; regard que l'escadron de longs et épais cils de jais et les éclats verts et bleus des yeux chargeaient d'érotisme. Les portes se succédaient, et certaines, entrebâillées, laissaient s'échapper quelque gémissement suggestif, quelqu'ombres dansant des danses enfiévrées.

De l’ascension, elle ne prononça pas un mot. Shae ne parlait guère. Pas aux clients. Elle avait un vague mépris pour les rats de lupanars qui se sentaient forcés de séduire les consommateurs. Et elle trouvait toujours étrange les clients qui essayaient de la séduire, à elle. Séduire ? Allons... La Rosée de l'Aubépine, au même titre que tous les autres bordels, établissait le sexe comme une marchandise à vendre. Le client, l'achetant, l'obtenait. Nul besoin alors de se répandre en poèmes et en conversations proprettes, de la même manière que personne, en achetant une pomme au marché, ne ressentait le besoin de la féliciter pour ses courbes, sa couleur vermeille, ses pépins fins et élégants avant d'y planter les dents. Séduire, c'était bon pour les jeunes vierges aux sens affolés de manière inédite par quelque voyageur de passage ou quelque noble pompeux, selon les goûts. Shae n'avait pas le sens du beau mot. Sa bouche embrassait mieux qu'elle ne parlait. Aux grandiloquents, laissons la grandiloquence : Shae, c'était son corps qui dissertait. Dans le seul langage qui soit universel. Dans le langage des langueurs... dans l'idiome de l'idylle.

Elle arriva à la porte qui donnait sur la chambre rougeoyante où elle s'était assoupie un peu plu tôt. Y pénétrant, elle laissa choir sa jupe avec désinvolture, ne conservant que la longue chemise blanche qui révélait malicieusement les parties les plus troublantes de son corps. Elle se souvint que Mondine avait parlé au vieillard d'un choix de chambre... S'approchant de lui jusqu'à ce que sa poitrine rencontre le torse du vieillard, elle approcha sa bouche rouge de celle du client.

La chambre convient-elle... ?

Sans vraiment attendre de réponse, car, là encore, ceux qui fréquentaient les bordels étaient rarement sensibles au mobilier et à l'architecture, ses mains serpentèrent jusqu'à trouver un autre genre de serpent, qui la fit songer qu'il y avait, en effet, du pain sur la planche, et que la nouvelle ne serait pas de trop, si elle décidait de venir lui prêter, cas de le dire, main forte.
Cecile34
cecile regardait ce meli melo mais mondine s'en sortait super bien....puis bon avec la pepette à la caisse pas de risque!

Tu as raison mondine alors je voulais dire que demain y aura une messe à la halles où j'espere tous vous y voir car je crois que je suis inspirée là !

cecile espérait qu'on ferait passer l'information, tirant wellan par le col, ben oui il savait pas où il était le pauvre elle sortit sans courir mais presque!
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Mystica



La rouquine vient en effet la voir, et elle ne se trompait pas, emploi donné sans même parler, la lune se trompait donc jamais. Hésitation d'émettre le son de son nom, ça serait la trahison de la peur de l'inconnu aux inconnus. La beauté du lieu, les senteurs, c'était cela qui lui faisait peur, les gens quand à eux, point du tout. Sa dague dans sa botte lui suffisait bien, la mort l'attirait au plus haut point.
Elle se dirige donc vers le fameux registre, Myst éprise de liberté, libertinage à travers le temps et les âges, fit simplement semblant de signer. Fermeture du registre d'un coup sec, en faisant voler le vent au travers de ses cheveux lâchés. Sourire majestueux de satisfaction, hochement de tête mystérieux à la rouquine, et voit les deux hommes.

L'ambiance tel que celle-ci, Myst connaissait bien, assurance d'être rassurée, deux mots susurrés alors à la taulière d'un ton sucré.

Myst, ravie!

Sourire grandissant, le jeune homme qui voulait le décolleté, se fait décoller. Mots sonnants, écorcher, gitans, écorcheur, mots connus, mots rassurants, ambiance reconnue, Myst est chez elle, comme partout où son passage faisait rage.
Dommage, le roux était attirant, pour quelques écus sonnants, geste de malandrins qu'elle connait bien.

Regard croisé entre elle et la belle, compréhension, attirance de l'alliée icelieu. Employés ne veux pas dire concurrence selon elle, combinaisons possible dans l'irrésistible, multiples échanges douteux, outrageusement honteux. Chance inouie de cacher qu'elle n'était point catin, mais plaisantin avec charme qui se sert de son arme.
Nouvel hochement de tête de confirmation, que désinvolture à trois aura lieu sous la toiture.

Irrésistible envie, de son être malpoli, défier l'étranger. Elle flâne paisiblement près du roux, clin d'oeil charmant pour charmer, sourire délicat pour on se reverra. Frôlement pourtant dangereux contre l'aventureux se trouvant entre le ténébreux et la rousse à l'air malicieux. Frémissement délicat passant sur l'échine du haut en bas, appât je te veux, je t'aurais.

Chemin continue pour l'ascension des marches encore sous l'effet des divines sensations jusqu'au troisième étage pour retrouver le troisième âge, bien moins appétissant, aucun charme ne pouvant abattre une petite arme. Consolation par la belle, désirable, et désirée, contentement de caresses surement échangées, sensualité retrouvée.

Porte mauve, couleur froide, qui la fait frémir, avec une pointe de chaleur intense du rouge, corps en émoi, coup d'oeil du haut en bas sur la brune, la maraude était prête. A peine entrée, elle fait glisser sa robe noire de dentelle et froufrous divers et variés jusqu'à ses pieds plutôt d'un geste lent et désarmant. Charmer le vieil homme ne servait point, mais la belle surement. Elles allaient vivre ensemble, séduction obligé, pour éviter le perte de l'emploi.

Découverte d'un teint blanc et laiteux, tranchant avec le noir de ses cheveux. Elle approche et contourne l'homme en le frôlant délicatement dans le dos, tout en passant sa main sur la demi lune arrondie, normalement donnant grande envie, point le cas pourtant, continue son chemin, se trouvant désormais dans le dos de la belle, l'enlaçant délicatement, tout en regardant Jack dans les yeux, coté mystérieux en ébullition, pour une sensualité divine, ses mains parcourant le joli corps halé, afin de prodiguer des caresses indécentes sur sa poitrine paradisiaque, tel un aphrodisiaque. Elle vient lécher le cou de la belle, mettant en valeur sa langue qui savait faire des merveilles, espérant aider ainsi le fantasme tant réputé du côté des mâles, aider la belle brune à avoir autre chose de gonflé que leur égo.



Jack, incarné par Theheroinadream
Jack se laissait faire. Il se laissait aller, se laissait pousser, laissait monter la sauce, se laissait prendre au jeu. Il éprouvait le sentiment de devoir être gentil avec Shae désormais. Il savait pertinemment qu'un homme tel que lui n'était pas un cadeau pour une femme telle qu'elle. Il était si laid, elle était si belle...
À trop la regarder, il en perdait son jargon, sa gouaille, son argot... et c'était bien tout ce qui lui restait, après tant d'années. Avant même de s'être dévêtu, il s'était senti nu devant elle. Nu comme un ver sous son regard d'éclair.
Il ne savait s'il était excité ou effrayé. Il redevenait l'enfant qu'il avait été jadis. Mais une chose le tourmentait : les enfants n'étaient pas réputés pour leurs prouesses sexuelles. Hors, il éprouvait le désir de son faire son mieux, de tout faire pour ne pas paraître trop désagréable aux yeux de Shae et...

Nan, j'déconne. Oubliez ce que vous venez de lire, et reprenons depuis le début :


J'aime voir se balancer ton joli cul, marraine, alors pourquoi qu'tu t'obstines à rester dans mon dos quand tu marches ? T'es-tu d'jà d'mandé à quoi servait un escalier à part à monter d'un étage ? Et la galanterie, bordel ?! Après vous, mademoiselle, que j'aie tout le loisir de voir remuer vot' derche ! Passez d'vant ! Voilà, c'est mieux comme ça !

Le haut de l'escalier débouchait sur un couloir. À travers certaines portes entrouvertes perçaient des soupirs de volupté.

Eh ben, dites donc, ça tape fort là-d'dans ! Veillez à pas vous faire mal, les tourtereaux ! Vous voulez faire un concours, c'est ça ? C'est à çui qui f'ra l'plus de bruit ? Vous allez voir c'que vous allez voir, les novices ! La p'tite Shae, si j'suis pas foutu d'lever aut' chose que le p'tit doigt, eh ben c'est çui-là qu'elle s'prendra ! J'ferai tout c'qu'est en mon pouvoir pour la faire crier. Si mon plaisir passe par-là, elle saura pas m'le r'fuser ! Non pas qu'l'idée d'être impuissant m'réjouisse tant qu'ça, mais bon, faut s'rendre à l'évidence ! M'restent mes doigts d'fée, mes poings d'guerrier, mon crâne ! Attention les yeux, mesdames, à partir de maint'nant, tout c'que vous verrez pourra vous coûter c'qui vous reste d'amour de l'humanité !

Le temps d'achever sa tirade, et Jack se trouvait dans une chambre chaleureuse au meublé cossu. Il salivait devant le corps savamment dénudé de Shae.

Citation:
La chambre convient-elle... ?


En entendant cette phrase, Jack haussa les épaules. Il avait toujours été honnête avec les femmes :

Bon, on attaque ? Dans c'te chambre ou dans une autre, qu'est-ce ça change au juste, du moment qu'on est ensemble ? Moi, j'suis moi, toi, tais-toi. Au turbin, et qu'ça saute, comme il est d'usage d'gueuler dans les bordels !

C'est alors qu'une jeune femme, tout aussi ravissante que Shae, entra dans la pièce. On l'appelait Myst. Elle se glissa au côté de Shae, et commença à lui faire des choses que je n'évoquerai pas ici, dans le souci de ne pas froisser les consciences pudiques.

Et moi qui rêvais d'un quat' mains, m'voilà comblé ! Allez, après moi, en chœur, mesd'moiselles ! R'gardez-moi battre la mesure, j'suis vot' chef d'orchestre ! Pas l'droit à la fausse note sur mon antique viole de gambe. Va falloir y aller crescendo, jusqu'à taper dans l'fortississimo ! Trois, quatre...
Shae


Shae accueillit Myst par l'un des premiers sourires sincères qui avaient chatouillé ses lèvres depuis son arrivée. La brune lui plaisait déjà. Encore une fois, seul le petit peuple de la nuit parvenait à briser le rempart de silence, courtois et impénétrable, qu'elle édifiait entre elle et le reste du monde ; et, fût-elle la solitaire la plus acharnée, elle avait parfois besoin d'un pied-à-terre dans le tourbillon effréné des bordels. Elle sentait que quelque chose la rapprochait de la brune, peut-être quelques miettes de passé commun, peut-être simplement l'idée qu'elles étaient les deux seules catins de l'Aubépine à posséder une poitrine...

Sentant les mains impudiques de Myst courir le long de son corps, Shae lui décocha un regard mutin, mordant avec une sensualité connivente la pulpe de sa lèvre inférieure avant de croquer celles de sa complice. Tandis que Jack continuait à taper dans la poésie de lupanar - elle ne comprenait guère l'intégralité de ses propos, car il mangeait des lettres et parlait trop vite pour sa maîtrise bancale du français - elle promena à l'aveuglette les doigts d'une de ses mains le long des cuisses de Myst, tandis que les autres s'employaient à faire fleurir quelqu'espoir de succès du côté de l'entrejambe de Jack. Ce faisant, sa respiration s'essoufflait, s'étirait en soupirs à mesure que les caresses de sa co-équipière se faisaient plus appuyées. Finalement, elle se retourna, reculant jusqu'à ce que son dos soit collé au torse de Jack et que sa croupe - en se baissant un peu, le vieux étant un peu rabougri - reprenne le travail commencé par ses mains.

Shae joua cette partition quelques minutes, avant de s'accroupir aux pieds de Jack, laissant Myst faire face au client et s'occupant, pour sa part, d'aller éveiller deux ivresses... D'une part celle de la brune, en allant cueillir entre ses lèvres rouges quelque fruit défendu ; d'autre part celle de Jack qui, surplombant le spectacle, pouvait jouir d'une vue plongeante sur les travaux de langue de la belle.

L'atmosphère commençait à se faire brûlante dans la chambre rouge... Et, toute à son oeuvre, Shae percevait nettement chez Jack un début de quelque chose... Tant mieux. C'est que... le peu de filles du bordel ne permettait pas aux passes de s'étendre sur toute une nuit...
Rivian






Citation:
allez p'tiot on va aller mettre le feu dans la cavernes!!!!


Sur ces mots Rivian eut un dégout réel... une vieille plus que vilaine... qui lui parlait de casser la croûte.. et cet fois dans tous les sens du termes !
Mais bon une cliente reste une cliente et il fallait y aller...


Bon mamie en route ! on va réveiller tout l'bordel qui dort !

il fit passer la vioque devant lui mais bien par galanterie ! par pour zyeuter ! car sur la vieille carne y'a rien d'bon.
rendu dans l'escalier il lui mit une main au cul... par pour tater... mais pour la faire avancer...
Enfin rendu devant sa chambre il ouvrit la porte et la laissa passer.. en espérant qu'elle ne fasse pas tombé tout de suite les vêtements...


Voici l'lieu du crim.. euh de notre plaisir charnel... Prête ..?

Rivian était plus dégouté que jamais des femmes il en avait connu des vilaines oui ! des vieilles oui ! mais des vilaines vieilles... JAMAIS.
C'était 'lheure et il fallait ce forcer... la paye était au bout...




Memefioc
memefioc ni une ni deux, se mit nue et s'affalat sur la couche

Allez jeunot au turbin!!!

memefioc etait loin d'etre sexy, ses bourrelets tombés un peu, ses seins arrivaient casiment sur son ventre et des qu'elle souriait on voyait seulement un chico
le regard de memefioc se promenait de haut en bas detaillant bien le jeunot, elle était affamée et ca se voyait...elle était plus que prête!!!!
Mystica

[Dans la chambre rouge à porte mauve]





Jeux de mains et de langues séduisants, tout autant qu'excitants, la maraude des bas fonds se laisser aller dans l'atmosphère de la lune, qui était toujours aussi clair dehors. A mesure de la respiration de la brunette, la sienne accompagnait en rythme, plaisirs dans un lunapar en étant catin?

Etrange sensation plaisante. Caresses soutenues explorant l'antre de Shae, et en retour le sien, provoquait l'épanchement chaud se répandant entre ses cuisses, de concupiscence devenant brulante. Vue imprenable sur le client, refroidissement assuré un instant du temps. Non, elle ne pouvait décidément pas embrasser ça, d'ailleurs elle n'embrassait jamais, la brune avait réussi avec ardeur de ses lèvres inférieures, plaisir partagés pourtant, c'était laisser faire.

Mais là....

Pirouette habile, elle vient lui mordiller le cou à cet homme répulsif, sensation compulsive des sens de dégout, autant que ragout. Elle descend assez rapidement ses baisers malgré tout sulfureux, le long du torse, tout en se concentrant, sur les gestes délicieux autant qu'élégant de shae, afin de trouver rage, de continuer.

Habituée a vider les autres bourses que celles en vue désormais, certain regrets d'être entrée. Long soupir de décontenance, qui a l'ouïe pourrait croire gémissement de plaisir, alors qu'il en était tout autre. Le semblant de quelque chose qui tentait, et se voulait être assez droit pour enfin satisfaire le client, elle vient aider Shae, haut le coeur assez prononcé, mais quand il faut y aller....

Yeux fermés désormais, afin d'échapper au paysage de microphage, concentration optimum, sur son entrejambe ou shae faisait merveille.

Contraste évident de l'absolu radical, Myst, s'applique aidé de caresses sauvages d'usages, chez le quatragénaire, sur le coté de la face lunaire. Le semblant deviendrait semble t'il prêt à l'emploi, enfin droit, soupire de soulagement, autant que de plaisir, dans son bas ventre procuré par la brune.

Elle continue donc l'abaissement, afin d'être allongée devant lui aux côtés de Shae, il n'avait plus qu'à choisir, pour enfin en finir. Regard sur la brunette odieusement provoquant avant d'entremêler sa langue à la sienne.
Rivian



Rivian vu la vioque ce foutre a poil le dégout était la mais il ne devait pas le montrer.
et puiis quand faut y aller faut y aller..
elle était plus poilu et plus barbu que lui.. ses bourrelets cachait son intimité..
comment faire ! va falloir y aller les yeux fermés dans l'entre du diable !!!


Allez prépare toi mamie je vais te rappeler tes 20ans et qu'on réveille tout l'bordel !

Voila qu'il retira sa chemise dans une danse langoureuse pour ensuite faire descendre les braies le long de ses jambes.
Le voila lui aussi a poil mais apparament pour l'instant il n'était pas en pleine puissance..
Si seulement un miracle pouvait arriver! ou alors une beauté parfaite qui venait l'aider !!!
Il alla s'allonger pret de mamie en la zyeutant d'un regard de braise.
un fois a coté d'elle il commencat a passer sa main le long du corps de la vioque.
Mais rien n'y faisait pour l'instant l'attirail restait bel et bien en bas!
Y'avait t'il quelqu'un dans ce putain de bordel pour les aidés car il était bon a rien et pouvait ce faire virer sans être en pleine forme !!!




Memefioc
memefioc avait pas vu depuis longtemps un homme nu mais elle se souvenait comment l'engin fonctionnait et là c'etait cale sèche ! Elle en voulait pour ses écus et pas d'attendrissement possible, c'est qu'elle avait besoin de ce ramonage

Hé ben jeunot on dirait que ton engin veut pas fonctionner ! Non de d'diou pas à moi à faire l'effort ! puis coté preliminaire j'ai horreur de ca, faut y aller francas hein!!!!

la vieille avait payé et elle attendait son dû, puis bon elle pas que ca à faire hein! son bétail attendait, puis fallait qu'elle s'occupe de sa bicoque
elle regardait le jeunot avec un air méfiant...allait il être à la hauteur pour la secouer comme il fallait???
Sos.hortense
Bon. Hortense, elle s'était faite embaucher comme ça à l'arrache ni vu ni connu jtembrouille.

Elle avait bientôt vingt ans, elle avait rien fichu de sa pauv' vie, sa maman était morte en couche, son papa était pauvre - et quand jdis pauvre, Job à côté c'était Crésus - et en plus quand il avait trop bu il lui disait des trucs dégueulasses en essayant de la coincer contre le mur. Alors bon.

Hortense, elle était bien gentille mais ça allait deux minutes. Du coup, elle avait vu qu'une ville pas trop lointaine, Espalion, embauchait de la dame, et elle avait foncé.

Faut dire que entre son papa exigeant qui l'aimait de tout son coeur et les vieux croutons en voyage qui la payaient, dans l'temps, pour dresser le mât si vous voyez quesque jveux dire - c'était pas une catin, 'fin elle aimait pas qu'on dise catin, juste elle avait besoin de sous pour s'acheter ses robes! - bah elle avait pris le coup de main. Si vous voyez toujours quesque jveux dire.

Donc elle s'était faite embaucher par la rousse qui tenait le bordel et qu'arrêtait pas de se la péter parce qu'elle avait des plus belles robes et des plus beaux nichons qu'Hortense. Pis encore, elle, ça allait, mais l'autre là, Shae, et la dernière v'nue, Mystitruc, là, hein, bah elles, c'était des vraies péteuses. Avec leurs jolies fesses, là. Pfeuh.

Bon, faut dire ce qui est, Hortense, elle était pas TRES belle. Pas dans le genre "j'entre dans une pièce et ça y'est même les objets ont la trique." Mais quand même ! Quand même, hein ! Elle était maigrichonne, mais du coup elle avait pas de la graisse qui pendouillait partout, y'a pas plus moche, tsé, pis elle était grande, aussi. Elle avait pas de seins, mais elle avait un derche premium.
Elle avait pas le visage fin, ses yeux avaient la couleur pas trop appétissante des huîtres avariées, son nez était un peu tordu, mais elle avait une jolie bouche d'après les vieux croutons, qui ajoutaient - parce qu'ils étaient fichuement blagueurs - que celle ci f'rait un joli collier autour de certains d'leurs organes. Bon. Et les cheveux aussi, aaaaah les cheveux ! Hé ! Elle était bien fière de ses cheveux. Elle les avait jamais coupés. Ou alors y'a longtemps. Ou bien elle avait oublié. Ils étaient super longs, blonds, bon, certes un peu ternes, mais doux comme l'agneau.

Donc Hortense, elle était pas spécialement jolie, mais elle était potable. Pas comme l'autre Pétunia qui était moche comme une tasse de tisane.

Et là, Hortense, elle regarde par le trou de la serrure. Elle regarde Rivian.

Comment il la fait rêveeeer, Riviaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan ! Il est vraiment trobo. Hortense pense à lui le soir quand elle s'endort, depuis l'premier jour qu'elle l'a vu, tiens. Elle est un peu amoureuse. Pis de Mesrant aussi. Et du roux dont elle retient jamais l'nom. Elle veut les épouser. Tous.

Mais bon là elle regarde Rivian. Et ce qu'elle voit de Rivian, c'est qu'il a pas de bol et qu'il se retrouve avec une vieille qu'est encore plus moche que Pétunia et sa chope de tisane réunies. Horrible. Elle, elle pourrait pas. Pauvre Rivian, qu'elle se dit, et elle a envie de pleurer tellement elle est triste qu'il soit triste, vu qu'elle est un peu amoureuse de lui. Il essaie, ça s'voit qu'il essaie, mais... baaaah... c'pas possible avec ce morceau-là qui écarte les cuisses en face !

Alors elle y tient plus. Elle pousse la porte.


SOS HORTEEEENSE, elle rugit, et elle laisse tomber sa robe rose avec un petit chat bleu ciel cousu dessus.

Trobelle, sa robe. Enfin, pour l'instant, paf, par terre la robe. Hortense exhibe avec des airs d'autoroute son popotin extra-large. Elle bat du cil façon Shae ou Mytitruc. Elle s'approche. Elle est quand même vachement plus goûtue que l'autre vioque.

Sans rien demander à personne, elle balance du clin d'oeil à Rivian et elle commence à oeuvrer avec ses mains surentraînées. Aux anges, la blondasse. Elle voit bien qu'ça marche, en plus. Elle voit bien qu'ça y'est il est fou d'elle. Elle est sûre qu'il va l'épouser, après ça. Elle en sourit d'avance, et, tandis qu'elle s'active avec application à réveiller l'petit Jésus, elle pense à la superbe robe de mariage blanche à paillettes avec plein de petits dauphins roses sur la jupe et un gros soleil rose avec un coeur rose et ses arcs-en-ciel roses partout sur le voile. Rohlàlà; ça va être beau.

En attendant, à c'qu'elle constate, la vieille va bientôt pouvoir consommer. Mais pas pour longtemps. Après, y s'ra rien qu'à Hortense.
Memefioc
memefioc s'impatientait et en attendant elle se curait son chico avec son ongle noir.....pffff ces jeunes c'etait pas comme à l'époque, vif, vigoureux

d'un coup la vieille vit débouler une jeunette qui se mettazznt nue activait l'engin du jeunot

HEYYYYYYYYYTU FOUS QUOI LA!!!!

memefioc prit un élan pour la virer sans menagement mais son regard se posa sur le truc de rivian et ça marchait!!!! c'etait un miracle !!! Ben elle se vexait pas car c'est pas elle qui lui faisait de l'effet, d'ailleurs le contraire l'aurait même étonné! Se calmant de suite elle attendit

Hey met en route la machine et barres toi, j'ai payé moi!!!

en attendant memefioc s'occupait toujours du morceau de viande coincé à son chico
Rivian




Rivian étant allonger a coté de la vieille peau ne faisait que ressasser dans sa tête des images de femmes plus belles les unes que les autres.
Mais pour l'instant rien y faisait le crouton a coté de lui qui ce curait la gueule à coté de lui était plus dégueulasse que tout.
Puis déboulât comme une furie hortense !!! Et la c'était une autre paire de manche ! enfin bon c'était toujours pas le canon espéré.
Mais bon on va faire avec ! Rivian reprit le sourire quand il vu qu'son engin repris sa forme de compèt.
C'était l'heure pour la vieille de tirer sa crampe ! il remercia Hortense d'un baiser des plus doux héhé il sait y faire le Rivian.


Hey gamine tu reviendras me voir après pour que je te remercie comme il ce doit ! Et aussi s'que tu veux en échange !

Tout ceci accompagné d'un clin d'oeil et d'un délicate caresse sur la joue puiiis une tape sur le cul pour qu'elle dégage quand meme !
Avant que la vieille ne rale trop ! il jetta un coupds d'oeil sur mémé et la vision était toujours horrible.
Bon bah faut y'aller ! il passa sur la vieille et commenca un a mettre l'engin dans le trou béant de la bête !
il commenca un éterenel va et vient entre le dégout et un minimum de plaisir pas visuel bien sur...
En espérant qu'il en fallait pas 2 jours pour assouvir les besoins de la vilaine.




Sos.hortense
Hortense, une fois sa mission accomplie, remit sa robe avec des étoiles dans les noeils.

Elle avait rien répondu à Rivian pour pas gêner la cliente, mais alors, hein, y perdait rien pour attendre. C'était son fiancé maintenant. Enfin, dans sa tête, elle l'appelait comme ça, "mon fiancé".

En fermant la porte derrière elle elle jeta un oeil à Rivian et lui souhaita mentalement bien du courage...

Puis elle disparut dans un froufrou de dentelles fuschias et alla espionner Jack, Shae et Myst par le trou de la serrure de la chambre mauve. Pas pour le plaisir des yeux comme quand elle matait Rivian ou Mesrant, mais on sait jamais, p't'être les deux brunes avait des choses à lui apprendre.

Bon alors... ça engloutissait sec. Elle observa Shae un petit moment. Ah oui, quand même. Elle avait du boulot, l'Hortense.

V'là que Mystitruc la rejoint au rez de chaussé... Ah oui oui oui. Quand même, quand même... Les deux, là, elles connaissaient le boulot. Hortense s'inséra trois doigts dans la bouche et essaya de répéter leurs gestes... Une belle envie de dégobiller la saisit, et elle arrêta là l'exercice.

Bon, assez r'gardé, le Jack là, on pouvait pas dire que c'était du grand spectacle.

Hortense descendit dans la pièce à vivre des employés se faire un quelque chose à baffrer. Un épi de maïs grillé, tiens.. Pour l'entraînement...
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