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Garg-[RP]La honte de l'Orient a désormais un visage 

Minicar
Rageant comme un dindon le feu aux plumes!!!!

C'est qui ces indigènes???!!!

Cherchant abasourdi du regard une bande d’aztèques tartares^^ qui fuyait dard dard!

Hey Mayca! Reviens!!!!
M'enfin, Vargas!!! Revenez!!! On voulait juste jouer à la massue qui frappe!!!!

Les regardant fuir, certainement allant se réfugier sous le pagne du grand Huey,il tente un dernier subterfuge^^

Huey!! Huey!! Mes fiers guerriers d'Orient!! Venez mes p'tits! On va faire joujou^^

Se retournant au campement dépité, ils ne voulaient pas jouer...

Ayla!!! Ils n'ont pas voulu jouer avec moi!!!! Bande de tricheurs!!!

Regardant sa mère avec la tête de ...de Zabatan!!!

Alors là c'est plus du jeu!!! Moi je veille sur l'ennemi numéro zéro! (c'est la cas de le dire) et vous pendant ce temps vous jouez à taper par derrière!!!!

Rhaaaaaaaa!

Rentre dépité dans la hutte de fortune dressé à la va vite pour retrouver sa femme.
Là qu'elle n'est pas sa surprise quand elle lui annonce qu'elle a fait joujou aussi!!!


Enceinte! en plus!!!!!

L'emplumé et la face de Dindon cramé se sont barrés et toi tu fais joujou avec tes frères et soeurs!

Couguar tempête et pestifère, s'allonge dépité sur la couche et continue à maugréer.

D'abord personne il veut jouer avec moi!!!!
Vroqi
Son époux était entré dans leur hutte où elle se reposait après avoir passé une bonne partie de la journée à pestiférer contre les poules mouillées qu'étaient Vargas et Mayca.

Le fait qu'il vient vociférer sur elle ne faisait rien pour arranger son humeur déjà bien noir.


Pfffffff j'étais sensée faire quoi selon toi? Ce sont eux qui ont attaqué pas moi. J'aurais du me laisser faire peut être? Tu aurais préféré que ton épouse pose sa massue, retire son bouclier et leur dise "Venez... Venez... Venez... je m'allonge et je vous laisse m'attaquer et nous tuer moi et notre enfant"?

Elle se leva de toute son hauteur et jetant sa chevelure d'un coup de tête se tourna dos à lui, le regard dans le sens des fuyants.
_voldenuit
camps de l'armée la fureur, puis au dessus de l'Orient dans les airs.


Un calli, un brasero, du remue ménage.Lentement l'esprit sort du corps du guerrier.
Mayca est inconscient, de la sueur perle sur son front, il sourit.
L'esprit, prend son envol et monte dans les airs.
De la haut tout parait minuscule, mais pas le temps de s'attarder le vol de nuit se faufile dans les airs, suivant les vents direction Ixta.

L'esprit du guerrier, survole le clan,il descend, tourne au dessus de la place publique, rien de bien intéressant, ha si, son regard se porte sur un traine sandale, l'esprit de l'iguane le reconnais, c'est Crook, il a du se remettre de ses différents poutrages, mais les coups de massues ont du lui jouer sur le cerveau vu comme il gesticule et déblatère n'importe quoi.
Tiens la gamine qui l'accompagne est là aussi, faudra penser a les remettre en liste ennemie.

Direction la sortie du clan, envol au dessus du camps des pouilleux, analyse de la situation:
Elle est simple, les glouglous toujours dans un coin forment le gros de l'armée les trois quart au moins, le reste une petite poignée, ne sont que Minimoa,sa femelle, et sa famille.
Le minitruc qui comme a son habitude suivait bêtement sans réfléchir,comme toujours, il était le pantin de sa femelle.
Un rictus déforma les traits de l'esprit, une présence malsaine,les bribes d'un autre esprit trainait sur les lieux, ne voulant l'affronter, l'esprit du grand guerrier repris la direction de Tlacala la belle satisfait.
Il avait vu ce qui devait être vu, la victoire serait pour la seigneurie, c'était certains.....



Vargas
Campement de la fureur, sous la hutte du Tiac….

Tu peux m’expliquer pourquoi on a fuit ? Depuis quand toi le grand Vargas fuit devant un ennemie aussi ridicule ?

Le bison se retourna et fit face au jeune guerrier qui lui faisait face. Il se revoyait en lui, lorsqu’il était parti avec les armées en Metziland a ses débuts de guerriers, fonceur, frondeur, sans recul ni tactique, toujours foncer dans le tas, ce qui d’ailleurs lui avait valu son surnom de bison par ses frères, mais là, le temps avait fait son ouvrage, et le jeune guerrier était devenu chef, et un chef qui avait appris qu’une bonne stratégie valait mieux que de foncer tête baisser par moment, surtout lorsque l’on a autant de guerrier sous sa responsabilité….

Il lui proposa de s’assoir autour du feu, pendant que le bison prit une jarre de pulque et versa dans deux cranes le délicieux liquide avant d’en tendre un au guerrier qu’il avait fait venir sous sa tente afin de répondre a ses interrogations…..


Mon frère, ne vois tu donc pas que cette guerre est déjà terminé ?

Le jeune guerrier fixa le Mogollon essayant de comprendre ce qu’il voulait lui dire.

Ne vois tu pas qu’en face de nous, ce ne sont déjà plus des hommes, mais des ombres ? Ils sont déjà mort mais le savent pas encore, enfin, beaucoup s’en doute je pense, mais le chemin est déjà tout tracé, aucune d’eux n’en ressortira, et ils le savent.

Il porta le crane a ses lèvres et laissa le doux liquide couler en sa gorge, se délectant de se moment si délicieux.

S’ils étaient si fort, fier, et sur d'eux, crois tu qu’ils nous auraient laissé quitter les hauteurs d’Ixta sans rien faire ? Ils ont eu peur de nous, de notre discipline, de nos tactiques, n’est pas guerrier qui veut, et nul ne peut s’improviser guerrier mon frère, et s’il ne le savent pas encore, ils ne vont plus tarder a l’apprendre. Ils ont laissé passer leur chance de gagner cette guerre, il fallait nous attaquer lorsque nous étions vulnérable, à notre arrivé a Ixta, ils ont eut leur chance, mais ils ont douté, refusé l’affrontement a ce moment là, et c’est ce qui les condamnes a perdre cette guerre maintenant....

Le jeune guerrier regarda son chef avant de répondre.

Mais ils ont massacré Zab et les siens, on ne peut pas laisser passer ca Vargas, on doit les venger.

Mais on les vengera mon frère, ne t’en fais pas. Le temps mon frère, le temps est l’allier du guerrier, alors qu’il est le plus grand ennemie des brigands et mercenaires qui n’ont de but que leur profit personnel. Ils ont attaqué nos frères en étant 7 fois plus nombreux, à combien crois tu que nous allons aller les massacrer? 2 fois, 3 fois, non, 5 fois ? 10 fois, nous serons 10 fois plus nombreux qu'eux, et nous leur monteront ce qu’il en coute de se battre comme des lâches. Nous sommes déjà plus nombreux qu’eux depuis hier, et notre nombre ne fera que monter chaque jour qui passe, quand eux, plus les jours passerons ils s’énerveront, se démobiliseront, et le doute les habiteras de plus en plus et les condamnera a finir la tête au bout d'un pic et que leurs dents ferons de bien beaux colliers pour les notres.

Il vida son bol improvisé avant de s’en resservir un autre.

Ne t’en fais pas, je te l’ai dit, ils sont déjà tous mort, seul leurs ombres gesticules encore, la mort est pour eux au bout du chemin, c'est inélictable, et nous triompherons, encore et encore mon jeune ami.

Le visage du jeune guerrier se détendis totalement maintenant, pleinement rassurer par les explications et démonstration de son chef, dont il était fier de servir sous ses ordres.
_________________
Ombre_de_la_mort




Camps de l’armée ETZIC, au petit matin…


Vole, vole,vole, oooooh toi grand esprit du vide….
Laisse ton odeur putréfiante de mort partout ici se propager.
Prend place parmi ceux qui bientôt seront tiens,
Laisse le voile de la mort lentement entourer leurs victimes…


La brume matinale avait un aspect plus lourd qu’a l’accoutumé, l’odeur se faisait lourde, les respirations de plus en plus haletante, un lège souffle froid commence a se glisser dans le campement, passant sous les huttes et transperçant les tissus, gelant les pieds, et lentement, remonte le long des cuisses, de la colonne vertébrale, jusqu'à geler tout un être, toute personne qui se trouve a proximité de ce souffle mal sain…

Vole, vole, vole esprit du malin, cherche ceux qui bientôt seront tiens.
Approche toi sournoisement et observe, observe ceux qui bientôt dans la mort te servirons.
Nourrit toi de leurs colères qui te rend chaque jour plus fort,
Laisse le voile de la mort continuer sa mission pour ta gloire….


De plus en plus danse, le voile de brume, se mue et ne ressemble plus a ce que certain prenait pour un simple brouillard matinale, la différence de température se ressent instantané, pétrifiant celui ou celle qui tente de minimiser sa présence ou de refuser d’y voir un signe de mauvaise augure. La femme a l’enfant pourrait voir si elle eu l’œil affuté, les sombre remous d’air qui tournoie autour d’elle, cherchant a savoir encore s’il laisserai la vie sauve a l’enfant et ne tuerai que la mère, ou si, dans une grande bonté, il réunirait l’enfant a sa famille, dans la douceur de la mort…..

Vole, vole, vole souffle divins,
Va simplement accomplir ton destin.
Traverses les plaines et les océans, frapper ceux qui te sont promis,
Laisse le voile de la mort les envelopper et faire vaquer les âmes à tout jamais.


Le soleil aurait déjà depuis longtemps fait son apparition, il est là pourtant, on peut le percevoir partout aux alentours, sa douce chaleur fait se relever l’espoir, triomphe des ténèbres, partout, partout, sauf sur le campement, qui ne peut être touché par cette grâce, tellement l’ombre de la mort qui a prit place est lourde et opaque. Aucun allo de lumière ne passe, rien ne transperce cette nappe de désespoir qui tout entière prépare ceux dont le funeste destin est déjà tout tracé.

La mort s’approche, l'odeur de la mort est respirable ici même, nul doute, l’ombre de la mort court, vole vers le funeste destin de ceux qui, pour l’éternité, seront condamné a la servir….
Garlachoune
Mise a l ecart par sa maitresse pendant longtemps et pourtant sa maitresse tenait à elle cela en etait certain. La massue, garlachoune devait suivre sans broncher sans jamais savoir ou elle allait et pourquoi elle y allait.
Un perroquet atterit sur l epaule de sa maitresse, Garlachoune en reconnu l auteur et savait qu elle allait servir à nouveau quand elle vit sa maitresse sourire.
Elle fut astiquée comme au bon vieux temps, brillante et prete à frapper, il y avait des laches qu il fallait detruire.
Elle en entendit des noms durant ces reunions entre vrais guerriers.
Quand Garlachoune entendit le " AYE CARAMBAIE", elle reconnu cette voix et avec l aide et la force de sa maitresse se mit a frapper frapper frapper.
Elle s appercut dans ce nuage de sang que les guerriers qu elle accompagnait cherchaient un traitre, traitre qui avait laissé ses congéneres se faire tuer profitant pour fuir..
Guatezuma
[Dans un obscur et anonyme recoin du campement de l'armée la Fureur]



Les sentiers de la guerre
(On m'aurait menti?)


Il aurait voulu soustitrer son texte "récits de combats". Mais pour cela il aurait fallu combattre.

- A moins que j'écrive combat en deux mots?

Bon. Guatezuma avait décidé de mettre par écrit ses expériences militaires. Le premier fait, vécu il y a plus de dix ans, était trop flou dans son esprit ( et pas assez glorieux ) il le gardait pour plus tard, quand il aurait matière à comparaison.

Le second tenait en quelques lignes.




PREMIERE CAMPAGNE
Marché un peu plus d'une semaine. Avons pris une capitale vide. Le palais était gardé par un pécari qui ronflait.
Sommes rentrés chez nous. Avons eu droit à un festin pour nous honorer/remercier.


Par la suite, le Vison l'avait recontacté. Tu veux du combat? C'est l'occasion. Ah, ça! Il était heureux GUatezuma, que le Grand Vargas lui écrive en personne pour rejoindre sa troupe.
Faut dire qu'il l'avait connu, enfant encore, puis adolescent, à Axotla. Il avait écouté les récits de bataille, en taverne, avec tant de détails qu'il pensait savoir ce que c'était que le bruit d'un crâne metz fracassé par une massue.
Vargas en avait tant massacré que Guatezuma fut longtemps persuadé que le Metzitlan avait été rayé des cartes, et plaignait les ignorants qui croyaient à son existence.
Tout s'enchainait, c'est pour cela qu'on se battait surtout entre Tlaxcaltèques, il n'y avait plus d'ennemis.




DEUXIEME CAMPAGNE / PREMIERE BATAILLE
Il semblerait que le Metzitlan existe toujours.
On m'aurait menti? Des guerriers me l'ont affirmé. Comment font-ils pour être riches, ces Metz, après tout ce qu'on leur a pillés? J'ai apris cela au moment de la première bataille, alors que nous prenions exactement le chemin opposé. Nos ennemis sont des lâches, ai-je entendu, qui attaquent à sept contre un. En même temps, si nous on n'attaque pas... ma massue était pourtant si bien affutée...
La guerre, ce ne serait que marcher, marcher, marcher?


Pourtant, Guate avait aussi entendu les récits de Mayca - dans son groupe un jeune guerrier lui ressemblait, ce devait être son arrière ou arrière-arrière petit-fils. De léliga - paix à son âme! - morte si connement, et loin d'un champ de bataille. De Tata Kay, qui assurait qu'elle réussissait à faire la guerre sans donner un seul coup de massue. Elle avait dû prendre plein de capitales...
Une qui ne lui aurait pas menti?
La guerre ça devait bien vouloir dire se battre, fracasser, démembrer, éventrer, éviscérer?
Forcément, à un moment ou à un autre?
Temps d'hésitation, nouveaux mots qui se forment, destinés à être lus plus tôt.
Une premièrelettre était destinée à Ikati, la fille de Léliga, restée à Axotla



Ma soeurette chérie
Je te confie mes premiers écrits de la guerre. Prends en soin, s'il te plaît, on ne sait pas ce qui pourrait m'arriver.
Je suis dans l'armée la Fureur.
La guerre c'est dangereux, j'ai failli glisser sur des excréments de lama il y a deux jours. J'ai entendu des bruits de combat, les nôtres qui se faisaient massacrer par l'ennemi. Ne me demande pas pourquoi on n'a pas été les aider, il y a des secrets stratégiques que je ne peux pas révéler, même à la cheftaine de la police. La stratégie de ta mère, pour simpliste qu'elle était ( on fonce dans le tas, on tape, on réfléchit après, en comptant morts et blesés )est bien dépassée aujourd'hui.
Je vois régulièrement Mayca. Il se porte bien - enfin comment on peut se porter à son très grand âge.
Prends soin de notre police et surtout de toi.

Bises fraternelles


Une autre lettre était destinée au généralisime de l'Orient, que le jeune guerrier n'osait déranger pour de pareilles vétilles.



Grand Général
Les critiques fusent, jusque dans nos camps, où la stratégie mise en place n'est pas toujours bien comprise, mais sache que je suis prêt à me battre, et que je garde toute ma confiance en nos admirables stratèges. Avec l'arrière-petit fils de Mayca, on a payé des tournées en taverne pour remonter le moral des troupes. Cela semble avoir marché, après ils n'arrêtaient pas de beugler: "On peut gagner, on peut gagner!"
J'ai hâte d'en découdre et d'affronter l'ennemi.
Salue le noble vieillard nymphettomane de ma part.

Guatezuma

PS: Je ne comprends pas encore tout de l'humour guerrier. Pourquoi les soldats éclataient-ils de rire quand après avoir crié "On peut gagner, on peut gagner " ils ajoutaient " sur un malentendu"?

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Vingt-trois ans et six lunes pleines. Parti en courant de la hutte paternelle. Doit à son père un don certain pour l'esquive. Futur découvreur de monde.
Ex tlatoani et calpullec.
Belle_ayla
Folle oui certes mais pas suicidaire.

Ayla rageait du haut de sa hutte aménagée dans un arbre. d'un coté les choses se déroulaient plutot pas mal, les guerriers avaient frappés, mais pas autant qu'ils ne l'auraient souhaité. Elle aimait entendre le bruit de ses flèches qui sifflaient dans le ciel, transperçant le vent. Elle aimait entendre le bruit sourd des massues qui fracassaient un crâne après l'autre, elle aimait cette effusion de sang qui giclait partout et venait se répandre dans la terre l'empourprant et la rendant glissante et visqueuse. Mais ce qu'elle aimait par dessus tout c'était le son rauque qui sortait de la bouche des victimes trépassantes. Oui Ayla aimait le sang, la guerre et la mort qui sillonne autour d'elle. Elle gardait toujours alors le sourire, tandis qu'elle se jettait dans la bataille.
Celle ci n'avait pas duré très longtemps, trop peu longtemps même pour la satisfaire.

Elle s'approcha des guerriers pour comme chaque soir après la bataille distribuer les chicots bien mérités qui viendraient orner par leur atour le collier que chacun portait autour du cou.

Elle détestait voir le regard triste de ceux qui n'avaient pas gagné de chicots, et ce soir là c'était son fils qui était deçu. Mais pas que lui, bien d'autres aussi.

Elle les rassura autant que possible.


Promis bientôt vous aurez l'occasion de tous taper, mais ne m'en voulez pas de ne pas avoir couru après le p'tit Kiki et sa mini armée.
Il est parti se réfugier dans le pagne du grand Huey lui même caché derrière les remparts du calpulli de la capitale Tlaxcalla.
Promis bientôt vous taperez, enfin bientôt ça dépend du temps qu'ils va leur falloir pour se remettre de leur émotion et sortir de leur trou.

A mon avis dès qu'il auront fini de trembler et qu'ils sortiront enfin la tête de sous le pagne du Huey. Ce n'est pas une position à adopter de se cacher comme çà lorsqu'on est un vrai guerrier. Si Garla avait pu voir çà il aurait dit :


Ma chatoune, çà c'est pas des guerriers, c'est des p'tites flipettes à grignoter à l'apéro par les lionceaux.

Elle eut une breve pensée pour lui, elle retrouvait cette ambiance chaleureuse de guerriers heureux de faire couler le sang et qui voulait que ça dure.
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Le Clic clic Tue le RP !
Vroqi
La veille toujours dans sa hutte le regard vers les fuyants

Le regard un peu vide, toujours vers Tlaxcala, Vroqi retourna quelques lunes en arrière. Comme c'est étrange qu'une simple décision et ensuite cinq mots ont pu changer son destin.

"J'ai besoin d'aide"

avait-elle dit en entrant dans une taverne à Calpan où se trouvait son futur époux, mais loin d'elle de l'imaginer encore. Il était là seulement quand elle avait besoin...

Son regard se porta pendant un bref instant vers le ciel pour revenir vers l'ouest et les souvenirs lui remplirent l'esprit.

L'aide elle l'avait eu, une révolte pour reprendre le calpullec vide suite à la disparition de Hanoi et ensuite parce qu'elle n'avait pas le temps de s'occuper de tout, il prit la pyramide à son tour.

De cette aide, l'amitié est née l'amitié qui ensuite est devenu la danse de la séduction et pour finir l'amour. Comment elle ne saurait jamais bien l'expliquer.

Les dieux sont témoins de leurs disputes, leurs colères l'un envers l'autre. Pourquoi elle n'avait jamais mis en exécution ses menaces de partir? Pourquoi lui non plus? Il s'en tenait qu'à un fil très mince mais cette homme l'intriguait, la surprenait. Un instant plein de tendresse et sans crier gare, des démons qui faisaient leurs apparences le changeant complétement sans qu'elle comprenne.Des mots blessants qui venaient de sa bouche, elle lui en répondait autant. Et puis un jour :


Épouses-moi

Oui je t'épouse

et ce toujours sans comprendre d'où lui venaient ses démons.

Elle l'aimait, ne demanda rien. Elle l'épousa tout à fait consciente que chaque instant pouvait être le dernier. Ses mots pouvaient l'apaiser, la faire rire, la mettre en colère, la manipuler peu importe, elle l'aimait.

Le totem de leur vie désormais entremêlée, s'était sculpté petit à petit. Chacun le modelant de son côté pour se rencontrer dans l’œuvre achevée.





Froid ! elle avait froid ! une brume glaciale était entrée dans la hutte, tourbillonnant autour d'elle.

Entourant son ventre de ses bras, l'instinct de protection maternelle en elle depuis l'instant qu'elle avait réalisé que leur amour avait porté ses fruits et détournant son regard de l'ouest elle murmura :


Va-t-en la faucheuse, va-t-en, notre heure n'est pas encore venue.

et elle alla s'allonger à côté de son époux.
Garlapitek
Il etait tombé lors d un combat mais avait toujours un oeil de la haut, d un endroit dont on ne revenait pas toujours, sur sa chatoune, sur ses lionceaux qui , pour certains etaient devenus de bons guerriers.
Il regarda avec tristesse et rire aussi sa chatoune, distribuant chicot par chicot. C est que depuis le temps, la collection devenait lourde.
Il avait guidé les pas de certains pour qu ils rejoignent sa chatoune, il savait qu elle ne les emmenerait jamais au suicide.
C est avec sourire qu il regarda un guerrier qui l affrontait souvent dans son groupe, il semblait ne pas avoir changé et malgré leurs differents, il etait fier.
Il ecoutait sa chatoune, toujours et souriat quand elle repporta des mots qu il aurait lui meme dit sans aucun doute


Citation:
Si Garla avait pu voir çà il aurait dit :

Ma chatoune, çà c'est pas des guerriers, c'est des p'tites flipettes à grignoter à l'apéro par les lionceaux.


Il souffla a son oreille sans etre certain que les dieux lui permettent qu elle l entende

Tu as mes lionceaux, a vous tous, vous allez les bouffer ces flippettes, n oublie pas ma chatoune, patience patience patience patience patience...
Nini


Ah qu’ il est beau qu’il est beau mon pécari, ah qu’il est boooooooo qu’il est beau mon….

Tu vas la fermer Rhannnnn !!!! Mais faite le taire ou je vais faire un meurtre !!!!!

La guerrière afin enfin rejoins les troupes à la frontière entre l’Occident et l’Orient, a attendait sagement que sa lance fut intégrer dans l’armée, et mêlé aux autres guerriers, leurs patience commençait a être mise à rude épreuve.

Il devait y avoir 5 ou 6 lances bien forte et prête à en découdre, qui n’attendait plus qu’à être intégré dans l’armée, mais on attendait. Le pignon rocheux sur lequel était stationné les hommes et femmes n’était plus qu’une masse sombre de tête, les uns derrière les autres, bien ordonné, que l’on stationnait là, en attente du signal et d’une autre armée en route d’après ce qu’elle avait pu apprendre de son chef de lance en contact direct avec le chef d’armée.


Mmmmmm si j’aurai su, j’s’rai venu plus tard, j’aurai pu encore cultiver mon champs plutôt que de poiroter ici a rien faire…..

La guerrière sourit, prenant soin de lire et relire les aras échangé avec Mayca, Vargas et autre Huey et sans prêter plus attention aux vociférations des guerriers, sortie de sa tunique un morceaux de charbon de bois, et écrivit au chefs d’armée d’Orient qu’ils allaient, eux brave Occidentaux encore une fois sauver.

Citation:
Tze Mayca Tikal et le bison,

J’ai bien reçu vos aras et vous confirme qu’ici tout se passe bien, même si ca commence déjà a gronder a force d’attendre. Si j’ai bien compris, on va faire comme pour Eurydice ? Attendre d’être cinq fois plus nombreux pour jaillir et se les faires ?

On va encore devoir se battre pour frapper donc si je comprends bien…. A ce rythme là, les combats vont à peine durer deux nuits, va encore y avoir des dessus.

Mais soit, je conçois qu’on ne change pas une technique qui a déjà marché et marchera encore, mais au vu des effectifs ennemies, sache qu’ici, rien que nous Occidentaux, on est déjà plus nombreux qu’eux, et sans dindes écervelé comme les glouglous, ce qui, vous l’aurez compris est une bonne chose.

J’ai hâte qu’on passe enfin a l’offensive, j’ai déjà coché deux trois noms de dindes dont je m’occuperais personnellement,

Nini


Son fidèle perroquet s’envola rapidement vers la capitale Orientale qui ne risquait plus rien sous un dernier encouragement de sa part avec quelques mots :

Va, part rejoindre le bison, il te suffit de te fier a son odeur, tu ne pourras pas te perdre.
Anaela


[Tlaxcala, armée des Ozomahtlis]

Occidentale elle avait prêté serment au Huey, Empereur de Seigneurie de Tlaxcallan, fidélité et honneur. Sa place était à ses cotés, à protéger sa vie, la vie de celui que les Dieux avaient placé au sommet de la Seigneurie, quoi qu'il décide, ou qu'il aille et c'est ainsi qu'ils se retrouvaient au milieu d'un conflit que les orientaux étaient incapables de régler entre eux. Mais peu importe, son rôle n'était pas de prendre parti, uniquement de protéger et défendre la capitale orientale

La nuit était encore douce, les feux du campement rougeoyaient dans les ténèbres. Le silence à peine troublé par le hululement d'un oiseau de nuit, rendait la nuit encore plus lourde et l'attente plus longue. Pourtant elle aimait ce calme, ce calme étrange avant la tempête qui déchainerait la fureur. Et les Ozos, fidèles à leur Huey, prêts à sacrifier leur vie pour l'honneur et la grandeur de la Seigneurie, attendaient.

Ils attendaient les détracteurs, les orientaux rebelles à l'Empereur, les traitres et autres fous qui massacraient leurs frères fidèles à la Seigneurie.
Ils attendaient que l'ennemi se présente aux portes de la capitale s'il l'osait, mais elle les sentait trop lâches pour combattre à force égale. Cependant elle l'espérait.

Alors l'eau précieuse coulerait, irriguant la terre orientale du sang de ses fils, offrant aux Dieux ce breuvage magique, unique dont ils ne se rassasiaient pas.
Alors les massues s'abattraient sur les corps, brisant, déchiquetant. Ils tueraient sans hésiter les orientaux traitres, les laissant, dans de longs râles de souffrance, expirer lentement sur le sol rougit abreuvé du nectar.

Elle fit le tour du clan, guettant le moindre bruit, la main posée sur sa massue qui ne la quittait pas. Elle huma d'étranges parfums, mélanges d'herbes et autres substances, qui s'échappaient de la tente du Huey et la firent sourire

Après sa garde, elle irait à son tour, se préparer pour recevoir dignement l'ennemi de l'Orient, s'il avait le courage de se présenter.
Ihzotlaltia


Xaloztoc sur les remparts du clan.


Heyyyyyyyyyyyy Hooooooooooooooooo, les pouilleux!!!!!
Vous êtes ou???????????

Elle avait croisé le minitruc et sa bombonne gonflée presque jusqu'au yeux.
En hutte à pulque il fanfaronnaient, mais la nuit venue, la seule chose qu'ils avaient su faire pour prouver leur courage, se fut d'attaquer une armée vide pour la détruire.Elle applaudit avec force, en direction des traitres et renégats.


Bravooooooooo, quel courage vous montrez a toute la province, surtout toi minimachin!!!!!
On se voit cette nuit ou vous z'allez filer vous cacher à Huamantla?????

_________________
Manco
[ Xaloztoc ]

L'armée d'Eleanore n'avait pas vu le jour... mais elle renaîtrait bientôt de ses cendres... La défense de Xaloztoc était toutefois bien en place et l'armée noire des renégats était toujours là, à attendre aux portes de Xaloztoc...

Huizilin se pointa aux remparts et il leva son macquahuitl haut vers le ciel, regardant les feux ennemis qui scintillaient au loin...


- Ayoooo !!!! Qui veut venir me défier à l'arène ??? Ma massue a soif d'eau précieuse, aussi fétide soit-elle !!! Je suis Huitzilin, et je ne crains personne !!!! A ce soir !!!
_________________

Tlaxcala, mon coeur saigne pour toi...
Belle..
Xaloztoc prend la couleur du Sang

Assise sur un rocher, Belle regardait son fils Minicar jouer avec ses amis. Comme ils semblaient contents et heureux, c'était touchant à regarder.
En effet, le matin même, un très joli jouet avait été offert par le clan de Xaloztoc aux enfants, un beau jouet tout neuf, il s'agissait d'une poupée portant un grand étendard rouge sang.
Oh comme elle était jolie avec ses longs cheveux noirs et ce bel étendard qui flottait au vent aux portes de la ville.
La poupée sentait l'innocence, l'inconscience avec un petit relent de bêtise juste perceptible par ceux qui avait l'odorat affûté, l'odorat d'un félin, d'un prédateur, d'un carnassier.

Les enfants avaient commencé par jouer au foulard. Ils prenaient chacun un coté du bel étendard et se répartissant en deux groupes égaux, tiraient dessus pour tester leur force. Quel bel acharnement, on voyait qu'ils y mettaient du coeur, tirant chacun d'un coté de toutes leurs forces, leurs pieds laissaient de belles traînées sur le sol de terre desséchée par le soleil.

Malheureusement ce qui devait arriver arriva, l'étendard se déchira en lambeaux et la pauvre poupée n'avait déjà plus son bel étendard rouge sang.

Ils ne se découragèrent pas pour autant et changèrent de jeu, qui de l'embrocher avec un pique, qui de lui coller un coup de massue derrière les genoux pour la faire flancher. C'était beau a regarder, autant d'ardeur et de joie sur leur visage. Ensuite ils l'attachèrent à un tronc d'arbre et firent un concours de tir à la flèche. Mais le jeu ne dura que jusqu'au moment où l'un d'entre eux s'essaya au couteau. Tant que les pointes de silex traversaient simplement la chair çà allait, mais lorsque la tête fût tranchée, çà n'allait plus. La poupée était toute cassée.

Ils posèrent alors les massues et redéfinirent les équipes, la tête tel un beau ballon rond roulait de sandales en Sandales.


BUUUUUUUUUUUUT ! AYE CARAMBA !

Les cris de joies s'entendirent jusqu'au fond du clan.

Elle tapa alors dans ses mains.

Cela suffit maintenant, rentrez dans la hutte c'est l'heure du goûter.

Elle secoua alors la tête et les réprimanda gentillement.

C'est le troisième jouet de ce type que l'on trouve et que vous cassez en seulement 1 journée. J'essai de vous en trouver un plus solide, promis !

Un sourire éclaira son visage, puis une ride barra son front.

On en trouve plus des jouets solides de nos jours en Orient, mais alors plus du tout...
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