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Garg-[RP]La honte de l'Orient a désormais un visage 

--Reveur


Le rêveur avais encore fait un de ces rêves bizarre...

Dans celui-ci, il avais fait une sorte de double rêves peut-être prémonitoire.

Il les as fait simultanément, comme si un œils voyais une chose, et l'autre une autre, sur le coup le rêveur avais pensé qu'il rêvais qu'il était bourrée...

Étrangement, ils avais rêvée que Minicrotte et Maycacamou avais fini par se battre seul à seul, l'un contre l'autre, sans personnes d'autres pour combattre, seuls, tout deux à se battre comme jamais ils ne c'étaient battues auparavant, c'est vraiment un combat à mort ...

Et lorsque les 2 combattant finissais par essouffler, et qu'on sentait que le coup final serais porter sous peut, que la visons du rêveur se dédoubla, il entrevit les 2 victoires...

Simultanément, il vie à la foi Maycacadur planter son pique dans la tête de Minimerd, et Minibouse décapiter de ces crocs Maycacavisqueux.

Et pour le plus grand plaisir de tous, à sont réveil, il réalisa un portrait de ces 2 finalité :


Vargas
Sur les hauteurs d'Ixtacuixtla....

Une jambe plié sur un rocher, son poing devant sa bouche, le pouce qui gratte son menton, le Mogollon était dans une position qui aurait pu faire croire qu’il réfléchissait a quoi faire, là, surplombait Ixta la grande, un léger sourire au coin des lèvres, contemplant le calme avant la tempête…..

Tout ses sens était en émoi, de toute façon, il était né pour cela, plus le temps passait et les campagnes, plus il avait comprit que ca vrai vie était là, au milieu des hommes, des guerriers assoiffés de sang, dont d’ailleurs il était sans doute un des plus affamé….

La liste des traites était bien connu maintenant, les espions avaient fait leurs travail a la perfection, et il ne serait que plus simple maintenant, que les masques étaient tombé de frapper au cœur des traitres, de ceux qui avaient venu leurs âmes a celui la même qui quelques lunes avant les avaient insulté et trainé dans la boue en les traitants de bon a rien…..

Le Mémoire était une faculté bien intéressante, et le faite que certaines dindes en manquaient, ou ne prenait pas conscience de la gravité et des conséquences de leurs actes, ne surprenait pas trop le bison, il savait que de toute façon, chaque chose se payait un jour, et que pour certain, plus durement que pour d’autres….

Un guerrier s’approcha de lui et lui tendit 4 aras après c’être incliné devant le chef d’armée.

Vargas pris les messages qu’il attendait depuis le levé du jour, et sourit plus il avançait dans sa lecture.....

Il sourit largement au messager.


C’est parfait, tout ce déroule comme on le pensait. Confirme-leurs que l’on continue le plan comme convenu.

L’effet de surprise n’avait décidément pas duré bien longtemps, déjà la Seigneurie avait tout fait pour se mettre en marche, bientôt la sombre bannière qu’il voyait au loin ne serait plus, et le tribunal déborderait de traites qui pleureront encore une fois.

Tout est qu'une question de temps, mais les traitres périront, foi de Vargas....

Le bison se retourna laissant derrière lui la vu plongeante sur Ixta, il était temps de prendre un peut de repos, la nuit allait être longue et il fallait encore prendre un peut de force…..
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Minicar
Ixtacuixtla, fin de matinée, devant l'armée campée de Vargas.

Le cougar, les yeux troublés par les songes d'un autre monde,
Imbibés de déchirements, se rince le visage à l'eau clair d'un torrent.
Un rayon de soleil arase les collines aux alentours,
Il trempe son corps las d'une marche à chasser les vautours.


Il reprend ses esprits et remarque non loin,
Un campement, si discret qu'il n'en perçoit presque rien.


Ayla!!!!! Qui sont ces indigènes???!!!

Alors que Belle lui souffle le vent de son être aimé,
Ayla surgit telle la panthère et gronde de sang
.

Des minikikis! Trop faibles pour nous combattre! Rage t'elle!
N'écoutes pas Belle, ton père était trop faible!

Ayla disparaît comme elle était venue,
Mini reprenait son apparence vêtue,
Il devait tenir son rang!
(euh arrière????)

Si proche qu'il sentait le souffle des puants,
Il regardait dans les yeux Mayca et Vargas,


Vous me cherchiez?! Impuissants...
A vous je suis venu et maintenant suis là!
Vous comptiez peut être sur les Occidentaux,
Comme toujours pour faire les beaux,
Maintenant faites vos preuves,
Et passez seuls à l'épreuve!
Guyhom


[Tlaxcala, Orient]

Les lueurs des torches vacillaient et diffusaient leurs clartés dans le campement des Ozomahtlis.

Une tente richement décorée, devant laquelle se tenaient les étendards aux signes distinctifs des deux provinces, le troisième celui des Matlazatecatl indiquant par là même que Guyhom, le Huey Tlatoani de Tlaxcalla était présent.

Dans sa tente, des crânes d'ennemis vaincus faisaient offices d'éclairage. Il pouvait lire les rapports qui lui parvenaient de toute sorte, éclaireurs, procès, économie, diplomatie. Une tonne de paperasse à traiter.

Guyhom pensait aux derniers évènements concernant l'orient...une province avec tellement de paradoxes...Ayla, une vieille connaissance, semblait n'avoir plus toute sa tête. Pourquoi se demandait il? pourquoi faisait elle tout ça?

il se servit un peu d'aigua jamaica et dégusta cette boisson, plus forte que son pulque adoré.

de sombres pensées traversaient son esprit. Rien de bon n'en sortirait de tout ça. Sauf...un mince sourire se dessina sur ses lèvres...il eut un petit rire...de celui qui ne présageait rien de bon.

il appela deux messagers et dit au premier:

- Toi, va prévenir Vargas et transmet lui ceci: Bat toi jusqu'au bout! Ne te soucis pas de la capitale. Je la défends. Gloire à toi!

Le messager s'inclina, salua et partit, pendant que Guyhom se tourna vers le second:


- Toi, va prévenir Mayca et transmet lui ceci: Mayca, toi et les autres guerriers qui ne sont pas avec vargas, devront se préparer à combattre l'armée d'Ayla le plus rapidement possible afin de soutenir l'armée de Vargas. Fait au plus vite et au mieux. j'ai confiance. ne t'inquiète pas pour la capitale, les Ozo la tiennent.

Le second messager partit et Guyhom fit mander son esclave personnel:

- prépare moi un bain, à manger et du pulque. je me sens sale avec cette marche et cette chaleur, j'ai faim et soif et j'ai besoin de me détendre. Tiens, si ma femme est dans le coin, dit lui que je prends mon bain. elle comprendra. sinon tant pis pour elle
.

Puis il rajouta:
dit à mes deux filles et aux guerriers ozos qu'ils sont invités à ma table. donc prépare le pulque en conséquence. va!

Et le Huey alla terminer quelques dossiers bien relou comme le trafic de peyotl, la contrebande de pulque et la contrefaçon de serape de marque.

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Itzcoatl


[Tlaxcala, armée des Ozomahtlis]

Voila quelques jours que l'armée occidentale traînait ses nombreuses pattes à travers l'Orient sans trop savoir que faire, ni ou se rendre utile. Certains parlaient déjà de retour alors qu’aucune tête n’était venue orner les belles et grandes piques prévues à cet effet. Cette idée ne plaisait pas du tout à Itzcoatl ! Une pique pour chaque tête et une tête sur chaque pique, se répétait-il.

Heureusement, comme tout vient à point à qui sait attendre, l'odeur du sang, du vrai, celui de Tlaxcaltèques, se faisait de plus en plus forte. Une bataille était-elle entrain de se préparer ? Un beau bain de sang entre frères pour le bonheur des Dieux ?
D'ailleurs, il est des signes qui ne trompent pas ; quand parmi l'armée, l'effervescence monte, que les massues se polissent et que le Huey prend son bain, c’est que quelque chose s'annonce !

Ce n’était peut être que la deuxième campagne du jeune Itzcoatl mais il avait déjà sept cranes à son actif. Malheureusement, ce n’était que ceux d’aztèques de pacotille. Pas de quoi fanfaronner… Mais ce qu’on lui révéla ce jour lui ouvrit tout naturellement l’appétit ; au menu, du tlatocani ! Ou du moins ce que l’on essaye aujourd’hui de faire passer pour du tlatocani…

Sans plus attendre, il fila en taverne boire quelques verres de pulque, qui, on ne sait jamais, pourraient être les derniers de sa courte et insignifiante vie.
Belle_ayla
Ixtacuixta, campement Etzic.

Assise par terre Ayla avait laissé le soin à Belle de s'orner des peintures de guerres. Ses longs cheveux étaient soyeux, fraichement lavés et son visage recouvert de dessin fait à avec de la terre. Belle_Ayla était aussi belle qu'elle était sauvage.Elle avait dessiné grossièrement une carte sur le sol de terre argileuse. Tous les guerriers étaient autour.Elle commença.

Ham Stram Dram, Pique et Pique et Colle et Gram, bourre et bourre et ratatam, Ham, Stram Dram.
Son doigt aux longs ongles limés en pointe telle des griffes asserées venaient de s'arreter sur un clan.

Ce sera toi qui sera franc !
Un large sourire vint éclairer son visage rayonnant de bonheur. Elle regarda les guerriers qui l'entouraient. Pour la plupart s'était des amis de longues dates, des hommes et des femmes fidèles, toujours pret à frapper pour faire couler le sang et honorer les Dieux.
De l'autre cotés du clan, un mini campement, tout petit rikiki, c'était l'armée la fureur dite : "p'tit kiki".
Elle regarda aussi les defenseurs se mettrent en place devant le clan, les uns après les autres ils arrivaient.


Bein pas trop tôt !
J'ai cru un instant que l'Orient était mort et ne savait plus que palabrer sous les arbres au soleil.


Elle cria à travers le clan, certaine vu son étendu qu'il l'entendait.

VARGAS ! Mon p'tit kiki !
Tu vas sortir de ton trou oui ?
Tu ne vas pas fuir comme un lache tout de même ou te cacher encore une fois derrière les buissons ! Ce ne serait pas digne d'un guerrier d'Orient !

Elle se leva et s'adressa à ses guerriers.

Sortez les massues Aye caramba, çà va cogner !
Et que le sang coule pour le plus grand bonheur des Dieux.


La réponse fût unanime, pas un seul déserteur.
Aye CARAMBA !

Ils voulait cogner les guerriers, pour sur le sang coulerait.
Son esprit malade était difficile à suivre et pour cause, pas de plan chez Ayla, juste une soif de sang qui s'intensifiait chaque jour.
Du sang il lui en fallait toujours plus, du sang Tlax, du vrai, du sang de guerriers pas un sacrifice d'enfant à peine né. Non elle voulait le sang de Vargas, elle voulait son coeur, elle voulait lui arracher les tripes et jeûner avant pour mieux le savourer. Elle renifla, l'air était sec, mais elle sentait la peur qui lui parvenait de ce ridicule campement de l'autre coté du clan.

Quelle honte, c'était donc çà l'armée la fureur ?
7 pauvres gars dont un enfant !
Elle soupira... L'orient lui faisait honte. Elle comprenait mieux les raisons de l'état desastreux du Tlatoclan.
Ils voulaient gérer, ils se battaient entre eux pour çà, mais après ils venaient pleurer que c'était difficile, que c'était du travail, que çà leur prenait du temps...
Ils couraient alors se réfugier dans le pagne du Huey.... LA HONTE !


VARGAS, viens te battre ou disparait à jamais dans la honte !
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Le Clic clic Tue le RP !
Mayalla
On entendait des ronflements dit "cris de guerriers" de l'autre côté de la ville, mais ils n'avaient pas besoin de tout çà. Ce ne sera pas la première fois qu'elle laisserait une partie d'elle même sur un champ de bataille. Elle eut une pensée pas du tout amical pour la minichose qui non seulement avait voulu monter les guerriers les uns contre les autres simplement par la haine d'un seul, Le minichose qui devait avoir des mini, minitrucs entre les cuisses puisque pour assumer il se planquait derrière des guerriers venus d'ailleurs. Elle eut d'ailleurs une pensée de pitié pour eux car ils n'étaient que des pions pour la minicervelle.

tu vois Exotl, c'est ainsi et la vie est un éternel combat contre la bêtise. Tu la découvriras sous plein de forme. Mais là bas tu en as un joli panel. Quand à toi, ce soir tu seras en sécurité dans le clan et hors de question que tu te joues de la surveillance des esclaves. Ton tour viendra assez vite

Elle regarda la Gamine qui faisait une moue de désaccord

Allez viens, je t'emméne maintenant, je ne voudrais pas être en retard

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Vroqi
La veille départ du camp Etzic, couleur de sang de Zoquiapan.

La veille ils étaient partis de Zoquiapan après une nuit plutôt calme sauf cette impression de présence. Une présence glaciale de l'au delà.

Peu lui importait, il était temps que sa colère se manifeste qu'elle retrouve ses origines après de longues lunes à avoir tout donner à ceux contre qui elle allait se battre, cette nuit? Demain?

Des vieux sens réveillés de leur sommeil profond enfouis dans elle faisaient surface. Avant même d'arriver à Zoquia, elle avait déjà eu la tête de Calli et maintenant le gout de sang était là de nouveau.

Vroqi, la guerrière, était renait !


Arrivée à Ixtacuixtla le lendemain.

Ses sens en alerte, qu'allaient-ils trouver? Sur le chemin, un simple voyageur les avait croisé.

Devant les portes du clan,

de la poussière soulevée par une armée qui s'enfuyait...

de la poussière, moindre, soulevée par une armée qui arrivait...

Son enfant se mit à lui cogner le ventre de nouveau, pendant quelques instants, avec le bout d'un doigt elle joua avec lui...

il la cogne,

elle répond avec son doigt,

il la cogne,

elle répond avec son doigt...

Puis son regard se porta sur le dos des lamas qui partaient et elle se mit à chantonner doucement,


Il est où le Huey?

Dans le bois de l'Orient.

Il est où le Huey?

Dans les murs de tlaxcala.

Il est passé par ici,
Il est passé par ici.

Il repassera par là,
Il repassera par là.


Son futur enfant s'étant calmé, elle porta son attention sur l'armée de Vargas et sourit.

Il n'était pas venu à leur rencontre. Ils sont venus à lui.

C'était donc sereine qu'elle attendait l'aube du jour à venir mais ses sens toujours en alerte, surveillaient aussi son dos et son regard se porta vers Xaloztoc de temps à autre...
Vroqi
Ixtacuixtla à l'aube

Avec stupéfaction, Vroqi regarda Vargas et Mayca chevaucher leurs lamas et s'enfuir direction la capitale.

Un instant plus tard, comme elle prévoyait ils étaient attaqué par une autre armée venant de Xaloztoc. Trois malheureux qu'il eurent vite fait d'envoyer dans la poussière.

Sur son visage apparait une expression de dégout, le chef des "Divas susceptibles" s'était enfuit? sa tuyauterie entre les jambes? laissant ce pauvre Zabatan et sa femme en prendre pleine la tête!

Quel courage!

Quelle stratégie pour sauver sa propre peau !

Mais avant tout quelle lâcheté !





VARGAS ET MAYCA VOUS N’ÊTES QUE DES LÂCHES !

DES GUERRIERS DE PACOTILLE QUI N'OSENT AFFRONTER QU'UN CLAN SANS DÉFENSE, PORTES OUVERTES!

DES FEMMELETTES QUI PRÉFÈRENT ENVOYER QUELQU’UN D'AUTRE A VOTRE PLACE PLUTÔT QU'AFFRONTER !

CE SONT VOUS LES VISAGES DE LA HONTE D'ORIENT !
Vargas
Aux portes de Tlaxcalla……

Le rapport était confirmé, 7 fois plus nombreux, ni plus ni moins, voila comment ces chiens lâche c’étaient occupé de l’armée de Zabatan, et après, ils avaient l’outrecuidance de parler de leurs ennemies comme de la honte de l’Orient ? Si la situation n’avais pas été grave, il en aurait rit, mais d’un geste de dégout, le Mogollon déchira le message et le jeta derrière lui se dirigeant vers ses hommes…..

Il avait obéis aux ordres, ordres qu’il avait d’ailleurs validé, ils parlaient d’honneur, de fierté, la bataille en règle n’aurait pas lieu, ils préféraient se battre à 7 contre 1, jolie preuve de la volonté d’un combat honorable….

Le bison cracha au sol en récupérant son arme, furieux qu’il était de la lâcheté de ceux qui leur faisait face, alors qu'ils criaient partout qu'ils souhaitaient se battre avec honneur, mais ils préfèrent s’en prendre a plus faible…. Il avait sourit en voyant un ara lui parvenir de la part de la chef d’armée ennemie, a croire qu’elle le prenait pour un pécaris de 3 semaines, les dindes n’étaient pas dans son armée, mais bien dans la leur, et en plus de dindes, la lâcheté les guidaient maintenant, eux, qui se voulait soit disant garant de l’honneur, sacré honneur se dit-il….

Présent maintenant devant ses hommes, il leva son arme en leur faisant face et prit la parole….


Mes frères, mes sœurs, nous venons de perdre une armée, celle de nos frères et sœurs qui ont suivies Zabatan…. Les blessures semblent sérieuse, ils ont été lâchement attaqué par nos ennemies.

Lâchement, à sept contre un, même les pires Metz n’auraient jamais osé attaquer dans pareil situation. La honte ne cesse de s’abattre sur eux. Ils ont attaqués alors que notre Huey, dans sa grande bonté leurs avaient accordé le droit et une chance de s’expliquer, de leurs proposer une peine alternative après avoir abandonné la Province. D'être parti la queue entre les jambes devant la puissance de nos armées, et pendant la période laissé de reflection par notre Huey, ils ont monté une armée, attaqué lâchement nos frères de Zoqui, et maintenant, voila qu’ils ont frappé, encore une fois sous le signe de la honte nos propres frères !!!!


Du sang !!!! DU SANG, voici ce qu’ils auront de nous, et nous les achèverons jusqu'au dernier, tous périrons et nous laverons notre honneur et celui de nos frères dans leur sang de lâche !!! Ils cherchaient la honte de l’Orient ? Ils viennent de démontrer ou elle était soyez maudit charognard de l’armée EZTIC, venez vous frotter à la mort, vous serrez reçu comme on accueil les chiens que vous êtes !!!!

Les massues se cognent aux boucliers, les guerriers hurles, la tentions monte d’un cran, les lâches périrons, du sang, du sang du sang…..
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Crook
["A la glousseuse pendue"taverne du grand Crook]

La nouvelle avait fait le tour, une armée avait abattu ce pécari de Zabatan.

Accompagné de soldats et de glousseuses locales, le grand Crook exprima sa joie en offrant une tournée et en mettant un enjeu sur la seconde.


Gloire à vous d'avoir botté la boite à péteux de ce plouc de Zaltabanc!
Maintenant, allons démolir ce catapultec de mes deux! pi l'Vargas aussi!
Le grand Crook et ses glousseuses vont vous aider à exterminer ces véroles !

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Let motive: Quand on voit les boulets elus, pourquoi un super boulet n'y arriverait pas!
Parines
Le pécari pourri de Zabatan avait trépassé. La nouvelle avait fait le tour de la hutte 3 étoiles qu'on lui avait accordé en la jetant au cachot.

d'un bon, elle fut debout et posant ses mains sur les barreaux, elle cria haut et fort.



REVOLUTION REVOLUTION, CHASSONS L'IGNOBLE CATAPULTEC DU COIN, CHASSONS CHASSONS LE PECARI POURRI ET SES ALCOOLIQUES.

REVOLUTION REVOLUTION
Mayca
Tlaxcala la belle, campement de la fureur



Assis dans sa hutte, l'iguane regardait la carte de l'Orient en souriant.
Une feuille de coca en bouche, il mâchait lentement se remémorant les derniers événements, regrettant d'avoir pris la décision d'éviter le combat même si ceci était une question de survie pour la province.
Mieux valait protéger la capitale afin qu'elle ne tombe pas aux mains d'un abrutis comme Minicar.
Il attendait certains rapports afin de faire le point.
En quittant Ixta, il avait entendus des cris, en premier les ordres de Zabatan qui lançait l'attaque, tournant la tête, stupéfait vu l’infériorité numérique.
C'était trop tard pour faire marche arrière ou prévenir Zabatan, plus tard il entendis les cris des mourants puis les fanfaronnades des autres.
Le coeur serré, il savait que tous serait vengés, que cette bataille laissait croire a Minicar, Vroqi et les traitres les accompagnant que tout était gagné.
il se dit a lui même:

Festoyez, riez,mais le grand moment tant attendus est pour bientôt, et là vous ne rirez plus.

Il leva les yeux en entendant Vargas remonter le moral des troupes,il hésita à sortir, mais se ravisa, ce n'était pas le moment qu'il prenne la parole, lui le guerrier de toujours sans peur et fier, il prouvera encore une fois la puissance de la seigneurie,lui qui avait vécus tant de bataille et autre que celle qui se préparait pour bientôt.
Tout était prévue et le sacrifice de Zabatan n'est pas inutile, bien au contraire,il sert la cause des justes, des guerriers,de l'Orient, a un point que personne ne pouvait imaginer a part lui.
Il se leva, mit un peu de bois dans son braséro lui même, il mangea une tortillas, sans faim puis congédia les esclaves afin d'être seul.


Qu'on ne me dérange sous aucun prétexte, personne!!!

Une peau de lama sur le dos, il se mit en tailleur, prit un bol de pulque, y melangea une mixture d'herbes, celle qui le faisait sortir de son corps.
Il allait planer au dessus de la province, tourner autour de ses ennemis et a son retour,il saura que la victoire sera sienne.
Buvant un gorgée, puis une autre, il vida le bol lentement, les yeux fermés et se laissa aller....

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Sassa
Alors qu'elle jouait comme à son habitude à écosser puis écraser scrupuleusement tous les haricots du champ d'Eonia, la gamine vit les grands se réunir, elle s'approcha d'eux, les écouta, surtout le grand Crook après tout il était son père adoptif donc si il disait quelque chose il avait forcément raison.

Ben moi aussi veux m'battre et tout bousiller !
Belle..
Un jour, Alco reviendra,
Un jour, l'Orient revivra...

Lalala lalala lala...


Belle assise au bord de l'étang coiffait ses longs cheveux soyeux avec un peigne en nacre. Habituée a vivre dans les arbres elle se moquait bien que sa hutte soit à un endroit ou un autre. D'ailleurs elle avait pour habitude de déménager partout où elle arrivait pour se fondre dans le paysage. Elle arrangea soigneusement des plumes dans ses cheveux et regarda autour d'elle. Le clan était calme et ses amis présent et heureux. Que vouloir de plus, son mari était présent dans ses songes et la vie suivait son cours dans le calme.
Elle était de retour en Orient et sentait bon l'air frais environnant.

Elle partie donc pour une petite ballade dans le clan, croisa les defenseurs de plus en plus nombreux qu'elle salua gentillement de la tête. Puis un tas de personnes en fort mauvais états semblant morte.


Oh mince alors, qui a pu faire une chose pareille..;
Zabatan et sa femme, oh les pauvres...


Bien malgré elle, allez savoir pourquoi elle poursuivi son chemin et croisa une petite fille.
Elle lui prit la main et la ramena vers le campement où tout le monde festoyait autour d'un ragout de haricots.


Aye caramba, c'est la fête ici.
J'adore ce clan, tiens je vais m'y installer.

Un grand sourire radieux sur le visage, elle ne prenait pas forcement conscience de ce qui l'entourait.


Au fait ils sont partis les autres en face, je les ai vu au petit matin détaller comme des lapins... Ils auraient au moins pu dire au revoir, aucune civilité de nos jours pfff...
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