Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, 4   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Coëtlogon : choisissez votre canasson!

Anastriana
principes et règles du RP

Le personnage que vous jouez vient pour acheter un cheval, pour tout usage, ou pour faire soigner le sien, ou mettre son vieux compagnon de route à la retraite dans les champs libres du rohannais.
Il peut aussi venir pour faire dresser un cheval acheté ailleurs, pour n'importe quelle utilisation.
Il peut également venir pour acheter ou faire réparer des pièces d'équipement, quelles qu'elles soient.

La seule chose que je demande, c'est de ne pas venir en disant "bonjour je voudrais un frison". Les noms des races modernes n'existaient pas au moyen-âge. Préférez plutôt dire "bonjour je voudrais un de ces petits chevaux noirs venant de la lointaine Frise, dans le nord de la Hollande."
Mais quelques races, dites à l'heure actuelle "baroques", existaient déjà plus ou moins telles qu'elles sont encore aujourd'hui, je vais les développer.

Je vous résume rapidement les possibilités.

Au moyen-âge, on séparait les chevaux en catégorie.

Pour la guerre et les tournois, on utilisait un destrier, cheval extrèmement cher. Son caractère lorsqu'il est élevé pour la guerre est violent, il est dressé pour le combat. Il mord, il tape, il exécute des figures actuellement utilisées en dressage de haute école pour livrer bataille à l'adversaire et se défendre, il est ombrageux, c'est un étalon au caractère peu sympathique, mais qui vous sauve la vie sur un champs de bataille.
Au moyen-âge, on utilisait, selon si l'on était dans la cavalerie lourde ou légère, des "great horses" (le shire actuel), des chevaux germaniques (le lipizzan moderne), des arabes, ou des hispaniques (Andalous ou Lusitaniens modernes) élevés dans le sud de l'espagne, de plus en plus prisés à l'époque où l'on joue, et effectivement souvent des petits trapus de frise (le frison tant convoité).
Néanmoins, j'aime aussi utiliser le principe que nous jouons dans une uchronie et que le plaisir du joueur est prioritaire. Vous pouvez donc venir en demandant un petit cheval provençal (un camarguais moderne quoi) ou toute autre chose, du moment que vous ne venez pas avec votre marionnette en demandant un apaloosa, tout est possible, tant que c'est cohérent.

Pour la guerre également, et la chasse à courre, on utilisait un coursier. Hispaniques, arabes, plutôt légers et endurants, ce sont les chevaux les plus utilisés, un peu moins cher, mais tout aussi braves, rapides, et sûrs, c'est ce que logiquement vous demanderez de façon générale.

Pour la parade, et sachant marcher à l'amble, allure rapide et d'un confort absolu, on utilisait un palefroi, cheval aussi onéreux qu'un destrier, vraiment fait pour l'apparat, les défilés, les cérémonies. C'est une monture prestigieuse, que votre personnage peut s'amuser à utiliser pour toute occasion, sauf la guerre.

Pour les femmes montant généralement en amazone, elles utilisaient la haquenée, qui va également à l'amble. Ce sont souvent des chevaux issus d'Angleterre.

Pour tout ce qui est utilisation comme cheval de bât, cheval de trait, on utilisait un sommier, qui pouvait souvent être une mûle, ou un âne, ou autre. Pour le genre, il y a l'embarras du choix, vous pouvez demander un gros blond breton (le cob ou postier breton moderne), un cheval du perche (le percheron, le perche allant environ de la frontière de l'alençonnais à celle du maine, pour situer) et tout un tas d'autres origines.


Et enfin, le cheval basique, polyvalent, mais sans réelle grande valeur, le cheval du "pauvre" chevalier, c'est le roncin, utilisé pour l'entrainement des chevaliers, par exemple. C'est celui que logiquement, la plupart des gens ont, s'ils ne sont pas très riches.

J'ajouterai un dernier élément, le "poulnet". C'est ainsi que l'on appelait les poneys au moyen-âge, découverts en France principalement pendant la guerre de cent ans contre les anglais. La Grande Bretagne et l'Irlande étant déjà à l'époque des producteurs de "poulnets". Dans les races modernes, parlons d'un welsh (plutot type cob), d'un dartoor/exmoor, du shetland et du highland écossais, du new forest (très ancien, race résolument parfaite pour être cohérent en RP), etc, etc, etc... De toute façon le principe sera toujours de demander en RP, un poulnet ou un cheval issu de telle ou telle région, et non le nom d'une race moderne.
Ainsi, vous pouvez venir avec votre marionette pour choisir un petit poulnet pour un de ses enfants.

Bon jeu à tous!
(je réserve ce premier post du RP aux règles, pour l'éditer selon les besoins, tout le reste sera RP, si vous souhaitez jouer un PNJ travaillant sur le domaine, n'hésitez pas à me contacter par MP, si vous souhaitez que votre personnage lui même travaille sur le domaine, c'est tout à fait possible, dans ce cas là faites le écrire en RP à Ana.)
Anastriana
Coëtlogon.
Ses vergers.
Ses prairies.
Sa forêt du Logon.
Son petit château.
Ses écuries.
Et l'élevage de la duchesse du rohannais, commencé lorsqu'elle se fit anoblir sur ces mêmes terres, comme seigneur. Un élevage qu'elle développe depuis plus de vingt ans, fournissant depuis, la couronne grand ducale, mais aussi beaucoup de riches propriétaires bourgeois, ou bien encore la noblesse bretonne, ou étrangère, mais également les armées bretonnes, quelles qu'elles soient.
Un travail de sélection rigoureux, qui produit désormais des modèles aux allures remarquables, à la morphologie prestigieuse, au caractère adapté à leur utilisation. Issus de souches locales ou étrangères, elle n'hésite pas à importer du monde entier, des animaux rares, mais dont le sang lui parait intéressant.

Les visiteurs, sont reçus au château, soit par Elim, son fils aîné, intendant officiel des écuries et de l'élevage, soit par elle, si elle s'y trouve. Beaucoup de personnes travaillent pour l'élevage, c'est une fourmilière, fournissant du travail à beaucoup de personnes dans le domaine du rohannais.
Entre les écuries à nettoyer, les chevaux à soigner, les clôtures à entretenir, les poulains dont il faut s'occuper du printemps jusqu'à leur sevrage à l'automne. Mais aussi ceux qu'il faut dresser et préparer pour la vente, les malades qui sont amenés par leur propriétaire et qu'il faut soigner, etc, etc... L'activité ne manque jamais sur le domaine.

Autour de l'élevage, on entend que le bruit des fers sur quelques pavés, le marteau qui s'abat sur les clous des chevaux au ferrage, le hennissement des poulinères qui rappellent à elles leur progéniture trop éloignée, la réponse des étalons, qui enfermés dans leur stalle, râclent le sol de leur sabot, et frappent les portes pour exprimer leur frustration. On peut également entendre le bruit des hommes au travail, leurs conversations se mêlant aux autres bruits, les forgerons et les bourreliers riant avec les palefreniers, le tout formant la mélodie propre à l'élevage, si familière à l'oreille d'Ana.

Les écuries entourent la cour du château, tandis qu'autour, on ne voit que des prés à perte de vue, avant la forêt profonde. Les parcelles sont découpées selon les chevaux qui les occupent. Les poulinières étant à l'opposé des pâtures des étalons, lâchés régulièrement afin de les laisser se détendre en liberté.
Les jeunes poulains sont quant à eux réuni en harde, et vivent en semi-liberté, comme cela se fait habituellement. Ils apprennent la vie entre eux, parfois se battent, parfois meurent de maladie, ou de leurs blessures, Ana laisse faire la nature, la laisse choisir les éléments les plus solides. Une fois par an, ils sont réunis, marqués au fer, et les plus âgés sont sortis de la harde pour être dressés.

C'est dans ce contexte, que vous arrivez au domaine.

_________________
Lallie_ap_maelweg
Un équipage léger frappé aux armes de Poudouvre et d'Ouessant défilait sur les routes de terres cernées de part et d'autre par de vertes prairies et pâturages. Le regard de la Duchesse n'en perdait pas une miette, elle aimait cette nature où l'homme est si peu présent. Puis les tourelles du château de sa Conseur du Rohannais furent visibles et un messager à cheval se détacha du convoi pour faire annoncer l'arrivée imminente de sa maîtresse.

Le messager passa la cours, encerclées par les écuries, son nez fut saisit par l'odeur de foin et de bête. Il mit quelques minutes à s'adapter à cette odeur bien plus concentrée qu'à Dinan où sa maîtresse ne faisait pas délevage et où les écuries se situaient dans une aile plus éloignée.

Il confia son cheval à un palefrenier puis avisa ce qu'il prenait pour une servante.


- Fais savoir à ta Maîtresse que la Duchesse de Poudouvre est en route, qu'elle sera là très bientôt et qu'elle souhaiterai s'entretenir avec elle.
_________________
Aigneas
Lucien Ginsburg de Coëtlogon.
Oui oui, ce sera son nom.

Et il faut qu'il soit noble, élégant, et brun, très très important la couleur.
Oui car Pelotine n'y connait fichtrement rien en canassons, mais Ana lui a promis qu'il serait possible de trouver ce qu'il convient.

Jamais elle n'a eu un cheval à elle.
Il fallait immédiatement combler ce manque.

[Coëtlogon.]

Ladra n'était pas au courant de son escapade, il dormait encore lorsque Pelotine était partie, discrète en compagnie d'Eldon toujours.
Elle lui prendrait à lui aussi, une monture, digne du corbeau.

Lorsqu'elle fut arrivé à destination, la jeune femme demanda à Eldon de faire ralentir son cheval.
Le couple ducal Ouessant/Poudouvre était présent, froncement de nez pour la Dame de Concoret qui s'attendait à tout sauf à cela.

Geste rapide de la main pour faire comprendre au cavalier de faire le tour rapidement, ils trouveraient bien quelqu'un à aborder, un peu plus loin.
Une fois éloignés, la cadence ralentie puis cesse, les bottes de cuir blanc se pose au sol.
Les grisailles de Pelotine observe, elle interpelle une personne qui semble, comme toutes les autres, très occupées à travailler.

Excusez moi ! oui.. euh..

Oui bon, la brunette avait toujours eu une petite voix, faible et cassée, ces voix qu'on oublie pas, mais que malheureusement on n'entend pas non plus !

Toussotement.


Oui ! vous.. là..

Bon..

OoOoh ! Demat ! je cherche la duchesse.. je suis Pelotine ap Maëlweg.

Il a l'air de l'avoir remarqué, c'est deja une bonne chose, ne reste plus qu'a attendre.
_________________
Anastriana
Ou comment les personnes qui ne devraient pas se croiser, se croisent!

[de l'arrivée de Lallie]

La jeune Fantine, travaille sur le domaine depuis quelques mois. Elle aide ici et là, tous les corps de métier présents à Coëtlogon. Elle connait bien les lieux, sont père travaille depuis bien des années comme bourrelier pour la duchesse.
Elle traverse la cour, quand un homme, un visiteur de toute évidence, l'arrête et s'adresse à elle.

Elle sourit avec politesse au messager, et incline la tête.


"Fort bien messire, j'y vais de ce pas, Sa Grâce votre maitresse sera reçue au salon du château, la duchesse du rohannais est présente ce jour à Coëtlogon, elle la recevra donc en personne. Je m'en vais prévenir ma maitresse, je vous laisse informer la votre."

Nouveau sourire avant de fléchir poliment les genoux pour prendre congé de l'homme, et se dépêcher de trouver la duchesse, qui peut être... Un peu partout sur le domaine. Néanmoins, étant donné l'heure, sans doute est-elle au manège de travail, à encadrer le dressage des poulains. Elle court, s'essouffle, et entend de loin une voix colérique facilement reconnaissable.

"Tu vas me le casser en deux! C'est un poulain, pas un morceau de bois, à le plier comme ça son dos va être foutu, donne lui du lest, imbécile!"

De toute évidence, elle est bien là. Fantine rentre discrètement, et murmure à l'oreille de sa maitresse...

"La duchesse de Poudouvre arrive, je vous prépare une collation au salon."

La duchesse lui adresse un sourire de remerciements, tandis que la jeune servante a déjà fait demi-tour pour courir au château.
Ana demande à ses cavaliers de descendre.


"Terminé pour aujourd'hui, descendez, retirer les selles, et marchez les dans la rivière quelques minutes. Bouchonnez les biens, ils ont piqué une bonne suée aujourd'hui. Je dois m'absenter au château."

Et la duchesse quitte le manège pour rentrer au château, et sourit, ravie de recevoir Lallie, qu'elle n'a pas vue depuis quelques semaines.

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

[de l'arrivée de Pelotine]

Gobrien, c'est le jardinier de Coëtlogon. Il faut bien un jardinier, pour rendre les lieux agréable. Après tout, le domaine, c'est un peu la vitrine phare de la duchesse du rohannais, les visiteurs, les acheteurs, venaient en nombre ici, et Gobrien était en charge de composer des parterres de fleurs aux couleurs magnifiques, et d'entretenir les haies. Seulement, dans une écurie où sont élevés des herbivores qui s'attaquent avec leurs dents, à tout ce qui peut passer sous leur bouche, ce n'est guère évident. Et Gobrien doit souvent hurler parce qu'un écuyer peu attentif laisse un cheval tendre son long cou pour goûter à ce qui l'entoure!

Pour l'heure, Gobrien taille une haie, justement, qui la veille a été piétinée par un jeune poulain qui ayant mis à terre son cavalier, s'est enfui dans le domaine, et a mis en vrac cette pauvre bande de végétaux qui n'a rien demandé à personne. La vie est cruelle envers les jardiniers des écuries.

Une jeune femme, plutôt bien habillée, de sombre, clairement une visiteuse, s'adresse, d'une voix timide, à lui. Il cesse de donner des coups de taille dans la haie, et lui sourit, dévoilant une rangée de dents aussi noires que les habits de Pelotine...


"B'en l'demat ma bonne dame! Pour sûr qu'la duchesse est là, faut qu'vous voyez au château, vous diront où c'quelle est! Mais j'pense b'en qu'elle est là-bas!"

Il montre le manège d'entrainement un peu plus loin.

"On l'entend d'puis c'matin qui gueule! Alors doit b'en être par là!"
_________________
Lallie_ap_maelweg
Le messager était revenu prévenir sa Maîtresse qui approchait à bonne allure du domaine. Quand cette dernière fut dans la cour, elle descendit de la voiture, aider par le coche. Elle portait comme à son habitude une robe de camocas rouge aux motifs d'oiseaux bleus et or et un hénin assorti. Aussi loin que remonte son souvenir, elle n'était jamais venue à Coëtlogon, elle découvrait les lieux pour la première fois avec un certain émerveillement. Elle avait toujours beaucoup aimé les chevaux, compagnons de guerre, de chasse, de labeur ou simplement de ballade.

On lui dit que la maitresse des lieux la rejoindrait dans le petit salon, aussi ne se fit-elle pas prier pour s'y rendre. Durant le court périple de la cour jusqu'audit salon, elle ne manqua pas d'inspecter tentures et mobiliers, toujours curieuse et avide d'une bonne idée pour meubler et décorer son propre intérieur. C'était somme toute une préoccupation bien futile, une préoccupation de nobles certains diraient.

La voilà donc qui était assise sur une chaise, la collation avait été apportée, elle attendait donc qu'Ana la retrouve.

_________________
Airina
Airina avait entendu, un soir en taverne, parler du domaine du rohannais qui appartenait à la duchesse hmmm...elle avait oublié le nom mais avait bien retenu le nom du domaine où l'on pouvait acheter des chevaux.
Moui elle avait envie d'un cheval la ratoune. Pourquoi ? Car elle s'ennuyait et s'ennuyait lors de son temps libre..Un cheval lui aurait permis de s'évader loin de tout ce tumulte des villages et villageois.

Malheureusement elle ne savait pas trop comment elle allait régler l'achat ...primo fallait qu'elle se renseigne si il y en avait à bas prix évitant tout de même les poulnets trop petits à son goût ou un cheval de trait trop lourd pour galoper. Un minimum requis pour pouvoir au moins galoper correctement.
Deuxio en parler à Tad Niark...hiiii et là c'était plus compliqué.

Un matin lorsque le padre s'absenta, elle arnacha la charette et partit en laissant un petit mot sur la table de la cuisine pour qu'il ne s'inquiète pas de son absence.
Le trajet dura toute la matinée pour enfin apercevoir le domaine. 'fin, elle ne l'avait pas trouvé par hasard, pas si maline la fille, sinon ça se saurait.
Elle avait demandé à un paysan du coin où il se trouvait exactement. Elle n'en était pas loin...

Elle fit avancer le vieux canasson lentement, hésitante d'entrer en charette dans ce domaine qui impressionnait par sa beauté.
Allait-elle être reçue ou pas ....vu la dégaine générale elle en doutait mais ça ne coutait rien d'essayer, elle s'était tout de même vêtue d'une belle robe pour ...pour ...pour être présentable diantre !! Elle n'allait tout de même pas mettre la honte à son paternel !!

_________________


~Ratoune de son tad Niark ~ Normande for ever~ Cul et chemise avec sa fidèle Kristall~
Aigneas
Allez voir au château, seule phrase à retenir.
Un coup d'oeil vers Eldon, il avait entendu lui aussi.

La Pelote remonte sur le cheval de son ami, à l'arrière, et non en amazone.


Et bien allons par la bas.

Une fois vers le manège d'entrainement, aucune trace d'Ana.
Sans doute fait elle des allées et retour, le domaine était si vaste, le temps d'attendre de toute façon, l'ancienne baronne était bien occupée à observer les chevaux, lequel serait le sien ? parviendrait elle à le monter seule ? Jamais cela ne lui était arrivé, elle avait toujours auprès d'elle quelqu'un d'autre pour le diriger.
Passagère éternelle, il faudrait aussi lui apprendre à monter.

_________________
Madennig
[Plus tôt]
Mady qui aimait sa famille par dessus tout, regretter de ne pas voir son grand frère Elim. En effet celui-ci passait plus de temps a Coëtlogon a s'occuper du grand élevage sur les terres de sa mère, chevaux dont la qualité n'était plus a démontrer. De plus, elle n'y avait encore jamais mit les pieds car bien trop jeune pour voyager qu'on lui avait répliquer...mouais, c'est pas comme si elle était revenue en Bretagne toute seule et elle y avait survécus malgré deux mauvaises rencontre. Enfin bref, c'était décider, elle irait voir si elle pouvait le voir travailler. Même pas pour l'embetter mais juste pour observer après tout, les chevaux c'est un peu le dada de la famille alors autant s'y intéresser. C'est qu'a table on se sent vite exclue de ne rien y connaitre quoi. C'est donc ainsi que la jeune demoiselle arriva très tôt dans la matinée à Coëtlogon.

[Coëtlogon]

Toujours suivit comme son ombre par un garde du corps...ben oui figurez vous que mère avait peur pour l'un de ses oiseaux. Celui-ci connaissant les lieux Mady se laissa guider comme une touriste visitant les lieux prenant bien soin de ne déranger personne. C'est qu'elle avait croiser un jardinier qui pester contre un cavalier et que son poulain avait abimer son beau travail. Bien sur il ronchonner tout seul mais c'est qu'il semblait être bien absorbé par son travail. Finalement, Mady avait échouer au manège d'entrainement ne perdant rien du spectacle écoutant les commentaires discret de son garde quand il pouvait en placer une entre deux réprimande de sa mère sur l'entrainement. Bien sur elle s'était présenter a sa mère ne la dérangeant pas dans son travail, assise dans un coin observant les poulain même après le départ de sa mère surement pour un rendez-vous.

C'est ainsi qu'elle vit apparaitre dans l'encadrement de la porte a coté de laquelle elle était assise, une dame qu'elle ne pensait pas déjà avoir rencontrer qui semblait autant intéresser par les chevaux qu'elle. Polie comme toujours et pour ne pas l'effrayer celle-ci ne semblant pas la voir, Mady toussota discrètement avant de la saluer.


Demat dame, messire ! Vous aussi vous aimez ces animaux ?

Ben quoi, faut bien faire un peu de rencontre de temps en temps. Mady 13 ans, brune au yeux marron teintés d'or est toujours souriante et aimable qualité qui fait souvent défaut dans certain lieu.
_________________
Elim
[Tandis qu'Ana reçoit la duchesse de Poudouvre, et que Madennig occupe Pelotine, Elim accueille Airina]

Je travaillais à Coëtlogon depuis quelques années. Fidèle à sa réputation de mère un peu particulière, Ana m'avait fait faire tous les corps de métier présent sur le domaine, avant de m'en confier la gestion. Ma maternelle est ainsi, elle veut que ses enfants expérimentent tout, pour avoir une vision globale et humanisante, de tout projet.
Bien sûr cette façon de voir les choses l'avait conduit il y a bien des années, à me faire d'abord suivre une troupe de gitans sur les routes, alors que je n'avais que six ans, à la mort de papa, puis ensuite m'a fait intégrer une armée de mercenaire, à sept ans, armée dans laquelle j'ai littéralement été élevé... Le principe, s'il est discutable, avait malgré tout fait de moi ce que j'étais, à savoir, un homme, polyvalent, prêt à s'adapter à tout.

Une chose nous réunit définitivement ma mère et moi, c'est l'amour des chevaux. Un animal dont la noblesse n'était clairement plus à démontrer. J'ai souvent vu, sur les champs de bataille, des chevaux plus braves et courageux que leur cavalier, filer droit entre les piques ennemies, et sauver de bien des façons leurs imprudents propriétaires. Moi-même, je dois mon existence au premier cheval de ma mère, le célèbre Morvac'h, qui lui sauva la vie, au prix de la sienne, le jour même de ma naissance. Une telle aventure, figea sans doute en moi, cette passion qui coule définitivement dans mon sang.

Ce jour là, je donnais des consignes à quelques commis, chargés de réparer des clôtures longeant la forêt au nord. La veille, les deux ans s'était échappé par une brèche. Non seulement, les retrouver et les ramener, avait été quelque peu compliqué, mais en plus, l'un d'eux s'était sérieusement blessé en jouant avec ses congénères. Sans doute avait-il posé son pied dans un terrier, toujours est-il que sa boiterie n'augurait rien de bon pour son avenir...

Tandis que je discutais donc, j'observais au loin, les éventuelles arrivées sur le domaine. Une, deux, trois personnes... Il était temps que j'aille aider Ana. Elle ne pouvait pas accueillir tout le monde en même temps. Je laissai mes deux hommes à leur labeur, et je me dirigeai vers le château. Une petite brise se lèva, et toutes les feuilles des peupliers du domaine se mirent à chanter à l'unisson. Ils ceignent le pourtour des terres, protégeant ainsi du vent efficacement, les locataires à quatre pattes qui y paissent paisiblement. Enfin à quatre jambes! Maman me répète depuis que je suis mome, que les chevaux ont des jambes, et non des pattes. Subtilité noble? Peu importe!

Donc tout à mes pensées sur les chevaux qui ont des jambes, j'accueillai une jeune femme, juchée sur un vieil animal, dont la retraite approchait sans doute. Peut-être venait-elle chercher un successaire à la bête?
Je la saluai en souriant, en continuant à avancer vers.


Bien le demat damoiselle! Elim de Walsh-Montfort, intendant du domaine. Que puis-je faire pour vous?
_________________
Airina
Alors qu'elle s'avançait tout en regardant autour d'elle comme une gamine devant un royaume enchanté, elle aperçut une jeune personne qui progressait vers elle. Houla c'était qui ? Le gardien ? Non !!! Pas vêtu comme il l'était !!
Elle tira sur les rênes pour stopper la demie bourrique qui servait de cheval de trait. Radinerie de son père çà !! Toujours aller à l'économie il avait acheté pour quelques piécettes symboliques cette vieille jument refusant qu'on la lui offre. Bref..
Revenons au domaine pour se redresser à la vue de ce jeune homme qui venait l'accueillir. Petit ajustement de son corsage, remettre en ordre des mèches un peu rebelles et la voilà tout sourire face à l'homme qui se présenta comme l'intendant du lieu. Son nom un peu compliqué pour ses oreilles fut vite oublié par la normande. Un peu troublée la brunette.
Elle répondit par un large sourire à sa présentation et en fit de même en prenant un petit air hautain très nobliot pas trop crédible pour une normande.

Demat sire !!! Airina deuh...deuh.....

Et là ça coince que dire.. que dire... fallait trouver un nom qui sonne bien...celui de papounet oui oui ...il n'en saurait rien

Airina de Ratspoutine de Vannes et de ...non c'est tout. Je venais pour m'informer sur les chevaux sire...seriez-vous bien aimable de me conduire auprès du propriétaire du domaine?
_________________


~Ratoune de son tad Niark ~ Normande for ever~ Cul et chemise avec sa fidèle Kristall~
Eldon
la monture d'Eldon plus si jeune que ça tourna la tête dans sa direction pour le regarder d'un oeil inquiet lorsque Pelotine monta derrière lui.

Eldon regarda sa jument et haussa des sourcils :

" Je sais je sais, mais bon tu peux bien m'aider non ? elle serait prête à monter sur mon dos ... et tu sais comme j'en suis incapable ma belle"

La jument émit un bruit qui le fit sourire, tellement de complicité entre eux depuis tout ce temps, toute cette route... toues ces aventures...

" Je sais, elle devrait faire un régime, mais merci "

La Jument se mit en chemin dans la direction voulu sans rechigner davantage
_________________
Aigneas
Sursaut.
Une jeune fille, ou jeune femme plutôt, s'approche d'eux.


Bonjour jeune fille.
Oui...euh.. nous aimons les animaux en effet, mais nous sommes surtout ici pour en acheter, c'est bien possible non ?


Détaillant la personne face à elle, elle en avait presque oublié de se présenter.

Pelotine ap Maëlweg, Dame de Concoret.
_________________
Madennig
Arf, la demoiselle avait fait de son mieux pour ne pas faire sursauter la visiteuse hey ben c'était raté. Manquerait-elle encore de pratique ? peut-être qui sait, il faudrait qu'elle demande à mère. La demoiselle se lève et s'incline devant la dame pour la saluer avec respect après tout, une personne noble mérite ce genre de salut et Mady le fait toujours même avec mère et père...qui lui reproche assez souvent en faite.

C'est un honneur de vous rencontrez dame, je suis Madennig de Walsh-Montfort !

Puis elle lui sourit aimablement.


Il est bien sur possible d'acheter des chevaux en ce lieu. Vous avez raté mère...enfin je veux dire sa grâce la duchesse du Rohannais de peu, elle vient de regagner le château. Voulez-vous que je vous conduise ?
_________________
Aigneas
La fille d'Ana ? Rien que ça... quelle honte, Pelotine n'avait même pas songé qu'il puisse s'agir de Madennig.
L'approche se fait donc plus douce, plus aimable.


C'est un honneur pour moi aussi Madenning de Walsh-Montfort !

Sourires échangés.

Eldon va rester ici, si vous pouvez effectivement me conduire à votre mère, je serais ravie de vous suivre.
J'espère ne pas la déranger, mais j'ai grande hâte de la revoir.

_________________
See the RP information <<   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)