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[RP] Eglise Notre Dame en Ste Melaine IV

Samael.
Le jeune homme regardait Douchka qui le fixait, il souriait en l'écoutant dire ses mots.. Il la dévorait des yeux, et c'est à peine s'il entendit Anne-Solenn lui dire de s'agenouiller.

Il sortit de ses pensées et fit un pas en avant avant de s'agenouiller. La tête inclinée en avant, il sentit l'eau coulait le long de sa tête et se faufiller entre ses cheveux.


Citation:
Je te baptise au nom de l’Église Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.


Une fois fait, il se redressa et afficha un grand sourire. Il s'adressa à la diaconesse dans un murmure..

Merci...
Douchka
Douchka prit les mains de Sam, posa un baiser sur sa joue tendrement et lui murmura :

Félicitations mon Sam

Puis se tournant vers Mad ,elle l'embrassa chaleureusement.

Merci pour cette belle cérémonie Mad ma Meuh

Un sourire en coin pour ce petit souvenir commun.
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Tu me manques déjà Kyky.
Ta chipie ne sera plus la même, à présent.
Annesolenn_wolback
Anne-Solenn sourit au jeune baptisé, voyant l'émotion l'étreindre. Elle reprit, regardant l'assemblée :

Samaël, Vous êtes désormais baptisé et faites partie de la grande famille Aristotélicienne. Tous ici sont vos frères et sœurs, unis à vous par la foy et le désir d'arpenter le chemin de la vertu. Soyez-juste avec eux, et ils vous le rendront.
Allez, dans la paix du Seigneur!


Puis avec un sourire elle ajouta :

En guise de cadeau de bienvenue dans cette grande famille, recevez la médaille des fidèles d'Aristote et portez-la fièrement. Je vous remets également le livre des vertus, qui vous servira de guide tout au long de votre vie.



Puis elle se tourna vers Douchka et sourit en entendant le petit nom amical et gentiment moqueur qu'elle avait l'habitude de lui donner

J'ai été heureuse de te revoir, Douchka, j'espère que nous ne resterons plus aussi longtemps sans prendre des nouvelles l'une de l'autre.
Quand vous rentrerez à Fougères, faites attention, des brigands rôdent sur nos routes.

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Samael.
Il ferma les yeux pour apprécier le baiser de Douchka. Il les rouvrit et lui sourit en grand.

Puis il entendit Anne-Solenn le féliciter..


Citation:
Samaël, Vous êtes désormais baptisé et faites partie de la grande famille Aristotélicienne. Tous ici sont vos frères et sœurs, unis à vous par la foy et le désir d'arpenter le chemin de la vertu. Soyez-juste avec eux, et ils vous le rendront.
Allez, dans la paix du Seigneur!


Il inclina la tête.

Merci beaucoup pour votre aide et votre enseignement, ce fut un honneur et un plaisir pour moi d'avoir appris avec vous.

Il prit le Livre des Vertus qu'on lui tendait et mis la médaille autour de son coup, le cierge dans l'autre main.

Nous allons rentrer à Fougères, mais si vous trouvez un moment de libre, venez donc nous voir, ce sera un plaisir.

Un dernier sourire à Anne-Solenn, et sur ses bonnes paroles il entraina Douchka aprés lui avoir laissé le temps de dire a revoir à son amie. Direction Felger..
Verty
L'archevêque, envoya le bedeau sonner les Cloches.



Les cloches résonnèrent dans toute la capitale pour annoncer le début de la messe.
Les fidèles se pressèrent pour ne pas manquer cet office dominical.



Mère Verty de Montfort-Toxandrie, rejoint dans l’église les clers déjà présent.

Elle monte jusqu’à l’autel puis ayant rendu hommage à la relique, fit une courte prière.
Après une génuflexion avec toute la grâce dont elle était capable, elle se retourna vers l’assemblée et dit :


In nomine Dominus, Aristote et Christos

Demat à tous !

Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné l’honneur de célébrer devant vous cet office, j’en remercie le Très Haut


Après cette introduction Mère Verty, s'approche de la lice et s'adresse de nouveau aux fidèles.

Avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.


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Annesolenn_wolback
Dimanche, c'était le Dimanche 30 Septembre, Anne-Solenn s'apprêtait à célébrer le mariage de deux valeureux chevaliers des Trente. Elle arriva à la sacristie, mit la grosse clé un peu rouillée dans la serrure et essaya vainement de la faire tourner.
Plus elle insistait, plus la serrure résistait.


Maudite clef!! Qu'Aristote me pardonne ces mots, mais franchement elle va me mettre en retard pour le mariage!!

Un nouvel essai... Peine perdu la clé ne tournait pas. Anne-Solenn commença à se détourner, elle voulait aller chercher un peu d'huile dans la cuisine de fanchette, quand quelque chose frappa son regard: La serrure avait été changée, elle ne pouvait plus entrer dans sa sacristie. Elle poussa une exclamation de surprise indignée.

Par Aristote, qui a bien pu changer la serrure sans m'avertir et sans même me donner la nouvelle clé? Les serviteurs ne sont plus ce qu'ils étaient, l'homme à tout faire aurait pu venir me porter la clé chez moi!!!

Soudain un nom au tableau d'affichage attira son regard:Verty et ce nom se trouvait en face de la mention: Curé de Rennes. Le sang du maire de Rennes ne fit qu'un tour. Était-il possible que l'archevêque de Rennes se soit vengée en lui retirant son poste de curé?

Elle ressortit de sa sacoche le message envoyé par pigeon depuis l'archevêché de Rennes et signé du nom de l'archevêque. Elle le relut attentivement en hochant la tête. Le ton n'était pas des plus aimables, Son Éminence s'indignait d'avoir vu les miliciens de la ville lui reprendre un vieux mandat de complaisance, qui ne portait même pas son nom d'ailleurs. Qui eut reconnu que le mandat attribué à "Mairie 153" était en réalité attribué à son Éminence Verty de Montfort?

Le maire de Rennes secoua la tête avec consternation et murmura tristement:


Quand je pense qu'elle a écrit qu'elle ne mélangeait pas le temporel et le spirituel!!
Mais que vais-je dire à mes deux tourtereaux?


En soupirant, la jeune femme quitta le seuil de la sacristie et rentra chez elle. Elle reviendrait pas la porte de la basilique quand sonneraient les cloches de la messe. Aristote et le Très Haut n'étaient pas responsables des errements de leurs représentants sur terre.
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Glaria
Elle arriva en trombe, son épée dans son fourreau, et une affiche dans la main après avoir su ce qui se passait entre l'archevêque et la mairesse qui devait officier à son mariage ce jour.



AVIS A TOUS !

SUITE A UNE PETITE GUEGUERRE ENTRE L'ARCHEVEQUE VERTY CONTRE DAME MADCAT POUR DES BROUTILLES QUI NE NOUS REGARDE NULLEMENT, JE TENAIS A VOUS INFORMER QUE NOTRE MARIAGE EST ACTUELLEMENT EN SUSPENS LE TEMPS DE TROUVER UNE SOLUTION.

NOUS VOUS PRESENTONS, DARKLUMI ET MOI-MEME NOS SINCERES EXCUSES POUR CE DESAGREMENT QUI N'EST CAUSE EN FIN DE COMPTE QUE PAR L'ORGUEIL D'UNE FEMME ENVERS UNE AUTRE.

JE DEMANDE SUITE A CETTE INCIDENT DES EXCUSES PUBLIQUES DE LA DITE PERSONNE ENVERS MA PERSONNE ET A CELUI QUI AURAIT DU ETRE MON EPOUX AUJOURD'HUI ET QUI NE LE SERA PAS POUR UN SIMPLE PECHE D'ORGUEIL


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Verty
Mes frères, souvenons nous de cet adage !

« Nul n’est autorisé à râler sur l’absence des clercs tant que les fidèles ne sont pas présents aux célébrations »


A la fin de la prière Mère verty se dirige vers le lutrin et dit d’une voix claire

Lecture de la vie d’Aristote

Citation:

Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens et des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur âge, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."


Mgr s’adresse ensuite à l’assemblée

Maintenant, Sœurs et frères, nous allons ensemble répéter les paroles du Credo Aristotélicien



L’archevêque, s’approche de l’assistance…

Mes frères, mes sœurs,

Je vais vous parler d’humilité !

J’entends déjà certains répondre, pour qui se prend-t-elle, comment ose-t-elle donner des leçons ?

Je vais donc répondre tout de suite cela leur évitera de tâcher le sol d’un excès de salive, je me prends pour l’un des représentant de l’Eglise Aristotélicienne en cette année 1460 et prêcher la vertu est mon devoir.

De plus, nous ne sommes pas là pour parler de moi.

Je disais donc que je voulais vous parler d’humilité, car le mot ne semble pas être à la mode.

Que des gens courent après le pouvoir ce n’est pas nouveau et j’aurai presque à penser que cela est humain.

Mais…Je préfère penser que les gens sont de bonne foi et qu’ils font, dans leur majorité, tout pour aider leur prochain.

Alors pourquoi, pourquoi voit-on des équipes municipales crier victoire en écrasant sous les quolibets leurs adversaires ?

Alors pourquoi voit-on des élus cracher sur d’autres parce qu’ils ont recueilli quelques voix de plus ?

Je viens de parler d’élus, alors je précise pour ceux qui n’ont toujours pas compris que la politique est la vie de la cité…

Oui mes frères et sœurs, quelque soit le nombre de voix obtenues par un élu, être incapable de modestie est un manque de respect vis-à-vis des autres candidats bien sûr mais vis-à-vis de tous ceux du peuple qui ont voté pour les vaincus.

Vae Victis ne doit pas être un cri de victoire électorale.

Alors à tous, je dis, restez modestes, dans la victoire comme dans la défaite, et vous serez grands en vertu.


Au moment où chaque cotés s’écrient que c’est l’autre le fautif !

A l’heure où chaque camp dira que l’église prend le parti de l’adversaire, comme d’habitude…

Qui peut me dire le quel des deux camps a été vers l’autre en cherchant à savoir pourquoi ?

OUI, je sais, c’est la faute de ceux d’en face, on me l’a dit et répéter ! Ceux d’en face me diront la même chose demain.

A l’inverse de l’humilité il y a la vanité :
Vanitas vanitatum….
Vanitas vanitatum, et omnia vanitas disait un vieux livre. Vanité des vanités, tout est vanité !

Quel profit l'homme retire-t-il de toute la peine qu'il se donne sous le soleil ?
Quel orgueil tire t il d’une gloire éphémère et temporelle ?
Vanité…

Tel qui comme chef d’armée a tué deux hommes et trois alouettes, dont deux étaient cardiaques, se prend pour Alexandre le grand.

Tel qui comme élu par un peuple endormi, n’aura semé que désordre et malheur se prendra pour un grand souverain, pour la lumière du monde, pour Dieu, parfois.

Tel Duc ou Comte ou Souverain qui n’aura que guerroyé sans jamais apporté le bien à son peuple, se croira une icône.

Tel élu ayant eu trois voix de plus que son voisin se prendra pour l’élu du monde, pour un messie !

Tout cela est vain car inutile

Une génération s'en va, une génération arrive, St Admin regarde partir les uns et arriver les autres.
Les arrivants ayant méconnaissance ou oubli de ceux qui les précédaient et la terre subsistent toujours.

Le soleil se lève, le soleil se couche ; il se hâte de retourner à sa place, et de nouveau il se lèvera.
Le vent part vers le midi, il tourne vers le nord ; il tourne et il tourne, et il recommence à tournoyer.
Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est pas remplie, dans le sens où vont les fleuves, les fleuves continuent de couler.

Tout discours est fatigant, on ne peut jamais tout dire. L'œil n'a jamais fini de voir, ni l'oreille d'entendre. L’esprit de vouloir, le cœur d’aimer.

Ce qui a existé, c'est cela qui existera ; ce qui c'est fait, c'est cela qui se fera ; «Nihil novi sub sole »il n'y a rien de nouveau sous le soleil.
Y a-t-il une seule chose dont on dise : « Voilà enfin du nouveau ! » - Non, cela existait déjà dans les siècles passés.

Seulement, il ne reste pas de souvenir d'autrefois ; de même, les événements futurs ne laisseront pas de souvenir après eux.

Alors Pourquoi ? Si la guerre, si la richesse, si le lucre, si les honneurs sont inutiles et vains !
Pourquoi s’adonner au mal quand le bien au moins est agréable ?

Je ne citerais qu’une phrase, non pas de Ste Boulasse, mais dite en parlant d’elle :
• Vraiment une telle félicité ne peut être que divine ! Pardonne nous Boulasse pour notre aveuglement ! (Childehald devant le corps supplicié de la Sainte)
Oui la réponse est là même devant la Ste patronne des vignerons et des taverniers que devant tout homme digne de ce nom.

Le bonheur et la voie à suivre ne se trouvent que dans le bien car il est bien, vu que rien d’autre ne sert mais que nous serons jugés sur nos bienfaits.
“Benefactis proxime ad deos accedimus.”

Alors ?

Alors ne regardez point votre entrejambes, ce n’est pas là que se trouve le centre du monde.

Alors chacun de vous n’est que fourmis, qui est née et mourra comme elle est venue ! Alors l’intérêt de chacun n’a aucune valeur comparé à celui de tous.

Alors commencez par être un être humain digne de ce nom, avant de vouloir être autre chose.

Je vous laisse méditer.

Ce ne sont pas des hommes qui se battent contre des démons…

Mais ce sont des enfants du très hauts qui se battent entre eux.

La guerre à laquelle nous assistons est absurde et chacun le sait, puisse le Très Haut pardonner à ceux qui l’ont voulu.
Mes enfants je vous souhaite que la Paix vienne penser vos blessures.

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Clodeweck
Voilà donc la belle ville de Rennes, et ses fidèles.

Le père suivait le partage.

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Verty
Mère Verty, resta un instant silencieuse puis retourna à l’autel…

L’archevêque commence à préparer l’autel pour le partage du pain,
Récite à voix basse et renouvelle le rituel du partage


Elle continue en disant
Priez mes frères, Nous allons partager le pain, ce partage symbolise que nous partageons aussi les joies, les peines, la vie.
Que lorsque la maladie ou la guerre, la soldatesque ou la famine s’abattent elles ne s’abattent pas sur l’un d’entre nous mais sur nous tous. Symbole que nous partageons tout.


Vient le moment du partage en lui même

Mère Verty, reprend la parole
maintenant, sœurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.


La mère se saisit du calice, le tend vers les fidèles, et en bu.
Certains fidèles ayant apporté du vin le boivent aussi dans la communion puis s'avancent vers l'autel, elle leur distribue les pains, elle invite l’assemblée pour distribuer quelques morceaux du pain rompu et faire boire un peu de vin pour manger et boire.


Suivent quelques instant de méditation

Je terminerai en remerciant les fidèles de la Paroisse qui ont assisté à cette messe.

Elle lit la dernière prière.
Et elle bénit l’assemblée.


Benedíctat vos omnípotens Dominus, et Artistote et Christos et Spíritus Sanctus

L’assemblée répond :

Qu’il en soit ainsi

Ite messa est

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Naoned_riec
Naoned se trouvait dans l'église pour l'office. Il écouta la cérémonie avec attention en silence. fermant les yeux par moment pour prier.
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Maellia_de_kerroch
Il n'y avait plus de curé dans le village. Elle espérait quand même qu'une messe soit célébrée en ce dimanche.
C'est détendue habillée sobrement qu'elle se rendait naturellement comme d'habitude à la messe du messe.
Montant le parvis de l'église, se glisse à l'intérieur prenant place dans les premiers rangs.

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Verty
La cardinale envoya le bedeau sonner les Cloches.



Les cloches résonnèrent dans toute la capitale pour annoncer le début de la messe.
Les fidèles se pressèrent pour ne pas manquer cette cérémonie.

Entrez mes enfants dans la maison du Très Haut.




Elle vit la jeune Maellia, et lui sourit avant de débuter l'office.

Nous ne devons jamais oublier que nous sommes tous enfants du Seigneur et que céder à la colère ou la tentation ne peut mener qu'à la destruction et au chaos.
Et pour cela nous allons nous confesser !


Citation:
Que le Seigneur Tout Puissant et miséricordieux nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Prions. Enlevez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
En suivant l'exemple de Christo ton messie.
Amen

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Maellia_de_kerroch
Les cloches signalaient que la messe allait être dites.
Je me redressais et je me concentrais écoutant l’Éminence et je murmurais la prière tout bas.


- Que le Seigneur Tout Puissant et miséricordieux nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Prions. Enlevez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
En suivant l'exemple de Christo ton messie.
Amen

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Verty


Dans ces temps de doutes et d'hérésie, il nous faut nous retrouver ensemble dans l'Amitié Aristotélicienne.

Commençons par chanter ensemble un petit cantique envers le Très Haut :


Citation:
L'Être Divin qui est Tout Puissant:

J'ai longtemps habité une grotte platonique
Que des ombres mouvantes hantaient comme un château
Et dont les cavités obscures et noir corbeau
Rendaient pareil le soir au jour, le cap au pic.

Mes yeux en zyeutant ce fort troublé tableau
Mêlaient d'une façon païenne et cathartique
Le Tout Puissant, le Juste, l'Amour métaphysique
Aux accords dissonants rapportés par l'écho.

C'est là que j'ai compris, dans une volupté calme,
Grâce à l'Être Divin, l'Universel Moteur,
Que ces spectres fuyants qui me glaçaient le cœur

N'étaient que viles pensées, du vent soufflant des flammes,
Et qu'en raisonnant bien, assumant le bonheur,
Je trouverai la Voie, l'éclatante Lueur.


En effet, de toutes les créatures que Dieu créa, la créature sans nom est celle qui nous cause le plus d'interrogations.

Rappelons-nous d'abord que les créatures que Dieu a créées sont imparfaites, car seul Dieu est parfait.

Dès lors, après la Création, chaque espèce de créatures a évolué sous l'œil bienveillant de Dieu.

A cette époque, chaque créature se croyait la plus aimée de Dieu, car chacune de ces créatures avaient reçues un don unique de Dieu.

Seuls les humains pensaient ne pas être aimés, car ils croyaient ne pas avoir de dons particuliers.

Devant la détresse des humains, Dieu décida de réunir sa création pour poser à Ses créatures la question du sens de la vie.

L'ensemble des créatures de Dieu ne sachant que répondre, restèrent sans voix.

Seule, une créature s'approcha et prit la parole :


La Création VI : La Question a écrit:
Citation:
Elle semblait sûre d’elle et de sa réponse. Toutes les autres espèces lui ouvrirent le passage et, bientôt, un espace se dégagea autour d’elle. Elle leva les yeux vers Dieu, mais son regard était plein de suffisance. Elle répondit: “Tu as fait les créatures animées par le besoin de se nourrir. Tu as fait les forts capables de dévorer les faibles. Sans conteste, il s’agit donc d’assurer la domination du fort sur le faible !”.

Elle ajouta: “J’en veux pour preuve que je suis le dernier représentant de mon espèce. Seul le plus fort a survécu parmi les miens ! Si Tu me nommes “Ton enfant”, je saurai Te montrer qui, de toutes créatures, doit dominer le monde.”

Elle attendit que Dieu la félicite pour sa réponse, mais en vain. Car Il ne lui répondit pas.


Si vous croyez en effet que la force résout les problèmes, vous ne serez jamais en paix et serez toujours dévorés par la vanité et le pouvoir.

Je vous laisse méditer sur ces paroles. Chantons maintenant tous ensemble le Crédo que nous connaissons tous par cœur :




Avant de nous séparer, ceux qui le veulent peuvent venir partager le pain de l'Amitié qui nous uni tous.



Allez en paix mes enfants en ce dimanche.
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