Ratchouel
Suite a l'absence de Lucky, je vous fais parvenir a sa demande ce qui va suivre.
Un voyage, c'est souvent riche en rencontres improbables, un muet m'a briffé sur le language des signes, dressant son doigt, le troisieme, aprés que je l'eu traité d'infirme vocal. Une maniere de me saluer sans doute, j'ai testé ce doigté de bienvenue par la suite mais sans succés, a chaque bourgade ses coutumes, encore faut'il avoir le coup de main. A Compiegne les tavernes sont bien garnies, des barronnes pas trop connes et des duchesses seches et archi seches, dur a prononcer lorsque l'on a squatté toute la soirée au chaudron rouge, "La Taverne des sorciers, où vous pourrez boire une bièraubeurre et manger des Chocogrenouilles ou bien des dragées surprises de Bertie Crochue et les fameux sorbets Fizwizbiz", voila pour la publicité. Mais les filles de passage ne sont pas forcément des filles d'un soir, non pasqu'elles soient des thons mais difficile de pecher lorsque les ames sont vides. Certains assoiffés de la reproduction collectionnent les rateaux en tout genre, d'autres polygamment en toute impunité et trempent leur biscuit la ou je n'aventurerai pas un orteil. On peut tromper mille fois une gonsesse, non... on peut tromper mille gonsesses une foi... non..bref, comme disait le poete "un trou c'est un trou". Voila pour le coté fleur bleue. J'ai finit "Au cercle" a force de tourner en rond, la ou la taveniere Chpiot est bien connue par chez nous, j'y ai croisé Carapattechoupignon, Delvitaeternum du Lys blanc et Bibilekayakiste ... Cara, Delvi et Bibi pour les intimes. Voila pour les presentations. Mais tout me ramene toujours a Montar, les elections sont partout les memes, les prospectus de propagande jalonnant mon parcourt m'ont permit une hygiene parfaite de mes ptites fesses quand il s'en est agit d'aller restituer dans la nature le ragout local, sorte de mélange d'ingredients non identifiés, a consommer sans modération... les jours de famine de préférence. Voila pour mon transit intestinal. Parait qu'il faut baisser ses braies pour etre élu, approches un peu ton popotin que j'y glisse un ecu symbolique, le début de la fortune, ou un premier impot... d'autres suivront. Une taxe sur la connerie aurait mit plus d'un maire sur la paille, le montargeois en revanche ne connait pas la crise. Au "Lutece", un riche sieur s'est plaint du cout elevé de ma biere, qu'il sache qu'entre la radinerie et l'alcoolisme il faut choisir, et qu'entre les deux se trouve un service de qualité, qu'une choppe servit par ma taverniere coutera toujours plus chere qu'ailleur, santé l'ami. Voila pour les nouvelles.
Un voyage, c'est souvent riche en rencontres improbables, un muet m'a briffé sur le language des signes, dressant son doigt, le troisieme, aprés que je l'eu traité d'infirme vocal. Une maniere de me saluer sans doute, j'ai testé ce doigté de bienvenue par la suite mais sans succés, a chaque bourgade ses coutumes, encore faut'il avoir le coup de main. A Compiegne les tavernes sont bien garnies, des barronnes pas trop connes et des duchesses seches et archi seches, dur a prononcer lorsque l'on a squatté toute la soirée au chaudron rouge, "La Taverne des sorciers, où vous pourrez boire une bièraubeurre et manger des Chocogrenouilles ou bien des dragées surprises de Bertie Crochue et les fameux sorbets Fizwizbiz", voila pour la publicité. Mais les filles de passage ne sont pas forcément des filles d'un soir, non pasqu'elles soient des thons mais difficile de pecher lorsque les ames sont vides. Certains assoiffés de la reproduction collectionnent les rateaux en tout genre, d'autres polygamment en toute impunité et trempent leur biscuit la ou je n'aventurerai pas un orteil. On peut tromper mille fois une gonsesse, non... on peut tromper mille gonsesses une foi... non..bref, comme disait le poete "un trou c'est un trou". Voila pour le coté fleur bleue. J'ai finit "Au cercle" a force de tourner en rond, la ou la taveniere Chpiot est bien connue par chez nous, j'y ai croisé Carapattechoupignon, Delvitaeternum du Lys blanc et Bibilekayakiste ... Cara, Delvi et Bibi pour les intimes. Voila pour les presentations. Mais tout me ramene toujours a Montar, les elections sont partout les memes, les prospectus de propagande jalonnant mon parcourt m'ont permit une hygiene parfaite de mes ptites fesses quand il s'en est agit d'aller restituer dans la nature le ragout local, sorte de mélange d'ingredients non identifiés, a consommer sans modération... les jours de famine de préférence. Voila pour mon transit intestinal. Parait qu'il faut baisser ses braies pour etre élu, approches un peu ton popotin que j'y glisse un ecu symbolique, le début de la fortune, ou un premier impot... d'autres suivront. Une taxe sur la connerie aurait mit plus d'un maire sur la paille, le montargeois en revanche ne connait pas la crise. Au "Lutece", un riche sieur s'est plaint du cout elevé de ma biere, qu'il sache qu'entre la radinerie et l'alcoolisme il faut choisir, et qu'entre les deux se trouve un service de qualité, qu'une choppe servit par ma taverniere coutera toujours plus chere qu'ailleur, santé l'ami. Voila pour les nouvelles.