Vargas
Sur la route de Tlaxcala
.
La colonne avançait au pas et les mines étaient plutôt joyeuses. Les guerriers cétait frotté aux ennemies la veille et, alors que tous le monde les donnaient perdants, laffrontement navait pas vraiment permis de déterminer une supériorité, malgré lécart du nombre qui aurait dut, faire tourner laffrontement a leurs défaveur.
Le Mogollon, toujours en tête du cortège semblait pensif, sans doute se disait il que sil avait eu a ses côtés au moment de la traitrise des couards lensemble de ses guerriers, et pas que sa garde rapproché, ils seraient sans doute tous déjà en route vers Axotla à vider quelques jarres de pulque, des colliers pleins de dents ennemies autour du cou, et en attendent des dernières exécutions des traitres ..
Mais il avait été trop naïf, ou avait accordé sans doute trop dhonneur à ces anciens conseillés, pensant quils prendraient actes de la décision du Huey, quil avait dailleurs trouvé bien trop clément, mais au lieu de se défendre ou dattendre la décision, ils avaient préféré regrouper les pires renégats, la lie de lOrient pour les attaquer dans le dos, pendant que lui, bêtement avait laissé quartier libre au gros de ses troupes qui étaient retourné chez eux Avec eux, la nuit précédente auraient été un massacre pour lennemie ..
Mais ils nétaient pas là, et il faudrait sen passer encore pendant un petit moment, même si les correspondances allaient bon train et quils se tenaient tous prêt maintenant, et plus le grand jour avançait, plus il sentait dans leurs aras une grande motivation et envie de se battre quil se devait de contenir au vu de la traitrise de larmée ennemies qui sattaquait même aux plus pacifistes des pacifistes maintenant .
Il avait plusieurs fois tenté de convaincre Weg en taverne à Axo de lutilité de la guerre, davoir une armée forte, mais ce dernier ne lécoutait pas, convaincu de labsurdité de la guerre, et cest lui qui été salement blessé maintenant, simple voyageur, homme non armée, antimilitaire, leurs manque dhonneur naurait elle donc pas de limite ?
Un guerrier sapprocha de son chef et lui dit :
Vargas, pourquoi retournons nous à Tlaxcala ? On leur a donné une sacrée leçon hier soir. Pourquoi on y retourne pas ?
Le Mogollon leva la tête et sourit :
Quest ce qui compte le plus ? Gagner une bataille ou la guerre ?
Le rire du bison se fait plus sonore.
On ne retient toujours que le noms des vainqueurs d'une guerre tu sais. Et regarde, ils parlent dhonneur, de courage, mais ils savent très bien ou nous sommes. Pourquoi crois-tu quils ne viennent pas ?
Euh, je sais pas . La peur ?
Tu comprends vite. Ils nattaquent que lorsquils sont sur dêtre au moins le double voir le triples, jamais quand le risque de perdre existe, et ils savent qua Tlax, cest plus quun risque, la défaite sera pour eu une certitude.
Mais partout ils crient sur les toits que cest nous les lâches et quils sont des prédateurs qui ..
Prédateur qui sattaque a des pauvres gens sans défense, des armées vides . Ils savent ou nous sommes, sils sont de vrai prédateurs, ils nont qua venir, ils seront reçu !!!
Le guerrier, rassuré retourna prendre sa place alors que les premières lueurs de Tlaxcala étaient en vu maintenant, ce soir ils dormiraient au chaud, reprendraient des forces, et se prépareraient un peut plus a laffrontement final, qui démangeait déjà le bison et qui, sans ordre contraire ou un minimum de réflexion aurait eu lieu cette nuit au lieu de cette jolie balade ..
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La colonne avançait au pas et les mines étaient plutôt joyeuses. Les guerriers cétait frotté aux ennemies la veille et, alors que tous le monde les donnaient perdants, laffrontement navait pas vraiment permis de déterminer une supériorité, malgré lécart du nombre qui aurait dut, faire tourner laffrontement a leurs défaveur.
Le Mogollon, toujours en tête du cortège semblait pensif, sans doute se disait il que sil avait eu a ses côtés au moment de la traitrise des couards lensemble de ses guerriers, et pas que sa garde rapproché, ils seraient sans doute tous déjà en route vers Axotla à vider quelques jarres de pulque, des colliers pleins de dents ennemies autour du cou, et en attendent des dernières exécutions des traitres ..
Mais il avait été trop naïf, ou avait accordé sans doute trop dhonneur à ces anciens conseillés, pensant quils prendraient actes de la décision du Huey, quil avait dailleurs trouvé bien trop clément, mais au lieu de se défendre ou dattendre la décision, ils avaient préféré regrouper les pires renégats, la lie de lOrient pour les attaquer dans le dos, pendant que lui, bêtement avait laissé quartier libre au gros de ses troupes qui étaient retourné chez eux Avec eux, la nuit précédente auraient été un massacre pour lennemie ..
Mais ils nétaient pas là, et il faudrait sen passer encore pendant un petit moment, même si les correspondances allaient bon train et quils se tenaient tous prêt maintenant, et plus le grand jour avançait, plus il sentait dans leurs aras une grande motivation et envie de se battre quil se devait de contenir au vu de la traitrise de larmée ennemies qui sattaquait même aux plus pacifistes des pacifistes maintenant .
Il avait plusieurs fois tenté de convaincre Weg en taverne à Axo de lutilité de la guerre, davoir une armée forte, mais ce dernier ne lécoutait pas, convaincu de labsurdité de la guerre, et cest lui qui été salement blessé maintenant, simple voyageur, homme non armée, antimilitaire, leurs manque dhonneur naurait elle donc pas de limite ?
Un guerrier sapprocha de son chef et lui dit :
Vargas, pourquoi retournons nous à Tlaxcala ? On leur a donné une sacrée leçon hier soir. Pourquoi on y retourne pas ?
Le Mogollon leva la tête et sourit :
Quest ce qui compte le plus ? Gagner une bataille ou la guerre ?
Le rire du bison se fait plus sonore.
On ne retient toujours que le noms des vainqueurs d'une guerre tu sais. Et regarde, ils parlent dhonneur, de courage, mais ils savent très bien ou nous sommes. Pourquoi crois-tu quils ne viennent pas ?
Euh, je sais pas . La peur ?
Tu comprends vite. Ils nattaquent que lorsquils sont sur dêtre au moins le double voir le triples, jamais quand le risque de perdre existe, et ils savent qua Tlax, cest plus quun risque, la défaite sera pour eu une certitude.
Mais partout ils crient sur les toits que cest nous les lâches et quils sont des prédateurs qui ..
Prédateur qui sattaque a des pauvres gens sans défense, des armées vides . Ils savent ou nous sommes, sils sont de vrai prédateurs, ils nont qua venir, ils seront reçu !!!
Le guerrier, rassuré retourna prendre sa place alors que les premières lueurs de Tlaxcala étaient en vu maintenant, ce soir ils dormiraient au chaud, reprendraient des forces, et se prépareraient un peut plus a laffrontement final, qui démangeait déjà le bison et qui, sans ordre contraire ou un minimum de réflexion aurait eu lieu cette nuit au lieu de cette jolie balade ..
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