Sofja
Sofja retrouva Arnaut, le maître de chai dans son bureau qui avait lair fort bien occupé. Elle tapota ses bottes afin den lever un maximum de boue qui sétait accrochée.
-Bonjour Arnaut, comment allez-vous ?
-Le Bonjour Vicomtesse, bien et vous ?
-Cela va, je venais massurer que tout aller bien. Où en êtes-vous ?
Lhomme gonfla sa poitrine, voulant montrer quil maitrisait parfaitement bien la situation et que le Vignoble prenait ses formes. Il ouvrit les registres afin quelle puisse y jeter un il.
-Les ceps prennent formes, nous avons mis un fortifiant à base de silicone de corne pour les aider pour lhiver. Les échalas sont posés également. Depuis deux semaines la vigne est au repos. Les femmes soccupent de supprimer les sarments et de sélectionner les meilleurs bourgeons. Tandis que quelques hommes entretiennent les outils et confectionnent les outils et supports pour les premières vendanges. Tout va très bien.
-Et pour les serfs, les installations sont bien finies ? Le froid va arriver très bientôt
-Une grande partie des hommes sattèlent à fignoler les maisons, notamment les toits en chaume. Mais cela nest quune question de semaines.
- Bien sils ont besoin de plus de main duvre, les hommes qui soccupent des outils peuvent les rejoindre, ils sy mettront tous une fois les maisons complètement finies. Ils seront mieux dedans que dans les abris de fortune quon avait mis à leur disposition pour cet été.
Le maitre chai acquiesça de la tête.
Bien Arnaut, je vous laisse donc, je vais faire un petit tour et rentrer.
Cest ainsi quils se quittèrent et que Sofja alla voir de ses propres yeux lavancer de la construction du petit hameau. Elle préférait sen assurer elle mesme, non quelle navait pas confiance à Arnaut mais souvent elle avait pu savoir du peu dimportance quon donner aux paysans. Pour elle, il en était hors de question. Sur son passage, les serfs la saluèrent, elle ne manqua pas de leur rendre par un sourire. Cest donc avec satisfaction quelle aperçut que le village était presque terminé. Quelques toits étaient à finir comme lui avait dit Arnaut. Les puits étaient là, les animaux avaient lair de bien se porter.
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-Bonjour Arnaut, comment allez-vous ?
-Le Bonjour Vicomtesse, bien et vous ?
-Cela va, je venais massurer que tout aller bien. Où en êtes-vous ?
Lhomme gonfla sa poitrine, voulant montrer quil maitrisait parfaitement bien la situation et que le Vignoble prenait ses formes. Il ouvrit les registres afin quelle puisse y jeter un il.
-Les ceps prennent formes, nous avons mis un fortifiant à base de silicone de corne pour les aider pour lhiver. Les échalas sont posés également. Depuis deux semaines la vigne est au repos. Les femmes soccupent de supprimer les sarments et de sélectionner les meilleurs bourgeons. Tandis que quelques hommes entretiennent les outils et confectionnent les outils et supports pour les premières vendanges. Tout va très bien.
-Et pour les serfs, les installations sont bien finies ? Le froid va arriver très bientôt
-Une grande partie des hommes sattèlent à fignoler les maisons, notamment les toits en chaume. Mais cela nest quune question de semaines.
- Bien sils ont besoin de plus de main duvre, les hommes qui soccupent des outils peuvent les rejoindre, ils sy mettront tous une fois les maisons complètement finies. Ils seront mieux dedans que dans les abris de fortune quon avait mis à leur disposition pour cet été.
Le maitre chai acquiesça de la tête.
Bien Arnaut, je vous laisse donc, je vais faire un petit tour et rentrer.
Cest ainsi quils se quittèrent et que Sofja alla voir de ses propres yeux lavancer de la construction du petit hameau. Elle préférait sen assurer elle mesme, non quelle navait pas confiance à Arnaut mais souvent elle avait pu savoir du peu dimportance quon donner aux paysans. Pour elle, il en était hors de question. Sur son passage, les serfs la saluèrent, elle ne manqua pas de leur rendre par un sourire. Cest donc avec satisfaction quelle aperçut que le village était presque terminé. Quelques toits étaient à finir comme lui avait dit Arnaut. Les puits étaient là, les animaux avaient lair de bien se porter.
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