Damelin
Lin avait sursauté au :
-« Alors !!! Cest pas en restant les bras croisés quil va se soigner hein !!! »
Elle la considera froidement et ne répondit pas à l'incartade. En revanche, elle ne pu s'empêcher de répondre à
-« Un coup de main peut-être ? Ou bien la vision de son bras vous fait perdre tous vos moyens ?
Me dites pas que le gosse vous perturbe. Cest une excellente leçon pour lui. Y a rien de mieux que lécole de la vie, avec tout ce qui va avec. Pas vrai ? »
Se laissant envahir par une colère difficile à maîtriser, elle sourit cependant, en ironisant franchement.
Bien sûr, si je suis infirmière c'est parce que j'ai peur de blessures pareilles ... D'ailleurs vous voyez bien que je suis sur le point de tomber dans les pommes ... Sérieusement, l'enfant sort, ou Ael a un bras en moins, c'est vous qui voyez.
Elle resta silencieuse, un certain sourire demeurant sur ses lèvres. Puis l'accès de colère lui revint lorsque la rousse s'exclama :
-« Allez allez ma cocotte !!! On sréveille !!
Bordel tes censé soigner non ?
Alors tes états dâmes tu les mets de côté !
Bouge ton cul !!! »
Elle tonna d'une voix sombre, en essayant de se mesurer assez vainement, il faut le reconnaître :
La cocotte elle va reprendre ses affaires et se barrer en laissant ton homme pourrir si tu ne cède pas à sa demande. Ceci n'est pas une question d'état d'âme mais de savoir vivre, qui vous est étranger.
Je suis infirmière, pas un esclave à votre service. Je viens vous aider, et non subir vos ordres. Alors mon "cul", comme vous dites, se bougera uniquement lorsque l'enfant sera dehors, ou, s'il ne le fait pas, repartira d'ici.
Ses yeux verts lançaient des éclairs et, les bras toujours croisés elle fixait, furibonde, la rousse qui n'en faisait qu'à sa tête. Elle la vit se tourner vers la table et se faire un visage avenant avant de déclarer en souriant :
-« Bon ! Très chère heu Damelin. Que vous faut-il pour commencer ? »
A cela, Lin eu deux envies en une. Hurler de rire ou bien éclater de colère. Elle n'en fit rien. Elle bouillonnait. Comprenant que la femme rousse avait profondément peur pour Aël, elle répondit à son sourire par un autre et lança d'une voix ferme et autoritaire :
Que l'enfant sorte et que vous me laissiez faire.
-« Alors !!! Cest pas en restant les bras croisés quil va se soigner hein !!! »
Elle la considera froidement et ne répondit pas à l'incartade. En revanche, elle ne pu s'empêcher de répondre à
-« Un coup de main peut-être ? Ou bien la vision de son bras vous fait perdre tous vos moyens ?
Me dites pas que le gosse vous perturbe. Cest une excellente leçon pour lui. Y a rien de mieux que lécole de la vie, avec tout ce qui va avec. Pas vrai ? »
Se laissant envahir par une colère difficile à maîtriser, elle sourit cependant, en ironisant franchement.
Bien sûr, si je suis infirmière c'est parce que j'ai peur de blessures pareilles ... D'ailleurs vous voyez bien que je suis sur le point de tomber dans les pommes ... Sérieusement, l'enfant sort, ou Ael a un bras en moins, c'est vous qui voyez.
Elle resta silencieuse, un certain sourire demeurant sur ses lèvres. Puis l'accès de colère lui revint lorsque la rousse s'exclama :
-« Allez allez ma cocotte !!! On sréveille !!
Bordel tes censé soigner non ?
Alors tes états dâmes tu les mets de côté !
Bouge ton cul !!! »
Elle tonna d'une voix sombre, en essayant de se mesurer assez vainement, il faut le reconnaître :
La cocotte elle va reprendre ses affaires et se barrer en laissant ton homme pourrir si tu ne cède pas à sa demande. Ceci n'est pas une question d'état d'âme mais de savoir vivre, qui vous est étranger.
Je suis infirmière, pas un esclave à votre service. Je viens vous aider, et non subir vos ordres. Alors mon "cul", comme vous dites, se bougera uniquement lorsque l'enfant sera dehors, ou, s'il ne le fait pas, repartira d'ici.
Ses yeux verts lançaient des éclairs et, les bras toujours croisés elle fixait, furibonde, la rousse qui n'en faisait qu'à sa tête. Elle la vit se tourner vers la table et se faire un visage avenant avant de déclarer en souriant :
-« Bon ! Très chère heu Damelin. Que vous faut-il pour commencer ? »
A cela, Lin eu deux envies en une. Hurler de rire ou bien éclater de colère. Elle n'en fit rien. Elle bouillonnait. Comprenant que la femme rousse avait profondément peur pour Aël, elle répondit à son sourire par un autre et lança d'une voix ferme et autoritaire :
Que l'enfant sorte et que vous me laissiez faire.