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[RP]Chez la Vivivicomtesse "LPBBDF"

Rosa
Rosa sourit. Elle reconnaissait bien là une fille selon son coeur, aimant les beaux tissus, les belles toilettes. Elle se voyaient déjà essayer diverses tenues et s'amuser à s'admirer dans le grand miroir, aller dans les ateliers de couture réputés...

Elles allaient bien s'entendre toutes les deux.

Elle demanda à Maître Clotaire.


Maître Clotaire, auriez-vous des mélange de couleurs à nous montrer? La demoiselle est pleine de vie et aime les choses lumineuses. Pouvez-vous nous proposer quelque chose?
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Maître Clotaire, incarné par Rosa
Ces dames semblaient apprécier ses tissus, mais elles n'avaient encore point eu de coup de coeur. Patient, Maître Clotaire avait encore quelques cartes à jouer. Peu importe ce qu'il lui en coûterait, il ferait en sorte que ses clientes soient satisfaites.

Pour l'aider à garder toute sa patience, il songea à la rémunération confortable qu'il toucherait lorsque la commande serait faite.

Il se tourna, chercha des étoffes parmi ses échantillons et les mélangea. Il décrivit avec force détails l'effet que les tissus produiraient sur les meubles, tâchant non seulement de les décrire mais également de les faire rêver.


Labre_dela_rosenoire
Labre était arrivé ce jour a Arras.
Elle avait appris que Rosa vivait en ctte belle ville et décida d'aller la saluer....
Seul Aristote savait si cette dernière la reconnaitrait mais elle voulait tenter le coup.

Aprés s'etre renseigner auprés de quelques habitants, elle se rendit au lieu indiqué.

Se postant devant la porte, elle tapa et attendit de voir si quelqu'un allait lui répondre.

Depuis son retour, elle cherchait a retrouver les gens de son passé.

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--Bertine
Bertine était restée à Arras, sa maîtresse étant allée à Tournai. Elle ouvrit l'huis, se demandant qui cela pouvait être, un patient? un ami?

Bonjour, que puis-je pour vous?
Labre_dela_rosenoire
Labre vit la porte s'ouvrir et se retrouva face a une dame.... et même si elle n'avait pas vu Rosa depuis bien longtemps elle se doutait bien que ça ne pouvait pas etre elle.


Citation:
Bonjour, que puis-je pour vous?


bonjour dame.... la maitresse de maison serait elle là s'il vous plait?
je suis une ancienne tournaisienne de passage a Arras et je souhaiterai la saluer si cela est possible


Elle affichais un sourire plein d'espoir... Elle saurait peut etre si son parrain était toujours en vie et ou il se trouvait

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--Bertine
Bertine secoua la tête.

Dame Rosa n'est point là pour le moment elle est à Tournai encore pour quelques jours, cependant, comme je la connais, elle vous proposerait de loger ici le temps que vous désirez. Sa maison est toujours ouverte pour ses amis tournaisiens.

Elle ajouta en souriant.

Sinon vous pouvez la voir à Tournai, si telle est votre route, je gage qu'elle serait enchantée de vous revoir.
Cira
Elles étaient enfin revenu et Cira avait encore grandit. C'est fou comme on change vite à partir d'un certain âge...

Avant de partir, Cira avait choisit la décoration de sa chambre et c'était la 1ere qu'elle avait demandé à avoir à Rosa.
Elle ne savait pas si les travaux avaient été fait pendant leur absence et c'est toute impatiente qu'elle entra dans le domaine de la PBBDF.

Toute excitée mais gardant un maintient convenable pour une damoiselle de compagnie, Cira sauta de sa scelle et s'approcha de la monture de Rosa en évitant de faire des bonds de kangourou sauvage.


Bon retour chez vous ma Dame. J'ai hâte de prendre un bon bain, le voyage nous a bien secoué, gelé et couvert de poussière.

L'enfant fit un jolie sourire et flatta l'encolure de Breizh son poney.
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Rosa
Avant leur départ pour les Flandres, la Blonde avait laissé quelques instructions. Le maître d'oeuvre et le tapissier avaient donc tout fait pour que la chambre soit faite et parfaite pour leur retour.

Rosa imaginait bien que c'est ce qu'espérait secrètement sa jolie demoiselle de compagnie. Aussi, la voyant excitée telle une puce bondissante, Rosa sourit et opina du chef à ses propos.


Un bon bain nous fera le plus grand bien. Je demande à Bertine de nous préparer tout cela et d'ensuite nous concocter un bon repas, je meurs de faim.

Et avant qu'elle ne se précipite elle ajoute à voix basse:

Bienvenue chez toi, aussi!

Lorsqu'elle entrerait elle pourrait voir sa chambre, tendue de toiles neuves, pourpres. Sa chambre était très confortable, adaptés aux besoins d'une jeune fille.



Alors que Cira grimpait à l'étage retrouver sa chambre, Rosa confia leurs montures à un domestique et alla donner ses ordres à Bertine.
Vraiment, elle n'était pas fâchée d'arriver. Elle avait hâte de retrouver son chez soi... et surtout elle espérait revoir rapidement son Aimé qui lui avait tant manqué.

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Cira
Cira hocha vivement la tête et partit en courant retrouver sa chambre.
Ce qu'elle vit la laissa sans voix. C'était magnifique, grandiose, le maître d'oeuvre avait fait un travail remarquable.

Elle s'avança un peu plus dans sa chambre et regarda autour d'elle, passant doucement sa main sur les diverses tentures.
Elle s'approcha ensuite d'un des fauteuils et y prit place le temps que Bertine arrive. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas écrit à Guillaume et elle devait répondre aussi à son oncle. Celui-ci lui avait promis une surprise et elle avait hâte de savoir laquelle....

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Lorren


Après des jours et des jours à courir les chemins, Enzzo arriva enfin dans cette ville d'Arras. Jamais dans ses vagabondages il n'était venu aussi au Nord et il commençait à largement comprendre sa douleur. Depuis des jours le froid lui brûlait les joues et chaque centimètre de peau qui dépassait de vêtements chauds.

Il traversait les monts et les vallons, laissant au loin le bruit des armes d'armées qui s'affrontent. Le Royaume était à feu et à sang, les frontières fermées des différents comtés pensaient arrêter sa course, mais au galop à travers les nuits noires de l’hiver, il allait chercher un peu de chaleur dans ses régions polaires où il pensait ne avoir à mettre les pieds. Le climat selon lui trop glacial pour qu'un homme y survive, ces terres si froides devait à coup sûr être réservées aux ours polaires et aux esquimaux, mais surement pas un endroit où un être normalement constitué pouvait faire autre chose que chasser.

Tôt le matin il entra dans la première taverne qu'il trouva, pour tenter de reprendre une température corporelle convenable et quelques couleurs sur ses joues. Une buche dans le feu qui crépitait, ses mains tendues vers les flammes le brûlaient, une terrible sensation de perdre tous ces doigts le même jours.

Après avoir reprit un peu de chaleur, Lorrenzzo alla visiter la ville qui l'accueillerait prenant quelques jours. Il écoutait observait, un sourire sur le visage quand durant sa visite il entendit le nom de Rosa.

Citation:

La maison de Lordromi. Là celle de Rosa


Il n'en dit rien continuant la visite qui n'avait pas la chance d'être guidée pour lui, et fût bien vite rappelé vers la taverne de la ville. La porte à peine ouverte, il la vit, elle était là, diantre qu'elle avait grandi, magnifique princesse, sa petite puce devenue grande qui lui avait tant manqué, sa Cira.
Chaleureuses retrouvailles, Enzzo lui racontait les exploits de son attaque de brigand, qu il avait fait repartir à genoux, elle lui parlait de l'éducation qu'elle trouvait là auprès de Rosa, de sa pastorale, lui montra la révérence.... Incroyable ce qu'elle avait grandie, presque une femme, il allait vite devoir sortir les armes pour repousser tous ceux qui voudrais.... MmmmmMMmmmm ne serait ce qu'y penser !!!!

Enzzo faillit tomber quand Cira lui ordonna de venir s'installer dans les appartements de Rosa, la tricomtesse réitéra quelques heures plus tard, le même ordre. Il semblait qu'il n'avait guère d'autre choix que de retrouver la maison de l'amoureuse de la mirabelle, seule non Lorraine qui pouvait avaler ce liquide brûlant sans même sourciller. Il lui fallu abandonné l'idée de retrouver sa jeunesse ou il prenait plaisir à dormir, pensant qu'au moins il ne finirais pas en glaçon humain. A la nuit tombée, il retourna là où il avait entendu plus tôt que celle qu'on nommait ici la PBBDF habitait.

Devant la porte de l'appartement, humble mais charmant, Enzzo déchargea sa chariotte de son fût de mirabelle. Il avait pensé à Rosa surement à court des dernières réserves qu'il lui avait laissé. Puis il s'avança jusqu à la porte, agita le heurtoir avec vigueur et attendit patiemment assit sur son fut de mirabelle







Rosa
La journée s'annonçait riche en événements: revoir deux amis dans la même journée, une de longue date et un de moins longue date. Elle était absolument ravie de les revoir, plaisir partagé manifestement.

"Tonton Enzzo" était de visite à Arras et c'était une fête pour Cira et pour Rosa. D'ailleurs il avait pour ainsi dire été obligé de loger chez la Blonde pendant son séjour. L'hospitalité était une vertu et un honneur dans ce cas précis.

La Blonde avait forgé une amitié avec le tavernier spinalien, amoureux de la mirabelle, qu'il lui avait fait découvrir. Elle s'était attribué le tabouret surmonté du coussin rouge brodé qu'elle ne quittait quasi jamais lors de son séjour à Epinal. Ils passaient de longues heures à converser, rire et se taquiner.

Après être rentrée chez elle et averti Bertine qu'ils auraient du monde. Un bon repas avait été préparé et...


Toc, toc, toc

Se disant qu'il devait s'agir de Lorrenzzo, elle alla ouvrir, contrairement aux usages. Elle se retrouva effectivement face à lui, souriant, assis sur son fût.

Vous voilà! Entrez donc, il fait froid dehors.

Elle l'accueillit d'un franc sourire, non sans lorgner sur ledit fût. Nul doute qu'il serait ouvert sous peu. Elle en salivait déjà.
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Lorren


Les lèvres du Lorrain commençait déjà à foncer, assit sur son tonneau fier de faire plaisir à son ex meilleures clientes. Celle qui avait inauguré sa taverne, et dès le premier soir avait faillit y voir couler le sang de son amant, ou de sa fille ou voir des deux.

Cette soirée là avait fait la renommé de la taverne, le drame avait été arrêté à grand coup de Mirabelle et de belles amitiés étaient nées. Tous les jours se jouait au bon accueil (ou pas...) un surprenant drame familial dont Rosa et sa fille tenaient les rôles principaux.

Enzzo en tavernier observateur, faisait souvent plus qu'observer, parfois réconfortant souvent mordant Rosa la contessa avait fini à accepter son franc parlé et à l apprécier tel qu'il était. Pourtant il n avait pas épargné ses chastes oreilles bien éduquées, lâchant à tour de bras quelques mots d amour aux duc et à quelques autres de ses acolytes incapables.

Mais malgré tout une singulière amitié avait fini par naitre et bien que touché par le choix de Cira de quitter la famille pour suivre Rosa et Cassandre, recevoir auprès d'elle une éducation digne des plus grandes dames du royaume, les liens d'amitié avaient perdurer. Quelques courriers échangés, un fut de bière livré... petit clin d'oeil à leur belle complicité. Quand après 3 semaines de retraite silencieuse tout s'était écroulé autour de lui, l'évidence était de venir les rejoindre, offrir la surprise à sa nièce avec la complicité de Rosa.

Armé de son tonneau, et de son plus beau sourire, Enzzo pensait avoir à faire à un domestique mais c'est la LPBBDF qui pointa sa tête dans l'encadrement de sa porte.

Rosa!!!!!!
Si il fait froid????? Diantre c'est peu de le dire!!!!! mais comment faites vous???
J ai bien fait de venir avec mon fut, je crois que je vais en avoir bien besoin.


Enzzo sauta de son fût et commença à l entourer de ses bras pour le charger sur son épaule.

On l attaque au fut ou.... y a moyen d avoir un verre?


Il n'attendait pas la réponse, Rosa aimait la Mirabelle mais peut être pas au point de se coucher sous le fut pour téter la bête à la source, il entra découvrant l'intérieur de Rosa heu non pas le sien, mais de sa maison . C'était décoré avec gout et soin et .... une délicieuse odeur planait dans l atmosphère, lui donnait l'eau à la bouche.

Hmmmmm ça sent bon là.... vous attendiez quelqu'un? Heu.... j suis désolé, j pensais vous offrir des fleurs mais... j avais pu de place

Enzzo pasait sa main dans ses cheveux se rendant compte qu'il pouvait pas être crédible avec son manque de place encombré d'un énorme fut de mirabelle.

Heu j veux dire elles sont mortes de froid...
On boit un coup histoire de se réchauffer?


La Mirabelle remède à tout, ou presque, suffisait de trinquer pour oublier le sujet, le liquide brulant glissant tout le long de la trachée nous donnait à tous un merveilleux cours d'anatomie
Labre_dela_rosenoire
Labre avait attendu jusque tard dans la nuit que le groupe prenne la route.
Ne voyant pas les autres arriver au point de raliement, elle renonça a faire chemin seul.
Retournant au centre ville afin de trouver une auberge encore ouverte, elle erra un moment avant que le souvenir d'une invitation lui revienne en tête.

En effet, plus tôt dans la soirée Rosa lui avait offert le gîte.

A la lueur d'une torche, elle essaya de retrouver son chemin dans les rue sombre d'Arras, et c'est au bout d'une bonne heure qu'elle retrouva enfin la demeure de son amie.

Emmitoufflé dans son manteau, elle tapa a la grande porte en espérant que quelqu'un soit encore debout.

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Rosa
Froid oui le mot était faible pour un lorrain...La question était bête de toute évidence. D'ailleurs une solution était très accessible: le fût de mirabelle. La Blonde demanda à Bertine de sortir des verres.


Hmmmmm ça sent bon là.... vous attendiez quelqu'un? Heu.... j suis désolé, j pensais vous offrir des fleurs mais... j avais pu de place

Rosa rit.

Oui, nous vous attendions. Et avec un peu de chance, Labre nous rejoindra. Tant pis pour les fleurs, j'en suis une vivante.

Elle sourit puis fit ouvrir le fût et servir les verres de mirabelle, ne pouvant attendre plus longtemps. Elle ferma les yeux savourant le nectar.

Nous pouvons prendre place à table, je pense que le repas est prêt.

De fait l'odeur de poulet grillé était irrésistible. Ils se mirent à table, devisant, racontant leurs aventures, partageant leurs souvenirs.

Quelques heures après l'on toqua à nouveau à l'huis. La maisonnée était déjà beurr... hydratée lorsque Labre arriva pour profiter de l'hébergement de la Blonde.
Quoi de mieux qu'une tripotée d'amis pour passer une excellente soirée.


Labre, tu as pu venir! Je te sers de la mirabelle, de la blonde, tu as mangé? Bertiiiiine! Allez préparer les chambres pour nos hôtes!

Comme on peut le voir la Blonde a l'accueil éloquent et très disert. Si l'invité faisait face au matraquage de questions, il résistait à tout.
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Lorren
Enzzo passait une bonne soirée, le repas fut divin, l'ambiance aussi, partageant rire en toute légèreté et sans arrière pensé. Des moments complices qu'on partageait rarement, à peine troublée par la venue de Labre venu se joindre à eux.

Enzzo ne la connaissait que de ce soir, pourtant au premier instant ils s'étaient entendus, partageant une amie commune, et le gout des soirées bien arrosées, dont celle passée qu'elle venait de rater.

La demoiselle prévoyant son départ avait esquivé quelques tournées, et c'est avec surprise que quelques heures plus tard à la porte de LPBBDF elle vint se présenter. Retour à la mirabelle juste un verre à ajouter, jusque tard dans la nuit ils s'étaient enivrés. Enzzo malgré les rires restait pensif, il avait aucune idée de la tournure que prendrais sa vie, plus envie de s'installer nul part, marché sans jamais s'arrêter.

Il avait fini par rejoindre la chambre qui lui avait été préparé, les yeux fixés dehors regardait les rues, quelques passants erraient encore, laissant trainer leur ombre derrière eux. A plusieurs reprise il tenta de s endormir, sans jamais trouver le sommeil. Il emprisonnait son oreiller comme s'il voulait se sauver, pensant à ce pigeon qui ne revenait pas.

La nuit fut longue jusqu'au petit matin, ou il fila rejoindre Cira, un câlin matinal. La journée passa plus vite que prévu et le soir venu autour d'une bière devait annoncer à Rosa qu'il repartait le soir même. Elle était déçu la blonde des Flandres, mais accepta leur décision triste que cette escale ne soit pas plus longue.Enzzo promis seulement de revenir avant que le fut soit vide. Ce qu il promis avec plaisir, devenu apatride, rien ne le retenait nul part et rien ne l'empêcherait de revenir suivre quelques cours ici, espérant qu'il ferait moins froid d'ici quelques mois.

Après une dernière soirée en taverne, douces accolades, promesses de bientôt, il était tant de partir, pour mieux revenir.
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