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[RP] Bureau du maire

Beloythes
Le ton semblait aimable, mais il semblait monter doucement... Comment faire du commerce honnêtement en Bretagne de nos jours!

Pour le pain, je peux en céder une petite centaine au prix convenu la dernière fois!
Pour les meuniers, j'ai un mal fou à les voir en taverne et j'ai un petit stock qui dort encore, mais je ne produis plus de pain tant que je n'en vends plus. J'en garde un centaine d'avance, comme je le faisais naguère quand Marypole était maire. En cas de défaut sur le marché j'en mettrai un peu en vente.


Bref regard à terre pour vérifier qu'il n'y a toujours pas de pièces égarées dans les lames du parquet...
Et occasion de réfléchir à comment faire passer le point suivant qui risque de poser souci.


Au fait, je vous confirme que j'ai fait ma transaction sur le maïs et dans mon ...euh... empressement, dirais je, j'en ai acheté quelques sacs en plus que ce qui n'était prévu.
Mais j'ai pu me débrouiller, tout va bien.

Puis très vite sans reprendre son souffle:
Pour le bois, si je ne boulange plus, je garde le mien et je ne voudrais pas venir vous ennuyer avec cela.
Faudra juste dire à Khenz qu'il y en avait pas mal à 10 écus ce matin sur le marché et je ne me suis pas permis d'aller voir à qui il était!


Pour mon idée de dépot vente, je serai bref c'est un concept que j'ai déja utilisé à St Pol grace à la bienveillance de la défunte Sanzillusion. N'ayant pas de quoi avancer de l'argent, elle produisait du cidre que je lui rachetait à un prix d'ami (je passe les détails ses prix d'amis étaient plus cher que le prix normal...). Bien sur je me fais un petit bénéfice dans l'histoire et tout le monde est content. (sauf la mairesse !)

Grand sourire "commercial"

Le charpentier (Harles) travaille, sans taper dans ses réserves ni dans ses économies, il y a un forgeron qui produit du fer.
La mairie voit de nouveaux objets sur son marché et je ferais remarquer que le bois a été fourni par mes soins! Le prix est bien moins cher que la charette sur le marché.
Bien sur si cette charette se vend facilement, on refais la même opération.
Le duché touche ses parts de taxe sur ces deux ventes!
Bien sur si c'est un ami qui veut la charette il y a possibilité de s'arranger... Sur le délai de livraison^^


Il est pas beau mon plan??

A terme je voudrais faire pareil pour le cidre, aussi j'aimerai avoir accès aux fichiers des artisans de la filière. je suis pour cela intervenu au comptoir du cidre, mais j'ai pas trop de réponse, je me propose de relancer cela sur Rennes. Sachant que le tonneau sur le marché est à moi et qu'il a 15 petits frères qui ne demandent qu'à le rejoindre...
Mais j'ai cru comprendre que nous avons déja de gros exportateurs à Rennes.


J'ai envie en ce moment et je souhaiterai avoir votre opinion sur tout cela (enfin crier pas trop fort pour le maïs!)

Dernier point pour ce soir, je suis en train de créer un syndicat pour abolir les taxes sur les produits de luxe en vue d'en augmenter le commerce. Nom du dit syndicat: le SATAPLU^^

Beloythes était rarement aussi bavard, mais il avait honteusement profité du silence de la mairesse pour tout envoyer en une fois. sa gorge était très séche d'avoir autant parlé et même un petit verre d'au lui aurait fait très plaisir.
Annesolenn_wolback
Anne-solenn écoutait Beloythes en essayant de rester parfaitement attentive.

Il parlait, parlait... et la jeune femme sentait ses yeux se fermer tellement la fatigue l'envahissait. Il aurait dû choisir un autre jour pour lui parler de toutes ces affaires. Quand il parla du maïs, elle dressa l'oreille et sentit son énergie se réveiller, soyez aimable avec les gens et tout de suite ils en profitent.

Quand il mentionna Khenz, elle eut soudain envie de rire. Khenz, le lieutenant de Rennes, n'existait plus que sur les registres de la défense civile. Oh, il avait fait son devoir pendant la guerre, mais n'avait sûrement plus mis les pieds sur le marché depuis des lustres. Belloythes ne le savait pas, mais c'était le maire qui s'occupait du marché et elle avait déjà écrit au contrevenant.

Il continuait à parler! Alors qu'il reprenait son souffle, elle crut qu'il avait fini... mais non, il reprenait de plus belle, du cidre, du bois, des charrettes, il était parti pour ne plus s'arrêter semblait-il. Il avait des tas de choses à dire sur un nombre important de sujets.

Enfin, il s'arrêtait. Avec un soupir de soulagement, Anne-Solenn sortit d'un tiroir de la table un verre propre qu'elle emplit d'eau de la carafe posée à côté de son coude gauche et, sans mot dire, le tendit à Belloythes. Le pauvre homme devait avoir la bouche sèche.

Prenant une profonde inspiration, et la ferme résolution de ne pas parler aussi longtemps que lui, elle prit la parole.


Buvez, buvez, cela vous fera du bien, tenez, je bois aussi, vous entendre m'a donné soif!!

Deux gorgées d'eau claire plus tard, elle reprenait.

Je crois que nous allons oublier l'histoire du maïs... pour une fois!!

Votre projet sur les charrettes ne me dérange pas, tant que vous faites travailler des artisans et leur versez un salaire correct. Mais je ne comprends pas très bien quand vous dites qu'un forgeron produit du fer, vous voulez sans doute dire qu'un forgeron fournit les éléments en fer?
J'espère seulement que vous trouverez des acheteurs.

En ce qui concerne le cidre, nous n'avons ici qu'un seul producteur. Je ne pense pas que Valoche, c'est elle le producteur dont je parle, produise ni exporte une grande quantité de cidre.


Une autre pause gorgées d'eau, peut-être pour se donner le temps de réfléchir à ce qu'elle allait dire. Un froncement de sourcils, comme si quelque chose la gênait.

Vous venez de prononcer un mot des plus bizarres, vous avez dit... synd... syndi ... quoi, grand dieu!!! que c'est irritant ces nouveaux mots qui débarquent de nulle part!! Syndic.... Ah, syndicat!!

Un sourire triomphant.

Oui!! C'est cela, Syndicat!

Un regard intrigué vers Belloythes.

Syndicat, un syndicat... qu'est ce donc au juste?? Comment cet engin peut-il contribuer à abolir les taxes sur les produits de luxe?
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Beloythes
Beloythes prit le verre et but plusieurs gorgées...
Pour le chouchen, on verrait plus tard.
C'est vrai qu'il avait soif à parler comme cela, ce n'était pas son habitude.


Un syndicat, le SATAPLU, qui a déja ouvert un bureau au niveau du chateau (forum partie culture dans l'université).
Bon pour l'instant on est deux^^, c'est un beau début!
Avec Jangofett, nous essayons de faire abolir les taxes sur les produits de luxe qui selon nous gènent gravement le commerce de ces produits.
D'ailleurs si vous voulez nous rejoindre^^

A propos pour Khenz je ne le savais pas qu'il avait quitté ses fonctions de lieutenant du guet, un brave gars qui m'avait déja aidé à ce poste il y a plusieurs années...
Annesolenn_wolback
La mairesse s'apprêtait à se lever pour quitter son bureau, quand Belloythes reprit la parole. Anne-Solenn se cala dans sa chaise et l’écouta jusqu'au bout.

Euhh, je ne vais pas vous rejoindre, car la notion même de syndicat m'échappe complètement. Quant à Khenz, il est toujours lieutenant du gué, mais on ne le voit que lorsque j'ai besoin de la défense civile.

En se levant, elle ajouta:

Je vous invite à boire un verre de chouchen la prochaine fois que nous nous rencontrerons en taverne. Désolée de n'avoir à offrir ici que de l'eau. Kenavo, à bientôt devant un verre.

Les syndicat ne sont apparus en France, et en Bretagne, qu'au 19ème siècle. Anne-Solenn ne sait absolument pas de quoi parle Belloythes

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Beloythes
Beloythes finit son verre rapidement, se leva et salua la mairesse.

Et bien en tout cas merci de m'avoir reçu, je sais que votre temps est précieux...

Après une courte pause.

Si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à me contacter, j'essaierai de vous aider au mieux. Je vais essayer de mener mes projets à bien, je verrai bien ou cela me mène.


Après un dernier salut, Beloythes quitta le coeur gros le bureau de la mairesse de Roazhon.
Anne_claire
Depuis son départ sur Tréguier, et chaque fois qu'il passait en ville de Rennes, Pouilloux avait comme habitude de rentre visite à Anne. Aujourd'hui il choisit de la voir en mairie pour la féliciter pour son nouveau mandat offert par les habitants de la ville.

Demat Marraineeeeeeeeeeeee.... Autant se faire remarquer de suite, son temps est compté.

Pouilloux la regarde derrière son bureau en train d'étudier les chiffres du marché, et de choisir se qu'il faut vendre ou acheter pour faire gagner de l'argent à la ville.
Il contourne le bureau et lui colle deux bises bien sonore sur les joues
.

Félicitation Anne, tu es bien rendu à 11, je ne me trompe pas. Sans lui laisser le temps de répondre il enchaine, les yeux plein de malice. Tu le fais exprès pour ne pas me rendre visite sur Tréguier, c'est cela avoue... Pouilloux rigole en finissant sa phrase.

Il la regarde avec tendresse, tout content de revoir sa Marraine adorée.

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Annesolenn_wolback
Surprise par l'arrivée inattendue de son filleul, Anne-Solenn lâcha aussitôt documents, plumes et calculs, pour l'accueillir chaleureusement.

Pouilloux!! Je suis sûre que tes ouailles n'ont aucun mal à entendre tes sermons depuis le dernier banc de l’église. Tu as une voix qui réveillerait un mort!!

Un éclat de rire et la mairesse lui rendit ses deux bises bruyamment.

Tu sais bien que je te rendrais volontiers visite à Tréguier, mais les Rennais ne veulent pas me laisser partir!! Ah, je suis vraiment contente de te revoir, Pouilloux, tu me manques ici.

Heureusement que nous avons Camille!!


Attrapant Pouilloux par le bras elle l'entraina vers la porte du bureau en riant.

Viens vite, dépêche-toi, allons boire quelque chose en taverne. Camille y vient de temps en temps, peut-être la rencontrerons-nous!!
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Anne_claire
Pouilloux lui tend son bras, et se laisse entrainer dans les rues de Rennes. En deux, Rennes avait peu changé.

Nous allons faire un détour, vers le marché. J'ai voyagé léger, mais je souhaite apporter de quoi participer au repas. Je suis hébergé au Presbytère, que de souvenir que j'ai passé la-bas... Pouilloux la regarde amusé. Tu te souviens lorsque perché sur le mur je te cherchais du regard inquiet si oui ou non tu allais venir avec moi pour préparer mon baptême... Que de chemin parcourru ensemble Anne... Cela est déjà si loin, et me voici curé...

Le tour des étales est rapide, ils savent où trouver les meilleurs produits et c'est sa besace bien remplie qu'ils arrivent à la taverne.
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Guyhom
Guyhom posta une lettre à l'attention de Madcat et s'en retourna chez lui un peu amer...



Bonjorn Madcat,

je viens de m'apercevoir qu'à nouveau nous devons payer des impôts. Encore une fois, je constate que le conseil actuel n'a pas le courage de faire autrement que ce genre de recours financier éculés et injuste. Le système d'Ascoli sur les taxes étaient beaucoup plus juste à mon avis.

Mais je vous écris pour vous dire que si le Duché souhaite la fin des cidreries, il ne s'y prendrait pas autrement. Cela fait deux fois que je dois payer pour ma cidrerie alors que je n'arrive même pas à en vivre. Cela devient critique. Ni le duché, ni la mairie n'achète de cidre. La demande existe pourtant à l'étranger. Or, c'est nous les producteurs qui devont nous débrouiller pour trouver des débouchés en supportant tous les frais (taxes sur toute la chaine de production à savoir le bois, les tonneaux et les fruits plus les impôts!!) et tous les risques, car évidemment nous devons voyager pour cela. Et je ne compte pas le coût du voyage là dedans.

Résultat? les cidreries ferment les unes après les autres et la Bretagne n'exportent plus son produit de luxe au grand bonheur des normands qui eux peuvent bénéficier de tout un royaume pour écouler leur marchandises sans aucun problèmes alors que nous bretons devons le faire en cachette, devont affronter les douanes hostiles à notre présence voir des éventuels procès!

Sérieusement, peut être que le conseil n'en a rien faire de nous! il pense qu'on est riche! la belle affaire! comment peut on être riche si l'on arrive pas à gagner notre vie avec notre métier?

Je demande donc qu'on nous exonère d'impots sur nos cidreries et qu'on détaxe au moins les tonneaux! Ou alors que le duché nous rachète notre production et organise son commerce. Mais si ce dernier n'a pas le courage de le faire, alors qu'il favorise la libre entreprise et l'esprit d'initiative en nous aidant au lieu de nous plomber de frais.

Je vous avoue que j'hésite grandement à payer ces impôts par pure protestation contre cette injustice.

Si vous pouvez faire quelque chose, veuillez transmettre cet appel à l'aide à qui de droit.

Bien à vous

Guyhom d'Olon

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Lambert
Lambert s'avance, se dandine d'un pied sur l'autre face au bureau de la mairesse. Celle-ci semble être accaparée par de la paperasse.
Il se racle la gorge et attend qu'on le remarque.


Demat ... Madame le Maire, (il bute sur les mots)

J'ai lu votre panneau, là à l'entrée, ça fait beaucoup d'littérature !

Mais voyez, comme j'ai profité cette nuit de l'hospitalité de vos cachots (il retire un brin de paille pris dans sa tunique), rapport à ce que j'suis v'nu sans l'sous, j'me suis dit, Lambert mon gars, vaudrait mieux être au courant d'la vie d'la capitale !

Et alors c'est pourquoi j'm'en viens vous voir, rapport à ce que j'ai une charrette de blé à vendre et que j'voudrais pas aller contre vos lois, faire quequ'chose de réhempress... répréss... répréhensible !

Ce blé il a été récolté pendant que je me remettais à Saumur des blessures infligées par ces sournois Tourangeaux alors que je tentais benoitement de traverser l'infâme duché vers le Berry.

Et vu qu'mes finances, elles sont comme qui dirait, à zéro et que l'marché d'Rieux, il est gavé d'blé, j'me suis mis en route pour la capitale en m'disant qu'vous auriez l'usage de ces quelques sacs.

Il reprend son souffle après cette longue tirade
Annesolenn_wolback
Anne-Solenn, penchée sur son registre n'avait pas entendu entrer le nouveau venu. Un toux discrète lui fit lever le nez et elle vit un homme, visiblement intimidé et qui essayait de s'expliquer tant bien que mal.

Voulant le mettre à l'aise, elle lui sourit aimablement et porta toute son attention sur son petit discours. Quand il eut terminé, elle sourit encore, réfléchit un instant et se décida à lui faire une proposition .


Il y a aussi beaucoup de blé à Rennes et je ne sais de combien de sacs vous disposez. Cependant, je peux vous prendre votre blé si vous n'êtes pas trop exigeant sur le prix. Je le prends à 10 écus HT aux paysans qui ont un contrat avec la mairie. Je peux en faire autant pour vous.
A vous devoir.


Toujours souriante pour ne pas l'intimider, elle attendit sa réponse.
_________________
Lambert
J'ai là près d'trois douzaines de sacs, en enlevant ce que j'ai vendu pour payer mon gîte (il compte sur ses doigts) ça doit faire 34 sacs.

Mais su'l'panneau qu'j'ai pris l'temps d'lire, on causait d'autres prix, jusqu'à Dix écus et quatre fois vingt deniers.
Dix écus, avec tout l'mal que j'me suis donné, et puis l'accueil au cachot ... sauf vot' respect Madame, ça m'semble peu !
(Il s'empourpre)
Lambert
Lambert dévisage son interlocutrice en attendant sa proposition.
...
Le mutisme de la mairesse le trouble.
...
Diantre, cette femme sait obtenir ce qu'elle veut, pas étonnant qu'elle se soit hissée à ce poste et s'y maintienne depuis si longtemps !


Hem, j'devrai comprendre là qu'vous m'avez fait là vot' proposition et qu'elle est à prendre où à laisser ? J'veux bien qu'on soit pas su'l'marché mais c't'une drôle d'manière d'négocier ... (ces gens des villes, tout de même, faut rien qu'y fassent comme tout le monde !)
Moi j'vais d'voir m'en r'tourner, j'ai ma ferme qui m'attend, aussi pour avoir fait l'chemin pour rien, j'vous laisse mon blé au prix qu'vous avez dit ...

Kenavo


Il s'incline avant de prendre congé puis, grommelant, il s'en retourne vers sa charrette et entreprend de la décharger avant de repartir vers son village ...
Annesolenn_wolback
(Plusieurs mois ont passé.)

Anne-Solenn, ce matin là, pénétra dans son bureau à la mairie, comme on rentre chez soi, après une longue absence. Le bureau était tel qu'elle l'avait laissé à Ascelin. Rien n'avait changé. Elle adressa au jeune homme un remerciement silencieux. La table était toujours non loin de la fenêtre, pour recevoir jusqu'aux dernières lueurs du jour. La grande armoire, que Fanchette avait cirée jusqu'à ce que ses flancs ressemblent à des miroirs, était toujours à gauche de la cheminée. Le bois de noyer ne brillait plus autant, mais Anne-Solenn savait qu'après le prochain passage de Fanchette, elle pourrait encore arranger sa coiffure en regardant son reflet dans la porte aux bords sculptés.

Mais le siège n'était plus le même, une chaise, au dossier droit et à l'assise inconfortable, avait pris la place de son confortable fauteuil bien rembourré. Elle chercha des yeux le fauteuil en question et le découvrit dans un coin sombre, abandonné comme n'importe quel objet inutile.
En trois enjambées, elle atteignit le coin de la pièce où était relégué le fauteuil et, à grand peine, le traîna derrière la table de travail, où il vint remplacer l’inconfortable siège.

Ce fut seulement lorsqu'elle se retrouva douillettement installée sur les coussins de velours, qu'elle poussa un profond soupir de satisfaction et déclara à voix haute:


Ah, me voilà enfin revenue chez moi!!! J'espère que de nombreux Rennais viendront me rendre visite!!
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Beloythes
Beloythes également de retour sur Rennes avait entendu dire que Madcat avait retrouvé son fauteuil de mairesse. Après avoir rangé le contenu de sa charette et constaté qu'il y aurait des réparations à faire pour la prochaine fois (rassurez vous c'est du RP pour l'instant il n'y a pas encore d'usure pour les charrettes^^), il prit la direction de la mairie.

Après avoir salué le personnel qu'il connaissait pour la plupart il chercha la mairesse dans ses bureaux...

Madame la mairesse heureux de vous retrouver enfin! Félicitation pour votre élection à Roazhon.

Un peu de flatterie ne pouvait causer de tort, même s'il savait que là c'était à magner avec précaution!
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