Arthurcano
Arthur regarda le sieur Fernand et fut assez dépité de sa réponse mais qu'attendre au final de pareils hommes... Encore que son fillot lui avait de la trempe à côté de certains et pourtant peu lui auraient donné une chance... Fin Bref... Ce Fernand ne lui plaisait guère et une sombre histoire en mai lui revenait sans cesse à l'esprit... Qui avait bien pu aider Cornapatator... Il n'avait pas eu de preuves oh grand dommage mais ... Fin... Une autre fois...
Votre honneur,
l'accusation en ayant fini, je vais donc vous livrer mon réquisitoire !
Arthur compulsa ses notes et pris de sa voix clair parole....
Votre honneur,
dans cette affaire, le mestre Rackam est accusé en ces lieux de Haute Trahison pour permis la divulgation d'un document de la sécurité intérieure du Languedoc comme annoncé par son courrier et pour avoir fomenter avec une groupe de brigands bien connu de nos services de sécurité intérieure.
Votre honneur, dans une premier temps, l'accusé nie avoir jamais mis les pieds au château de Montpellier faut d'être maire et chef d'armée à Lodève, là est le premier mensonge de l'accusé puisque vous comme moi, et l'ensemble des conseillers qui travaillaient pour notre comté, pouvons et peuvent témoigner de sa présence chaque jour par ses interventions orales. Nul doute que comme nombre des conseillers faire le parcours de sa ville au château est épuisant et lui aura fait perdre raison mais les fais sont là, et chacun pourra en témoigner comme moi en l'instant présent !
Ainsi, nous dit il, il recevait chaque matin, je cite "des comptes rendus du bureau du comte, des rapports du CAC, du CAM ou du bailli, y était joint l'inventaire de l'armurerie et différents rapports de douane et des missives provenant de l'ost". Or votre honneur, au cours de ce mandat, j'ai été sur la période convenue Conseiller aux Mines, et jamais oh grand jamais je n'ai transmis de documents provenant de mon bureau de CaM. Ainsi donc voici le second mensonge, point de caissette ou autre mais bien un vol en mon bureau de Conseiller aux Mines, nul doute que le CaC et le Bailli n'auront jamas transmis ces dis documents autrement que d'en discuter parfois au conseil devant Comte et Conseillers !
L'accusé nous dis ensuite que son frère, présent au domaine, serait le cerveau de ce plan machiavélique, et les témoins de la défense en témoignent en ce sens. Ainsi au travers des pérégrinations de Ruthy dict la Crevette, nous avons ces dire : "Mais quand je suis entrée dans le bureau ... l'enveloppe était déchiquetée ... et il y avait des papiers éparpillés partout ... j'ai tout de suite pensé que Calva ... Calva c'est le chien du domaine ... un bâtard ... ", puis "Alors j'ai tout rassemblé ... j'ai tout remis dans une autre enveloppe ... j'ai fini mon ménage ... et j'ai refermé soigneusement la porte de deux tour de clés. " et enfin "Je suis coupable ... mettez moi en prison ! Aujourd'hui le patron est jugé parce qu'il a résisté aux sollicitations de son frère ... c'est injuste ..." Nous voyons dans le témoignage de la pauvrette que rien n'est clair si ce n'est qu'une soit disant enveloppe était déchiquetée et "qu'un porteur spécial" apportait une enveloppe au Mestre Rackam. D'où venait ce porteur spécial, qu'y avait il dans ces enveloppes, le drolette l'évidence n'en sais fichtre rien et ce ne sont au final que blablatterie qui ne servent pas la défense ou comment noyer le poisson en tournant dix fois dans un bocal...
Courte pause...
Vint ensuite à la barre Dame Noëllie, second témoin de la défense, elle nous apprends la que Machette, le frère de Rackam, essayait à l'évidence de convaincre son frère d'une vengeance quelconque :" Il t'écoutera toi, dis lui que j'ai raison, qu'il ne peut pas en rester là..."puis qu'un matin fin de la passe plus de Machette...
Ainsi votre honneur, le frère de Machette aurait été présent au cours de l'été à Lodève selon les différents dire... Mensonge ou vérité... C'est ce que je vais tenter de vous démontrer. Tout d'abord par le témoignage de l'accusation : " Ces personnes accusent notre compagnon Machette d'avoir dérobé des choses par chez vous. " Or le mestre Fernand nous fais démonstration que point possible cela fut ! Ainsi nous récitant leur parcours point par point, laissant confirmer que la Machette n'avait ainsi jamais pu mettre les pieds à Lodève au cours de l'été !
Vous avez les minutes du témoignage sous les yeux votre honneur et ne citerait que cette phrase :
"A aucun moment Machette n'a pu dérober quoi que ce soit à Lodève ou dans les environs durant cette période puisqu'il n'a pas mis les pieds en Languedoc de tout l'été. Ça lui était physiquement impossible. Le pape lui-même le prétendrait-il qu'il aurait l'air d'une buse! "
Ces éléments votre honneur sont confirmés par nos services de sécurité intérieure et ceux de notre royaume...
Arthur sorti deux dossiers deux pièces à convictions...
Votre honneur, sur ma demande une enquête a été diligenté afin de savoir si le mestre Machette a pu ou non se trouver présent sur nos terres sur la dite période estivale menant jusqu'au faits, nostre prévôt, aider de son prévôt adjoint, nous en donne son résultat :
Votre honneur,
l'accusation en ayant fini, je vais donc vous livrer mon réquisitoire !
Arthur compulsa ses notes et pris de sa voix clair parole....
Votre honneur,
dans cette affaire, le mestre Rackam est accusé en ces lieux de Haute Trahison pour permis la divulgation d'un document de la sécurité intérieure du Languedoc comme annoncé par son courrier et pour avoir fomenter avec une groupe de brigands bien connu de nos services de sécurité intérieure.
Votre honneur, dans une premier temps, l'accusé nie avoir jamais mis les pieds au château de Montpellier faut d'être maire et chef d'armée à Lodève, là est le premier mensonge de l'accusé puisque vous comme moi, et l'ensemble des conseillers qui travaillaient pour notre comté, pouvons et peuvent témoigner de sa présence chaque jour par ses interventions orales. Nul doute que comme nombre des conseillers faire le parcours de sa ville au château est épuisant et lui aura fait perdre raison mais les fais sont là, et chacun pourra en témoigner comme moi en l'instant présent !
Ainsi, nous dit il, il recevait chaque matin, je cite "des comptes rendus du bureau du comte, des rapports du CAC, du CAM ou du bailli, y était joint l'inventaire de l'armurerie et différents rapports de douane et des missives provenant de l'ost". Or votre honneur, au cours de ce mandat, j'ai été sur la période convenue Conseiller aux Mines, et jamais oh grand jamais je n'ai transmis de documents provenant de mon bureau de CaM. Ainsi donc voici le second mensonge, point de caissette ou autre mais bien un vol en mon bureau de Conseiller aux Mines, nul doute que le CaC et le Bailli n'auront jamas transmis ces dis documents autrement que d'en discuter parfois au conseil devant Comte et Conseillers !
L'accusé nous dis ensuite que son frère, présent au domaine, serait le cerveau de ce plan machiavélique, et les témoins de la défense en témoignent en ce sens. Ainsi au travers des pérégrinations de Ruthy dict la Crevette, nous avons ces dire : "Mais quand je suis entrée dans le bureau ... l'enveloppe était déchiquetée ... et il y avait des papiers éparpillés partout ... j'ai tout de suite pensé que Calva ... Calva c'est le chien du domaine ... un bâtard ... ", puis "Alors j'ai tout rassemblé ... j'ai tout remis dans une autre enveloppe ... j'ai fini mon ménage ... et j'ai refermé soigneusement la porte de deux tour de clés. " et enfin "Je suis coupable ... mettez moi en prison ! Aujourd'hui le patron est jugé parce qu'il a résisté aux sollicitations de son frère ... c'est injuste ..." Nous voyons dans le témoignage de la pauvrette que rien n'est clair si ce n'est qu'une soit disant enveloppe était déchiquetée et "qu'un porteur spécial" apportait une enveloppe au Mestre Rackam. D'où venait ce porteur spécial, qu'y avait il dans ces enveloppes, le drolette l'évidence n'en sais fichtre rien et ce ne sont au final que blablatterie qui ne servent pas la défense ou comment noyer le poisson en tournant dix fois dans un bocal...
Courte pause...
Vint ensuite à la barre Dame Noëllie, second témoin de la défense, elle nous apprends la que Machette, le frère de Rackam, essayait à l'évidence de convaincre son frère d'une vengeance quelconque :" Il t'écoutera toi, dis lui que j'ai raison, qu'il ne peut pas en rester là..."puis qu'un matin fin de la passe plus de Machette...
Ainsi votre honneur, le frère de Machette aurait été présent au cours de l'été à Lodève selon les différents dire... Mensonge ou vérité... C'est ce que je vais tenter de vous démontrer. Tout d'abord par le témoignage de l'accusation : " Ces personnes accusent notre compagnon Machette d'avoir dérobé des choses par chez vous. " Or le mestre Fernand nous fais démonstration que point possible cela fut ! Ainsi nous récitant leur parcours point par point, laissant confirmer que la Machette n'avait ainsi jamais pu mettre les pieds à Lodève au cours de l'été !
Vous avez les minutes du témoignage sous les yeux votre honneur et ne citerait que cette phrase :
"A aucun moment Machette n'a pu dérober quoi que ce soit à Lodève ou dans les environs durant cette période puisqu'il n'a pas mis les pieds en Languedoc de tout l'été. Ça lui était physiquement impossible. Le pape lui-même le prétendrait-il qu'il aurait l'air d'une buse! "
Ces éléments votre honneur sont confirmés par nos services de sécurité intérieure et ceux de notre royaume...
Arthur sorti deux dossiers deux pièces à convictions...
Votre honneur, sur ma demande une enquête a été diligenté afin de savoir si le mestre Machette a pu ou non se trouver présent sur nos terres sur la dite période estivale menant jusqu'au faits, nostre prévôt, aider de son prévôt adjoint, nous en donne son résultat :
Citation:
Nous Bruenor de Rumet Carsenac, Seigneur de Matringhem,
Prévôt Adjoint du Languedoc,
Déclarons qu'après étude de l'ensemble des rapports de douane depuis l'entrée de Mestre Rackam au Conseil Comtal, le dénommé Machette n'a nullement foulé le territoire Languedocien.
Prévôt Adjoint du Languedoc,
Déclarons qu'après étude de l'ensemble des rapports de douane depuis l'entrée de Mestre Rackam au Conseil Comtal, le dénommé Machette n'a nullement foulé le territoire Languedocien.
et que le mestre Machette n'a mis les pieds en notre comté entre le 1er et le 22 septembre comme l'indique le rapport des services secrets de sa Majesté :
Citation:
Grâce aux Services Secrets de sa Majesté, nous avons pu établir le plan de route de Machette, voici le détail avec les dates :
1er septembre : Genève
8 septembre : Dié
9 septembre : Montélimar
10 et 11 septembre : Dié
17 septembre : Genève
22 septembre : Dié
1er septembre : Genève
8 septembre : Dié
9 septembre : Montélimar
10 et 11 septembre : Dié
17 septembre : Genève
22 septembre : Dié
Arthur après avoir fait lecture des documents et pris un verre d'eau... Berk... Repris son réquisitoire...
Votre honneur,
Dans cette affaire, il n'y a nul doute sur le fait que laccusé nous ment sur plusieurs point qui viennent de vous en être fait démonstration, de même qu'il n'y a nul doute sur le fait qu'au moins un document de sécurité intérieur dont il avait la charge à été perdu ou transmis... De même que le Mestre Machette n'a jamais mis les pieds en notre comté depuis l'arrivée du Mestre Rackam au conseil comtal du Languedoc.
Aussi vu le témoignage de l'accusé qui nous confirme la perte d'un document de sécurité intérieure et possiblement nombreux autres documents qu'il se sera procuré à savoir documents économique du CaC, du Bailli et du CaM,
Aussi vu le témoignage à charge de laccusation en la personne de Mestre Fernand, publicateur de l'annonce de faits répréhensibles et de sa démonstration que le mestre Machette n'a jamais pu mettre les pieds en Languedoc sur la dite période.
Aussi vu le courrier du prévôt adjoint qui corrobore les dire de l'accusation,
Aussi vu que le mestre Rackam a été vu et entendu au château de Montpellier par nous membres de cette cours et l'ensemble des conseillers comtaux,
Aussi considérant que la perte ou la divulgation de documents de sécurité intérieure est un acte portant grave préjudice au Languedoc, notamment sa stabilité, ses institutions ou son gouvernement, de la part d'un citoyen languedocien et notamment conseiller comtal, est considéré comme le prévoit par notre Code Languedocien comme acte de haute trahison.
Nous, Arthurcano de Génolhac, procureur du Languedoc, demandons à ce que l'accusé, mestre Rackam de la Lergue soit reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés, quil soit déclaré inéligible pour une période de trois mois, mis aux arrêts afin de visiter nos geôles pour une durée de trois jours, ainsi qu'une amende de 80 écus redevable par don !
La parole est une dernière fois à la défense!
Arthurcano se rassoit ensuite sur son siège écoutant la suite du procès.
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