Tadeus94
Citation:
Alors que les combats font rage et que les passions se déchainent,
Quelques informations, pour vous, bretons de tout poil et de tous horizons!
-Bretagne-
Bientôt, des élections auront lieu et larmée Myosotis de Cassius de Montfort, après avoir stationné à Rennes pour administrer sereinement le Duché, retrouvera sa liberté de mouvement. Elle pourra de ce fait aller prêter main forte sur le front, et laisser la politique bretonne reprendre son cours.
-Normandie-
Une armée alençonnaise ennemie a voici quelques jours monté le camp à Lisieux. Elle fait désormais route pour attaquer nos troupes. Les armées alliées, entretenant courageusement ce front stratégique qui tient les combats loin des frontières du Ponant, se tiennent prêtes à la recevoir.
Il convient de nommer ceux qui chaque jour se tiennent prêts à combattre: Les Pennher ar lug menés par la Duchesse du Rohannais, Sa Grâsce Anastriana de Walsh-Montfort et l'armée de Kastell Paol conduite par le politain Blotus. A leurs côtés se trouvent une armée artésienne et un contingent venu d'Irlande. Déjà, ils ont vaillamment et sans trop de pertes repoussé lattaque dune armée venue de Fécamp aux alentours de Rouen voilà quelques jours.
Depuis le début de laffrontement, les troupes alliées ont perdu 7% de leurs hommes dans la bataille, morts et blessés confondus. Les forces françaises, elles, ont perdu un pourcentage approchant les 60%.
Notons que le 21 septembre, la Bretagne a tendu la main au Duc de Normandie proposant que la Normandie sorte du conflit et lance une consultation populaire sur sa présence dans le Domaine Royal. Content de la situation actuelle, et peu désireux dentendre une autre voix que celle qui, depuis Paris, le régit, le Duc a préféré ignorer notre démarche, et poursuivre ainsi un combat qui aurait pu immédiatement cesser. La décision du Duc a créé la discorde au sein du Conseil Ducal normand: des villes normandes ont fait sécession, comme Bayeux, et certains normands se proposent même de rejoindre les troupes alliées.
Plutôt que daccepter la main tendue pour privilégier le retour à la paix, le Duc normand conduit irrémédiablement son duché à la faillite économique, du fait de l'explosion de ses frais de défense. Les mineurs normands ne sont plus payés, le prestige du duché est en chute constante et les vivres manquent déjà.
Cependant notre combat pour la liberté n'emporte pas nécessairement la destruction de nos ennemis, c'est pourquoi notre proposition tient toujours. La paix, la justice et le bien être des peuples restent les idéaux que nous défendons.
-Anjou-
Après une courte trêve, les combats ont repris à Saumur. La pression des armées françaises sur la ville sest brusquement intensifiée, et les pertes alliées furent nombreuses. Les troupes françaises sont au pied des murs de la ville mais ne sen sont pas encore emparées. Elles ont tenté de sen prendre à Angers, mais en ont été dissuadées par la présence de forces défensives massées autour de la capitale angevine.
Lennemi a donc fait marche arrière et sest replié sur Saumur pour réintégrer ses blessés des jours précédents. Les troupes françaises sont tenues en respect par les artésiens et bretons restés à Thouars, à la frontière entre Poitou et Anjou. Quelles pénètrent trop profondément en Anjou, et elles se couperont de leur retraite en mettant la ville tourangelle de Chinon en danger. Quelles se divisent, et elles seront en nombre insuffisant pour lutter.
- Poitou -
Voilà deux jours, les armées alliées ont attaqué les troupes françoises en partant de Poitiers, leur causant de sérieux dommages, et allégeant de ce fait la pression sur la capitale poitevine. C'est la moitié des effectifs des armées ennemies qui aurait été mise hors d'état de combattre.
- Artois -
Dans le nord, les artésiens postés à Péronne ont offert une magnifique victoire au Ponant! Ils ont en effet anéanti deux armées Champenoises qui assiégeaient Péronne pour le quatrième jour consécutif. Les pertes alliées furent très faibles, renforçant l'éclat de ce succès Les troupes ennemies ont été repoussées jusqu'à Compiègne, abandonnant morts et blessés en nombre sur le champs de bataille.
LArtois a publié un communiqué qui retranscrit mieux que nous ne le pourrions la joie qui est aujourdhui la leur. Nous vous laissons le loisir d'en prendre connaissance.
Dans de très brefs délais, un communiqué sera publié pour vous faire part de la situation au Ponant ainsi qu'en Guyenne.
Que ces mots atteignent ceux qui combattent sur le front afin que de la voix de leurs frères ils reçoivent lécho.
Que ces mots atteignent les bretons restés au pays, qui de par leur action soutiennent léconomie de notre pays alors même quils en assurent la défense.
Aux bretons, soyez remerciés.
Certains luttent là-bas pour éviter des incursions ennemies en nos terres, dautres luttent ici pour soutenir leffort de guerre et protéger nos terres. Le tout forme un ensemble uni et solidaire, tableau cohérent pour une Bretagne en harmonie que nous sommes fiers de peindre avec vous.
E Roazhon, d'ar Sul 2 a viz Here 1459
Pour le Grand Duc de Bretagne, Elfyn de Montfort,
Pour le conseil provisoire,
Chimera de Dénéré-Malines
Alors que les combats font rage et que les passions se déchainent,
Quelques informations, pour vous, bretons de tout poil et de tous horizons!
-Bretagne-
Bientôt, des élections auront lieu et larmée Myosotis de Cassius de Montfort, après avoir stationné à Rennes pour administrer sereinement le Duché, retrouvera sa liberté de mouvement. Elle pourra de ce fait aller prêter main forte sur le front, et laisser la politique bretonne reprendre son cours.
-Normandie-
Une armée alençonnaise ennemie a voici quelques jours monté le camp à Lisieux. Elle fait désormais route pour attaquer nos troupes. Les armées alliées, entretenant courageusement ce front stratégique qui tient les combats loin des frontières du Ponant, se tiennent prêtes à la recevoir.
Il convient de nommer ceux qui chaque jour se tiennent prêts à combattre: Les Pennher ar lug menés par la Duchesse du Rohannais, Sa Grâsce Anastriana de Walsh-Montfort et l'armée de Kastell Paol conduite par le politain Blotus. A leurs côtés se trouvent une armée artésienne et un contingent venu d'Irlande. Déjà, ils ont vaillamment et sans trop de pertes repoussé lattaque dune armée venue de Fécamp aux alentours de Rouen voilà quelques jours.
Depuis le début de laffrontement, les troupes alliées ont perdu 7% de leurs hommes dans la bataille, morts et blessés confondus. Les forces françaises, elles, ont perdu un pourcentage approchant les 60%.
Notons que le 21 septembre, la Bretagne a tendu la main au Duc de Normandie proposant que la Normandie sorte du conflit et lance une consultation populaire sur sa présence dans le Domaine Royal. Content de la situation actuelle, et peu désireux dentendre une autre voix que celle qui, depuis Paris, le régit, le Duc a préféré ignorer notre démarche, et poursuivre ainsi un combat qui aurait pu immédiatement cesser. La décision du Duc a créé la discorde au sein du Conseil Ducal normand: des villes normandes ont fait sécession, comme Bayeux, et certains normands se proposent même de rejoindre les troupes alliées.
Plutôt que daccepter la main tendue pour privilégier le retour à la paix, le Duc normand conduit irrémédiablement son duché à la faillite économique, du fait de l'explosion de ses frais de défense. Les mineurs normands ne sont plus payés, le prestige du duché est en chute constante et les vivres manquent déjà.
Cependant notre combat pour la liberté n'emporte pas nécessairement la destruction de nos ennemis, c'est pourquoi notre proposition tient toujours. La paix, la justice et le bien être des peuples restent les idéaux que nous défendons.
-Anjou-
Après une courte trêve, les combats ont repris à Saumur. La pression des armées françaises sur la ville sest brusquement intensifiée, et les pertes alliées furent nombreuses. Les troupes françaises sont au pied des murs de la ville mais ne sen sont pas encore emparées. Elles ont tenté de sen prendre à Angers, mais en ont été dissuadées par la présence de forces défensives massées autour de la capitale angevine.
Lennemi a donc fait marche arrière et sest replié sur Saumur pour réintégrer ses blessés des jours précédents. Les troupes françaises sont tenues en respect par les artésiens et bretons restés à Thouars, à la frontière entre Poitou et Anjou. Quelles pénètrent trop profondément en Anjou, et elles se couperont de leur retraite en mettant la ville tourangelle de Chinon en danger. Quelles se divisent, et elles seront en nombre insuffisant pour lutter.
- Poitou -
Voilà deux jours, les armées alliées ont attaqué les troupes françoises en partant de Poitiers, leur causant de sérieux dommages, et allégeant de ce fait la pression sur la capitale poitevine. C'est la moitié des effectifs des armées ennemies qui aurait été mise hors d'état de combattre.
- Artois -
Dans le nord, les artésiens postés à Péronne ont offert une magnifique victoire au Ponant! Ils ont en effet anéanti deux armées Champenoises qui assiégeaient Péronne pour le quatrième jour consécutif. Les pertes alliées furent très faibles, renforçant l'éclat de ce succès Les troupes ennemies ont été repoussées jusqu'à Compiègne, abandonnant morts et blessés en nombre sur le champs de bataille.
LArtois a publié un communiqué qui retranscrit mieux que nous ne le pourrions la joie qui est aujourdhui la leur. Nous vous laissons le loisir d'en prendre connaissance.
Dans de très brefs délais, un communiqué sera publié pour vous faire part de la situation au Ponant ainsi qu'en Guyenne.
Que ces mots atteignent ceux qui combattent sur le front afin que de la voix de leurs frères ils reçoivent lécho.
Que ces mots atteignent les bretons restés au pays, qui de par leur action soutiennent léconomie de notre pays alors même quils en assurent la défense.
Aux bretons, soyez remerciés.
Certains luttent là-bas pour éviter des incursions ennemies en nos terres, dautres luttent ici pour soutenir leffort de guerre et protéger nos terres. Le tout forme un ensemble uni et solidaire, tableau cohérent pour une Bretagne en harmonie que nous sommes fiers de peindre avec vous.
E Roazhon, d'ar Sul 2 a viz Here 1459
Pour le Grand Duc de Bretagne, Elfyn de Montfort,
Pour le conseil provisoire,
Chimera de Dénéré-Malines