Elinaa
[Petit matin dans la ville de Bayeux]
A peine l'aube s'était elle levée que déjà dans les rues les premiers courageux s'affairaient à leurs tâches, ils étaient peu nombreux allant vers la mine ou bien au verger et circulaient sur les artères principales, parmi les habitants se glissèrent deux étrangers avançant d'un pas pressés sur l'avenue Tibix encore déserte.
Ils s'arrêtent devant une porte, le numéro 5 ; quelques murmures plus tard deux hommes entrent rapidement dans la vieille bâtisse délabrée. On parle puis on hausse le ton et on crie, un bruit sourd, quelques pots qui se brisent puis c'est le silence. Les deux hommes ressortent aussi discrètement que possible avec un lourd sac et s'enfournent dans les ruelles encore sombres rapidement.
La porte de la maisonnée est encore entrouverte. La table est renversée, une chaise et des pots cassés jonchent le sol. Les braises sont encore chaudes dans l'âtre mais les lieux sont déserts, nulle autre âme vivante que trois ou quatre araignées dans un coin ...
[édité pour le titre]
A peine l'aube s'était elle levée que déjà dans les rues les premiers courageux s'affairaient à leurs tâches, ils étaient peu nombreux allant vers la mine ou bien au verger et circulaient sur les artères principales, parmi les habitants se glissèrent deux étrangers avançant d'un pas pressés sur l'avenue Tibix encore déserte.
Ils s'arrêtent devant une porte, le numéro 5 ; quelques murmures plus tard deux hommes entrent rapidement dans la vieille bâtisse délabrée. On parle puis on hausse le ton et on crie, un bruit sourd, quelques pots qui se brisent puis c'est le silence. Les deux hommes ressortent aussi discrètement que possible avec un lourd sac et s'enfournent dans les ruelles encore sombres rapidement.
La porte de la maisonnée est encore entrouverte. La table est renversée, une chaise et des pots cassés jonchent le sol. Les braises sont encore chaudes dans l'âtre mais les lieux sont déserts, nulle autre âme vivante que trois ou quatre araignées dans un coin ...
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