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[RP] Cathédrale de Limoges : Mariage d'Asarine & Balian

Valeryane
[Dans son bain]

Relaxation, respiration lente, la vapeur enveloppait le corps de la volcan, qui fermait les yeux par moment, mais tout ceci fut de courte durée, son mini-volcan arriva et blablablablabla, d'une rapidité qui rendit la mère pleine d'amour, dans un tournis de phrase et de mots, elle eu le temps de retenir collier..

Dans mon coffre il y a les émeraudes qu'un hum! heu! Un messire m'a offert en remerciement pour un grand service.

Elle allait pas lui dire que c'était un amant qui lui avait offert ce collier de pierre, c'est que la matriarche Llobregat avait comment dire son réseau
de connaissance, c'état bien entendu pendant son célibat, et sa séparation, car elle se tient fidèle.


Très bien ton chignon il est parfait j'aime beaucoup, par contre moi j'ai fait dans le voyant et je veux choquer pour une foi, comme ça on dira pas que c'est faaaaaaaaaade.

Elle envoya de la mousse vers sa fille, qui bien entendu esquiva, le temps de réagir pour répondre à autre chose, Margoulette poussa sa fille dehors, houlala! Melyna se vengera de cette action, et la porte se claqua sur une mini-volcan, qu'elle imaginait en rage mais rire de sa futur entreprise.

Rhooo! Margie tu es allé fort là. Tu sais que tu va payer cette action, hop! aide moi à sorti du bain, que je puisse enfin me préparer, sort moi mon corsage et mon jupon, ce sera ça de fait.

L'eau dégoulina sur le corps de la brune, elle s'enveloppa dans un linge
de lin, releva la lourde masse de cheveux noir, quand, on toqua à la porte..
.

M'man tu es prête ? Je ne veux pas arriver en retard !

Non entre je suis pas encore prête je sors a peine du bain, vient m'aider entre, faut que je me dépêche on va être en retard.

Elle enfila la robe très voyante qu'elle avait faite pour l'occasion, une air d’excentricité se faisait sentir ces dernier temps chez la volcan, elle avait envie, de pétillant, d'acidulé, de vitaminé, elle allait surement être encore critiqué, mais qu'importe, elle s'en tapait, aujourd'hui sa vie était joyeuse car deux amies qu'elle aimait, allaient s'unir enfin, après bien des tourments, Val était heureuse qu'enfin son ami Ballian, allait épouser
celle qui était depuis longtemps dans son coeur, ils allaient bien ensemble tout les deux et formaient un beau couple, elle était heureuse d'avoir préparé leur tenues.

Pendant sa rêvasse, la Margie serra le corsage et pas de main morte
cette femme avait une de ces forces.


Aieeeeeeeeee! Margie doucement tu m'as pincé.

Bah! m'enfin m'dame, aussi vous êtes pas bien épaisse, et je dois serrer sinon ça flotte dans le dos, j'dis pas devant ça remplis bien, mais derrière z'êtes faite étrangement n'empêche, y a un grand creux là.

Nameho! j'y crois pas la Margoulette qui critique mon corps, rhoo! Il y a plus de respect de nos jours pfff!


Nan! Mais t'a fini oui ? Hop! Fait moi le chignon et dit plus rien sur mon corps hein!

Enfin coiffé, d'un jolie chignon ou Margie avait accroché un chapeau à plume, elle se releva et enfila la Robe couleurs vitamine voilaaaaaa je suis prête, on peut partir à l'église et attendre la mariée
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Tugdual_de_joncheray
Le jeune Joncheray avait revêtu ses vêtements hospitaliers... Cela l'aiderait. En solitaire, il se rendait à la cathédrale de Limoges avec dans son sillon le seul écho des carillons qui retentissaient déjà. Commençant à connaitre la capitale de mieux en mieux, il bifurqua pour emprunter un chemin plus rapide, et surtout moins achalandé en cette journée chaude et ensoleillée, parfaite pour un mariage.

Arrivant au lieu de culte, il y trouva les portes ouvertes et quelques personnes qui se trouvaient sur le perron, des Montbazon-Navailles, évidemment, et il y en aurait bien davantage encore. Intérieurement Tugdual se demandait comment cette journée se passerait pour lui qui n'était pas nécessairement à l'aise ni dans les rassemblement familiaux ni dans les rassemblements tout simplement.

N'ayant pas trop le choix afin de ne pas paraître impoli, il alla néanmoins saluer son frère hospitaliers, Jehan, et ses cousins. Il entra ensuite dans la cathédrale qui avait été joliment égayée pour la cérémonie qui aurait lieu et s'assit, se mettant à prier après s'être signé.

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Celtic_de_vandimion
[Quelques semaines plus tot, Vicomté de Beaumont en Roure, Languedoc]

Dés que Roderick avait reçu l'invitation au mariage de son ami Balian, il avait fait battre le bransle bas.
Scapin, son valet et homme de main, avait secoué la maisonnée pour que les chevaux soient prêts et les tenues mises en malles.
Ils voyageraient en voiture, Une fois n'est pas coutume, les chevaux furent préparés en un temps éclair, quatre shires plus deux de secours.
Ils dormiraient dans les auberges, c'est avec une petite escorte armée de la garde du Roure que le couple gagnerait Limoges.


[A Limoges, la veille du mariage.]


Ma mie j'ai demandé a ce qu'un bain soit prêt a ton arrivée,
Scapin se chargera de nos tenues, nous trouverons bien une lingère dans l'auberge
.


Le celt se tut, ses pensées le menèrent de nombreuses années en arrière,

Quelque jours qu'il était arrivé a Saint liziers, venant de Guyenne ou il avait été placé par son père.
Il entra dans une boutique et discuta avec le commerçant qui se nommait... Balian
Ils sympathisèrent mais la vie est ce qu'elle est, faite de mouvements et de départs le Celt partit vers de nouveaux horizons;
C'est a paris que Roderick retrouva Balian, dans des circonstances qui seraient tues icelieu.

C'est la qu'il apprit que le Balian qu'il connaissait était un Monbazon Navailles famille que Roderick côtoyait, étant proche des deux cousines Alandrisse et feu Pénélope

Il prit un bain lui aussi et se prépara pour diner en compagnie de sa promise.

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Asarine
Le cœur a ses raisons que la raison ignore…
Blaise Pascal

[Dans une auberge, pas très loin de la Cathédrale...]

Depuis quelques jours, la nervosité était devenue la meilleure compagne de la brune. Plus les jours passaient, plus elle se sentait mal à l’aise. Non pas qu’elle doutait de ses sentiments envers son futur époux. Bien au contraire, elle n’avait jamais été aussi sûre de ceux-ci. En pardonnant, les douleurs qui l’habitaient encore il y a quelques mois avait fait place a un doux bonheur.

Elle ne s’était pas encore re-installée dans le « fief » des Montbazon-Navailles à Limoges, préférant la petite chambre d’auberge qu’elle louait depuis une petite éternité maintenant. Sa sœur jumelle lui ayant fait la joie de montrer sa jolie frimousse et de venir assister a son mariage, Asa lui avait tout naturellement laissé sa chambre, s’arrangeant avec l’aubergiste pour occuper la chambre mitoyenne. C’est donc assise dans un fauteuil, les yeux rivés sur sa magnifique robe de mariée étalée soigneusement sur le lit qu’elle passa une grande partie de sa dernière soirée de célibat. La brune repensait à la conversation qu’elle avait eu avec son futur époux, qui n’avait rien trouvé de mieux que parler de son état la veille de leur mariage…

Elle était consciente de la situation, et la dernière chose dont elle avait besoin à ce moment-là, c’était qu’on la lui rappelle. Asarine se leva, faisant les cent pas dans la petite chambre, elle pensait a Erabal, caressant doucement son ventre. Elle était sûre d’avoir pris la bonne décision pour elle, mais de moins en moins sure d’avoir pris la bonne pour l’enfant qu’elle portait. Bien placée pour savoir les ravages que l’illégitimité pouvait faire, elle soupira. Il était temps de se reposer…

Levée à l’aube, la brune commença à se préparer, tellement nerveuse qu’elle tenta pendant de longues minutes de nouer ses cheveux en chignons… A bout de nerfs à force d’essayer, elle abandonna. Elle descendit dans la salle commune de l’auberge et trouva sans mal le plus jeune fils du tenancier.

D’une voix douce, comme toujours, elle lui demanda de bien vouloir aller chercher sa nièce Victoire, accompagnant sa demande d’une pièce d’argent. Elle regarda le jeune homme détaler comme un lapin après lui avoir assuré qu’il ramènerait Victoire avant que le soleil soit haut.

Sourire aux lèvres, Asarine remonta vers sa chambre, s’arrêtant devant la chambre de sa sœur, elle frappa doucement à la porte, espérant que Justine serait déjà levée malgré l’heure extrêmement matinale.

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Naudeas
Languedoc.

Au fait, nous avons un mariage. Oups zut, ca c'était pas prévu au programme. Mais tant pis, elle irait quand même. Cette fois ca ne serait pas à cheval mais en carrosse aux armes de Beaumont en Roure. Ses affaires avaient été emballées sans mots dire. Le voyage fut tout de même agréable malgré la chaleur, regardant les paysages qui s'offraient devant leurs yeux. En ayant bien réfléchi, elle saurait au moins comment cela se passait, elle qui se dérobait la plupart du temps pour les mariages. Elle aurait une vision d'ensemble. Elle prit sa main et la porta à ses lèvres, comme elle aimait le faire. Ils voyaient à présent le monde avec leurs yeux, ce qui était fort étrange, c'est qu'ils se ressemblaient tant.

Limoges dans l'auberge

Ma mie j'ai demandé a ce qu'un bain soit prêt a ton arrivée,
Scapin se chargera de nos tenues, nous trouverons bien une lingère dans l'auberge.


Voilà qui ne serait pas pour lui déplaire. La poussière, la longueur du voyage, elle lui déposa un baiser alors qu'il était perdu dans ses pensées. Et partit prendre son bain, il avait même fait mener de la saponaire pour que le bain soit chaud et moussant. Des gouttes de lavande avaient été aussi mises subtilement pour relever tout ça. Elle savoura donc ce moment, après, elle savait qu'ils dîneraient ensembles. Elle se fit donc aider, oui, elle avait commencé à prendre cette habitude. Une fois parait d'une robe simple, ses cheveux lâchés avec une tresse qui avait été formé en couronne. Elle le rejoignit.

Bonsoir mon aimé !
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Nahysse
    « La conscience est à la fois scrupuleuse et hypocrite. Elle s'accuse, mais elle fuit devant la vérité, parce qu'elle veut ignorer la cause réelle de ses tourments. »
    de Henri René Lenormand


Et c’est bien là ce que fait celle de notre petite blonde. Etrange comme l’esprit humain peut réagir pour se défendre et survivre. Elle avait survécu aux fièvres, à une agression de brigands et même à une nuit de prison alors elle arriverait bien à surmonter cette épreuve-ci. Du moins, c’est ce qu’elle ne cessait de se répéter, jouant intérieurement les autruches et allant même jusqu’à la simple fantaisie d’oublier l’état dans lequel elle se trouvait, son contexte et ce que l’avenir promettait d’être. L’instant présent, elle ne l’avait jamais autant vécu que lorsqu’elle était enfant, entre deux fièvres. C’était un peu comme si son esprit s’était divisé en deux. Par moment elle se voyait comme de l’extérieur, en retrait. Une coquille vide qui bouge et agit et elle ne comprenait pas elle-même où elle allait. Mais c’était toujours un pas de plus en avant. Pour aller où ? Et c’est là qu’elle préférait ne pas trop inspecter.
Dans ces moments où toutes les interrogations et angoisses qu’une… qu’une… qu’une jeune femme dans sa situation, étaient en droit de se poser… C’était comme si elle perdait pieds et se noyait. Peur irrationnelle… ou pas, que seuls les bras d’Euzen apaisait mais encore combien de temps seraient-ils là pour elle ?
La petite blonde se sentait si seule qu’elle en venait à redouter chaque seconde qui la séparait de lui, de crainte, non pas de le perdre car elle ne savait trop bien que pour rien au monde il ne se déroberait à ce qu’il considérait comme être un devoir et une responsabilité, mais de crainte de voir une nouvelle lueur dans ses prunelles, une lueur nourrie de colère et de rancune. Ce regard qu’il avait quand il pensait au mariage de son père par exemple. Elle ne savait pas exactement ce qui coinçait… Elle n’était pas au courant de ses histoires de famille mais elle n’était pas dupe non plus.
Il était son seul soutien… Lui et sa cousine Victoire. Victoire était un vrai rayon de soleil dans le tumulte qui les agitait tous les deux.


- Vous êtes superbe.

Un sourire de remerciement et de satisfaction étira ses lèvres gourmandes. Elle ne put néanmoins pas se retenir de tirer discrètement sur le lacet de son corset en une vaine tentative de le resserrer. Mais il ne pouvait être plus serré sans risquer de nuire à sa santé. La petite baronne réprima une moue inquiète car oui elle était inquiète que sa silhouette ne les trahisse. Elle le ferait certainement un jour mais surtout pas aujourd’hui !
La robe qu’elle portait, un présent de son bel Euzen, était un savant mélange de soie et de taffetas, d’or et de bleu, soulignant l’azur de ses prunelles. Des robes telles que celle-ci, Euzen lui en avait offert un bon nombre. Nahysse lui en était d’autant plus reconnaissante qu’il savait sa passion pour les belles robes. C’étaient de délicates attentions qu’elle recevait avec grand plaisir.
Croisant les mains autour de son bras, la petite blonde se serra contre le bel Euzen, espérant ainsi lui insuffler tout le courage dont ils avaient besoin pour affronter cette journée. Elle le sentait tendu et préoccupé plus de raison. Après tout, c’était un événement heureux ?

Déjà les invités arrivaient. Le premier fut un jeune homme tout à fait agréable à regardé pour le plus grand plaisir de la petite blonde. Un cousin d’Euzen semblait-il. Décidément la famille Montbazon-Navailles recelait autant de cousins que pouvait bien en avoir la Plantagenet.


- Baronne… ?

Dans un froncement de sourcils, elle se demanda d’où il pouvait bien déjà la connaître…

- Je ne crois pas avoir le plaisir de vous connaître, messire…

Oui, c’était admettre son ignorance mais la petite baronne s’en serait souvenu si elle avait connu un cousin d’Euzen, d’autant plus s’il était séduisant. Sur ce arriva Flora puis Malone, deux autres cousines qu’elle salua d’un sourire timide.
Et alors que d’autres encore arrivaient et entraient directement dans la cathédrale, la nervosité de la petite blonde grandissait. Ses mains devenaient moites. Aujourd’hui, elle occupait une certaine place en restant au bras d’Euzen tandis que personne en dehors de Victoire ne le savait. Jusqu’ici rien n’avait été officiel… Et l’officialité lui faisait peur. Le sourire aux lèvres, elle s’efforçait pourtant de ne point montrer le mal aise grandissant en elle.

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Victoire.
    "Les retentissantes couleurs
    Dont tu parsèmes tes toilettes
    Jettent dans l'esprit des poètes
    L'image d'un ballet de fleurs."

    Baudelaire


[....]

[A l'Auberge]

Soulagement. Un espèce de noeud qui s'était formé au milieu de ses entrailles se désagrégea soudain, laissant place à une agréable sensation lorsque LA robe fut livrée. Aussitôt ajustée, corsetée, lacée et sa chevelure tressée elle avoua aisément que la couturière avait réalisé une pure merveille.

A l'église le ballet des arrivées avait sans doute débuté, elle suivit d'abord le chemin de l'auberge pour y rejoindre sa tante. Paradoxalement aujourd'hui elle laissait le temps s'étirer en longueur et ne se pressait pas, sans témoin on ne se mariait pas, mais hors de question de souiller sa tenue ou d'y faire un faux pli.

Tu es là ?

Avant qu'on ne l'invite à entrer elle poussa la porte et s'avança vers la future mariée.

Mais tu n'est pas prête encore ? Au pire tu seras en retard, ils t'attendront ! Tout ira bien ne t'inquiète donc pas, mais presse-toi malgré tout.

Les mots étaient espiègles, le baiser déposé au passage sur la joue de sa tante ne l’était pas moins. Son regard se fit plus doux, tout en gardant la lueur d'amusement qui y brillait. En fait elle ignorait si tout irait bien, mais il fallait la rassurer pour éviter la moindre catastrophe, une mariée qui ne tient pas sur ses jambes et tout de suite l'entrée dans l'église est un fiasco.

Louison va t'aider, en deux deux tu seras enfin prête.

Et d'accomplir un tournoiement sur elle-même avant de passer autour du poignet de sa tante un magnifique bracelet de perles.


Tu seras bien plus jolie avec cela, ne me remercie pas nous n'avons pas le temps.
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Mon prénom a une histoire et ne m'a pas été donné par hasard !
Jehanraphael
Ses azures se posent sur la baronne et il lui sourit poliment.

Mes excuses, je suis Jehan-Raphael Hardryan Devirieux de Montbazon-Navailles. Frère de Victoire et cousin direct d'Euzen. Mais en général l'on m'appelle Jehan.

Présentations faites à la jolie blonde, le jeune homme fait face au flot de cousines, cousins etc... qui arrive. Des bonjour de circonstance, quelques formules de politesse, il ne s'attarde pas trop.
Il surveille du coin de l'oeil Malone qui ne semble pas l'avoir remarqué plus que cela. Il tente de ne pas montrer sa déception en faisant mine d'observer les alentours, comme s'il cherchait quelqu'un.

Il avise alors le fiancé de sa soeur et le salut chaleureusement, avant de le voir entrer dans la cathédrale. Il se demande s'il ne va pas en faire autant d'ailleurs...
Ambre..
Ambre arriva, tenant sa jumelle par la main, discrète pour une fois, ne sachant pas trop comment se comporter. À la fois elle voulait fuir et être là. Mais on l'avait un peu obligée, alors, elle devait venir. Mais elle en voulait à Balian, son père, et aussi à Euzen. Encore plus à Euzen.

Les jumelles s'avancèrent en direction de leur père. Conscientes à présent que leur mère n'avait pas été invitée. Et profondément déçues de cette méchanceté familiale.



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Rackam
Le Barbu s' habille prestement, il n'a jamais été très coquet et préfère le confortable a l'apparat , il sourit a la " crevette" qui s'admire devant le grand miroir ...

mais oui tu es parfaite .... ça donne envie de te croquer , tu est passée de la "crevette" a la "langouste" ...

Il regarde par la fenêtre qui donne sur la grande place de la cathédrale ou déjà les attelages se succèdent déversant leurs pleins de belles robes et de gentilshommes.

Il est temps d'aller rejoindre Noëllie, elle est dans sa chambre , nous irons ensemble a l'église enfin si elle le veut ... avec Jakles et Flora qui nous attendent en bas ...

Le barbu offre son bras a Ruthy et ils vont frapper a la porte de No .... toc toc .....
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Melyna.
[ Encore et toujours à l'auberge ]

Pas encore prête ! Mais tu le fais exprès ma parole ! Mue autant par l'excitation que l’exaspération Mely pénétra dans la chambre maternelle.
Le baquet était encore empli d'eau et Val en corset était en train de se glisser dans une robe dont la richesse des teintes changeaient du rouge qu'elle portait tout le temps.

Ne me dis pas que tu as passé autant de temps dans ton bain. La brune secoua la tête et parti à rire.
Tu vas te retrouver avec des branchies un de ces jours ! Puis plaçant ses mains de chaque coté de ses joues elle effectua un petit mouvement , tout en ouvrant et fermant la bouche tel un poisson.

Puis comme Margou finissait de lacer la robe, elle continua a persécuter son amour de mère.
Et puis gaffe hein, te transforme pas en sirène, ça sent la morue ces bestioles là !

Riant toute seule de ses propres âneries, Mely tentait comme elle pouvait d'évacuer une certaine tension et l'humour était souvent chez elle une seconde nature.

Bon allez assied toi, qu'on s'occupe de ta tignasse. Tirant la langue a Val, elle obligea plus ou moins cette dernière à prendre place, puis armé d'un peigne, elle donna un coup de main à la Margoulette pour coiffer la Volcan et lança négligemment Tu n'auras pas quelques épingles dans une de tes poches Margou ? C'est que c'est pratique les p.. épingles...

Elle pouvait toujours la prendre pour une folle, rirait bien qui rirait le dernier tiens.

Le chef d’œuvre capillaire achevé, Mely pressa sa mère.

Hummm tu es aussi belle qu'un ... Ben je sais pas aussi belle que quoi mais tu es magnifique !

Elle lui prit la main, et la tira vers la porte.

Allez vient cette fois, on va arrivait les dernières autrement et je compte bien me rincer l’œil et admirer les tournures de tout ce beau monde.
Inutile de dire que c'était surtout les hommes qui l’intéressaient, voire même un en particulier.
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Celtic_de_vandimion
Bonsoir mon aimé

Elle arrivait, magnifique dans une robe toute simple, elle ne cessait de surprendre le Celt.
Il se leva et s'approcha de la porte pour lui prendre la main et la conduire a la table ou Scapin écartait un fauteuil afin qu'elle puisse s'assoir.

Roderick avait réussi a trouver un petit appartement, probablement la chambre réservée aux invités de valeur (sonnante et trébuchante)
un allègement supplémentaire de la bourse et l'aubergiste promis un diner princier ou plutôt vicomtal servi dans l'appartement loué.

Depuis qu'ils s'étaient trouvés, Roderick avait repris gout aux partages, petites attentions, regards appuyés et parfois furtifs qui font le quotidien des amoureux.
Il était resté seul longtemps et avait complétement oublié ces détails.
Il le redécouvrait avec grand plaisir.

Les plats arrivèrent et furent directement servis par un Scapin qui se voulait discret...

A la fin du repas l'homme de main de Roderick fit desservir et se rendit dans ses quartiers.

Roderick regarda sa douce et, heureux...


Ce voyage fut un rêve mon ange; j’espère que nous partagerons ce rêve ad vitam aeternam.
Prions le très haut de nous avoir conduit l'un vers l'autre
mais peut être devrions nous nous reposer car demain la journée sera longue.



[Le Jour de la cérémonie]

Roderick, réveillé de bonne heure, avait, après un solide déjeuner trouvé les deux tenues de cérémonie déposées chacune sur un fauteuil.
Un rapide nettoyage et il commença a s'habiller, braies grises bas blanc, poulaines noires, chainse blanche en lin, revêtu d'un pourpoint a crevés de la même teinte de gris que les braies
De fins gants de peaux complétaient le tableaux.
Il passa une fine espada de cour qu'il laisserai a la garde de Scapin pendant la cérémonie et recouvrit le tout d'une ample et légère cape en lin écru brodée a ses armes, portée a l'anglaise sur l'épaule gauche, bras gauche et épée masquées par la cape. ses cheveux disciplinés rangés sous une toque et Roderick attendit sa belle.

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Naudeas
Le soir dans les appartements auberge prévu à cet effet.

Le repas fut agréable, simple mais copieux, peut être trop pour un soir, elle qui avait pour habitude d'un pain maïsé. Elle aimait regarder les différentes expressions qui venaient souvent poindre sur son visage. Elle avait un visage serein, elle qui avait tendance à voyager seule, mais ce soir de début juillet ou ils s'étaient déclarés l'un à l'autre, le soir ou il avait toute la journée eut si peur. Mais c'était avant de longues veillées à échanger sur différents sujets, ils s'étaient rendus compte qu'ils aimaient les mêmes choses, qu'ils avaient les mêmes passions et les mêmes envies. Est ce ça les âmes soeurs ? Elle se plaisait à fortement le croire.

Ce voyage fut un rêve mon ange; j’espère que nous partagerons ce rêve ad vitam aeternam.
Prions le très haut de nous avoir conduit l'un vers l'autre
mais peut être devrions nous nous reposer car demain la journée sera longue.


Il le fut même si j'aurais préféré être sur mon frison. Ce rêve se vit maintenant et il durera à jamais.
Je Le remercie chaque jour, du bonheur que tu m'apportes. Et Le remercierait chaque jour qu'il fait.
Il vint prendre sa main pour la mener vers leurs appartements.

Le jour J.

Elle s'était réveillée quand les premiers soleils venaient darder ses premiers rayons. Ca n'était pas tant le soleil qui l'avait réveillée mais son refuge qu'elle avait perdu. Chaque nuit blottit l'un contre l'autre, elle avait hâte du jour, ou ils seraient à jamais réunis devant le Très Haut. Aujourd'hui, pour la première fois de sa vie, elle prendrait la cérémonie au sérieux, chose qui même lors de son séminaire avait été un fiasco total. Elle se prépara comme à son habitude, une robe siégeait, ces vêtements à lui n'étaient plus, il avait sans doute du déjà s’apprêter. L'aide de la veille était revenue, une éponge pour la nettoyer, puis vint le moment de la préparer. Une robe grise avec des brocards blancs sur le bustier surement pour rappeler la sienne, sans fioriture, sans chichi, ca n'était point pour elle. Quand à ses cheveux, ils avaient été tressés, retenus par un lien blanc, elle n'aimait pas les chignons compliqués. Une essence de fleur de rose pour venir compléter le rester et elle était parée.

Elle descendit les marches qui menaient dans la grande salle, il était là. Elle s'arrêta en haut de l'escalier pour admirer son tendre aimé, en effet savamment accordé dans les tenues, elle ne put qu'esquisser un sourire et vint le rejoindre en lui déposant un doux baiser.


Bonjour mon amour, je ne t'ai point fait trop attendre, j'espère.
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Noëllie
Elle était enfin de retour à Limoges et cette fois toute la petite troupe était au complet.

Ambre s'était un peu faite prier pour assister au mariage de son père... A l'annonce de celui ci, quelques semaines plus tôt, quand il avait fallu expliquer pourquoi le séjour à Lodève serait si court, la fillette avait demandé :

- "avec qui il se marie ?"

Noëllie avait été surprise que la fille de Balian, son propre enfant, ignore ses projets de mariage...
Lui si proche d'elles depuis ces dernières années... ne l'avait pas mise dans la confidence, Euzen son cher frère non plus...
Enfin... Ce n'était pas ses affaires.

La vie à Lodève avait été douce et tranquille, mère et filles s'étaient découvertes et avaient adoré le temps passé ensemble à se câliner, raconter des histoires, explorer le domaine, faire la connaissance de ses gens et des lodèvois.
Les semaines avaient passé trop vite et déjà il avait fallu reprendre la route.

Noëllie était satisfaite. Sa promesse était tenue, personne ne pourrait lui reprocher de ne pas avoir respecté son engagement.
Les filles étaient à nouveau dans la maison familiale et Noëllie était rentrée à l'auberge où elle devait retrouver ses amis, Rack et Ruthy, qui avaient fait le déplacement pour assister à la cérémonie.
Quand Rack lui avait mis son invitation sous le nez, Noëllie avait éclaté de rire en lui faisant remarquer qu'elle n'en n'avait pas reçue Ils avaient plaisanté à ce sujet, décidant qu'elle irait quand même, car il ne lui fallait pas de permission pour assister à une célébration, les églises étant ouvertes à tous.
Et puis elle voulait voir ça.
Le mariage de Balian avec Asarine. Après moult péripéties, il allait enfin réussir à lui passer la bague au doigt.
Assise sur son lit, en tenue légère, Noëllie regardait son annulaire gauche. Il resterait vierge de toute attache et elle en remerciait le ciel.

Elle ne pouvait pourtant pas s'empêcher de songer aux circonstances qui avaient menées à l'annulation de ses noces presque dix ans plus tôt.
Elle exécrait la noblesse condescendante dans laquelle ils baignaient tous. Elle pensait à Ambre qui avait évité de justesse une immersion totale dans ce monde froid et arrogant. Bâtarde certes, le sang "bleu" de son père qui coulait dans ses veines était mêlé au rouge vif de celui de sa mère.

Donc l'heure était venue. Elle enfila la toilette conçue pour l'occasion sur les modèles destinés à Ambre et Rose...
Le bustier noir ceignait sa taille fine et faisait pigeonner sa poitrine généreuse, la jupe mordorée tombait joliment sur ses hanches rondes et dissimulait le bout de ses escarpins.
La toilette était sobre, quelques fleurs d'or brodées sur le bustier et courant le long de la jupe rehaussaient l'ensemble sombre, ainsi qu'une étole de soie cuivrée qu'elle avait négligemment jeté sur ses épaules.

Une fine chaine brillait autour de son cou, au bout de laquelle une goutte d'ambre se nichait à la naissance de ses seins ; un peigne retenait ses cheveux sur un coté de sa tête, dévoilant une oreille au lobe percé d'or.

Un dernier regard dans le miroir avant de descendre retrouver Rack et Ruthy... Dorian serait il au mariage ? Elle en doutait... Elle griffonna rapidement un mot l'invitant à l'y rejoindre... Il était bel homme, il serait flatteur de paraître à son bras.

Toc Toc Toc !
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Un sourire, un p'tit baiser et la vie est tellement plus belle !

Valeryane
[Sortie de l'auberge enfin et arrivée à la Cathedrale]

Je t'en foutrait de la syrène moi, tellement excité du mariage qu'on maltraité une mère, aimante, douce, si angélique, enfin presque, mais ou elle allait chercher de telle comparaison.

Je t'en foutrait moi de la morue, nameho! Tu va voir la syrène ce qu'elle va te faire hein!

Petit énervement volcanique ? Non juste une taquinerie, mais avec les yeux " volcan au regard qui mord en coin"

Mais non on sera pas en retard, c'est toujours très long les mariages je te dis.

Je m'occupe de ta tignace ? aie ! aie ! J'ai peur ! Et que je te tire la mèche d'un coté et de l'autre, et que je te tresse, aieee! quelle délicatesse avait sa fille, entre la Margie et Mely la pauvre Volcan était bonne pour un mal de trogne.

Mais doucement oh! j'suis pas un mouton qu'on tond pour faire de la laine, un peu de délicatesse s'il vous plait, une qui me torture avec le corsage, l'autre qui me tire les cheveux.

L'oeil se plissa, et un grognement se fit entendre pendant la coiffure, en plus la respiration était pas évidente dans la robe de soie voyante à souhait, la tignasse était remise en place, d'un chignon et de boucles laissaient à l'air libre, comme elle le désirait, c'est enfin qu'elle se leva
et se regarda dans le miroir.


C'est parfait nous pouvons y aller

Les deux se retrouvèrent en route pour la cathédrale ou déjà surement quelque invités devaient être en place, et Hop! si tôt dit si tôt fait que les deux brune était sur la route de la Cathédrale, et Val avait le souvenir
de ses amis, elle était vraiment heureuse pour tout les deux, une belle vie allait commencer pour eux, elle avait été fière de leur faire les tenues, et cette nouvelle de mariage l'avait ravie, par contre de venir en Limousin, lui fit un peu mal, quelque souvenirs désagréable, elle repensa du coup à son propre mariage, un vrai fiasco d'hypocrisie, enfin elle aurait préféré que quelqu'un lui dise la vérité, mais bon chose faite on ne regrette pas enfin si un peu quand même, elle regarda sa fille et se demandait si un jour, elle connaîtrait le bonheur, c'était une autre histoire ça, tant mieux aussi car elle voulait surtout pas être grand mère trop tôt, elle voulait profiter de son n'amoureux à elle.

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