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[RP] Joutes de St Michel du Lavardin 1460

Hersent
Elle n'avait pas passé les huitième de finale, comme d'habitude diront certains habitués des tournois, avait assisté en tribune à la chute et élimination de sa filliote Suzette qu'elle était allée soigner au campement. Une fois le bleu bien nettoyé et surtout bien tartiné de baume, elle revint, avec Suzette, assiter dans les tribune à la suite du tournoi.

C'est qu'il y avait toujours à apprendre en regardant les jouteurs combattre... et puis, l'ambiance des gradins valait celle de la lice, un autre style mais le coeur battait tout autant la chamade: forcément, on avait ses chouchous, ses préférés que l'on souhaitait voir parvenir en finale.

Toujours vêtue de sa tenue irlandaise , elle s'installa donc avec une Suzette qui ne râlait pas trop, ou alors c'était intérieur, pour jouir du spectacle grandiose des galops effrénés et des bris tonitruants de lances.

Elle salua la duchesse, Sa Grasce Linoa, qu'elle avait comme professeur d'héraldique à Belrupt... une discipline où les pièges et les subtilités foisonnaient au grand désespoir des élèves... finalement c'était de la torture mentale l'héraldique mais tellement passionnant que ma foi on oubliait les souffrances... et puis il n'y avait pas de sable à déguster quand on se fourvoyait.

Regards concentrés sur les duels... Diantre le duc régnant de Bourgogne semblait être en forme olympique... il était beau comme un demi dieu et plus d'une damoiselle devait se pâmer devant sa prestance et sa puissance lors de ses combats.

Par contre, là où elle fut estomaquée, à la limite de l'évanouissement, c'est lorsqu'elle vit sa "bête noire" des joutes se retrouver à terre... mince, un moment d'angoisse, pourvu que le Chevalier licorneux se relevât sans blessure! Soupir de soulagement, le duc chenu mais encore vert n'avait rien... sauf sans doute son orgueil.

L'ancien connétable de Champagne, avec qui elle avait eu moult prises de becs, enchaînait les victoires. Il semblait bien parti, lui aussi pour se hisser en finale, ce qu'elle espérait car il était un des meilleurs jouteurs du royaume et un des plus "fair play" comme disent les Anglois.

Ils faisaient en sorte de s'éviter depuis le triste incident avec Le Griffon lors d'un voyage vers Compiègne... son GES et elle s'en voulaient toujours, mais le mal avait été fait et les blessures trop cruelles pour être trop vite oubliées. Elle se promit que lors d'un tournoi prochain, elle oserait venir saluer le jeune couple champenois quitte à se faire éconduire, au moins elle tenterait un geste d'apaisement.


Dis Suzette??? Comment trouves-tu ces joutes, hormis le fait que ce soit rageant de se faire éliminer si tôt? Tu vois, moi j'aime bien pouvoir admirer les duels et applaudir les passes subtiles et les beaux combats. De plus, ça me permet de sortir mes tenues féminines mais chuuut.

Les cris et les encouragements fusaient de la tribune, pour un peu, elle aurait oublié les bonnes manières en criant à l'unisson de ses voisins, mais bon, il fallait savoir raison garder et savoir-vivre montrer.
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Lanfeust86
Citation:
Que s'avancent sur la lice, Lanfeust de Troy, Duc Consort du Bourbonnais Auvergne et Sepa Von Strass, Seigneur de la Croix près Bléré.



Première lance...
Les jouteurs se présentent sur le bord de la lice, Minerve donne le départ.
Ils prennent un bon départ ni trop lent, ni trop rapide, les lances s'abaissent et...Manquent leurs cibles respectives.

Seconde lance...
un demi tour en bout de lice et les voilà sur le chemin de la lice, ils ajustent leurs lances, le duc rate de peu le seigneur, qui voit l'opportunité et en profite, il touche, et brise sa lance. Le duc s'en retrouve désarçonné, et chute sur le sable de la lice. Mauvaise chute, Minerve se précipite pour voir ce qu'il en est. Après quelques instants d'observation, elle fait signe aux médicastres de se hâter, il est blessé légèrement au cou.


Sepa Von Strass est déclaré vainqueur.


Après avoir fêté, sans abus, son passage des 16èmes des joutes du Lavardin, le Duc Consort du Bourbonnais Auvergne se préparait pour la suite des évènements.
Il fallait dire que cela changeait de d'habitude même si c'était loin d'être gagné pour la suite. Mais bon il gagnait en expérience.
A nouveau revêtu de son armure, il enfourcha sa monture pour prendre la direction de la lice. Les tribunes se remplissaient, les étendards colorés flottaient au vent un peu partout, on sentait également différents sentiments au sein des jouteurs : anxiété, concentration, fierté...
Le casque sous le bras, il attendait que Minerve annonce les nouveaux duels, ce qui arriva rapidement. Il affrontait un von Strass.

Les précédents duels commencèrent, et une fois que ce fut son tour, il mit son heaume et se plaça en bout de lice.
Une lance dans une main, un bouclier dans l'autre, il ne reste plus qu'à attendre le départ. A nouveau il pointe sa lance vers ses filles, abaisse la visière et s'élance...
Toutefois le premier échange ne fut pas concluant, les deux jouteurs se jaugeaient, aussi le rouquin se concentra rapidement avant de s'élancer à nouveau contre son adversaire.
A nouveau il rate le Von Strass mais cette fois ci, cela ne se passe pas bien pour lui. La lance de son adversaire se brise contre lui et il se sent glisser de sa selle sans rien pouvoir faire.
Le choc sur le sol est rude mais il se réceptionne plutôt mal, une douleur au cou se fait alors sentir.
Lanfeust sent alors une personne approcher mais il ne la distingue pas, voyant quelque peu trouble sous l'effet du choc et de la blessure. Des voix, des personnes approchent, on l'attrape, le soulève et puis plus rien...

Il se réveille rapidement sous une tente, un homme, un médecin surement à côté de lui. La douleur au cou toujours présente.

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Mamaion
Mamaion et ses enfants sortirent de la tente de son cousin en même tant que toutes les autres personnes. On en finissait plus de se raconter nos histoires, anecdotes en tout genre, c'est que tout une vie sans se voir, ça prend pas 5min à se raconter! Toute la famille allèrent s'installer dans les tribunes. Mamaion s'assis à côté des filles de son cousin et garda un oeil très attentif sur ses enfants, surtout le jeune homme, c'est qu'il était tout excité d'être ici!

Et voilà que les joutes commençaient. Les noms des participants furent énoncés, elle en reconnu quelques uns. Les combats de ces personnes, elle les regarda avec attention. Plusieurs orléanais étaient ici, un peu chauvine sur les bords, elle était fière de leurs victoires!

Puis ce fut au tour de son cousin, Lanfeust de Troy. Il s'élança plusieurs fois avant de gagner son premier combat. Elle applaudit et encouragea aussi fort que ses voisines. Oula! il y avait de l'ambiance aux joutes!

Puis deuxième tour pour le cousin, il s'élança encore et encore avant de tomber et perdre le combat. Zut! Mamaion poussa un cri de terreur et courru à l'infirmerie voir si tout allait bien. Son instinct maternel reprenait le dessus. Elle était très inquiète. Elle enjoignit ses enfants de rester en dehors de la tente, trois jeunes femmes suffisent emplement dans une infirmerie pour faire du bruit!
Constance..
La jeune femme qui avait crié de peur pour son père une fois celui-ci a terre, partit en hâte avec Mamaion la cousine de la famille.
Elle arrivèrent toutes deux sous la tente en compagnie d'Héloise. Tout en questionnant le médicastre et embrassant leur père.


Père ? Père ? C'est nous ! Réponds ! Dis nous quelque chose !!!

La jeune femme qui était d'un naturel très calme et serein, perdait toutes sa sereineté là. Et paniquait complètement. Bien qu'elle savait que sa soeur était là, et qu'il fallait qu'elle se montre calme. Mais là, elle ne le pouvait pas. Pas de suite. Pas tant qu'il n'aura pas répondu.

Puis elle s'entretint avec le médicastre.


Comment va-t'il ? Qu'est-ce qu'il a ? Il va s'en tirer ? C'est grave ?

Après avoir discuté calmement avec ce médicastre, elle revint vers Heloïse et Mamaion.

Bon, Père va s'en remettre, ce n'est rien de grave. Il lui faudra du repos. Le choc l'a un peu assommé, mais sa blessure n'est pas grave et ne met pas sa vie en danger.
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Aimelin
[Quarts de finale]


Citation:
Que s'avancent sur la lice, Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne et Heimdal von Strass, Duc de Courtomer, seigneur d'Augnax et Belleville-sur-vie.



Première lance....
Les deux jouteurs font signe qu'ils sont prêts et Minerve agite son drapeau.
Les chevaux hennissent et filent comme le vent, les lances s'abaissent, se croisent et touchent!!!!!! Mais aucune ne se brise. Les jouteurs, bien préparés, restent en selle.

Seconde lance...
Ils prennent à nouveau le chemin de la lice, mais cette fois-ci sans résultat. Personne ne touche.

Troisième lance...
Un demi-tour et repartent, déjà ils sont à bonne hauteur, les lances s'ajustent, se croisent, et touchent une fois de plus, les lances se brisent en mille petits bris de bois.
Le Duc chute en bout de lice sans se blessé heureusement.


Aimelin de Millelieues est déclaré vainqueur.



- Trop penser me font amours dormir ne puis..*
- se.. seigneur .. il .. f.. fau..
- Ernest ne me déranges pas quand je me concentre
- m.. mai.. s… seign…
- chut te dis je…


Les yeux fermés, le jeune ébouriffé chantonnait, moyen pour lui d’évacuer l’anxiété qui s’installait depuis qu’il attendait en bord de lice. Encore quelques combats, il lui fallait résister pour que cette fois il touche du bout de sa lance les ét..

- Se.. seigneur

Les mirettes grises se posèrent froidement sur le garde qui tenait Altaïr par la bride.

- je t’ai dit de ne p…
- Que s'avancent sur la lice, Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne et Heimdal von Strass, Duc de Courtomer, seigneur d'Augnax et Belleville-sur-vie.


La voix de l’annonceur lui fit froncer les sourcils et il donna une petite tape de sa main gantée sur la tête de son garde avant de mettre son étalon au pas… tu ne pouvais pas m’avertir non ?... sans se soucier, ne le voyant d'ailleurs pas, du regard plein de reproches qu'Ernest lui adressait. Un salut à Minerve avant d’aller se placer en bout de lice.

Une pression pour lancer son étalon au signal et abaisser sa lance qui fait mouche mais tel le roseau ne rompt pas…

Un deuxième passage un peu plus rapide sans que sa lance ne puisse toucher l’adversaire. Le Très Haut devait être avec lui puisqu’il ne sent aucun choc non plus. Faire ralentir Altaïr et contourner la lice pour s’élancer à nouveau avec un peu plus de force. Ce coups ci il ressent le choc de l’impact, resserre un peu plus son assise tandis que sa lance vole en éclats. Il se retourne, arrivé en bout de lice et pousse un soupir de soulagement en voyant le Duc à terre.

Il revient à sa hauteur le saluer, comme toujours qu'il perde ou qu'il gagne.


- merci pour cette joute votre Grâce
J’espère ne point vous avoir blessé


Il avait tendance à blesser ses adversaires, bien malgré lui ces temps ci. Et puis il regagne le bord de lice.

Son prochain duel ne sera pas de tout repos selon le vainqueur et il allait avoir besoin de toute sa motivation et détermination pour passer le tour suivant. Heureusement sa fiancée et Célénya le soutenaient dans un public qui n’avait sans doute d’yeux que pour les hauts nobles.



* chanson médiévale
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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Deedlitt
Sonnez bucines voilà la suite.

Demi-finales.

Citation:
Que s'avancent sur la lice, Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne et Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute.



Première lance...
Les deux jouteurs arrivent en bord de lice et font signe qu'ils sont prêts, Minerve leur donne le départ.
Les chevaux filent avec la rapidité du vent, les lances s'ajustent, se croisent et touchent! Dans un vacarme assourdissant elles se brisent en mille petits bris de bois. Choc violent, qui envoie au sol les deux adversaires. Le public retient son souffle, le seigneur de relève sans blessure alors que le Marquis souffre d'une blessure moyenne au bras. Cela ne le mettait pas en position d'abandon, mais la suite s'annonce compliquée.

Pendant les écuyers et médicastre font leurs offices, Minerve rappelle les règles.


Si les deux jouteurs chutent sans que l'on puisse les départager par le nombre de bris de lance, s'en suivra un duel à l'épée. Le premier arrivant à quatre touches ou mettant son adversaire hors d'état de combattre sera déclaré vainqueur.

Première passe...
C'est le seigneur qui donne l'assaut, touchant son adversaire à la jambe, un coup porté avec force, le marquis est blessé une fois de plus et cette fois ci gravement. Il est forcé d'abandonné le combat. Joute sanglante pensa Minerve.


Aimelin de Millelieues est déclaré vainqueur par abandon.



Citation:
Que s'avancent sur la lice, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne et Sepa Von Strass, Seigneur de la Croix près Bléré.



Première lance...
Les deux jouteurs se présentent, Minerve abaisse son drapeau et les voilà partis!
Les lances s'abaissent, se croisent et touchent! Les deux lances se brisent, et les jouteurs restent en selle. Entame musclée!

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et ca repart! Cette fois ci c'est le seigneur qui touche et qui ne laisse pas la possibilité au duc de faire pareil. Il brisent sa lance sur l'écu du duc, celui ci déséquilibré chute en bout de lice. Un mauvaise chute ! Il fait signe, et Minerve à son tour prévient les médicastres, il est blessé moyennement à la hanche.


Sepa Von Strass est déclaré vainqueur.

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Deedlitt
Une peite mise à jour du panneau pour annoncer la finale.

Oyez Oyez, voici les noms des deux jouteurs qui s'affronteront pour la grande finale du Tournoi du Lavardin 1460 !

Citation:
Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne affrontera Sepa Von Strass, Seigneur de la Croix près Bléré.


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Sepa
Citation:
Que s'avancent sur la lice, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne et Sepa Von Strass, Seigneur de la Croix près Bléré.



Première lance...
Les deux jouteurs se présentent, Minerve abaisse son drapeau et les voilà partis!
Les lances s'abaissent, se croisent et touchent! Les deux lances se brisent, et les jouteurs restent en selle. Entame musclée!

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et ca repart! Cette fois ci c'est le seigneur qui touche et qui ne laisse pas la possibilité au duc de faire pareil. Il brisent sa lance sur l'écu du duc, celui ci déséquilibré chute en bout de lice. Un mauvaise chute ! Il fait signe, et Minerve à son tour prévient les médicastres, il est blessé moyennement à la hanche.


Sepa Von Strass est déclaré vainqueur.


Sepa s'était placé de manière à voir la première demi finale et on peut dire que le résultat n'était pas au mieux, les médicastres étaient beaucoup demandé en ces joutes. C'était à son tour et il se plaça au départ attendant le début du duel.

Casque,bouclier en place, coup de talons pour faire galoper l'étalon et avec son œil, il visa l'adversaire, les lances se brisèrent et les éclats volèrent. Demi tour et son adversaire était aussi en selle. Il prit la deuxième lance et hop de nouveau. Il devait pas y aller en tendresse cette fois et vlan, ça touche à nouveau.

Arrivé au bout, demi tour et Sepa descendit de l'équidé. Encore un adversaire de blessé, eh bin, il n'en avait loupé aucun. Il alla prendre des nouvelles de son adversaire avant de retourner se préparer avant la grande finale.

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Niall
Citation:
Que s'avancent sur la lice, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne et Sepa Von Strass, Seigneur de la Croix près Bléré.



Première lance...
Les deux jouteurs se présentent, Minerve abaisse son drapeau et les voilà partis!
Les lances s'abaissent, se croisent et touchent! Les deux lances se brisent, et les jouteurs restent en selle. Entame musclée!

Seconde lance...
Un demi tour en bout de lice et ca repart! Cette fois ci c'est le seigneur qui touche et qui ne laisse pas la possibilité au duc de faire pareil. Il brisent sa lance sur l'écu du duc, celui ci déséquilibré chute en bout de lice. Un mauvaise chute ! Il fait signe, et Minerve à son tour prévient les médicastres, il est blessé moyennement à la hanche.


Sepa Von Strass est déclaré vainqueur.


Demie finale ! Rien que ce mot ça donnait a rêver pour Niall qui n'avait même pas espéré passer son premier tour en le voyant tomber contre le Duc qui était chez lui. Mais il avait vaillamment continué. Et ce jusqu'aux demie finales et il espérait bien aller jusqu'au bout.
C'est donc bien revigoré qu'il avait entamé cette joute avec Sepa. Il se prenait a rêver et lança Asgard au galop pour l'hallali.

Première passe et il faut dire qu'ils n'y avaient pas été de main morte ni l'un ni l'autre. Les deux avaient touchés au but mais ils avaient tous les réussis a rester en selle.
Deuxième passe se sera alors. Surement trop confiant Niall avait du surement se laisser déconcentrer tout seul. A moins que ce ne soit l'expérience de son adversaire qui parle. Toujours est il que Sepa le toucha de plein fouet alors que lui ne toucha que le néant. Il essaya par tous les moyens de rester en selle mais le déséquilibre provoqué par le choc vu trop grand et Niall tomba du haut de son frison.

Niall tomba mal et il senti un grande douleur. Il serra les dents. Pris quelques instant pour reprendre ses esprits , leva la main et essaya de se relever. Peine perdu la douleur l'en empêcha et sa hanche flancha , le sol se déroba sous ses pieds et il retomba lourdement sur le sol.

Sepa arrivant à sa hauteur il lui fit signe que ça irait et Niall attendit patiemment que les médicastres viennent le chercher pour au moins réduire sa douleur.

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Aimelin
Citation:
Que s'avancent sur la lice, Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne et Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute.



Première lance...
Les deux jouteurs arrivent en bord de lice et font signe qu'ils sont prêts, Minerve leur donne le départ.
Les chevaux filent avec la rapidité du vent, les lances s'ajustent, se croisent et touchent! Dans un vacarme assourdissant elles se brisent en mille petits bris de bois. Choc violent, qui envoie au sol les deux adversaires. Le public retient son souffle, le seigneur de relève sans blessure alors que le Marquis souffre d'une blessure moyenne au bras. Cela ne le mettait pas en position d'abandon, mais la suite s'annonce compliquée.

Pendant les écuyers et médicastre font leurs offices, Minerve rappelle les règles.


Si les deux jouteurs chutent sans que l'on puisse les départager par le nombre de bris de lance, s'en suivra un duel à l'épée. Le premier arrivant à quatre touches ou mettant son adversaire hors d'état de combattre sera déclaré vainqueur.

Première passe...
C'est le seigneur qui donne l'assaut, touchant son adversaire à la jambe, un coup porté avec force, le marquis est blessé une fois de plus et cette fois ci gravement. Il est forcé d'abandonné le combat. Joute sanglante pensa Minerve.


Aimelin de Millelieues est déclaré vainqueur par abandon.


Les duels se succédaient pour le jeune ébouriffé, depuis les éliminatoires. Des femmes, des hauts nobles et voila que maintenant, arrivait un gros morceau. Non que le Marquis était gros, mais il faisait parti des figures du Royaume du moins l’une des rares qu’il avait eu l’occasion de cotoyer lors de son premier mandat de connétable champenois, quand l’homme surveillait la bonne marche du conseil. Une grimace tandis qu’il pose son bacinet sur sa tête, parce que ailleurs c’est moins pratique et moins efficace, et qu’il tente de faire le vide, chose bien difficile à ce moment là, tant de choses y faisant farandole.

Il jette un regard vers les tribunes, y devine sa blonde fiancée qui doit encore s’angoisser même si elle dit être fière de lui. Si les joutes sont un amusement bien étrange, elles sont aussi une bonne occasion de se blesser ou blesser ses adversaires, et ce côté était bien moins amusant. Il entre sur la lice comme à son habitude, se saisit de la lance et va saluer Minerve avant de se mettre en place. Le silence dont il s’entoure n’est troublé que par sa respiration et celle d’Altaïr.

Au signal, le jeune cavalier ne retient pas la fougue de son étalon qui s’envole presque, martelant le sol de ses sabots. Genoux qui se ressèrent sur ses flancs, main qui se fait plus ferme sur la lance qui s’abaisse, déterminée à toucher son but.
Il grimace sous la violence du coup qu’il a porté et celui reçu qui le déséquilibre. Il tente en vain de rester en selle, mais choit lourdement au bas de sa monture. Quelques secondes avant de réagir et de se mettre à genoux pour ensuite se relever, tout en faisant l’inventaire de ses os, et constater rassurer, hormis quelques douleurs dûes à la chute, qu’il ne s’était pas blessé.

Un regard et une grimace en enlevant son bacinet, et voyant le Marquis avoir fait comme lui ce qui voulait dire qu’il était bon pour une confrontation par les armes.

L'attaque est la meilleure des défenses, alors il applique le dicton à la lettre, et lance son attaque. Persuadé que le Marquis ne lui laissera aucune chance de marquer un point, il ne retient pas sa force et dirige sa lame vers la jambe de son adversaire et le blesse. Blessure qui le contraint à l’abandon.

Un peu contrarié de l’avoir blessé, et semblait il sérieusement, mais il n’avait pas été soldat et lame pour rien, le jeune Etampes s’approche tandis que le médecin s’affaire.


Votre Seigneurie j’espère que tout ira bienben oui il fallait bien trouver quelque chose à dire je n’ai pas senti ma force et vous prie de m’excuser.

Ca n’enlèverait pas la blessure physique, mais il n’aimait pas blesser ses adversaires, hormis sur un champ de bataille.

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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Vonlichtenchein


16ème


Citation:
Que s'avancent sur la lice, Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar, seigneur de Brassac et Aimbaud de Josselinière, Marquis de Nemours, Duc de Corbigny, Seigneur de Decize et Saint Robert.



Première lance...
Les deux jouteurs s'avancent et se saluent, Minerve donne le signal de départ.
Ils s'élancent les lancent s'abaissent se croisent... Et ce sera tout pour ce tour là.

Seconde lance...
Un demi tour... On prend les mêmes et on recommence. Personne ne touche

Troisième lance...
C'est le seigneur qui donne l'assaut pour cette lance, il touche et brise sa lance sur l'écu de son adversaire. Le marquis lui manque sa cible mais reste en selle.


Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar est déclaré vainqueur.


Encore un de ces tournoi sans sa Douce, il avait moins d'attrait pour lui, mais il se devait d'être présent à celui-ci, il venait plus pour les ôtes que pour autre chose, prenant connaissance du duel qui l'attendait, il reprit direction de sa tente pour se préparer physiquement et psychologiquement. Tout un travail avant de venir prendre place en lice.

A l'annonce de son nom, il se mit en place, enfila son heaume, salua son adversaire avant de prendre la lance qui lui était tendu.
Il abaissa sa visière et signala qu'il était prêt pour le départ.

Signal donné, il lança son destrier cherchant la faille dans la défense de son adversaire, le premier passage fut celui d'analyse.
Il se remit en place pensant avoir trouvé le geste à faire pour toucher son adversaire, il relança son destrier et essaya de toucher l'écu, manqué de peu, le prochain coup sera le bon.

Un demi-tour et c'est repartit, cette fois il ne manqua pas sa cible, de plus il brisa sa lance, il jeta rapidement un oeil dans la direction de son adversaire, il ne tomba pas, tant mieux moins de risque de blessure, il jeta son restant de lance pour s'approcher du Marquis.


Je vous remercie pour cette échange et vous souhaite plus de chance à l'avenir.



8ème


Citation:
Que s'avancent sur la lice, Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar, seigneur de Brassac et Guillaume de Jeneffe, Duc de Saint-Ouen, vicomte de Marchiennes, seigneur de Wavrin, chevalier de l'Ordre Royal de la Licorne, Grand Ecuyer de France.



Première lance...
Ca allait pas être de la tarte pour le chevaucheur Minerve. Les jouteurs font signent qu'ils sont prêts, Minerve secoue son drapeau, et c'est partiiiii !
Le Grand écuyer ne laisse pas son adversaire préparer son coup, il touche, brise sa lance et fait chuter le seigneur. Celui-ci sonné, met quelques instants à se relevé, il n'est pas blessé.


Guillaume de Jeneffe est déclaré vainqueur.


A l'annonce des 8ème, il pouffa un coup, il n'aimait guère ce que lui réservé ce duel, il se dirigea donc vers sa tente, pour comme au premier tour se préparer le corps et l'esprit, surtout face à un jouteur comme le Grand Escuyer.

Le moment étant arrivé, il se dirigea vers la Lice, repassant certain passage de joute dans sa tête.
Se mit en position, s'équipa en conséquence, il fit signe qu'il était prêt enfin comme on pouvait l'être malgré tout.
Il lança son cheval, abaissant sa lance, se répétant mentalement le geste à faire, mais au moment donné, il n'avait guère réfléchit que le Grand Escuyer lui aussi allait tacher de s'appliquer dans son geste, qu'il prit de plein fouet, se sentant partir, il préféra lâcher les rennes plus tôt que de tenter un quelconque rattrapage.

Le choc avec le sol le sonna un instant, il se mit d'abord à quatre patte en secouant la tête pour se remettre les idée en place, se redressant finalement pour retirer son heaume, suivit de la venu du Grand Escuyer.

Il lui sourit avant de répondre.


Se fut également un plaisir et vous souhaite bonne continuation.
J'ai grande hâte de recroiser la lance avec vous, en espérant vous donner plus de difficulté la prochaine fois.

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Deedlitt
Citation:
Que s'avancent sur la lice, Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne et Sepa Von Strass, Seigneur de la Croix près Bléré.



Première lance...
Les deux jouteurs se font face, Minerve donne le départ, les chevaux filent comme le vent, et c'est dans un grand fracas le seigneur champenois touche et brise sa lance sur l'écu de son adversaire. Celui-ci tient bon sur sa selle.

Seconde lance....
Un demi tour en bout de lice, les voilà repartis, ils s'élancent l'un vers l'autre, les lances se croisent, s'abaissent, et c'est encore le seigneur champenois qui touche et brise sa lance, sans que son adversaire ne puisse le toucher. Ce dernier ne peut se maintenir sur sa monture, il chute en bout de lice. Il fait signe, pas de blessure.


Aimelin de Millelieues est déclaré vainqueur du Tournoi du Lavardin 1460. Acclamez le Champion !


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Alienor_vastel
[Juste avant la finale, au campement]

Si pour la blondinette, son parcours aux joutes du Lavardin s'était arrêté prématurément, il n'en était pas de même pour son fiancé, et Aliénor avait assisté dans les tribunes et avec un plaisir non dissimulé, aux victoires successives du Seigneur d'Etampes le menant, tour après tour, en finale.

Alors que le moment de la grande finale approchait, elle s'était éclipsée hors de leur tente pour le laisser se préparer tranquillement, le laissant aux bons soins d'Ernest qui avait l'habitude de l'équiper de sa brigandine. Elle savait combien ce moment était important, qu'il puisse faire le vide, se concentrer sur le duel qu'il allait mener ; d'autant plus important que l'enjeu était grand.
Mains croisées derrière son dos, elle faisait les cent pas, laissant ses pervenches balayer les campements de plus en plus clairsemés à mesure que la compétition avançait, puis qui revinrent vers le pan de toile qui venait de s'effacer devant Aimelin. Quelques pas pour le rejoindre, sourire aux lèvres masquant son inquiétude et sa nervosité, enlaçant le jeune homme en même temps qu'elle plongeait ses pervenches dans les mirettes grises.


Tu sais que quel que soit le résultat de cette joute, tu n'auras pas démérité. Et qu'importe le rang de noblesse lorsque les cavaliers s'élancent, c'est la vaillance et le courage qui priment, et ça je sais que tu en as à revendre !
Je suis fière de toi, et pour toi, et je suis sure que ta suzeraine le sera aussi lorsqu'elle saura jusqu'où tu as porté ses couleurs.


Et de rapprocher encore son visage pour venir lui sussurer au creux de l'oreille, laissant son doigt glisser négligemment le long de la brigandine Et si tu gagnes... je ferai remplir le baquet d'eau bien chaude, et je me chargerai... personnellement... de remplacer Ernest pour te retirer cette chose-là...

Certes, elle l'avait déjà fait une fois, le déséquiper, aux joutes de Chaumont l'an précédent, mais elle n'avait pas réitéré depuis. Et comme elle n'avait pas, comme Maltea lors du trophée Minerve, de morceau d'étoffe à lui donner en gage de sa parole, aussi Aliénor opta-t-elle plus simplement pour un chaud baiser empli de douces promesses. Avant de le laisser respirer et d'ajouter, malicieuse Pour ajouter la chance à tes qualités de jouteurs

Puis de faire volte face en riant, gardant le goût de ses lèvres sur les siennes, et de s'éloigner d'un pas agile dans la direction des tribunes.

Sa proposition, alliée à la détermination et la résolution qu'elle avait lues dans le regard du jeune homme, suffirait-elle à son succès ? C'était ce qu'elle allait bientôt savoir.

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Aimelin
Ce coup ci il était en finale, il n'avait pas failli et il repensa aux grandes écuries en mars 59 ces joutes où il avait rencontré la fille de Magdeleine, jeune femme qui aujourd'hui partageait sa vie. Cette année là il était sorti victorieux de ces joutes prestigieuses et avait enchainé avec le trophée minerve en devenant champion de Champagne. Chaque victoire était pour lui un pur bonheur, chaque défaite une déception mais qui lui donnait le gout de persévérer davantage.

Aujourd'hui partagé entre le désir de vouloir triompher pour lui, pour sa blonde, et pour sa suzeraine et celui d'arriver à gérer une défaite, il est anxieu comme souvent lorsque quelque chose d'important lui tombe sur les épaules. Et puis ce n'est pas chose facile, au milieu de tout ce beau monde lorsqu'on est un modeste seigneur et un gars réservé.

"Et qu'importe le rang de noblesse lorsque les cavaliers s'élancent, c'est la vaillance et le courage qui priment..."... les paroles d'Aliénor tournent dans sa tête. Il lui a parlé de son inquiétude, comme à chaque fois qu'il joute et doute de beaucoup de choses, et puis du fait qu'il n'était qu'un petit jouant dans la cour des grands. Elle l'a rassuré comme toujours, du moins elle a tenté.

Il sourit en sentant sur ses lèvres le goût des siennes et c'est l'appel des jouteurs qui le tire une fois de plus, et la dernière pour le Lavardin, de ses pensées et il laisse son fidèle merens à robe sombre entrer en lice, lentement, tandis qu'il se saisit de la lance qu'on lui tend. Il se dirige vers Minerve qu'il salue puis dirige Altaïr vers les tribunes face à Aliénor qu'il a repérée, et lève sa lance vers elle. Cette joute sera pour elle, qu'il la perde ou la gagne.

Une fois en place, il rabaisse sa visière et laisse ses prunelles grises se poser en fond de lice là où se tient celui qui comme lui a fait un beau parcours pour se hisser en finale. Les drapeaux s'abaissent et déjà il ne pense plus à rien, concentré sur une seule chose... l'écu qui fond sur lui.


yep yep !

Il encourage son étalon, resserre ses jambes sur ses flancs et se penche légèrement en abaissant sa lance, l'accompagnant dans le coup qu'elle porte et qui la voit voler en éclat. Juste un regard arrivé en bout de lice pour apercevoir son adversaire toujours en selle. Nul doute qu'il a en face de lui un très bon cavalier. Il se débarrasse de la lance brisée et attrape la nouvelle.

Il se remet en place, le regard fixé sur sa cible. Il lui faut frapper plus fort et c'est énergiquement qu'il intime l'ordre du galop à son étalon qui n'attendait que ça.
Un galop puissant et rapide qu'il contrôle de ses jambes pendant qu'il abaisse à nouveau sa lance bien décidé à toucher une autre fois. Il a perdu bêtement au Tournel, a été déçu, il ne commettra pas deux fois la même erreur et c'est à nouveau en accompagnant sa lance d'un mouvement d'épaule qu'il la projette avec toute sa force contre l'écu adverse.

Il encaisse le coup lorsqu'elle se brise et laisse Altaïr ralentir son galop avant de se retourner en bout de lice et d'apercevoir le Seigneur à terre. Un soupir de soulagement tandis qu'il lève ce qui lui reste de sa lance vers Aliénor, un sourire indescriptible sous son bacinet.

Il est heureux, il a réussi ! Il revient vers son adversaire après avoir enlevé son bacinet et le salut.


merci pour cette finale Seigneur
et bravo à vous aussi d'être arrivé tout au bout.


Un sourire s'affiche sur son visage, puis il va saluer Minerve avant de laisser ses mirettes chercher un visage qui doit lui aussi afficher un beau sourire, et sans doute aussi, du soulagement.
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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Lexhor
Citation:
Que s'avancent sur la lice, Heimdal von Strass, Duc de Courtomer, seigneur d'Augnax et Belleville-sur-vie et Lexhor d'Amahir, dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Château Landon, d'Auneau et de Yèvre-le-Chastel, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et pair de France.



Première lance...
Les deux jouteurs se présentent en bord de lice, Minerve abaisse son drapeau.
Ils filent comme le vent l'un vers l'autre... Et bon ben le vent ca file et ca brise pas de lance.
Personne ne touche.

Seconde lance...
Plus décidés que jamais ils prennent le chemin de la lice.. Et décidément ils ont du mal à s'ajuster... Puisque là encore personne ne touche.

Troisième lance...
Un demi tour et concentré ce coup là ! Les chevaux sont talonnés, le Pair manque sa cible, alors que le Duc Alençonnais touche et brise sa lance, expérience de l'Orléanais, ou manque de jus de son adversaire. Le Pair reste en selle. Une lance brisée à zéro.


Heimdal von Strass est déclaré vainqueur.


Huitièmes de finale. On était encore loin de la fin du Tournois. Mais c'était déjà un tour de passé et il fallait maintenant poursuivre, malgré la série de mauvais tournois que réalisait le duc.

Il se mit en place et s'élança ai signal de l'arbitre. Première passe à blanc, la seconde à l'identique. En bout de lice, le duc hoche la tête, dépité du piètre spectacle offert.

La troisième lance ne fut guère mieux. Personne ne tombe, mais Minerve annonce la défaite du pair. Ce dernier fit demi-tour pour apercevoir l'extrémité de la lance de son adversaire, à peine brisée, mais brisée tout de même. Le coup ne l'avait pourtant pas projeté à terre. Il sortait par la toute petite porte du tournois.

De colère et de déception, le duc retira son heaume et le lança violemment par terre.


Foutre dieu, quel piètre duel!

Il secoua la tête en direction de son écuyer, avant d'avancer vers son adversaire et d'incliner la tête, l'écoutant.

Vous êtes bien conciliant messire. On ne peux pas dire que j'ai offert une prestation de qualité. On ne peut pas dire que le spectacle ait été à la hauteur de l'évènement.
Mais ainsi vont les tournois. Je vous félicite et vous souhaite bon courage pour la suite du tournois.


Nouvelle inclinaison de la tête, avant de quitter la lice, et le Lavardin.
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