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[RP]- Cathédrale de Limoges - Mariage de Sofja et Bosk

Eloin
Sur le parvis

Le futur époux fut le premier à s'avancer pour luy adresser la parole, et l'abbesse le salua d'un hochement de teste, accompagné d'un sourire sincère. Elle était heureuse de célébrer ces épousailles-là, et ne s'en cachait point.

Lo bonjorn, sénher Bosk ! Je vois cela oui, vous débordez de bonheur ! Gardez-en tout de mesme pour après l'office, histoire d'en faire profiter vostre promise !

Le ton était guilleret, et la clémence d'un ciel sans nuages apportait plus encore de gaieté à cette journée.

Ma foy, de mon côté, tout est prêt ! Ne vous inquiétez point pour la mariée, les futures épousées sont souvent longues à se préparer !

Et elle en savait quelque chose, puisqu'elle était naguère passée devant l'autel, grosse de cinq moys !
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Héraldique
Elizabelle
Elizabelle ne put s'empêcher de rougir joliment au compliment de la Vicomtesse. Elle n'était guère habituée aux remarques flateuses, elle qui était si discrète. Elle se permit de réajuster le'un des pan de la robe de la mariée our que le tissus ne se froisse pas durant le voyage. Elle regarda Nikolaï arriver après elle, encore visiblement fatigué, mais au moins propre et même assez élégant avec sa tenue réalisée par Attia. Il reveillait en la jeune fille des choses qu'elle préférait autant enterrer. Aussi détourna-t-elle les yeux pour se concentrer sur une autre problématique...

Comment expliquer les circonstances de leur rencontre sans créer de discorde...? Elle y reflechit tout en montant dans le carrosse qui allait les conduir à la Cathedrale. Par quel bout commencer... Et surtout, comment montrer que le jeune homme était dans son tort sans pour autant le vexer. Une idée germa dans son esprit. De toute manière, il allait bien falloir dire quelque chose....


Pour notre rencontre, elle fut le fruit du hasard. il se trouve que nous etions en route, mon amie mademoiselle Hélène Blackney et moi-même, avec son attelage et notre escorte, en direction de l'atelier pour remettre votre robe au coursier. Votre frère était en route pour ici à bord de son propre attelage. L'orage grondait et les chevaux étaient ombrageux... Ilse trouve que malheureusement ceux de votre frère son devenu incontôlable. Si bien qu'ils se sont lancés dans une course infernale avantt de nous percuter...

Le carrosse d'Helène fut malheureusement fort endommagé et plusieurs des chevaux d'atelage blessés. Nous nous sommes résolus à faire cause commune et nous avons loué un relais pour laisser aux chevaux le temps de se remettre et pour réparer le carrosse d'Helene. Mais le temps passant nous nous sommes vu forcé de laisser Helene régler les choses aux relais, pendant que nous vous apportions la robe de toute urgence...Il nous a fallu pas moins de 5 jours de chevauchée intensive pour arriver à temps. Je crainds que ma pauvre Cendre en ait pour plusieurs semaines à se remettre...


L'ange avait tâché de présenter les choses sous un jour favorable mais sans pour autant retirer la responsabilité de l'accident au juene homme. Elle passa sous silence la cohabitation forcée dans la même chambre de ce relais minable par soucis des apparences. Elle s'inquiétait beaucoup pour sa petite jument, même si elle ne doutait pas que l'on prit bien soin d'elle au domaine de la Vicomtesse. Regardant dehors le paysage défiler, elle reprit.

Mais ce jour est le votre Ma Dame, ne vous souciez guère de ces petits tracas et profitez donc de ces instants que l'on dit merveilleux.
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Merwyn
Suivant l'invitation de dame Sofja, le brune bourganiaude avait sellée sa Neige, emballée sa robe et pris la route de Limoges.
Arrivée tard dans la nuit elle trouve néanmoins une chambre dans une auberge disposant également d'une stalle pour sa blanche jument et prend quelques repos.

A l'aube, après des ablutions malheureusement fort sommaire dans une vasque de sa chambre, elle revêt donc la toilette achetée a prix d'or a l'étal de l'atelier "Paris Milan" et glisse a son cou le torque qui lui vient de sa mère.
Quelques coups de brosses pour discipliner sa chevelure d’ébène et elle y dépose la ferronnière ornée d'une améthyste que lui offrit jadis une amie.
La voila fin prête pour se rendre a la cathédrale dont les cloches commencent a appeler les fidèles.

Se mettant en route, elle soulève le bas de sa robe pour ne pas la souiller dans les rues qui s’animent de la capitale.
C'est a ce moment là qu'elle se rend compte que...

Erf...Ma grande ...Faute de gout...Par habitude tu as enfilée tes bottes au lieu des chausses que tu avais emportées.
Et là il est trop tard pour retourner a l'auberge.


Se morigène t elle a voix basse.
Un haussement d'épaules: sous sa robe, qui donc pourrais bien deviner ce qui la chausse.
Elle se hâte donc vers le lieu de culte et se glisse a son habitude dans l'ombre d'un pilier dans le fond du bâtiment.
Au passage la brune as bien reconnue le sieur Boskdeportkar, le futur époux mais celui ci doit avoir bien autre chose en tête pour qu'elle aille le saluer maintenant.
Il serais bien assez temps de le faire en présentant ses voeux au couple après la cérémonie.
Sofja
Sofja écouta attentivement le récit d’Elizabelle regardant, tout en faisant la moue, son frère. Raaa ces hommes des impatients au point de risquer la mort, heureusement ce ne fut pas le cas, tout le monde était sain et sauf. Elle imagina très bien Nikolaï demander au cochet d’accélérer pour arriver au plus tôt à son point d’arrivé.

Elizabelle je suis désolée pour tous ces désagréments, je compte sur vous pour présenter mes excuses à vostre amie, Hélène Blackney. Bien évidemment tous les frais seront à nostre charge, il est hors de question que vous débourser quoique ce soit.

Puis lui posa sa main sur la sienne.

Et pour vostre jument, ne vous inquiétez pas, elle sera choyée chez nous. Les animaux sont traités comme des roy. Et vous serez la bienvenu chez nous si cela doit prendre du temps.

Le temps défila aussi rapidement que le paysage, malgré leur discussion le stress monta au fur et à mesure que la ville de Limoges se présentait à eux. En quelques minutes la route poussiéreuse laissa place aux pavés de la capitale.

Nous voilà presque arriver…

Ca y est son cœur s’arrêta de battre, elle ne se sentit pas très bien tellement qu’elle appréhendait les instants à venir. Ohhhh cela faisait juste quatre ans qu’elle attendait ça, elle le voulait plus que tous ce mariage, elle l’aimait plus que tous son Bosk mais c’était la peur de l’inconnu, de la vie en couple, de cette vie de femme. Elle voulait continuer de vivre comme elle vivait actuellement mais est-ce que cela allait être compatible avec ce nouveau statut, malgré qu’il avait pu la rassurer sur ce point, elle espérait que si chamboulement il devait y avoir, cela allait se passerait doucement.

La calèche s’arrêta, plusieurs personnes étaient déjà présentes mais l’adrénaline de ce bonheur des plus intenses, l’empêcha de voir qui exactement. Elle laissa descendre Nikolaï puis Elizabelle, essayant de remettre en place ses idées mais aussi le temps au sang de circuler dans ses jambes car si elle se levait maintenant, elles ne la porteraient pas.

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Salem_ibn_hayyan



Une nouvelle union qui ne durerait pas. Salem était prêt à en mettre sa main au feu. La voiture ralentissait. Sa tête se leva avec lenteur et ses épaules se dressèrent, subséquemment à ce changement d'allure. Il renonça à remporter avec lui les opinions qu'il pourrait se faire sur cette placette encombrée. Au surplus ne conserverait-il en mémoire, en guise d'empreinte sensorielle, que le vent qui se levait dehors, et cette sève qui venait de s'arrêter dans ses abattis. Cependant, non qu'il désirait se maintenir en poste comme les hésitants de naguère, à la timidité trop courtoise, il sentit qu'il n'avait pas le cœur à descendre. Trouverait-il vraiment matière à remporter quelque chose de cette cérémonie ?

Peu importe que le bouc soit vieux, si la chèvre est prête ... maugréa-t-il en descendant après s'être fait une idée de qui pouvait être les acteurs principaux de la cérémonie. À l'instant même où d'autres voitures vomissaient leurs occupants, son regard accrocha celle qui devait être la cible de sa visite. Sans plus attendre, il l'aborda.

Bonjour. Vous êtes la mariée ?

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« Lege, lege, relege, ora, labora, et invenies. »
Salem Ibn Hayyan
Sofja
Alors qu'elle trouva la force pour descendre de sa voiture, la jeune Vicomtesse tomba nez à nez avec un homme aux allures particulières. Il avait la peau foncée, des bijoux de toutes les couleurs ainsi que des vestements bien originaux sans parler des chausses. Elle en avait croisé plusieurs de ces origines-là à l'atelier des doigts d'or. Cela la surprit qu'il l'interpella car elle ne le connaissait pas du tout. Qui pouvait bien être cet homme et surtout que lui voulait-il ??

Le bonjour Messire. Oui c'est bien moi, enfin si y a bien que mon mariage ce jour ci.
Que puis-je pour vous ?


Malgré cette drôle de situation, l'humour de la jeune femme ne s'était pas envolée. Elle remarqua son tendre sur le parvis, ainsi que l'abbesse, que sa tante et d'autres personnes. Elle n'avait qu'une envie, les retrouver et faire la fête avec eux.
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Boskdeportkar
Me voilà donc tout rassuré par les propos de l'Abesse qui m'informa que tout etait pret pour la cérémonie. Que l'attente de la promise etait chose normale, par la necessité du temps qu'il fallait à la Mariée pour se vetir, se coiffer, se parer.
Dame Eloin semblait toute guillerette également, et le ton de sa voix finit par me rassurer pleinement. J'avais bien attendu quatre ans l'espoir d'un mariage, que representaient donc quelques minutes de plus ?


"Abesse, merci pour ces quelques mots. Il est vrai que c'est un jour particulier et que je suppose que Damoiselle Sofja aura voulu qu'il me soit inoubliable.

Je vais donc profiter de ces quelques minutes de vieux celibataire qui me sont accordées pour saluer et remercier les gens venus nous accompagner."


A peine eus-je tourné la tete pour observer les personnes presentes dans l'assistance que j'apercus un visage trop longtemps éloigné de notre Limousin. Ma marraine etait venue !

Je n'aurai pu dire si c'etait les rayons du soleil, le petit courant d'air sur le parvis, ou une certaine emotion qui me gagnait, mais j'eus à cet instant la vue embuée, et l'oeil piquant. Je pris une respiration pour me resaisir, et marchai au devant de Dame Auxanne.

C'etait une femme elegeante, toujours aussi belle. Et cette robe au ton rose, lui allait parfaitement. J'avais toujours eu grande admiration pour cette femme, grande reverence egalement. Et grande tristesse depuis son depart de notre Comté.
Elle fut de ces personnes qui ont compté dès les premiers mois de mon arrivée sur Bourganeuf. Et je n'aurai pu choisir meilleure marraine au jour où j'ai réitéré mon bapteme.

J'essuyai mes yeux discretement avant de lui parler.


Dame Auxanne, Marraine ! C'est grande joie que de vous savoir venue !
Vous etes resplendissante. Vous m'avez tant manqué !

Avez vous fait bon voyage ?


J'avais pris ses mains dans les miennes, meme si l'Etiquette ne l'autorisait peut etre pas. Mais mon bonheur etait sincère.

Me ferez bien l'honneur de marcher à mes cotés en l'Eglise et de me mener jusqu'à l'Autel ? .
Walan
Ce n'était pas vraiment qu'il n'avait pas envie de venir. Enfin, pas parce que c'était ce mariage là en particulier. C'était tout simplement que, d'une part, il se méfiait tout de même de ces cérémonies et des ... drames qui pouvaient s'y jouer ; et d'autre part qu'il s'était tout de même un peu fait avoir. A la base, c'est à une cérémonie liée à la Couronne que sa femme l'avait convié, ce qu'il avait bien entendu refusé tant il n'avait guère de goût ou d'attrait pour une chose telle que la nomination de grands officiers, et forcément le refus avait engendré opposition, et parce qu'il était un peu têtu il avait poursuivit son opposition lorsque Marie avait évoqué une autre cérémonie, de mariage cette fois. Ce mariage.

Enfin, soit. Il était là, pas forcément de bon gré, mais il y était, et il n'avait presque pas traîné des pieds après le départ. Ni même durant le tour qu'ils avaient fait aux alentours de l'église en constatant qu'ils étaient parmi les premiers. Le temps de le faire et de redécouvrir Limoges, où il avait déjà été quelque temps mais pas franchement au point d'en connaître l'ensemble de la cité, puis de revenir et le parvis s'était quelque peu rempli ... d'inconnus. Ne connaissant ni les mariés, ni personne, Sans Repos eut un regard vers sa brune, la laissant décider des personnes à aller saluer en priorité ... et faire les présentations.


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Mariealice
Le petit tour avait été fait, main sur le bras, lui faisant visiter les lieux, dont certains avaient changé d'ailleurs. Mais après tout, la vie et les villes n'attendaient pas après les vivants.

Lorsqu'ils furent de retour sur le parvis, Marie reconnut Auxanne, avec celui qu'elle pensait être le fiancé puis le bruit de roues attirèrent son attention pour voir apparaitre sa nièce qui tomba nez à nez avec ce qui lui parut être un maure, du moins d'où elle était.

Quelques pas pour se rapprocher du petit groupe.


Bonjour. Auxanne comment allez-vous, cela fait longtemps. Bosk, mes félicitations à l'avance. Dame Abesse. Je vous présente Walan mon époux.

Ensuite elle expliquerait à mi-voix qui était qui.
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Auxanne
Perdu dans ses pensees Boskdeportkar l’était, revait il a sa promise qui tardait , au temps qu’il leur avait fallu pour enfin arriver devant cette cathedrale.
Auxanne fut finalement surprise quand il lui sauta dessus , lorsqu’elle eu remonter les marches.


Dame Auxanne, Marraine ! C'est grande joie que de vous savoir venue !
Vous etes resplendissante. Vous m'avez tant manqué !

Avez vous fait bon voyage ?


Vous n’etes pas mal non plus Monsieur le futur marié.
La route a été longue mais je vous avez promis d’etre a votre mariage il y a quelques annnees je crois… .


Lui dit elle moqueuse

Me ferez bien l'honneur de marcher à mes cotés en l'Eglise et de me mener jusqu'à l'Autel ?

Mais j’y compte bien ! je n’ai pas fait tout ce chemin pour m’assoir encore une fois au fond de l’assistance.

A peine eu t-elle prononce ses mots que Marie Alice les salua, accompagne d’un homme qu’elle presentat comme son epoux.
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Nikolai_jagellon
Nikolaï était tellement fatigué qu'il s'effondra dans le carrosse en face de sa sœur et se contenta acquiescer aux explications de la couturière.
Le cahot de la voiture le faisait souffrir, et ce chemin qui lui paraissait généralement court, semblait incroyablement long.

Lorsqu'ils arrivèrent sur le lieu du mariage, alors que sa sœur s'apprêtait à descendre, un homme arriva à leur rencontre. Méfiant face à son accoutrement, le blond posa sa main sur la dague placée dans sa botte droite...
Si cet homme osait un geste hostile envers sa sœur adorée, il n'hésiterait pas à lui transpercer le cœur ! Rien ni personne ne peut gâcher ce si beau jour pour Sofja, et par conséquent, son frère.
Bientôt, un homme sera présent à chaque instant dans le domaine, un exemple à suivre.

Se demandant si Elizabelle connaissait l'arrivant, il se tourna vers elle d'un air interrogatif. Seulement, la fatigue eu pour effet de lui faire avoir une allusion tout bonnement magique.
La demoiselle d'Irissarri se retrouvait là, vêtu d'une magnifique robe de mariée... Elle était encore plus belle qu'à l’accoutumée, sa taille fine et sa belle chevelure se trouvaient merveilleusement bien relevé par de nombreux bijoux finement ciselés. Ses yeux gris le fixait, souligné par un légé trait noir sur les paupière...

Le hennissement d'un des chevaux le ramena vite à la réalité... Se retournant vers la porte il fixa alors l'homme d'un œil méfiant, observant tout ses faits et gestes...
Elizabelle
Elizabelle était descendut à la suite de Nikolaï, précédent la mariée de peu. Elle était un peu génée par sa présence en ce lieu, ne se sentant pas à sa place parmis cette famille qu'elle ne connaissait qu'à travers leur commande à l'atelier. Et aussi à travers le temps passé en compagnie du frère de la Vicomtesse. Mais elle avait été conviée, elle devait donc faire bonne impression... Même si elle mit un point d'honneur à rester en retrait.

Un etranger à la peau colorée se présenta devant Sofja pour lui parler. L'Ange fronça un peu les sourcils. Il lui était arrivé de croiser des étarngers à l'atelier, mais elle ne s'attendait pas à en croiser un sur le parvis d'une cathédrale. Nikolaï s'interposa d'ailleurs pour protéger sa soeur. Il jeta un coup d'oeil vers elle, et inexpliquablement elle se sentit rougr jusqu'à la racine des cheveux. Ce qui était pour le moins inhabituel la concernant. Elle se pensait insensible à tout charme masculin après ce qu'elle avait enduré.

Détournant ses yeux gris, elle essaya de rassembler ses idées. Autant entrer tout de suite et ainsi s'effacer pour laisser la place à la famille. Après tout, elle n'était qu'une invité de dernière minute. Aussi elle se dirigea vers la Cathédrale et se glissa à l'intérieur pour se dissimuler dans l'ombre. Avec un peu de chance, on finirait par l'oublier dans un coin, et elle pourrait s'eclipser une fois la cérémonie terminée.

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Sofja
Plus les secondes passées plus une inquiétude s'installa en elle. Pourquoi la regardait-il comme ça ? Que lui voulait-il ? La présence de son frère à ses côtés la rassura car ce genre d'individu, on lui avait toujours dis que c'était des sauvages et qu’ils pouvaient être possédé par le mal. Elle lança des regards de détresse un peu partout puis prit son courage à deux mains. Elle n’allait pas rester ainsi indéfiniment et surtout lui laisser tous le champ libre pour lui faire du mal.

Messire, si vous n'avait rien à me dire, passez vostre chemin. Comme vous le voyez j'ai d'autres préoccupations et je compte bien les réaliser.

Aussitôt dit, aussitôt fait, Sofja attrapa le bras de son frère et le serra afin d'être sûr d'être bien accrochée et lui faire comprendre "Allons y vite avant qu'il nous tranche en milles morceaux".
Ils firent quelques pas, la jeune mariée retourna la tête, l'homme n'avait pas bougé et les regardait toujours. Des frissons lui parcourue le corps, elle déglutina difficilement. Mais le fait de voir sa moitié, sa famille et les invités de plus en plus prêt d'elle, la rassura énormément.

Il était tant que ce mariage commence, ils avaient déjà pris assez de retard.

Ah sa grande joie, car il fallait le reconnaitre, cela faisait de longues années qu’elle n’avait pas revu les membres de sa famille et surtout sa tante. Cette dernière avait quitté le Limousin et avait beaucoup de responsabilités tandis que Sofja n’avait jamais quitté le Limousin et vaquait à ses diverses occupations.
Lorsque son frère, Ilia, lui avait dit qu’il l’avait rencontré à l’ordre de la Licorne, une petite pointe de jalousie avait traversé son cœur car elle aurait eu aussi l’envie de la revoir. Mais elle savait bien qu’il y aurait d’autre occasion. Certes ce mariage mais aussi peut être lors de voyage lorsqu’elle aurait quitté l’armée qu’elle avait dû créer pour défendre le Comté.
Elle ne savait pas trop comment se comporter, comme une nièce qui retrouve sa tante ou comme une Damoiselle qui retrouve une Grande Dame ? Mais son sens de la famille prit le dessus, se retenant à tous contacts ne sachant pas trop si elle apprécierait.


Ma tante, je suis très heureuse de vous voir ici, j’espère que vostre voyage n’a pas été trop dur ?

Toujours son petit frère, au bras, qui lui n’avait pas plus de cinq ans la dernière fois qu’il l’avait vu, était le moment de lui présenter sa tante.

Nikolaï, voici ta tante Marie Alice. C’est la sœur de papa.
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Nikolai_jagellon
Lorsqu'il sentit le bras de sa sœur accroché au siens, il oublia alors l'homme et se concentra sur cette journée qui s'annonçait magnifique pour l'ensemble de la famille et des amis présents.
Un mariage, se n'était pas rien. Sofja avait passé beaucoup de temps à le préparer, veiller à son organisation...
Nikolaï était fier d'elle et se confortait dans son idée que toutes ses actions étaient fabuleusement bien réalisées. Le domaine était bien tenu, le projet de vignoble grandissait à vue d’œil, elle était maire d'une ville qu'elle faisait prospérer et où tout les habitants étaient satisfaits...

Alors qu'ils marchaient, ils s'arrêtèrent sur le parvis devant une splendide femme aux allures de grande Dame... Son premier réflexe fut alors d’incliner la tête avant que sa sœur lui apprenne qu'il s'agissait de sa tante.


Enchanté de vous rencontrer, Sofja m'a souvent parlée de vous. Hélas je ne me souviens plus vraiment vous avoir rencontré, étant encore jeune...
Boskdeportkar
[avant que le carosse de Sofja n'arrive]

Je discutais avec ma Marraine quand s'approcha la tante de Sofja que j'avais deja apercu notamment au college de la Noblesse il y a peu. Sofja m'en avait deja parlé avec grand respect, m'avouant qu'elles ne se connaissaient pas beaucoup, et que Sofja aurait aimé nouer plus de lien avec elle.

Je saluai donc cette Dame, qui demeurait porteuse de la mémoire des JAGELLON. Et la remerciai vivement pour les félicitations qu' elle m'apportait. Elle semblait bien connaitre Dame Auxanne, et nous presenta l'homme qui l'accompagnait comme son époux.

J'aurais aimé que ma famille , enfin le peu qu'il restait, puisse venir egalement, et j'enviais Sofja qui avait deux freres, une soeur, une tante donc, et peut etre des cousines egalement.
J'esperais avoir le temps de discuter avec la Tante de Sofja pour qu'elle me parle un peu de sa niece mais egalement des parents de Sofja, dont son père que je n'avais pas connu.
Peut etre qu'au repas de noces, l'atmosphere aidant, je pourrai en savoir plus. Nul doute qu'avec du sang JAGELLON, ce devait etre une personne de caractere et de qualité.

Il me semblait entendre les roues d'un carrosse marteler les pavés du parvis.
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