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[RP] Eglise Notre Dame en Ste Melaine IV

Tillie
Toujours aussi discrète Tillie sorti de l'église sans faire de bruit...
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Tadeus94
Mon enfant je vous invite toujours à répéter après moi.

Crois tu en Aristote, en Christos, les prophètes les saints et l’amitié Aristotélicienne ?

Crois-tu en Dieu le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre ?

Crois tu en la vertu, en la Sainte Église Aristotélicienne en la Vie éternelle ?

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Slovane
Citation:
Crois tu en Aristote, en Christos, les prophètes les saints et l’amitié Aristotélicienne ?


Oui je crois en Aristote , et en Christos.

Citation:
Crois-tu en Dieu le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre ?


Oui je crois en Dieu le père tout -puissant.

Citation:
Crois tu en la vertu, en la Sainte Église Aristotélicienne en la Vie éternelle ?


Oui je crois en la vertu , en la Sainte Eglise Aristotélicienne en la vie éternelle.

Le tract gagnait la demoiselle , mais elle irait jusqu'au bout.
Tadeus94
Tadeus se rapprocha du bénitier et fit signe à la baptisée de le rejoindre.

Puis se retourna vers Slovane.

Nous allons maintenant t'accueillir dans la Famille Aristotélicienne.

Le Nonce baigna le front de Slovane dans l'eau bénite.

Tadeus alluma alors un cierge, signe de l’entrée dans la famille aristotélicienne.



Il te faut maintenant vous montrer digne du sacrement que tu as reçu. Car tu va devoir montrer à tous le miracle de la vraie Foy, la lumière que tu as reçue. Tu le comprends?

Tadeus passa le médaillon, signe d'appartenance à l'aristotélicisme autour du coup de Slovane.



Félicitation à toi, ton baptême est a présent terminé !

Garde aussi très bien ce certificat de baptême.

Tadeus donna le parchemin au baptisé.

Citation:


d'ar Meurzh 21 a viz C'hwevrer 1460,

Nous, Excellence Tadeus de Montfort-Vendôme, Secrétaire Apostolique de France, Procureur de l'Officialité Episcopale de Bretagne, Premier Aumonier Adjoint de la Garde Episcopale francophone, Vicaire Diocésain de Rennes et Curé de Rennes, Grand Officier de l'Ordre de Sainte Kyrène,

Reconnaissons en ce 21eme jour du mois de Fevrier de l'an de grâce 1460, avoir procédé au baptême de Dame Slovane, résidant à Rennes.

Nous lui souhaitons une bonne continuation au sein de la Famille Aristotélicienne.

Fait à Rennes,
Tadeus de Montfort-Vendôme



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Slovane
A la réception de tout ces symboles , Slovane ne pu se retenir de sourire.
Elle remercia mille fois le curé Tadeus , si bien qu'elle se permit même de le prendre dans ses bras.
Camille.
Camille venait d'entrer dans la magnifique ville de Rennes. Un peu perdue dans ce "nouveau" monde qu'elle voyait enfin de près, elle se dirigea tout naturellement vers le lieu saint pour remercier le Très Haut de lui avoir permis de fuir la tyrannie de la Touraine et la chasse à mort lancée par Namayrush et Falco après elle.

Seigneur,

Vous avez su guider nos pas loin de cette terre de désolation envahie par le Sans Nom.
Vous avez donné le courage et la constance à Mère Naudéas et à ceux de sa lance de me porter secours.
Vous avez ouvert un passage sans esclandre jusqu'à la terre de Bretagne pour guider nos pas.

Louez soyez vous notre Seigneur.

C'est avec une dévotion renouvelée et une Foi plus grande encore que je continuerai à vous servir chaque jour.
Chaque jour ma Foi continuera à me guider pour le bien de votre Peuple car cela est juste et bon.
Chaque jour je lutterai contre ceux qui tombent dans le chant du Sans Nom et opressent et dévoient vos Enfants.

Donnez moi la force de ne jamais faiblir, le courage de toujours lutter, par Vous et pour Vous.

Amen

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A Anakin
Le_jack
Dimanche matin... enfin!
Jack se leva rapidement, et se dirigea vers l'église. Il avait plus que jamais besoinde prier, mais pas seul... Il n'en aurait pas eu le courage. C'est pour cette raison qu'il avait attendu le dimanche matin et la célébration d'une messe pour se rendre dans le lieu saint.

Le rouquin ôta son chapeau, puis ses dirigea vers une rangée de chaises où certaines places étaient déjà occupées... Il avait vraiment besoin de ne pas rester seul, de sentir la présence des autres fils d'Aristote... bref de conjurer la cruelle absence de Mimilia par la prière.

Aujourd'hui, il venait pour demander, pas encore pour remercier...
Le_jack
Cette partie du RP est ouverte à tous. Je trace ici les grandes lignes de l'action, qui est développée en gargote, dans le topic "La vengeance est un plat qui se mange froid".
Le RP en gargote est ouvert à tous, dans la limite du respect de la cohérence du récit.
C'est donc là-bas que se déroulera la suite de l'histoire.
Merci.




Jack s'était rendu, comme convenu, au rendez-vous donné par la comtesse von Sponeck devant l'église avant les vêpres. Rendez-vous? Convocation plutôt!
Elle était arrivée en retard, comme à son habitude.

Ils prirent ensuite le chemin des rives de la Vilaine, ce qui empêcha le rouquin de voir l'assassin Ludwig amener son otage à la messe. En effet, il accédait ainsi à la dernière volonté d'Anael de Montfort-Laval de prier avant de mourir.

De retour - seul - peu avant la fin de la messe, le forgeron de Vannes vit le fils de celle qu'il aimait sortir de l'église. Le bonheur de le voir sain et sauf, quoique très pae, ne dura pas longtemps.

Quelques instants après ce que Jack pensait être le dénouement heureux d'une histoire dans laquelle il avait accepté de tout sacrifier, Anael fut poignardé en plein milieu de la foule par Ludwig, qui s'enfuit à toute jambe.

Anael de Montfort-Laval, mort, se vidait de son sang dans les bras de Jack, incapable de la moindre réaction.
Le monde s'écroulait.
Tadeus94
C'était Dimanche, le jour du Très Haut. Il sortit de sa cellule en direction de la Chapelle.

Il entra dans l'édifice sacré par une porte de côté, s’agenouilla devant l’autel et se signa. Il pria, et remercia longuement le Très Haut. Lorsque ses prières furent terminé, il se leva et demanda que l'on sonna les cloches afin d'appeler les fidèles à la messe et à la prière. Alors que les cloches donnaient, il alla allumer toutes les bougies et les cierges de pour accueillir les premiers fidèles.


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cloches

Il alla sur le parvis pour accueillir les fidèles et ses confrères souhaitant assister à l’office.
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Chrisgue
chrisgue était enjoué à l'idée d'aller à sa première messe en l'église de Rennes. Il poussa la porte et fût surpris par son poids, ils ont du en baver pour la mettre en place pensa t il
Il s'agenouilla devant l'autel et se signa puis alla prendre place dans le dernier rang occupé, puis leva la tête pour observer les statues et différentes sculptures. tout cela était fort agréable à regarder.
Il se concentra sur les mots du prêtre et commença à prier pour ses frères et sœurs de l'ordre.
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Tadeus94
Puis Tadeus remonta l'allée pour rejoindre l'autel.



Bienvenue mes Frères et Sœurs dans la maison du Très Haut. Je voudrais qu'on adresse nos prières du jours vers tout les enfants du Très Haut.

Tadeus écarta les bras.

Pardonnons nos péchés auprès du Très Haut.

Citation:
  • Confiteor Deo omnipoténti,
    Et omnes sanctis
    Et vobis, fratres,
    Quam peccávi nimis
    Cogitatióne, Verbo et ópere.

    Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
    Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
    Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

    Amen.

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--Saturnin_
Arrivée rocambolesque d'un homme haut perché sur le dos de son âne. Quelques notes volatiles s'évadent entre les lèvres effrontées du compère grassouillet et se dispersent parmi le souffle sec du vent dans une chanson paillarde. Un coup de langue subtilement donné vient rompre la mélodie alors que le bonhomme s'avance prestement jusqu'à l'église. Pied à terre, il caresse la mule sur le haut de la tête en lui disant: "Reste bien sage, je n'en ai pas pour longtemps."

Il finit par se poster devant les majestueuses portes et crache rapidement dans ses mains avant de se tapoter les joues et de les recouvrir d'une salive qu'il croit aphrodisiaque. "Faut qu'j'sois présentable. Y a peut-être des donzelles à séduire ici! Les nonnes ne sont peut-être pas si sages qu'on le prétend. Huhuhu." Sourire niais qui s'accroche à son visage rond et potelé. Au sortir de l'église, il s'enhardit d'enlever son chapeau de paille pour saluer les nobles qui passent, et le plaque contre son généreux ventre pour improviser une révérence bien gauche.

Saturnin, enchanté! J'vends du rêve, de l'espoir et de la folie! Si vous avez un balais coincé dans l'derrière, j'suis votre homme! J'l'enlèverai avec les dents s'il le faut!

Puis, c'est d'une démarche précieuse qu'il va accrocher un parchemin de la plus haute importance sur le panneau d'affichage de la bâtisse:

Citation:
Message adressé à l'ensemble des fidèles: *

Au Père Spicace. Un grand malheur est arrivé à l'abbaye et j'ai la pénible mission de vous en faire part. Mardi soir, pendant que l'Abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'Abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope. Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul soutien. Un seul restait joyeux : le Père Fide. Quant à l'Abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le Saint Plet l'aide à comprendre ce qui s'était passé mais rien n'y fit.

Après l'accident de l'Abbé Quille, on alla chercher le Père Manganate et le Père Itoine, les deux médecins de l'Abbaye. Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après. Le lendemain fut donc célébré son enterrement. Chacun fut appelé à l'Abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. La messe fût dite sur une musique de l'Abbé Thoven. Le Père Ocquet fut chargé du sermon et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir. A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête et remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l'Abbé N'Pé.

Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière : l'Abbé Canne et l'Abbé Trave voulaient passer par les champs. Le Père Clus s'y opposa. L'abbé Casse en fut enchanté. Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits. Finalement on décida que, comme à l'accoutumée, l'Abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt. Devant la tombe creusée par le Père Forateur et en l'absence du Père Missionnaire, l'abbé Nédiction donna l'absolution. Le Père Venche et l'Abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fût recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'Abbé Tonneuse. Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant. Le Père Pendiculaire était plié en deux de douleur et de chagrin. L'Abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cédés , invitée pour l'occasion, fermait la marche en compagnie du frère du Père Igord. A l'arrivée, le Père Sil et l'Abbé Chamelle préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. Le Père Nod et le Père Collateur servirent à boire et chacun pût se remettre de ses émotions
.


Saturnin repartit alors en chantant à tue-tête, sans vraiment s'inquiéter de déranger la messe...

*Trouvé sur Internet
Theos
La démarche assurée de Theos venait écraser les sanglots d’une matinée chagrinée et orageuse. Et c’est avec fébrilité que la pluie se frayait un chemin tortueux que le visage du jeune homme qui fendait le silence des environs avec assurance et confiance. L’Eglise, plantée sous le ciel capricieux, régnait avec une majestueuse grandeur. D’Arenthon passa une main distraite sur ses traits, venant effacer les tourments pluvieux qui s’acharnaient depuis quelques jours déjà dans le duché. Son regard rieur et doté d’une cruelle profondeur éclairait les tons grisâtres de la journée et se promenait avec aisance sur ce qui l’entourait. Il s’enveloppait de l’ambiance des lieux, laissant ses pensées les plus pures écraser ses vices et ses démons.

Car malgré son manque d’indulgence et son austérité, il nourrissait pour le Très Haut un respect inaliénable et un culte dénoué de tout caractère malsain. C’est vers lui qu’il se tournait lorsque les tourments se déchainaient à travers son âme et que le désespoir s’abattait sur lui. Même si parfois, le fidèle et fervent Aristotélicien qu’il était, s’était égaré, transporté par l’ivresse du prestige et de la richesse. Le recul qu’il prenait souvent à l’égard de la religion pouvait choquer, irriter les plus pieux. Détestant la mièvrerie, il trouvait qu’il était inutile de rentrer dans des considérations religieuses trop extrêmes, de cracher des pseudo-homélies écœurantes et de s'égarer dans des courtoisies purulentes et hypocrites. Theos était un homme d'une franchise acerbe et d'une cruelle sincérité.

Depuis son arrivée en Bretagne, il envisageait à nouveau de se faire baptiser. Lorsqu’il habitait à Auch, il avait d'ores et déjà pu suivre une pastorale et se consacrer pleinement à l'étude du Livre des Vertus et à la théologie. Et c'est avec une indéniable détermination qu’il s’était plongé dans ce monde porteur d'idées précieuses et salvatrices ; mais un long voyage l’empêcha d'accéder au baptême et d’haranguer officiellement sa fidélité religieuse.

Son pas se brisa sur le sol humide de l’Eglise, laissant un son sec courir sur les hauts murs de la bâtisse. Quelques villageois étaient présents. Il leur adressa un signe de la tête en guise de déférence. Une odeur d’encens planait, exquise et familière. C’est non loin de l’autel qu’il s’installa finalement, tête baissée, comme pour se concentrer sur ses pensées, sur ses prières.
Mai


    La blondine était assise sur l'un des bancs froids de Saint Mélaine. Pestant intérieurement, les lèvres muettes, sur la disparition de ses deux plus proches amis... Marie n'avait pas eu la force de se rendre aux macabre cérémonies en leur honneur. Les mots d'amours murmurés par Gwilherm et la perte de son angelot l'avait laissé bien chancelante. Incapable. Inanimée. La Marquise restait donc là. Parfaitement immobile, semblable à une pleureuse de marbre. La vie devenait trop lourde à porter pour ses frêles épaules...

    Dans la nef centrale, des bruits de pas remontaient jusqu’à l'autel. La dernière fois qu'elle avait entendu pareil bruit, le visage qu'elle avait découvert était celui de son Amiral. Espoir presque inconscient. La nuque se tord, la tête se tourne, espérant le revoir une dernière fois. Croire encore que ce n'est qu'un mauvais rêve et qu'il est vivant. Qu'il va sourire et rester près d'elle. Mais non...

    Le visage est inconnu. Ce n'est pas son Bréhatin, ce n'est pas non plus Arzhel. Le jeune homme, tête incliné, regard au sol, s'installe non loin. Brisant les espoirs d'une Platine endeuillée, malgré lui. Soupir...

    Triste réalité.
Clodeweck
[Dimanche 18 Mars, au matin, l'Eglise est vide...]

Le père se rendit à l'Eglise avec une question simple, y aurait-il une messe aujourd'huy.

L'église était encore vide à cette heure, et les gens de son train eurent vite fait de la remplir en partie.

Il se souvint de cette époque lointaine , où il était curé de rennes, où les gens remplissaient l'église, chaque dimanche. Autre temps, autres mœurs.

Il traversa le chœur s'installa dans les stalles et attendit.

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