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[RP] La Grande Salle des Fêtes de Rennes

Soeur_audrey
C'est après une lettre de ma bonne amie Lena, que je connaissais depuis belle lurette, que je sortis du couvent où je logeais, exerçant ma fonction de nonne, sans pour autant y rester cloîtrée à prier et à coudre. Enfin bref, me voilà, la sublime brune aux habits de bonne soeur, qui déambule afin de trouver "la toute nouvelle salle des fêtes imaginée par Anne, à qui d'ailleurs j'aimerais proposer mon aide à l'aménagement car il en faut". Son aide à l'aménagement ! Dans l'état où elle est ! Non mais, faut pas non plus pousser mémé dans les orties ... Elle ne sera pas capable de porter une chaise sans s'essoufler. Je lui ait écrit, il est hors de question qu'elle ne se fatigue, j'irais à sa place. Et puis, une bonne soeur au travail ça vaut toujours mieux qu'une femme enceinte. Comment ça, balivernes ? Vous allez voir.

Demat d'an holl, je viens aider !

Remontant ses manches, la belle brune sourit à tous.

Du travail pour moi ?
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Madcat
Anne-solenn avait abandonné son gros baluchon dans les mains de Robinn avec soulagement. Décidément elle en faisait toujours trop, à se croire indestructible elle allait finir par se rendre malade, comme disait Robinn.

En entrant elle avait remarqué le regard noir que le jeune palefrenier jetait à son époux. Qu'a-t-il encore fait, pensa-t-elle, pour que Robinn ait l'air de vouloir l'envoyer au diable?

Contrariée, elle secoua la tête, décidément ses serviteurs commençaient à l'agacer. Elle avait pensé qu'en quittant la Gascogne et en s'installant en Bretagne, le pays d'origine d'Armaël et le sien aussi, ses fidèles serviteurs voudraient bien cesser de croire le jeune homme capable de tous les méfaits.
Mais il n'en était rien. Elle se promit d'avoir une conversation sérieuse avec Robinn et Fanchette.

Elle en était là de ses réflexions quand une voix claire et bien timbrée salua la compagnie:


Citation:

Demat d'an holl, je viens aider !


L'intendante se retourna vers l'arrivante et vit, grâce au costume, qu'elle avait affaire à une nonne. Elle s'empressa de se porter au devant de la religieuse en souriant.

Demat, ma soeur, c'est le Très Haut qui vous envoie!! J'accepte votre aide avec reconnaissance.

Désignant les baluchons déposés sur une table par Robinn, Fanchette et Thibaude, elle ajouta:

Vous allez nous aider à suspendre les tentures et à étendre les nappes sur les tables installées par les hommes. Ensuite il restera à mettre en place boissons et victuailles. Et tout sera prêt pour l'ouverture du bal!!

Sur ces mots, sans autres explications, elle prit un ballot de linge sur la table, le mit dans les bras de la nonne et, avec un sourire d'excuse à son intention, se tourna vers Fanchette pour continuer à distribuer ses ordres.
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Soeur_audrey
[Avant de lire ceci, merci de bien vouloir considérer que je ne suis pas nonne de mon plein gré.]

Je souris légèrement, alors que tout le monde se retournait à mon arrivée, et j'appréciais qu'aucun homme ne me jetât de regard gourmands - à savoir cependant si, mon dos tourné les yeux ne se posent sur mon popotin bien formé...- comme ceux que je recevais dans les rues. Et puis je suis bien bonne soeur, bon Dieu ! Enfin même si j'ai déjà dépassé un peu les bornes avec père André ... 'Fin ça il ne faut pas le dire. Bref, je souris, un joli sourire bienveillant qu'on attend d'une nonne -tout dans le paru- et salue celle que je comprend être la superviseur de l'amménagement.

Demat, ma soeur, c'est le Très Haut qui vous envoie!! J'accepte votre aide avec reconnaissance.

Demat, ma fille. Oui, le Très-haut, comme vous dites.
Allez zou, qu'on me donne du travail, j'ai de l'énergie à revendre !


J'aurais ajouté que je n'étais pas là pour parler du Très-Haut -on me rabachait déjà assez avec ce gugusse- si je ne devais pas paraître convenable devant les amis de Lena. Rebelle ? Si peu.

Vous allez nous aider à suspendre les tentures et à étendre les nappes sur les tables installées par les hommes. Ensuite il restera à mettre en place boissons et victuailles. Et tout sera prêt pour l'ouverture du bal!!

Ces explications me suffirent, et je ne fut victime d'aucun étonnement lorsqu'une pile de nappes m'atterirent dans les bras. Je trouvais une table encore nue, et criait à qui voulait bien m'entendre :

Si quelqu'un voulait bien se mettre de l'autre côté de la table et tirer sur les coins de la nappe, ce serait gentil, trgarez !

Et je pris deux coins de la nappe blanche, levant les bras vigoureusement pour étaler le tissus sur la table.
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Madcat
Anne-Solenn regardait du coin de l'oeil cette drôle de bonne sœur, qui jetait des regards gourmands vers l'élément masculin de l'assistance. Non mais, se demandait la jeune femme,c'est déjà une déguisée ou une vraie bonne sœur qui nous arrive là?

Mais la nonne appelait déjà à l'aide et Anne Solenn abandonna Fanchette et Thibaude à leurs travaux pour aider la religieuse à étaler la nappe sur la grande table.

Déjà la nappe survolait la table, lancée par les bras vigoureux de l'étrange Sœur Audrey. Une pensée traversa soudain l'esprit de l'intendante, n'avait-elle point affaire à une sœur évadée de son couvent pour assister au bal?

Haussant les épaules, Anne Solenn attrapa la nappe au vol et aidée de la nonnette l'étala convenablement sur la grande table.


Tirez bien ma sœur!! il ne faut pas un pli!! Je ne voudrais pas que les plats se renversent!!

Une bonne heure passa encore, la bonne soeur travaillait comme un homme de pont dans la force de l'âge. Rien ne semblait la rebuter. Anne Solenn, le front baigné de sueur, s'arrêta enfin et regarda autour d'elle avec un gros soupir d’épuisement.

Elle poussa alors une exclamation de surprise émerveillée. La vieille bâtisse rébarbative du père Le Guenn était devenu une grande salle accueillante. Les tentures cachaient les vieux murs de pierre. Des chandelles disposées ça et là éclairaient tables, sièges et décorations prêtées par d'aimables familles Rennaises. La jeune femme battit des mains en criant d'une voix joyeuse:


Bravo à tous et à toutes, nous y sommes arrivés, la salle des fêtes est prête, un bal aura lieu ce soir à Rennes!!

Sortant plusieurs bouteilles de chouchen de derrière une table, elle les déboucha et commença à remplir les gobelets disposés sur une autre table. Quand tous furent enfin remplis, elle en prit un, qu'elle leva en invitant les bénévoles et les serviteurs à se joindre à elle.

Irmat, mes amis, à Rennes, à Breizh et à nous tous!! allez tous vous changer, revêtez vos déguisements. Mesdames faites vous belles, la salle des fêtes ouvrira ses portes ce soir à 22h30!


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Fanchette


La salle des fêtes était silencieuse, les joyeux bénévoles étaient rentrés chez eux pour revêtir les déguisements préparés depuis des jours. Même Robinn et Thibaude avaient déserté la salle des fêtes. Anne-Solenn les avait autorisés à se travestir. Ils n'auraient raté le bal pour rien au monde. Tout le monde était invité, même les domestiques et les vagabonds.

Seule Fanchette était restée, la vieille servante n'avait aucune envie de ressembler à ce qu'elle n'était pas. C'était bon pour les grands de ce monde, et si le petit peuple était invité, c'était uniquement parce que la sa Dame Anne Solenn était trop gentille. Fanchette pensait que chacun doit rester à sa place.

Ce soir là sa place était à côté de la grande table où devaient s'étaler victuailles et boissons. Elle était là pour tout disposer harmonieusement de façon à aiguiser l'appétit des invités.

Comme d'habitude , la vieille servante grommelait entre ses dents.


C'est y pas malheureux, vont s'en mettre plein la panse tous ces goinfres! Et j' vous dis point c'qui va s' boir' pendant l'bal!!! Ah! L'est pas bien not' Dame' d'inviter tout l'mond' . Ell' va l'regretter pour sûr!!

Tout en maugréant elle avait continué à travailler et quand, les mains sur les hanches, elle observa le résultat de ses efforts, elle marmonna à son intention quelques compliments d'une voix bourrue, mais satisfaite.

Ah, ben vlà qu' est ben beau!! S'ra content' not' Dam, mais faudra qu'elle arriv' avant tout l'monde, les gloutons et les soulards y vont avoir tôt fait d'tout démolir!





Soudain la porte de la salle s'ouvrit et Fanchette ouvrit de grands yeux éblouis. La troupe des ménestrels engagés par Anne-Solenn était enfin arrivée. Tout en jouant un petit air guilleret, ils entrèrent dans la salle et s'installèrent, chacun d'entre eux passant devant Fanchette et la saluant comme une reine.

Pour une fois, la vieille grincheuse ne trouva rien de désagréable à dire, elle se contenta de répondre avec son plus gracieux sourire aux saluts et révérences des musiciens. Tout était prêt, le bal pouvait commencer.


--Le_baron_de_la_nuit
Il marchait en direction de la salle des fêtes nouvellement inaugurée. On l'avait invité en bonne et due forme mais il s'averait qu'il avait betement perdu son carton d'invitation... Il arrivait donc dans sa tenue de bal, les gens devaient bien avoir peur de lui! Tout vetu de noir il ressemblait à un brigant. Il espèrait quand même qu'on ne le prenne pas vraiment pour ça, sinon il serait arreté...
Appercevant la toiture de la salle il poussa un soupir de soulagement, pas d'arrestation pour ce soir! Le vigile devant la porte le détailla de la tête aux pieds:




Puis le laissa entrer dans l'immense hall. Des tables étaient placées en cercle et sur celles ci on pouvait voir une multitude de mets et d'alcool. Voyant qu'il était le premier arrivé, il attendit avant de se servir que les autres arrivent...
--La.courtisane.au.lezard


Chevelure.
Tenue.
Manières.
... Femme.
Tout doit changer.
L'ivresse du mystère m'habite, personne ne me connaîtra. Est ce que
je connais quelqu'un ? Non, personne. Je ne suis plus moi. Je me regarde
dans le miroir : ce n'est plus moi.
C'est la courtisane au lézard. Sublime, les hommes veulent un sourire
de moi, une faveur. Etrange, on m'observe dès que j'entre. Je vous regarde,
je vous enchante, perdez vous donc dans mes prunelles d'émeraude, à vos risques
et périls, puisque vous n'en reviendrez jamais. Osez approcher votre main sans mon
accord, Lézard siffle et crache. Retirez la décement et je lui caresse le cou, le voilà
calmé. C'est tout. Ce sont les règles. Mes règles.

Bonsoir.

L'homme à l'entrée me laisse entrer sans hésiter. Normal. On ne me refuse absolument
rien. Un pas retentit dans la salle, et la voilà entrée.

Bonsoir.

Celui ci, je l'adresse à l'homme en noir adossé conter un mur ? Sera-t-il aussi captivé
que les autre ? Mystère ...
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La Courtisane au Lézard

Je ne suis pas un putain, j'ai du style.
Coco
entra dans la salle

Demat,

je me presente je suis Sir coco


--Keriadec



Keriadec se frottait les mains. Enfin les invités arrivaient. La Dame Wolback l'avait engagé pour veiller au bon déroulement de la soirée, car elle même voulait participer comme tout le monde, c'est à dire déguisée et masquée.

Il avait été intendant dans un grand château et il s'y entendait à recevoir les gens de qualité... les autres aussi!! Gare à ceux qui se permettraient quelques débordements, Keriadec veillait.

Il s'approcha des nouveaux arrivants, s'inclina bien bas devant la dame, salua l'homme respectueusement, quand une voix de stentor retentit dans la salle à moitié vide.


Citation:
Demat,

je me presente je suis Sir coco


Outré, le vieil homme se tourna brusquement vers la porte et vit entrer une espèce d'énergumène masqué, vêtu comme un seigneur, mais se comportant comme un soudard. Il s'approcha du nouveau venu et le salua respectueusement, en lui disant d'une voix polie mais ferme:

Noz vat, Messire, nul besoin de vous présenter. Tous les invités sont ici incognito. Si vous voulez vous restaurer venez donc près du buffet. Il y tout ce que vous pouvez désirer. Commencerez-vous par un verre de vin ou un verre de chouchen?
Bzbzzzz
Un bal costumé en ville, voilà qui mettrait de l'ambiance et ferait un peu oublier la guerre , dériderait les valeureux soldats et ferait se rencontrer les citadins qui sortiraient pour s'y rendre.


Elle avait eut de suite l'idée de ce costume, l'avait fabriqué de ses petites mains expertes, et la voilà en route vers la Salle des fêtes.

Elle entra, après avoir subit un examen très détaillé de la part du garde qui officiait à l'entrée de la Salle et laissa errer son regard dans la salle, une belle dame, un messire élégant, et....Coco..qui ne semblait pas avoir comprit qu'un bal masqué, c'était pour ne pas qu'on le reconnaisse..et qui criait à qui voulait l'entendre qu'il était Coco

Bzbzzzz alla prendre une coupe et y goûta tout en se dirigeant vers la belle dame, la salua :

Bonjour, dame , je suis Bzbzzz, l'abeille butineuse qui vous adoucit la gorge de son bon miel..

Malakh
Un bal a Rennes et dans la nouvelle salle des fêtes en plus. Quoi de mieux pour faire la fête? En plus il fais beau dehors ce qui fais que son costume n'est pas mouillé d'un poil! C'est rare en Bretagne. pour l'occasion il s'était vraiment fait tout beau tout propre comme le personnage qu'il devras joué durant la soirée. En effet le déguisement qu'il a choisi était celui d'un Ange. Et le nom qu'il as choisi était évidemment celui d'un Ange qui avait été envoyer sur Terre par Dieu. Enfin voila a quoi il ressemblait maintenant



Et avec son masque blanc comme neige il entra dans la salle et regarda les gens qui était déjà arriver et vit qu'il y avait encore peu de monde. Il alla donc prendre un verre au niveau de la table. Pour un Ange il commençait bien! Un premier péché dans la soirée. Enfin bon c'est pas grave il n'est Ange que pour la soirée de toute façon. Il alla donc vers deux dame qui était déjà là et se présenta.

Noz vat mesdames. Je suis Mal'akh. Ravi de vous rencontré
--Strange


Le Monde de Strange s'arrète avec la limite que lui offre son imagination, et tous ceux qui l'ont croisé, savent qu'elle peut être grande.

Un oiseau de proie comme fidèle ami, un baton ornée comme cane ou arme, c'est selon la personne en face. Et surtout un âge qui lui permet de se faire traiter d'égoiste par les Fossoyeurs et croques mort.

Pour le vigile de l'entrée:

Malgré la pluie, les nuages poursuivent leur route.

Avale ça ducon, et que ta digestion soit bonne. Le garde avait échappé a ses cruelles attaques, car Strange manie un art spécial, celui d'embrouiller, de faire perdre les repères. Mais le temps que le vigile commence à réfléchir à la phrase le vieillard est déjà dans la salle des fêtes. Un oeil à droite, un autre sur le buffet, la salle commence à se remplir.

Il s'approche d'un ange, et lui dit.

Je pense que désormais ça sera comme dorénavant. Et que si ça continue il faudra que ça cesse.

Surtout garder son sérieux, ne rien montrer. Rester dans son personnage et y croire le plus longtemps possible

Il apperçoit une fort jolie abeille, et retient en la voyant un "quel con j'aurai du venir en fleur pour me faire butiner;"

Il tend son bras, celui avec le rapace, et se présente.

Gentes participant, Strange pour vous ravir. il s'incline devant les gens. N'ayez peur de la bète; il montre le rapace et ajoute dans sa folie, je suis céant pour vous ravir, et non vous envahir, seulement en quète de plaisir, et cela sans rougir, que sans trembler je peux vous dire, que nulle montagne est impossible à gravir, Arf, ça manque de pieds tout cela, manque de régularité.

Strange, aime les regards qui se posent sur lui et son animal. Mais ne voullant de concurence il le renvois par la fenêtre. Plus fort qu'un pigeon, le rapace.

Hier il était petit, et aujourd'hui, il n'a pas grandi, car il m'obéit

Le manque de pied, toujour ce manque de pied, il risquait de se faire découvrir, car ces poèsies manquait de travail.
--Le_baron_de_la_nuit

Il avait attendu patiament, c'est qu'il avait hate de faire la fête! Une Dame lézard était arrivée peu après lui, puis un certain Coco, une abeille et un ange. Tous les costumes était beaux en soi, mais pour lui ce qui comptait c'était la fête! On lui dit bonsoir, il répondit amicalement puis entendant les musiciens commencer leur mélodie il s'approchat de la Dame au lézard, sans tremblement dans sa voix, il lui prit la main et lui demanda:

Noz vat gente Dame, voulez vous rendre heureux un homme en dansant avec lui?
--Vampirita


Vampirita avait envie de s'amuser. Tout le monde sait que les vampires ne sortent que la nuit. Même par temps de pluie, le soleil caché derrière les nuages peut leur être fatal. La chipie avait dormi toute la journée et se trouvait en pleine forme pour jouer quelque tour à un humain imprudent.

Le bal donné par la mairie de Rennes pour l'inauguration de la salle des fêtes, lui parut une excellente occasion. Elle revêtit son plus beau costume, mit un loup noir surmontés de plumes pour cacher son identité et essaya de dissimuler ses canines, trop longues pour être celles d'un humain. Peine perdue, elle était trop jeune pour savoir rentrer ses canines, tant pis, si elle effrayait la population elle aurait tôt fait de s'enfuir dans la nuit.

Elle entra discrètement dans la salle des fêtes, regarda autour d'elle et aperçut le buffet bien garni dans un coin de la salle. Les vampires ne mangent pas, mais Vampirita n'était pas comme les autres, aussi prit elle le chemin du buffet pour satisfaire sa gourmandise. Mais, sur son chemin, se dressa un Ange, ses ailes immaculées effleurèrent le bras de Vampirita. Elle fit un bond en arrière, comme s'il l'avait brûlée et s'empressa de s'éloigner de cette présence dangereuse.

Un vieillard barbu au regard vif, mais tenant des propos insensés, se tenait près d'une fenêtre et lâchait un oiseau de proie dans le ciel étoilé. La vampirette s'éloigna prestement de lui, il ressemblait à Merlin l'enchanteur, et elle n'avait aucune envie de le rencontrer.

Elle arriva enfin près d'un bel homme brun, grand et bien bâti qui tenait la main d'une dame qui tardait à lui répondre. Audacieuse comme toujours, Vampirita s'approcha et lui murmura à l'oreille:


Monseigneur, laissez la dame au lézard avec sa bébête, elle vous dédaigne. Je suis là, Vampirita pour vous servir. Me ferez vous l'honneur de me faire danser cette gavotte?
--La.courtisane.au.lezard


À peine eus-je le temps de saluer une pétillante abeille, un bel ange
(que je me gardais pour la fin) et un vieux fauconnier qui racontais
n'importe quoi, et de boire la moitié de coupe d'un délicieux élixir,
qu'un beau brun, tout de sombre vêtu, s'avança vaillamment, vers
elle, avant de lui prendre la main ... Premier harpon de la soirée,
et il n'avait pas mauvaise mine ... Je lui offris un doux sourire, et
sans parole aucune pris sa main de la mienne gantée, afin de
l'emmener vers la piste de danse. Mais voilà qu'une... une ...
une aguicheuse aux dents taillées essayait de lui voler son cavalier,
alors que je faisais tout dans la finesse... La rivalité, je
connaissais bien, chez les courtisanes de la cour, elle était de mise.
Alors me voilà, qui la fusille du regard, oh oui, ce regard vert bien
aiguisé qui vous pénètre et détruit les plus faibles, c'est celui de la
manipulatrice sans scrupules.

Cet homme a déjà une cavalière, dis
je d'un ton sifflant mais bien caché derrière son sourire moqueur,
vous devrez attendre la prochaine danse, j'en ai
peur.


Première arrivée, première servie ... aussi je l'entraîne sur la piste de
danse, avec grâce. Je lui glissait quelques secondes plus tard :

Je suis la Courtisane au Lézard. Comment vous
appelle-t-on, Sire ?

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La Courtisane au Lézard

Je ne suis pas un putain, j'ai du style.
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