Chimera
Ce RP fait suite à celui lancé en gargote angevine intitulé "Derrière le mur" concernant le décès de Marie de Kermorial-Montfort.
"Je suis au regret de
. "
Non en fait. Je ne regrette pas. Même si cest pour la forme.
Cordialité, mais sans pousser.
Des mots tendres et doux à son lointain dug destinés elle doit se détourner, à contre contre contre coeur, pour en adresser damers ici, de sincères là, de doux ailleurs encore. Quand on essaie d'échapper à la vie, c'est la mort qui nous rattrape et nous impose des responsabilités qu'on s'échine pourtant à saper partout ou c'est possible.
Combien de plaies Marie lui imposera-t-elle donc ? Même ad patres, elle parvient à s'imposer sur son chemin...
En sus dentendre encore et encore, pour chaque être estimé, ce maudit chant de sirène qui en avait noyé plus dun et rendu folle plus dune Pénélope, voilà quelle devait assurer la gestion du funeste convoi par Judas expédié avec un pli aussi touchant quaberrant.
Elle. Elle qui avait non pas une, ni deux, mais trois fois pâti de cet excès de liberté que sautorisait Soazon. Il fallait que Judas s'adresse à elle.
Couteau sous la gorge.
On dit que nul nest tenu à se plier à quelconque exigence. Dans le cas présent, cest idiotie, car pour se dérober à ce quon attend delle, aucune révolte, aucune manifestation, aucune restitution de titre, rien n'apparait efficace ou envisageable.
Lidentité de lauteur de la demande importe également, cruel sans en avoir conscience. Etau de sentiment, damertume, de chaleur et destime mêlés. Les mots premièrement adressés furent durs. Elle sait pourtant que ce n'est pas bien d'écrire à chaud...
Bonne poire, elle assume la responsabilité par main estimée confiée, pour ne pas dire imposée.
Citation:A vous, Ascelin, intendant, vassal, ami sûrement.
Elle retient un mesquin : voire même amant.
Lheure ne sy prête pas.
Il y a toujours une bonne pâte pour retenir les griffes, choisir litinéraire Bis qui nécrasera aucune petite fleur ni velléité quelconque, se détourner de la facilité du prendre et du combat pour laisser le bout de barbaque au plus hargneux. En ce jour donc, et en contexte, Chimera ne sera pas le vautour qui mettra en charpie le corps déjà sans vie. La victoire eût été amère, bien que labsence de bagarre et la victoire facile ait pu séduire la rousse pacifiste.
Elle nira donc pas non plus noyer Ascelin avec les autres marins
Citation:
Cest une triste mission que celle qui mincombe, je vous prierai donc comme en temps de contrariété de ne point considérer le messager.
Laube sest levée rouge et ce jour, un grinçant convoi, fait détendards en berne et de mines graves s'est présenté aux portes de Cholet. Jignore si vous avez été averti, et jespère que mon pli nest quune dure réminiscence, tout en doutant que cela soit le cas.
Je dois donc, à regrets, vous dire ceci:
Votre bien aimée suzeraine a séduit lAnkou, et sen est allée sur des chemins que les vivants nexplorent point.
Plus de jaloux donc, et pour elle la paix éternelle de pouvoir être ce quelle est sans subir aucune foudre.
Si en tant que femme je désire que Cholet ne soit quune étape de son dernier voyage, je me dois néanmoins de lui accorder le temps de ce courrier la triste hospitalité que lAnjou ma demandée. En tant que membre de la famille de Dénéré, également, je me dois détendre cette dernière. Elle a sa place, si vous le désirez, dans le mausolée familial, car en elle coulait ce sang. Vous êtes néanmoins plus à même et plus en légitimité que moi de juger quà Cesson ou ailleurs elle aurait préféré reposer. Je vous laisse donc me faire part de sa volonté, ou à défaut de la vôtre ou de celle de sa famille.
Je missionne le capitaine de ma garde pour veiller à ce quelle vous arrive promptement et en toute sûreté, tout en ayant conscience que la mission est un échec avant même davoir débuté.
D'ici à vous lire, je vous assure de toute mon amitié, et reprendrai tout à l'heure la plume pour avertir sa fille. J'ai également rencontré Elizabeth, la soeur de Marie, elle est donc informée des dispositions que je vous énonce par icelle.
Aedem Mensura.
E Cholet, d'ar Sul 28 a viz Here 1460
Elle se relit. Foutue diplomate, tu as quand même glissé des regrets. Plus pour lui, disons...
En cachetant le pli, de la main lasse de celle qui sait quelle devra réitérer, mais néanmoins appliquée, la comtesse hèle sa suivante.
- Nolwenn ?
Fais vêtir le corps. On ne peut pas la leur renvoyer comme ça
surtout si Alix-Ann et Elizabeth la voient.
Et alors que la blonde s'en va vaquer sans hâte à son incongru mission, regrettant sûrement la présence experte de Pelotine à Cholet, la main blanche saisit à nouveau la plume... Comme une andouille, elle a commencé par le moins compliqué..._________________
Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Chimera
Alors quil est lheure daborder la difficulté, et dadresser à lenfant quelle narrive toujours pas à haïr ces mots quelle naurait pas du avoir à dire, elle songe à celui sans qui Alix-Ann naurait pas vu le jour, et sempresse de sautoriser ce détour, pour repousser encore linévitable épreuve.
Citation:
A Cassius de Montfort
« Méprise la vie pour en jouir »*
Elle nest plus.
Quelles que furent vos relations ces derniers mois, jai pensé que tu voudrais le savoir, pour toi, et pour ta fille.
Cest un angevin qui ma renvoyé son corps. Jai jugé à la manière dont elle mest parvenue quelle est morte comme elle avait vécu.
Elle aura joui de sa vie, en laissant derrière elle bien des amertumes. Jespère que la tienne est moins vive, et que tu considères à nouveau létendue de ce qui pour toi est possible.
A galon,
Aedem Mensura.
E Cholet, d'ar Sul 28 a viz Here 1460
Ayant trop repoussé l'échéance... elle se décide enfin à l'affronter.
Et puis non... le doit-je vraiment?
Par correction!
Et quelle correction vis à vis de moi? hein?
Dialogue d'âmes...
La plume griffonne quelques essais:
A vous, Alix-Ann
Ma chère enfant,
Chère Alix-Ann,
Et puis, après mille ratures
Pourquoi pas après tout déléguer elle aussi, et refiler la pénible tâche à autrui ? Sans vouloir se débiner, elle estime que cest là la chose à faire, tant elle se sent mal placée pour annoncer cela à une enfant quelle na vu quune fois. Elle aurait, à nen pas douter, eu plus du facilités à lexpliquer au lapin Jean-Baptiste, protégé de lenfant. Cest donc à celle dont lenfant est-elle-même la protégée quelle va lexpliquer.
Citation:
A Yolanda-Isabel
Ma chère cousine,
Parce que vous avez toujours trouvé les mots, que vous parlez son blond langage et parce quon me charge aujourdhui dexpliquer à une enfant quelle ne reverra pas sa mère, je madresse à vous
Je vous prie, humblement et en ayant connaissance que la tâche est plus que délicate, de lui faire savoir que Marie de Kermorial-Montfort nest plus. Ce ne sont je crois pas des mots qui peuvent être exprimés dans un pli, et surtout pas pour de si jeunes yeux. Je crains, de plus, que mes mots trahissent le peu daffection que je portais à la disparue
Jai proposé à son vassal, le baron Ascelin, Chancelier de Bretagne, daccueillir Marie en le mausolée de Cholet. La défunte étant de nostre sang, il convenait de faire cette suggestion. Jai néanmoins fait escorter la dépouille en le fief de Cesson, dont elle était la suzeraine, afin que ses proches puissent lui faire les adieux quils souhaitent. Ascelin prendra les dispositions qui lui semblent opportunes, et jespère quil vous en fera part. Sil nen fait rien, je pourrai me faire le relai de la position qui aura été choisie.
Jécrirai à la petite, quand jaurai trouvé les mots justes
A galon, et merci...
Aedem Mensura.
E Cholet, d'ar Sul 28 a viz Here 1460
- Ifig? Un verre de prune, s'il te plait.
La politanisation de la rousse est en cours, et elle suit son traitement avec application...
Pensant Saint-Pol, elle jette coup d'oeil vers le pigeonnier qu'elle aperçoit par sa fenêtre, dans l'espoir d'assister à la venue providentielle d'un pli de moins triste augure que l'arrivée du matin... Est-il avec elle? Soupire-t-il devant ses soupirs? Elle appuie son coude sur le bois et love son menton dans sa main, assumant la position du guet, a.k.a. la position de la jeune donzelle éplorée attendant un mot, voire même rien qu'une lettre, de la main chérie.
*Jean-Paul Richter_________________
Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Ascelin
Le jeune baron navait pas revu Chimera depuis un long moment. Il navait pas non plus eu le loisir de sadonner à quelque échange épistolaire que ce soit avec elle. Et aujourdhui, tout aussi cruel et contradictoire que cela puisse être, il regrettait davoir de ses nouvelles. La Maitresse de Cholet nétait certes quune messagère contre son gré, il nen demeurait pas moins que le contenu du pli quelle lui avait adressé avait profondément ébranlé le Chancelier.
Il savait bien quil était plus jeune quelle. Il savait bien que la nature voudrait que ce soit elle qui sen aille dabord. Le savoir ne fait malheureusement pas tout. LAnkou frappe et les bretons vacillent. Il en en était ainsi depuis des siècles et des siècles, il en sera de même encore longtemps.
Profondément frustré de renouer le dialogue avec une personne quil appréciait en pareille circonstance, et passablement affaibli psychologiquement par lirrémédiable situation quelle lui avait décrit, le juriste relisait les deux courriers quil avait fébrilement écrit.
Citation:A vous, Chimera de Dénéré Malines,
Comtesse de Cholet,
Vos lignes font résonner jusquà mes esgourdes le son strident des roues grinçant sous les secousses du trajet qui a mené le convoi funeste jusquà vos portes. Si laube sest levé rouge par chez vous, elle sest levé trouble sur mes terres. Troublée dune telle nouvelle, troublée de vous savoir mêler à cela, aussi.
Votre missive nest point réminiscence et est pour moi annonce officielle de ce que je craignais depuis maintenant de longues semaines. Votre courrier nest point oiseau de malheur, il nest que confirmation dune situation qui dérivait, rarement non accompagné, vers une fin inéluctable.
Il est curieux de voir que, même se préparant à une telle fatalité, la mine est capable de se défaire et le visage de prendre trait de vieillesse et de souffrance alors même quil nest quà ses plus jeunes heures. Pardonnez-moi, Votre Grandeur. Je crois quil est inopportun et déplacé de faire part à travers ces quelques lignes de la peine et le désarroi que je ressens et qui mhabitent.
Votre proposition est honorable et ne fait que renforcer le profond respect et lamitié que je vous porte depuis nos premières rencontres à Cholet. Néanmoins, il est certain que vous navez point à être le phare qui, dans ce que certain qualifieront de tempête et dautres de retour au calme plat, avez à guider les âmes tourmentées par une telle nouvelle vers la paix et la sérénité du deuil. Cette responsabilité et ce fardeau ne sont point les votre. Aussi, je vous invite à vous décharger de cette tâche et à faire parvenir jusquaux portes de Cesson, le carrosse mortuaire.
Jattendrai donc, face au vent et intempéries automnales, sur le parvis du château de Cucé, avec toute la bienveillance et lhospitalité quil incombe, larrivée de votre Capitaine. Je sais que vous aurez à cur de faire de cet ultime voyage terrestre du la de cujus une réussite. Soyez remerciée, Chimera, malgré le passif qui vous liait à ma suzeraine, davoir prit soin du rapatriement de la Marquise.
Soyez assurée de ma gratitude et de mon amitié, et pardonnez le fade de mon verbe.
Ascelin de Mauny.
Citation:A Sa Majesté Riwan Nathan de Brocéliande, Grand-Duc de Bretagne
De Ascelin de de Mauny, Baron de Noyal-sur-Vilaine,
Votre Majesté,
A l'heure où en tête de liste de vos ordres du jour figure régulièrement le sort de la noblesse bretonne, et particulièrement celui des hauts nobles, je deviens la funeste estafette d'une macabre nouvelle.
L'ankou a de nouveau joué de sa faux sur les terres de Cesson et la santé fragile de ma suzeraine n'y a pas résisté. C'est donc avec un immense chagrin que je vous annonce le décès de la plus bonde de vos vassales. La Marquise Soazon n'est plus.
Etant son unique vassal, j'ai pris l'initiative de m'occuper, avec sa famille, de ses obsèques auxquelles vous serez bien évidemment conviez sous peu.
Avec tout mon respect,
Ascelin de Mauny.
Il ne restait désormais plus quà les envoyer et à rédiger celles qui seraient destinées à Gwilherm, Talisesyn, Marrick, Alix Ann et Elisabeth
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Alix Ann, incarné par Else
[Domaine de Château-Gontier en Anjou, chambre d'Alix.]
« La barque de l
amour sest brisée contre la vie courante. Comme on dit, lincident est clos... » *
Citation:Bonsoir,
Peut-être ignorez-vous qui je suis ou l'avez-vous oublié. Je suis Ascelin de Mauny, vassal de Feue votre mère. La Comtesse de Cholet a dû vous en informer mais je préfère aux croyances la certitude d'une lettre écrite respectueusement par mes soins.
Votre mère, Marie de Kermorial, n'est plus. Cette nouvelle nous bouleverse tous et, respectant votre tristesse, je serai bref et précis.
Aussi je vous confirme, ou vous informe, que Chimera de Dénéré Malines et moi-même avons convenu de faire rapatrier le corps de votre mère à Cesson. La suite des évènements n'est pas encore arrêtée. La seule certitude est que je vais lever dans la soirée le deuil sur les terres de Cesson.
Aussi, étant membre de sa famille, je suis ouvert à vos souhaits concernant la suite à donner à ce triste évènement.
Soyez assurée de mon soutien et de ma compassion dans cette douloureuse épreuve que nous partageons.
Restant à votre entière disposition,
Avec tous mes respects,
Ascelin de Mauny.
Cette lettre fut relu des dizaines et des dizaines de fois. Elle se demanda une première fois pourquoi Chimera était comtesse et non Duchesse et ce nom lui évoqua l'épisode de la veille. Chimera, cette dame rousse qu'elle avait rencontré en Bretagne avec Yolanda. Cette femme qui l'avait mise un peu mal à l'aise à ce moment par ces regards curieux qu'elle avait vu chez elle. La Fadette ne veut pas pleurer. Cette mort n'était plus la sienne et elle enragea devant le pli du baron en pensant à ce corps qui voyageait de main en main, en se rappelant l'annonce par Yolanda qui avait choisit opportun de tester son tact en taverne devant toutes ses filles. Elle était prostrée là, au creux des bras de Molières, elle avait bien vu ce regard qu'elle avait laisser peser sur elle qui voulait dire qu'elle ne la regrettait nullement. Ou les yeux mièvres des autres filles qui tachait de se montrer réconfortante. Cette perte n'était pas la leur et elle savait ce que pouvait en penser Anaon ou Yolanda.
Maman est morte, elle l'avait elle aussi laissé sur le carreau de la vie. Elle ne pleure pas, elle se retient très fort, elle ne veut pas pleurer pour elle, pas encore. Tout ses efforts sont placés pour lempêcher de laisser paraître tout son regret pour une mauvaise mère, une mère qu'on ne devrait pas regretter. Ce chagrin elle s'en privait autant qu'elle le pouvait. Et cet Auditore qui avait tout entendu de l'annonce qui avait essayer de lui apporter du courage. L'homme l'avait prise sur ses genoux sous les bienveillants regards de Yolanda & sa mesnie tandis qu'il commençait son récit. Il lui parla de la perte de sa mère lorsqu'elle mit au monde sa soeur. Et cette soeur, est-elle en vie? Il suppose qu'elle va bien. Le visage bouffi et les canalisations nasales en peine elle écoute sagement. Elle préfère les histoires de fées de Yolanda, mais elle ne le lui dit pas. Elle ressent bien que ce jeune homme fait tout ce qu'il peut pour lui venir en aide. Il lui apprend que sa mère en peine voudrait la voir heureuse. Mais c'est un mauvais percepteur et elle connait mieux ses leçons que lui.
La lettre est relu à voix haute, et elle bute sur les mots, toujours plus choquée à chaque virgule qui se suivait. Une mère arrachée, une fille privée. Ses yeux rougissent et bêtement elle l'est ferme pour ne pas sangloter. Elle ne lui accordera pas ça. Elle lui en veut, elle est partie et tout ce qui lui restait d'elle était un vulgaire mouchoir brodé et une améthyste aux origines adultérines encore méconnues d'Alix. Toute cette histoire ne faisait que provoquer de la peine à son égard. Cette pauvre petite fille que ces parents n'avaient jamais su élevé et que la demoiselle de Molières avait du cueillir pour s'en occuper à leur place. Cette pathétique gamine peut-être effacée de la mémoire de son père et dont le jumeau venait de mourir. Et ce vassal qui venait en remettre une couche, lui annoncer ce qu'elle sait déjà : le dernier trophée de chasse de l'Ankou. Sa mère.
La Kermorial ne sait trop comment réagir devant ce pli. Il y a ce ton concis et pourtant trop formel. Cette évocation d'une douloureuse épreuve qu'elle partageait avec lui. Elle tique une nouvelle fois dessus, parce que ce n'est pas vrai, elle n'a aucune envie de partager cette épreuve. Puis elle reprend du début. Bien sur qu'elle savait qui il était pour l'avoir vu quelques mois plus tôt, à son anoblissement. Pourtant elle n'avait pas grand avis dessus. Une lettre respectueuse qui lui mettait les nerfs en pelote.
-« Laosk ar c'hazh ! Deux amañ ! »
D'un signe de main elle fait signe au chiot au visage plissé qui embêtait le plus tout jeune chaton de s'avancer vers elle. La petite femelle traverse la pièce pour venir jusqu'au lit d'Alix. Toujours affectée par sa jambe cassée qui commençait à se rafistoler et sa maladie elle passait encore relativement de temps clouée sous les épaisses couvertures sur sa couche.
Maman est morte.
Qu'en penser de tout cela? Le bout de ses doigts viennent toucher le pelage de Titania la jeune mâtine napolitaine qui tenait son nom de sa très forte carrure qui elle était surement du à sa race.
Tu vois comme ils membêtent tous? Si tu pouvais seulement constater ma peine.
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* Lépitaphe de et par Vladimir Maïakovski, poète russe
** Laisse le chat! Viens ici!
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