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[RP] Bureau du maire

Lunatak
La jeune femme vit rentrer Jehan, inquiet sur le point de lui révéler quelque chose... Elle l'écouta et resta calme... Lusiana, sa nièce et à présent sa soeur, voulait partir.

Lunatak resta impassible. Les dernières entrevues qu'elles avaient eues ensemble s'étaient révélées très froides à sa grande tristesse. Plusieurs événements étaient survenus depuis sa fameuse absence et cela avait joué sur leur relation...


-Mon ami, je ne peux l'empêcher de partir, soupira-t-elle enfin. Elle fait sa vie et prend ses choix... Si elle veut fermer la clinique, c'est son droit après tout...

Elle baissa la tête. Elle réfléchit...

Que devait-elle faire...?
-fromFRAnonymous
Jéhan n’avait rien à ajouter. Effectivement Dame Lusiana était parfaitement en droit de quitter ses fonctions à la Clinique de la Sagesse. N’était-ce pas elle, qui seule, avait financé, entreprit et créée cette structure, dotant ainsi la ville d’un hôpital digne d’une capitale éclairée. Elle avait porté ce projet seule, et elle seule était en droit de décider de l’avenir de la clinique.
Cependant ce projet était unique dans les royaumes renaissants et méritait d’être poursuivi et soutenu. En tout cas c’était l’avis de Jéhan.
Il enchaîna.donc :

Effectivement rien ne nous autorise à influer sur la décision de Dame Lusiana.
Pavé jeté dans le marasme ambiant… Il s’avança vers la fenêtre du bureau qui donnait sur la ville.
Tu vois cela ?
Lunatak jeta un regard entre deux signatures.
Le château de rennes : Notre Reine Evenice y règne, et à côté de la bannière d’hermine, flotte la bannière des Guérande. Et regarde là plus loin… l’armée "Dizalc'h" commandée elle aussi par un Guérande., commandée par Albatrus. De même encore les bannières d’hermine et de Guérande.
Il se retourne, vers la Bourgmestre.
Toi-même tu es une Guérande et Dame Seigneur Maire de Rennes ? Non ?
Féarn de Guérande, lui-même, est revenu sur ses terres.
Que je sache, ce n’est pas parce que Dame Lusiana a été destituée de son titre de Comtesse de Roscoff que son adoption par Aliénor a été remise en cause ou en question ?
Elle aussi est une Guérande. Et même si elle s’octroie une retraite méritée et légitime, elle est et reste Guérande. Et puis au-delà de tout, elle est toujours la fille de feu François de Dénéré.
Les Dénéré ont toujours soutenu et participé activement à la vie de la Cité.
Cela non plus elle ne peut pas l’oublier.

Il sourit.
Mais le temps de son repos, il faudra administrer la Clinique.
Il eut une très brève hésitation.
L’argent n’est pas un problème. J’y pourvoirais. Mais je n’ai pas les compétences pour.
Il faut connaître la finance, et surtout la médecine, je serais en la matière un très mauvais sénéchal.

Il se frotte le menton.
Bien sur je peux faire appel à des connaissances hors de nos frontières qui m’indiqueront de bons médecins. Mais je préfèrerais m’abstenir et ne pas recourir aux faveurs de cette Dame. Elle est un peu envahissante…
Peut-être Dame Marquise saurait nous indiquer quelqu’un ?

Lunatak était restée silencieuse, chose rare chez la saltimbanque de Rennes.
Maintenant tu pourrais peut-être me dire ce qui te tracasse depuis le début de notre entretien.
Jéhan était appuyé contre le bureau du Maire, les bras croisés. Quand un secrétaire entra, après avoir frappé à la porte, pour récupérer les contrats que Lunatak était en train de signer, Jéhan, qui avait eu le temps de se redresser, savait que le tutoiement n’était plus permis.
Il s’adressa à la Dame de la famille Guérande :

Qu’en pensez-vous Madame ?
Lunatak
Le jeune Bourgemestre l'avait écouté attentivement. Il avait raison sur certains points, mais elle ne savait que lui répondre.

-Il est vrai que Lusiana devient à présent ma soeur après avoir été ma nièce. Mais la décision de ma grand-mère ne regarde qu'elle. Je ne lui ai jamais parlée depuis mon adoption et je m'en porte très bien ainsi, lui confia-t-elle.

La jeune femme maintenait un silence qui devenait presque dérangeant... Elle regarda de nouveau Jehan et soupira. Elle croisa les bras sur le bureau et plongea sa tête entre ses bras durant quelques instants. à la grande surprise de Jehan. Un moment plus tard, elle releva les yeux et luis dit :


- Oui, tu as raison, je crois que Marquise sera la mieux renseignée pour nous indiquer un nouveau médecin pour notre ville... Il faudrait contacter l'armée. Peut-être ont-ils une personne toute qualifiée, pour remplacer Lusie.

La jeune femme s'adossa contre son siège et scruta la réactin de son collègue.
-fromFRAnonymous
Madame,
Rassurez-vous. Nous trouverons les solutions qui conviennent au mieux aux problèmes qui se posent à Roazhon.
Je vais voir avec Dame Marquise comment nous allons poursuivre l'oeuvre de votre soeur.
En ce qui me concerne, honneur des Guérande est sauf.
Madame, si vous me le permettez, je vais me retirer.

Le greffier qui portait nombre de documents à signer était maintenant parti. Aussi Jéhan ne partit pas de suite...
Il déboucha une bouteille de chouchen, et sans mot dire, servit Madame la Maire sans chichi et sans jugement.
En souriant il lui dit :

Piccolons gentillement, maintenant. Ca ne règle rien, mais ça fait du bien.
Cela fait il prit la direction du Conseil.
Marquise66
Ronflant dans le placard des vieux maires de Rennes, qu'on ressortait à l'occasion, quand il fallait faire la fête ou pour les urgences, Marquise fut réveillée brutalement par Jéhan Cotard.

- Non mais suis pas là, ferme la porte, j'aime pas la lumière, je dormais!!!

Afin de la mettre de bonne humeur, il lui tendit un verre de chouchen. Elle se décida alors à sortir de son placard, s'époussetant quelque peu. Elle prit le verre et le regarda, les yeux mi-ouverts, mi-fermés.


- Qu'est ce qui me vaut l'honneur de cette visite?

Il lui expliqua alors brièvement la situation.

- Ah... je vois... Plume? Parchemin? Bon...

Marquise attrapa sa bonne besace fourre tout et trouva ce qui lui fallait. Elle se mit alors assise en tailleur et commença à rédiger un parchemin. Quand elle eut finit, elle le tendit à Jéhan.

- Voila, il ne reste plus qu'à envoyer çà par pigeon. On devrait avoir une réponse dans quelques jours. En attendant, je retourne dormir!

Et Marquise retourna dans son placard.
Marquise66
Totalement frigorifiée, Marquise entra à petites foulées dans la mairie. Elle se dirigea vers la cheminée la plus proche et entreprit d'y raviver ses doigts. Elle croisa alors quelques conseillers-amis qu'elle salua et qui lui indiquèrent que Toyane était dans son bureau.

Elle monta alors les escaliers et s'arrêta devant la porte. Fermant brièvement les yeux, un sourire se dessina sur son visage. Elle leva alors lentement le bras et donna trois coups distincts sur la porte.
-fromFRToYaNe
Toyane, ayant très peu dormi cette nuit, se reposait sur son bureau quand on vint frapper à la porte. Il ouvrit un oeil, puis se releva correctement sur sa chaise. Il rangea un peu, se rhabilla un peu, puis ouvrit le deuxième et dit d'une voix distinct

Entrez!
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Toyane du Puiset n'est plus.

"E Pluribus Unum"
Marquise66
Marquise clencha la porte et passa sa tête dans l'entre-bâillement. Elle dit alors dans un sourire.

- Bien le bonjour monsieur le maire. Je vous dérange?

Elle ouvrit alors la porte en grand et entra dans la pièce, ne quittant pas Toyane des yeux. Elle la referma ensuite et s'y adossa. Elle resta alors quelques instants sans bouger, se contentant de dévorer du regard son fiancé. Enfin, elle dit doucement.

- Tu m'as manqué...
-fromFRToYaNe
Pas très réveillé, Toyane cru au départ qu'il rêvait encore, il se donna donc deux petites claques puis s'aperçut qu'il n'était pas dans ses pensées mais que sa promise était là, devant lui. Il sourit puis la regarda fixement.

Tu m'as manqué également...

Il se leva et partit la rejoindre. Il l'enlaça et l'embrassa tendrement.
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Toyane du Puiset n'est plus.

"E Pluribus Unum"
Marquise66
Marquise répondit son doux baiser et se blottit dans ses bras. Elle ferma les yeux et prit une grande inspiration. Enfin à la maison! Elle les rouvrit et regarda Toyane. Un grand sourire se dessina sur son visage. Elle passa alors son doigt sur les marques d'un dossier sur la joue de son fiancé.

- Je vois que monsieur le maire travaille dur... dit elle en rigolant. Tu t'en sors?
-fromFRToYaNe
Le jeune homme sourit puis leva les yeux en l'air quand elle passa son doigt sur son visage, sentant encore la pression du dossier contre sa joue.

Oh oui... Il travaille très dur, il est plongé dans ses dossiers, si je puis dire ainsi...

Oui j'arrive à m'en sortir. Merci.

Et toi comment ça va?
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Toyane du Puiset n'est plus.

"E Pluribus Unum"
Marquise66
Marquise éclata de rire. C'était effectivement le moins qu'on puisse dire... Elle savait très bien que le fauteuil de maire était très confortable et que les lois étaient parfois très soporifiques, n'aidant pas vraiment à lutter contre le sommeil...

- Mieux maintenant que je suis rentrée. J'ai passé la nuit avec ma fille mais ne l'ai pas encore trop vu. J'espère que je vais pouvoir rattraper un peu le temps perdu. J'ai également vu que ma robe de demoiselle d'honneur m'avait été livrée. Tu te souviens que nous sommes invités au mariage de Myrtillia dimanche mon ange?
pnj
Arrivant sur le marché tardivement, un soir d'automne...

Ayant regard sur le marché, Aakass ne pû s'empécher de rire !

Qu'elle est la position commerciale de la mairie ? ce dit-il ?

Rien à dire en mal
sinon il a tout les faux anciens pour le bien de Rennes et Bretagne à ses trousses , Si on travaille pour la bretagne, j'ai dû mal à saisir les grosses quantités mises sur le marché au détriment des autes qui essayent de progresser dans leur métier !

Qui à mis ces énormes quantités en vente depuis le nouveau mandat du maire, et Pourquoi surtout ?

Aakass fis bras droit, bras comme il se doit à ceux qu'ils avoient croissas, puis s'en alla !
Aak
Marquise66
Entendant quelqu'un grogner en bas des marches de la mairie, Marquise grommela. Qui venait gâcher ses retrouvailles? Après avoir écouté les protestations, Marquise essaya de garder son calme. Elle griffonna un petit mot sur un parchemin, en fit une boulette de papier et le lança sur l'homme en bas qui râlait.

Citation:
Sachez Messir que celui qui vend des denrées en grande quantité n'est autre qu'un Rennais revenu de voyage. Apprenez que nous ne sommes pas en dictature et que nous n'interdisons pas aux gens de vendre. Enfin, il a mis ses denrées au prix maximum, alors rien ne vous empêche de baisser votre marchandise de 0,05 écus, je ne pense pas que vous finirez à la rue pour une baisse si faible.

Sur ce, bonne journée!


Elle retourna dans les bras de Toyane en soupirant.

- On en entend vraiment des bonnes des fois...

Edit pour anachronisme horrible...
-fromFRToYaNe
Toyane sourit.

Tu pourras rattraper le temps perdu, ne t'inquiète pas...

Oui je m'en rappelle. Tu crois quand même pas que j'allais oublié?!

A ce moment, un homme grommela. Toyane fronça les sourcils mais décida de ne rien dire pour savourer les retrouvailles avec Marquise mais elle ne voyait pas ça de la même façon. Elle prit un parchemin marqua un message dessus et le jeta par la fenêtre. Toyane, surpris, la regardait faire, puis il rit quand elle retourna dans ses bras.

Oh... Je ne m'inquiète pas. De toute façon, dès qu'on parle de politique, ça crache son venin... Que ça soit du coté françois comme du coté breton. On pourrait même en comparer certains... Je ne vise personne en particulier... Ils sont tellement nombreux enfin soit, je m'égare un peu, tu n'es pas là pour parler politique.

Toyane lui sourit puis dépose un baiser sur les lèvres de sa promise.
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Toyane du Puiset n'est plus.

"E Pluribus Unum"
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