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[RP] A La Belle ÉToiLe ConSteLLée !!!

Balgaroth
Balga ne continuait de ne pas croire à ce qu'il se produisait en ce moment : Acera n'était plus là, leur enfant, né d'un amour si fort, n'était plus là non plus. Les deux êtres pour qui il ressentait le plus d'amour étaient tout deux partis ...
Il n'arrivait toujours pas a l'admettre ...

Estoile fit soudain la plus belle chose qui soit : elle le prit dans ses bras, le berçant tendrement et se mit a lui parler de la plus douce des voix. Elle avait raison : elle décrivit très bien se qu'il ressentait à ce moment précis, le sentiment de sentir son coeur et son âme en lambeaux, de ne plus être qu'une moitié de lui même ...

Le jeune homme referma sa main sur celle de son amie et la serra doucement, il ne se sentait pas la force de parler mais la remercia d'une pression.
Puis Estoile lui prit le bras et l'aida a se relever, elle lui parla mais il n'écoutait déjà plus.
Elle l'emmena dans sa chambre et retira des pierres chaudes du lit qui semblait alors si accueillant. Ils se glissèrent donc tout deux sous l'édredon, se rassurant l'un l'autre de la présence d'un ami qui partageait une peine semblable.
Balga lui saisi les mains et lui dit :


Acera et moi, c'était vraiment fort. Même quand nous n'étions pas encore ensemble, j'avais l'impression que ce que je faisait avait vraiment de l'importance pour quelqu'un. Pour la première fois de ma vie j'ai eu l'impression de servir à quelque chose pour au moins une personne. A ce moment je doutais de moi, je sentais que mon existence était inutile pour les autres et que même ce que j'apportais par mon élevage ne servait à rien.
Mais Acera m'a apporté une véritable motivation, quand elle était présente je voulais absolument prouver ma valeur, prouver que je n'étais pas un minable. Quand elle était là, je voulais devenir quelqu'un de bien, quelqu'un en qui on pouvait avoir confiance et qui était toujours présent dans les coups dur comme dans les moments de joie ...
Mais quand elle a disparu pendant de longues semaines, j'ai perdu toute cette motivation qui était présente. J'avais a nouveaux l'impression d'être le garçon inutile que j'étais à l'époque, le jeune dont personne n'a besoin ...
Maintenant qu'elle n'est plus là, à quoi bon continuer. Je ne suis plus capable d'apporter quoi que ce soit a ma ville. Alors je serais oublié comme je l'étais avant, ça ne fait aucun doute. Bien sûr, je sais que vous serez toujours là, toi, Rica, Rwan, Mac, Manue, ceux qui comptent vraiment à mes yeux et que j'aime de tout mon coeur, mais pour les autres je ne serais plus rien ... Tout ce que j'étais est mort à présent, à quoi bon continuer à ce bercer d'illusions ...


Balga n'était plus qu'une relique de ce qu'il était autrefois, ce qu'il était avant il y a deux jours. Une nouvelle vie s'ouvrait, une vie sans Acera, une vie où il n'était plus rien.
Il remonta la couette vers son menton et se mit a grelotter malgré la chaleur du lit. C'était plus difficile de vivre a présent.
Estoile
EStoile se peletonna contre le dos de Balga pour lui donner plus de chaleur et jouant avec ses cheveux dorés lui dit alors :

Tu sais Balga justement ... c’est de pouvoir ressentir toutes ces émotions là qui est magnifique ... même si au bout du compte on perd à jamais la personne qu’on aime le plus au monde , et je le sais et le conçois c'est abominable car vraiment très difficile à vivre …... mais maintenant qu'Acera n’est plus il te faut retenir cela :

.... que c’est grâce à l’amour qu’il vous a été donné de vivre que tu as trouvé et dévellopé en toi des milliers de parties de toi dont tu n’avais pas encore co-naissance et ces parties là existeront à jamais en toi maintenant ... car aussi Acera de par son amour pour toi t’a fait le cadeau immence de te révéler à toi-même … entend et comprend bien cela .

Je sais que maintenant il va te falloir apprendre à vivre sans cet appui précieux , et c'est pour cela que tu ressens que tu n'es plus rien ... car ces parties là de toi , de vous , tu les crois parties à jamais avec elle .... mais non Balga , c'est ta douleur qui les masque ... ces merveilleuses révélations de toi même sont toujours en toi et le seront pour toujours et à jamais ... il suffit juste de le savoir pour le comprendre et on en reparlera autant de fois que tu exprimeras ce besoin là dans tes moments d'incertitudes et de doutes dévastateurs .

Sache aussi et je te le redis encore cette nuit , nous sommes là nous tes amis pour t’aider à être au mieux dans cette voie là et petit à petit tu vas re-naitre ... alors un autre Balga plus fort verra le jour .

Aussi .... Balga rassure toi , tout le monde t’aime bien dans cette ville et tu vaux beaucoup pour chacun de nous, donc ouiiiii il faut continuer à vivre ,meme si cela t’est difficile ... car nous , nous ne voulons pas te perdre et meme nous comptons sur toi chaque jour ... soit bien conscient de cela ... tu apportes tant à chacun de nous ... ton amitié , ta grandeur d'âme est si importante à nos yeux et surtout dans notre coeur .


Balga se retourna , la regardant et EStoile se mit à sourire :

...... Ah je vois l’ébauche d’un sourire affleurer à ton visage , je t’adore mon Balga ... viens donc dans mes bras que je te fasse un gros calin d’amitié …

Ainsi ils restèrent un moment l’un contre l’autre à apprécier l’instant d’amitié qui les unissait ici et maintenant dans l'instant présent et .... c'est de grande fatigue dans l’heure avancée de la nuit qu'ils s’endormirent d’épuisement de trop d’émotions dites et vécues aussi intensément …

L’amitié c’était aussi cela , savoir réconforter l’autre dans de si difficiles passes que la vie mettait en travers de votre chemin .

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Balgaroth
Alors qu'il était encore en train de se perdre dans de sombres pensées, Balgaroth sentit quelque chose dans son dos, et quelque chose sur sa poitrine.
C'était Estoile qui s'était blotti contre lui et surtout qui venait de l'enlacer tendrement.
Il ferma les yeux, c'était agréable. Il se sentait en sécurité dans les bras de son amie, comme jamais il ne s'était sentit protéger.

Au fur et a mesure qu'elle lui parlait, le jeune homme resta dans la position où il se trouvait, appréciant à sa juste valeur la présence d'Estoile contre lui.
Il pris quand même une de ses fines mains et la blotti contre lui, la caressant doucement entre ses grands mains de boucher.
Elle avait raison sur toute la ligne, c'est exactement ce qu'il ressentait.
Et quand elle lui dit qu'ils étaient tous là pour porter sa croix avec lui, et qu'ils l'aimaient, le jeune homme la crut, au plus profond de lui même il crut a à ce qu'elle venait de lui dire.


Je t’adore mon Balga ... viens donc dans mes bras que je te fasse un gros câlin d’amitié …

Elle lui tendit alors grand les bras et le jeune homme s'y précipita, de grandes larmes de reconnaissance dans les yeux. Il se blotti alors contre elle, lui caressant les cheveux, la regardant et appréciant sa présence encore et encore. Le fait qu'il aille mieux, c'était principalement grâce a elle qu'il le devait. Il ne l'oublierais jamais.

Alors qu'ils étaient tout proches, Balga remarqua quelque chose en son amie qui lui fit l'effet d'une brise glacée : elle semblait désespérée ... En étant proche d'elle ainsi, il ressentit en lui même que ce n'était pas entièrement du a sa tristesse de la disparition d'Acera, il y avait quelque chose d'autre, de plus ... personnel.
Le jeune homme la regarda alors dans les yeux, avec une étrange tendresse dans le regard. Il tendit la main et la posa sur la joue de son amie et la caressa doucement

- Estoile, ma si chère amie. Je ne saurais jamais te remercier de tout ce que tu as fait pour moi, de ton soutient total, de l'amour que tu m'a toujours apporté du fond de ton coeur. Je te dois tellement. Sache que je t'aime énormément et que tout ça m'a fait vraiment chaud au coeur, c'était tellement important pour moi merci pour tout.
Mais je sais aussi ce que tu as vécu mon amie, je sais aussi que tu vis la même chose que ce que j'avais il y a quelques semaines. Ne garde pas tout pour toi ma belle Estoile, je suis aussi là pour toi, pour t'aider, je ferais tout pour toi.
Tu es une personne importante pour moi et chère a mon coeur, j'aimerais tant soulager la douleur que tu caches en toi. Laisse là s'exprimer, je suis là pour toi.


Il se rapprocha d'elle et déposa un petit baiser pourtant très tendre sur le front d'Estoile et passa sa main sur son visage pour lui signifier que cette fois c'était lui qui voulait l'aider et qui était là exclusivement pour elle.
Rwandralle
Le tavernier commençait à en avoir assez. Déjà qu'il était étranglé par les taxes, que les bagarres détruisaient son auberge tous les deux jours, que la bière n'était plus ce qu'elle était, que le marché était en pleine inflation, et que ces ptits gens d'nos banlieux qui....enfin bref. Sur sa longue liste de récrimination à la face du monde s'ajoutait la présence d'un Chauve alcoolique qui l'empêchait de fermer. Il était très très tard, même pour un tavernier aguerri comme lui, et en plus ce damné soiffard buvait à crédit sur l'ordre de sa patronne qui semblait avoir un faible pour lui.

Mais là, il avait sommeil !

Il avait déjà tenté toutes les méthodes pour le faire sortir: la violence pure qui s'était conclut à son désaventage (c'est costaud un Chauve s'accrochant à son tonnelet), la ruse en hurlant qu'il y avait dehors des tonneaux volants (mais le poivrot lui avait expliqué qu'il y en avait déjà suffisamment qui tournait autour de lui en ce même moment), et même l'apât du gain en lui proposant de l'or pour s'en aller. Rien n'y faisait. Et pas question de fermer les portes avec un énerguméne pareil à l'intérieur.

Le tavernier poussa un long soupir. Et soudain, alors que le client réclamait un nouveau fût lui vint une idée comme seuls les membres de sa congrégation peuvent en avoir.

Hélàs messire, je n'ai plus une goutte de calva en cave. Vous m'avez tout bu
QUOIIIIIIIII ? Mais c'est affreux ! Je ne recommenderai pas ton auberge à mes amis !


Et d'un pas très digne bien que chaloupé Rwan quitta les lieux après deux tentatives infructueuses pour trouver la porte.

Dehors, il faisait nuit. Donc noir. En fait, on y voyait comme dans l'cul d'un....enfin il faisait très très noir. Bien de trop pour qu'il retrouve sa maison. Bien sûr les chopes XXXXL lui montraient le chemin, mais quelque chose dans son instinct lui disait de ne pas se fier à elles.

Il se dirigea vers la plus proche maison qu'il parvint par une miracle d'Aristote très probablement à identifier comme celle de son amie Estoile. Pas question de tambouriner à la porte, ça pourrai la réveiller. D'autant plus qu'elle hébergeait son frangin ou tout comme Balga. Donc, silence et discrétion.

C'est donc tout à fait silencieusement qu'il alla chercher un énorme tonneau. Et c'est très discrétement qu'il prit son élan, et fonça vers la porte en tenant devant lui le tonneau tenu comme un bélier.

VLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM

Plus de porte.

Le Chauve se releva de la neige où son exploit l'avait propulsé, contempla stupidement les reliques de la porte et pénétra dans la demeure. Il ne lui restait plus qu'à trouver un lit. Et il faisait toujours aussi noir...
Estoile
Balga je te remercie de ta confiance et de ton immense amitié ; si tu le veux bien , nous continuerons cete conversation une autre fois car nous devons nous reposer maintenant , nous sommes chacun si épuisés .... bien sû , qu'il est vrai qu'OPhi me manque à chaque instant du jour et de la nuit car qui plus est, je n'ai aucune nouvelle de son état et je crains le pire ... mais bon , ainsi va la vie et je dis l'accepter en priant chaque jour qu'Arsitote lui soit d'un grand réconfort .

Balga , mon petit Balga , il nous faut dormir à présent , bonne nuit Balga et repose toi bien.


Elle lui déposa aussi un bisou d'amitié sur le front et il s'emdormirent du sommeil du juste en tout bien , tout honneur.



...................... MAIS .............. car il ya souvent un mais ...... ils ne dormirent que peu de temps car EStoile fût réveillée en sursaut par un bruit strident venat de l'étage en dessous .... que se passet-il se dit-elle ???.... Elle s'habilla et descendit quatre à quatre l'escalier en bois de chêne , la porte était ouverte et Rwan gisait carrément dasn l'entrée ; elle referma d'abord le pen de la porte u ce qu'il en restait pour préserver sa chaume du froid galcial et dit :


................RWAN .... QUE SE passe -t-il encore ???

Elle alla à son encontre pour le relever , il etait bien aviné d'allieurs et surtout le il fallait le faire assoir dasn le fauteuil fait de roseaux entrelassés et toujours placé près de le cheminée.

Des braises tès peu incandescentes se mourant dans l'âtre , rougeoyaient encore d'un sembalnt de feu éphémère . Elleattisa le tout et ajouta une buche à l'ensemble car elle grelottait les pieds nus sur les careaux de pierre ; puis elle attendit patiemment les bras croisés qu'il reprenne ses esprits et qu'il s'explique de sa venue en sa maison.

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Rwandralle
Aouch

Rwan se réveilla en sursaut. Il avait sentit un choc lui ébranler la machoire et par reflexe avait porté le bras devant son visage. Devant lui se dressait, autant que pouvaient le voir ses yeux embués de fatigue et d'alcool, une Estoile furieuse. Mais qu'est ce qu'elle fichait chez lui ? Et surtout, pourquoi elle l'avait baffé ? Il n'avait rien fait pour une fois !

Sa tête lui faisait un mal de chien et il devait se retenir de ne pas vomir. Malheureusement cela l'empêchait égalemment de répondre à la diaconesse. Reprenant légérement ses esprits, il constata avant tout qu'on avait osé changer le dallage de sa maison ! Et la cheminée ! Et on avait tout nettoyé ! S'il parvenait à mettre la main sur le coupable de cet odieux forfait il lui ferai avaler sa serpillère.

Mais Estoile n'avait pas l'air de vouloir se calmer


Bonsoir estoile. Parle pas trop fort gn'ai mal au crâne. L'est quelle heure ? Et tu gn'fais quoi chez moi ?
Estoile
Citation:
Bonsoir estoile. Parle pas trop fort gn'ai mal au crâne. L'est quelle heure ? Et tu gn'fais quoi chez moi ?


En entendant ces mots prononcés d'une toute petite voix comme presque venue d'outre tombe; EStoile se dit que quelque chose ne tournait pas bien rond et devenait des carrés qui s'entrechequaient à merveilles dans la caboche bien amoché du chauve Rwandralle .

Elle eut pitié de lui et sa surprise-colère d'avoir été réveillée en pleine nuit l'emporta sur sa bonté légendaire :


....... Mon pauvre Rwan , tu es encore dans un sale état , t'inquiète je vais t'aider à avoir plus chaud surtout et à dormir autrement que couché parterre dans la travée de ma pièce cummune..... tiens avant tout boit donc ça :


Après lui avoir fait doucement avaler un breuvage-calva bien étrange car mélangé à de subtiles herbes digestives et anti-maux de tête , elle lui mis un coussin sou la tête et le recouvra d'un tissu épais pour qu'il s eréchauffe , d'ailleurs le feu nourrit de bûches emplissait l'âtre d'une jolie lumière et ainsi réchauffait doucement la pièce.

EStoile y pris des pières chauffées , il lui en fallait plusieurs qu'elle déposa dans un panier ; elle monta celui-là à l'étage .....là , elle alla ouvrir la chambre d'amis et elle déposa les pierres dans chacun des deux lits de cette pièce .
En ressortant de la chambre , ele vit un Balga encore ensomeillé se tenir au chambranle de la porte de sa chambre à elle et OPhi.


....... ahh mon Balga , ça tombe bien , j'ai besoin de toi ,n'as-tu pas entendu du barouf en bas , un grand bruit stident retentir ???.... c'est Rwan complètement sou qui vient d'arriver à la maison.... .....

s'il te plait mon ange , viens m'aider à le monter dans un des deux lits de la chambre d'amis , il a vraiment besoin d'être couché au chaud.


Ce faisant il resdecendirent ensemble l'escalier , ficelèrent le Rwan qui ronflait déjà d'un sommeil réparateur , ayant auparavant pris soin de l'enrouler dans l'épais tissus et de le ficeler avec des cordes de chanvre afin de le porter plus aisément dans les combles amménagés en chambres d'ami(e)s.

Ils le déposèrent dasn un des lits et EStoile souraint à Balga dit d'unevoix très douce :



...... Dis mon Balga ,tu veux bien continuer à dormir dans l'autre lit à coté de lui car vu son état , je préfèrerais que tu sois là à l'araisonner s'il venait à se réveiller activement ; qui plus est j'ai sommeil car je dois être en forme pour la messe de noel que je dois préparé demain.


Balga très gentiment s'exécuta , il fit in bisou sur la joue d'EStoile puis alla se coucher tel un automate qui n epose pas de questions , aux coté de Rwan dans l'autre lit .

EStoile leur fit un bisous sur le front de chacun avant de s'en retourner dans son lit à elle et seule
...............merci mon Balga , tu es un ange , merci beaucoup de ton aide si précieuse en tout , lui chuchotta -t-elle tendrement à son oreille.

Elle prit le soin de biein refermer la porta et alla derechef se recoucher espérant de plus avoir ainsi un sommiel aussi troublé. Il faut dire qu'en ce moment la vie n'était pas simple à Bayuex car çs mouvait dasn tousle sens .... la Noel rendant les gens nerveux .... ele repensa au duel et se perdit dasn ses pensées quant Morphée l'invita à la suivre vers d'autres contrées plus ccueillantes et oh combienrassurantes . La Belle EStoile enfin se reposait vraiment.
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Estoile
............... plusieurs jours plus tard .................. !

En provenance de l' Abbaye Juaye-Mondaye Mutti apporta un parchemin à EStoile .... qui se dit que peut-être ?????? ..... elle eut tôt fait de lire que des larmes innondèrent ses yeux et des spasmes parcourèrent tout son corps , mais comme pour exorciser sa douleur et ce terrible son mal être qui s'emparait d'elle plus avidemment et lui était intolérable , elle coucha sur ces simples mots à son intention :

Citation:
OPhi , Mon tendre et si Grand Amour ,

Tu ne liras jamais cette lettre , car tu ne reviendras plus ici ..... lentement le souffle de ta vie s'en ait allé de toi pour aller se propager vers d'autres ailleurs , pour continuer sa route vers des cieux plus cléments s'ils en est .

EStoile ton aimée , ta douce , n'oubliera jamais , tout ce que tu fûs pour elle... déjà avant qu'elle ne soit convaincue que tu ne disparaisses à jamais , elle était si triste quand elle t'évoquait auprès de ces ami(e)s , là il lui faudra même ne plus en parler ... ses pleurs se mêlent aux mots qui emplissent tous ces maux d'un désespoir incomensurable .... elle t'avait déjà dit qu'aucun autre que toi elle n'aimerait car votre amour était éternel ... déjà avant que tu n'entres dans sa vie et la choisisse , elle avait eu du mal à rencontrer qui que ce soit ; maintenant elle sait bien que cela ne sert plus à rien !

Tout ceci ne l'empêchera pas de continuer sa route , EStoile est une pacifiste , une volontaire aussi ... mais c'est bien de OPhi qu'elle est amoureuse et même si le temps effacera peu à peu le sillage de leur si bel amour , cet amour si absolu qu'ils avaient tous les deux voulu construire à jamais et pour toujours , pour toute l'éternité .

Je t'aime OPhi et où que tu sois je t'aimerais Toujours , je scruterais le ciel tous les soirs pour apercevoir la scintillance de ta constellation qui n'a plus sa raison d'être ici bas et qui telle est son destion s'en retourne éclairer d'autres galaxies.

Je te remercie pour tout mon Amour , c'était tellement merveilleux de te connaitre et d'ainsi t'aimer que j'en ai en a les yeux noyés de larmes épaisses qui roulent sur mes joues en pleine détresse accumulée.

Au revoir , mon coeur , mon amour , mon Tout , mon prince , mon Roy ... va ton chemin car quelque part je sais que tu es là aussi même si c'est bien plus loin .... consevoir le contraire m'est bien impossible !

Au revoir mon AMOUR ... je t'embrasse de tout mon coeur de tout ce que je suis et de tout ce que tu m'as permis d'être ... au .... re....voir ..... mon ......................Aaaa ....mourrrrrrrrrrrrrr !!!


Ton EStoile , ta Luce divina sulla Sua strada ( une/ta divine lumière qui éclaire ton chemin)


Chancelante , Estoile alla se mettre dans son fauteuil à bascule près de la cheminée , se couvrit d'un édredon et repensa à lui , à leur amour partagé , à tous leurs si doux moments passés ................ plus rien ne voulait plus rien dire ....... qui plus est la missive signifait que l'enterrement d'OPhi aurait lieu en l' abbaye car il était intransportable mais qu'ele y était conviée si elle le désirait ......................................
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Valentiane
Ne sachant ni que faire ni comment venir en aide à sa douce amie dans la douleur qui la frappait, Val se dit que sa présence peut être lui serait agréable...
Elle fit préparer des fruits confits et autres friandises afin de lui apporter quelques douceurs. Elle se fit déposer devant chez elle, par la fenêtre, la vit prostrée dans son fauteuil près de la cheminée qui manifestement ne pouvait réchauffer son coeur meurtri.
Elle entra sans bruit, prépara un thé fumant , en déposa une tasse avec une assiette de sucreries près d'Estoile, l'embrassa tendrement et s'installa sans mot dire auprès d'elle et se mit à broder en silence.

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Estoile
EStoile releva la tête et vit Val qui brodait en silence non loin de là :


.... Ah Val , bonjour ....
essuyant des larmes restantes aux coins de ses yeux et essayant de reprendre une contenance acceptable ... excuse moi je ne suis pas trop présentable mais je viens d'apprendre une nouvelle allarmante concernant OPhi, l'abbaye me dit par parchemin , que c'est finit pour lui , j'ai beau m'y être préparée à l'avance , l'acceptation de ne plus jamais le revoir de ma vie m'est plus que très difficile .

.... veux -tu un rafraichissement , quelque chose de chaud ou du calva , j'en ai du bon aussi car je vois que bébé lui prend ses aises !!!
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Valentiane
Avec grand plaisir ma belle ....Estoile tu n'es pas seule tu sais !!!

Valentiane l'enlaça affectueusement et lui prit la main la posant sur son ventre.

Le sens tu comme il bouge , il m'empêche de dormir ce petit garnement !!!

D'ailleurs si tu n'y vois pas d'inconvénient je ne tarderai pas trop, je n'aime pas marcher seule dans les rues par ce temps glacial.

Mais viens donc diner avec nous , j'ai des amis flamands qui nous rendent visite, ils sont adorables, cela te distrairait un peu et tu peux passer la nuit chez nous.

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Estoile
.... Bien Val , c'est gentil à toi de me faire cette proposition ; je rassemble quelques menus effets pour passer la nuit en ta belle demeure puis allons y ; il faut savoir se changer les idées et je suis sûre que comme toi ta demeure est très accueillante !

Elles se déirifgèrent ensuite vers la porte qu'EStoile ferma bien à clé et prirent le chemin vers la maison des Hautevilles.
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Estoile
Pour comprendre la suite aller lire le rp "aubord de l'aure ....


EStoile se réveilla ce matin là bien emmitouflée dans son lit ; elle avait un de ces maux de tête à ne pas tenir debout ; elle fit tout de même quelque pas puis se ravisa très vite en se se recouchant dans son lit car cela tournait dur et ele ne touchait pas terre ou si peu.

Que lui était-il arrivé ???... Que s'était-il passé ???

Elle ne saurait se souvenir d'avantages de ses actes du jour précédent si ce n'est que dans un désespoir insuportable elle s'en était allée vers la rivière de l'Aude pour y pleurer seule et loin de tous surtout ,pleurer à loisirs Ophi son amour pour toujours perdu.

Personne ne comprendrait jamais l'interminable douleur qui la ceignait de toutes parts quand elle pensait à lui , le manque pernicieux de tout ce qu'ils étaient ensemble car unit à jamais ; cae manque , cete déchirure s'insinuait en elle comme des aiguilles qu'on enfonceraient à chaque mouvement imprimé par le corps.

EStoile ne savait combien de temps , il lui faudrait encore supporté toute cette torture physique et morale ou si un jour cet enfermement d'être s'atténierait pour que enfin le sourire qu'elle livrait au villageois pour ne pas les affoler plus sur son état , ne serait pas une façade mais bien le sien propre ; et non ps cette composotion alléatoire d'elle- même qu'elle se forgeait à être depuis ce 28 décembre dernier.

Seriella lui avait écrit il y a quelques jours qu'une abesse de Honfleur , une dénommée Antiope viendrait prendre possession de la paroisse et qu'EStoile agirait en seconde main, cela la rassura quelque peu , enlevant tout à coup au moins le poids de cette tâche.

EStoile toute trempée de sueurs aurait aimé faire chauffer de l'eau à la cheminée et la verser ensuite dasn le baquet pour s'immicer entière dasn l'eau parfumée à la lavande afin de se relaxer et de dénouée ls tensions ; mais cela était bien au dessus de ses forces et il lui faudrait attendre soit que quelqu'un passe la voir , soit qu'elle ait acquis plus de forces pour se faire.

A sa droite posé sur un petit meuble attenant au bois de son lit , elle vit une caraffe de calva et du bain et elle s'empressa d'à meme boire à la bouteille et de manger un bout .

Mais que s'etait-il donc passé et qui s'etait ainsi si gentiment occupée d'elle ???

Elle pria alors de ce don du ciel qui lui fût accordé et fatiguée de tout cela repartie dasn des songes qui avait pour personnage principaux elle et OPhi.

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Rwandralle
La ville s'éveillait lentement et sortait de sa torpeur au milieu d'une aube gelée. Chacun allait et venait dans tous les sens, soufflant dans ses doigts pour les rechauffer quelque peu. Des nez viraient au rouge, des charrettes glissaient sur le verglas, des jurons à faire rougir un truand comme une pucelle jaillissaient de toutes les bouches.

Seul ceux qui possèdaient la sagesse restaient bien tranquillement chez eux, sous leurs douillettes couettes et ne sortaient du lit que pour remuer les braises du feu avant de retourner se coucher.

Rwan faisait ordinairement partie de ces gens là.

Mais ce matin là, sa sagesse devait être quelque peu altérée car il avançait au milieu des rues glaciales, combattant le vent qui s'insinuait sous son mantel. Heureusement encore qu'il avait acquis il y a peu des braies digne de ce nom.

Mais il se souciait bien peu de cela, et malgré quelques imprécations injurieuses adressées aux dieux qui avaient dû oublier ce coin de terre pour la distribution des jours chauds, son esprit était occupé à de sombres pensées.

Il avait entendu dire que son amie Estoile était au plus mal. Quoi de plus normal avec la perte de celui qu'elle aimait. La veille en taverne il avait bien fait quelques sous entendus grivois parlant de la consoler, mais la Diaconesse n'avait même pas réagie. Son état devait donc être bien pire qu'il ne pouvait l'imaginer.

Il parvint enfin devant la porte bien connue, qu'on avait dû remplacer il y a peu, et ce après seulement trois glissades et deux bleus à la cuisse.
"On", toujours, lui avait aussi raporté qu'"on" l'avait ramené du bord de la riviére dans un état d'esprit catastrophique. Elle devait donc dormir et le Chauve entra sans frapper. Se déplaçant à pas de chat, il arriva près du lit qui contenait la princesse tenue par le sortilége.

Sauf que là, la princesse en question était étendue sur le lit, à moitié sous la couette seulement, le nez rouge non de froid mais de calva à en juger le pichet vide et odorant, et le visage refletant des rêves tourmentés.
Rwan se débarassa rapidement de son mantel, replaça les couvertures sur elle, étendit son vêtement sur la couche pour lui assurer plus de chaleur encore, installa quelques oreillers sous sa tête et plaça une compresse humide sur le front bouillant.

Il veillerai son amie le temps qu'il faudrai...
Porphyrogenete
De l'autre côté de la maison, Porphy s'afférait en cuisine. Lorsque Kharyn et Dahut lui avait parlé de ce qu'il s'était passé sur les berges de l'Aure, la dame avait abandonné sur le champ sa campagne électorale pour se porter au chevet de son amie.

De fait, une petite équipe s'était installée dans la maison du 4 route d'Avranches. Les hommes le plus souvent s'occupaient de maintenir le feu, ou d'affronter les rigueurs de l'hiver pour apporter quelques provisions. Les femmes de leur côté assuraient le ménage, la toilette de la pauvre Estoile, et... la cuisine !

Mais il faut bien avouer que lorsque l'on a été servie toute sa vie, il était difficile de s'improviser cuisinière, et lorsque Porphy termina sa tarte au pomme... hum... sa compote de pomme en pâté, elle se résolut à abandonner toute tentative pour rattraper son retard, et rejoint la chambre d'Estoile.

Elle entra ainsi sans faire de bruit avant de rejoindre le chauve le plus célèbre de Bayeux.


- Comment va-t-elle ? C'est-elle rrréveillée ?
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¤ Ex Bourgmestresse de Bayeux (3 mandats)
¤ Ambassadrice de Normandie auprès du Maine
¤ Dame de Guernesey
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