Antiope
Faire semblant d'étudier, faisait paraître le temps bien long et ennuyeux. Elle décida donc de réellement se pencher sur sa première ici. Elle ne connaissait pas encore très bien les villageois et ne savait pas ce qui serait approprié.
A la lueur de sa chandelle, elle lisait prenant des notes sur un parchemin par moment, raturait ce qu'elle venait d'écrire et finir par jeter le parchemin illisible.
Elle releva la tête et constata que la nuit était bien installée, trop même. Ses amis n'étaient toujours pas arrivé l'inquiétude la gagna. Elle qui voulait les inviter quelques heures plus tôt, ne souhaitait à présent que les voir surgir, tambourinait à la porte.
Elle craignait qu'ils le soient arrivés quelque chose...avaient-ils empruntés cette rue mal famée? Un tremblement lui parcouru le corps. Elle ne savait que faire, si tard et toute seule. Elle revêtit un châle et alla s'assoir sur une marche de l'escalier, prête à sauter vers la porte au moindre signe de leur présence.
Elle finit par s'endormir sur sa marche et son réveil à l'aube ne fut guère des plus heureux. Elle avait le corps endolori par sa position inconfortable, et malgré son sommeil elle n'aurait pas refusé un bon lit. Qu'est-ce qui avait bien pu lui faire ouvrir les yeux. Ah oui un bruit...tic tic...tic tic...
Serait-ce enfin eux? Elle écouta attentivement d'où venait le bruit. Elle aperçue un pigeon sur le rebord d'une fenêtre.
Fichu bestiole...à moins que tu ne m'apportes des nouvelles. Elle ouvrit brusquement la fenêtre et se saisit brusquement du volatile pour lui arracher le message.
Non!!! mais ils se moquent de qui! Le marin et sa belle lui annonçaient qu'ils ne s'arrêteraient pas à Bayeux, et qu'ils se verraient peut-être au retour.
Ils pensent que c'est une auberge ici ma par...aa atchoouuummmm!
Elle avait pris froid sur les marches et se dit que cette journée commençait bien mal. Elle remonta l'escalier pour cette fois se coucher dans le lit bien au chaud, un mouchoir à portée de main.
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A la lueur de sa chandelle, elle lisait prenant des notes sur un parchemin par moment, raturait ce qu'elle venait d'écrire et finir par jeter le parchemin illisible.
Elle releva la tête et constata que la nuit était bien installée, trop même. Ses amis n'étaient toujours pas arrivé l'inquiétude la gagna. Elle qui voulait les inviter quelques heures plus tôt, ne souhaitait à présent que les voir surgir, tambourinait à la porte.
Elle craignait qu'ils le soient arrivés quelque chose...avaient-ils empruntés cette rue mal famée? Un tremblement lui parcouru le corps. Elle ne savait que faire, si tard et toute seule. Elle revêtit un châle et alla s'assoir sur une marche de l'escalier, prête à sauter vers la porte au moindre signe de leur présence.
Elle finit par s'endormir sur sa marche et son réveil à l'aube ne fut guère des plus heureux. Elle avait le corps endolori par sa position inconfortable, et malgré son sommeil elle n'aurait pas refusé un bon lit. Qu'est-ce qui avait bien pu lui faire ouvrir les yeux. Ah oui un bruit...tic tic...tic tic...
Serait-ce enfin eux? Elle écouta attentivement d'où venait le bruit. Elle aperçue un pigeon sur le rebord d'une fenêtre.
Fichu bestiole...à moins que tu ne m'apportes des nouvelles. Elle ouvrit brusquement la fenêtre et se saisit brusquement du volatile pour lui arracher le message.
Non!!! mais ils se moquent de qui! Le marin et sa belle lui annonçaient qu'ils ne s'arrêteraient pas à Bayeux, et qu'ils se verraient peut-être au retour.
Ils pensent que c'est une auberge ici ma par...aa atchoouuummmm!
Elle avait pris froid sur les marches et se dit que cette journée commençait bien mal. Elle remonta l'escalier pour cette fois se coucher dans le lit bien au chaud, un mouchoir à portée de main.
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