Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>

[RP] Cérémonie d'allégeances - Niall de Rivien

Niall
Ah oui la subsistance. C'est quel idiot il l'avait oubliée celle la.

Mes excuses j'ai du etre distrait quelque peu, je vais donc reprendre correctement afin que la Dame de Chenôve ne pâtisse pas de mon oubli.
Dame Aryanha, Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour la Seigneurie de Chenôve.


[ Désolé pour la gêne occasionnée à la JD Ary je me suis mal relu quand j'ai posté le premier retour de serment. C'est ça de vouloir aller trop vite en postant de mon smartphone ^^ Mais jouons jouons ^^ ]
_________________
Aryanha
La Dame de Chenôve se sentait à l'aise tout à coup, plus d'émoi, et un joli sourire sur ses lèvres. Prenant le temps de la pause protocolaire, Aryanha ajouta gourmande au Duc :
La subsistance oui...quelques dragées à la Noêl me conviennent parfaitement Votre Grâce, mais ...pouvons nous ajouter quelques toilettes également ?

Elle se redressa l'air de rien, ramenant ses mains sur le devant de sa robe.
Son tour était terminé.

[il n'y a pas de quoi jd Niall !]
_________________

Je préfère être une statue de jade brisée que mener une vie d'argile
Aina.
[Mes excuses, je vais devoir me mettre en retraite une quinzaines de jours, je ne pourrai donc plus faire interagir mon perso... à une autre fois !]
Wolfar
Le carrosse, frappé des armes de Cudot et entouré de quelques hommes d’armes, fit une apparition bruyante sur la grand place de Dijon. Les lourds chevaux stoppèrent net devant le parvis en martelant le pavé de leurs sabots. Un garde descendit de cheval et ouvrit la porte du carrosse. Un homme en armes s’en extirpa, les plus anciens reconnurent le Baron. Celui-ci, tout en lissant sa moustache d’un geste de sa main gantée jeta un œil sur la populace présente devant le palais puis se retourna et tendit sa main pour l’aider à descendre à son tour.
_________________
Mallory
Mallory s’était préparée avec soin, elle avait choisi une tenue élégante mais pas trop voyante car le but n’était pas de se pavaner mais de se fondre parmi la noblesse bourguignonne, à nouveau conviée à renouveler leur serment d'allégeance au nouveau duc régnant. Elle n’avait pas oublié d'enfiler sa traditionnelle Toison d'Airain.

Elle saisit la main tendue du Baron de Cudot et descendit du carrosse aussi gracieusement que possible.

Les portes de la salle de cérémonie s'ouvrirent, Mallory et Wolfar s'avancèrent pour apercevoir les personnes déjà présentes.
En souriant, ils s'avancèrent vers le Duc de Bourgogne et lui firent une révérence.

Ils se dirigèrent ensuite vers Bourgogne pour le saluer.

Bonjour Arutha, ravie de vous revoir.

D'un signe de tête, ils saluèrent tous les nobles déjà confortablement installés. La Dame d'Estours adressa un sourire éclatant à ses amis de longue date : Olivier1er et Asclepiade.

Ils prirent à leur tour un siège relativement moelleux et attendirent la suite main dans la main.

_________________

Mallory, Dame d'Estours et de St Martin des Champs
Saxaltesse
La Vicomtesse arrivant comme à son habitude, sans affolement. Elle s'isola
_________________
Gilbert_phil



Gilbert-Phélim de la Mirandole-Montestier.
Fils d'une irréprochable duchesse Bourguignonne, d'un inconnu sur le papier, d'un vicomte de sang.
Les entrailles de Phèlim et d'Angélyque.

Il était présent. Discret, mais bel et bien là.

De hauteur moyenne, la taille épaisse, les épaules larges.
Fruit d'une adolescence passée à travailler les champs avec les petits gens, mais à manger, contrairement à eux, son content de viande par jours.
La tignasse d'un châtain foncé, le regard vif et intelligent, bleu, comme un ciel printanier. Le sang noble, l'âme valeureuse, le coeur généreux.

En effet, si le fraichement majeur jeune homme passait ses journées à récolter, tailler, semoncer et autres joyeusetés, c'était par choix, au grand dam de sa matriarche. Trapu, il excellait dans tout ce qui demandait efforts physiques, et se suffisait de la compagnie de quelques gaillards roturiers, gens qui ne voyaient guère d'intérêt à pavoiser pendant des heures pour ne rien dire, pour le simple plaisir de se montrer, ce qui en soit, était un sport très pratiqué chez la noblesse.

Et il était d'autant plus de cet avis en voyant le défilé de pointures Bourguignonnes, toutes plus chatoyantes les unes que les autres, même si, pour lui, aucun ne valait en prestance et dignité sa mirifique mère, qui était à elle seule, l'un des plus beaux joyaux de Bourgogne.
Car oui, il aimait sa mère, l'admirait plus que de raison, et s'était promis de donner ses tripes si elle le demandait.
C'était d'ailleurs sur son injonction, qu'il sortait enfin son nez de Charolais, pour donner au duc les allégeances de sa duchesse mère, et que pour tout un chacun voit ce qu'était devenu le fils légitime, la fierté charolaise.
Cela lui en coutait beaucoup, mais il était en âge de se prendre en main, en âge de revoir les gens qu'il avait, plus petit, aimé.

C'est pourquoi, engoncé dans sa tenue terne, qu'il tente de lisser fébrilement, il s'approche d'Aryanha.
C'est pourquoi, il rougit, légèrement, de se présenter à celle qui fut longtemps une mère de substitution, en une tenue si peu digne de son rang.
C'est pourquoi, après tout, il reconnait qu'il est ce qu'il est, loin de l'image modèle de sa matriarche impeccable, et qu'il l'accepte, alors qu'il plie l'échine légèrement devant la Dame de Chenôve.

Aryanha...

La gorge est sèche devant ses retrouvailles, mais le sourire qui illumine le visage lui est sincère...

Je suis.. Heureux, de te revoir. Très sincèrement.

Réjouies-toi, Farnese, après tant d'année, celui que tu as presque élevé est de retour.
Aryanha
Alors que le défilé de la noblesse continuait au rythme de Bourgogne, La présence d’un jeune garçon, presque un homme à la vue de sa stature, s’approchait d’elle. En un instant, le visage du puceau lui parut familier, sûrement un vendangeur journalier, mais Aryanha leva un sourcil interrogateur devant son audace. Le timbre de sa voix en osant l’interpelait par son nom, un tutoiement dont elle aurait pu s’indigner, et pourtant…aucune réprobation n’effleurait ses lèvres. Un sentiment enfoui dans ses entrailles l’emportait dans ses souvenirs d’une époque révolue. Non…ce n’était point là un vendangeur, ni même un manouvrier. L’expression sur son visage lui rappelait quelqu’un…et si sa mise n’en laissait rien paraitre, ce menton volontaire et ce front fier, reflétait un…un sang noble.

Aryanha…

Son cœur se mit à battre plus vite, aller savoir pourquoi ! Intriguée par cette voix, elle tendit une oreille plus proche.

Je suis.. Heureux, de te revoir. Très sincèrement.

Se tournant vers l’audacieux, son regard l’interrogeait. En peu de temps elle fouilla dans sa mémoire endormie, plongeant ses yeux dans les siens, elle sentit son cœur s’émouvoir. Non…elle ne pouvait y croire, le temps avait –il passé si vite ? Se pouvait-il que cet éphèbe soit cet enfant au nez morveux qui jurait aussi bien qu’un chartier ? ce sourire sincère l’invitait à la confiance…Gilbert Phil…
Oh oui, ses yeux se perlaient, son cœur se serrait…


Jeune Montestier…Gilbert Phil…

Aryanha en oubliait la cérémonie, elle n’entendait plus rien et avait effacé les nobles autour d’elle, il n’y avait plus qu’elle et l’enfant…Fichtre, l’enfant…un enfant qui avait bien grandi et qui l’emportait dans un tourbillon de souvenirs. Elle, sa mère de substitution…Elle, qui l'a élevé le temps du règne de La Mirandole, sa mère. Elle, qui l'a veillé tant de nuits..

Je suis…je suis heureuse de te revoir.
_________________

Je préfère être une statue de jade brisée que mener une vie d'argile
Maud
Oh comme elle était contente de l'avoir surpris son promis. L'air de rien, et ses paroles encore en tête, elle aurait bien dit à son voisin.; " Vous avez vu le compliment qu'il m'a fait hein? Ah mais, je vais graver cette journée dans mon calepin moi!" Oui mais dire que le Duc en exercice était avare de compliments, c'était pas vraiment à faire.

Lissant donc sa robe , elle regarda le défilé qui s'amorçait. La jeune môme prise en charge par le Vicomte. L'Altesse avec des titres qui couraient de Dijon à Nevers pour avoir juste braillé le jour où il était sorti du ventre de sa mère. Sa très chère mère encore idôlatrée par Maud.. C'est bien plutôt l'entrée discrète de Cudot et de Mallory qui la rendit perplexe. Allons bon, des noces en perspective?

Et un petit jeune qui alpaguait Aryanha en pleine cérémonie. Le fils de Angélyque?
Maud était aux premières loges et elle attendait avec impatience les allégeances de Alexandre et de Della..

_________________
Arutha
Le jeune Bourgogne salua, d'un large sourire, la dame d'Estours. « Bonjour à vous, dame ! Comment vous portez-vous ? »

Et, après avoir échangé quelques politesses avec l'anoblie de la précédente cérémonie, il annonça :
« Que le Baron Wolfar s'avance afin de prêter allégeance pour ses terres de Cudot ! »
_________________
Jusoor
Jusoor se présenta à son tour en salle des allégeances. D'une inclinaison de la tête elle salua les présents dont elle croisait le regard, certains étaient même gratifiés d'un sourire. Elle prit place alors que Cudot était appelé.
_________________
Gilbert_phil


Il incline du chef quand elle met un nom sur son visage, et ne peux empêcher son sourire de s'affirmer, encore un peu.
Certes, il n'était plus justement, ce jeune bambin à la langue bien pendue, mais il avait souvenance d'un passé heureux, aux côtés de la belle Dame et de celui qui était son époux.

Pour sûr, l'âge aidant, il avait perdu sa verve grossière, mais avait gagné une réserve non négligeable, qui en faisait un être taciturne, peu bavard, préférant la compagnie de ses livres à celles des gens.
Mais ca, c"était avant, car maintenant, il devait représenter sa matriarche, devait la rendre fière de l'homme qu'il devenait, de jours en jours.

Souvenirs d'un Aleryk avec qui le jeune homme partageait jadis la bière.


Je sais, pour Aleryk... J'en ai été très... Attristé.

Et même si le visage reste impassible, son regard lui, étonnamment expressif, ne trompe pas sur la douleur que cette perte provoquait.
Mais il ne devait rien montrer. Car il était un homme d'abords, et qu'un homme ne pleurait pas en public, n'affichait pas ses émotions, d'autant plus que l'éphèbe avait déjà pleuré son père de substitution dans la solitude de sa chambre.
Et il se devait de rester stoïque car il était Fils de Duchesse, et qu'en tant que tel, en tant que noble, il était exclue d'afficher quelconque émotion. C'était malséant.

Alors, pour retrouver contenance, il détaille la femme avec voracité, pour lui déclarer.


Tu restes l'une des plus belles femmes que la Bourgogne ait portée..

Enjôleur? Si peu... Et si il ne l'avait pas été, jamais l'on aurait crut qu'il soit Mirandole. Le charme était l'arme première de sa famille.
Wolfar
A l'appel de son nom, le Baron se leva et se dirigea vers le Duc de Bourgogne pour répéter ce qu'il avait déjà dit plus d'une fois.

Moi, Roland Wallère, Baron de Cudot, renouvelle ce jour mon serment d'allégeance au Duché de Bourgogne, représenté ici, ce jour par vous, Duc Niall. Je promets donc conseil, fidélité sans faille à mon Duché, aide et service armé pour écraser tout ennemi, qu'il soit de l'extérieur ou de l'intérieur.
_________________
Niall
Et voilà que c'était au tour du vieux Cudot. C'est sur que ça le changeait. Passer d'une femme magnifique a un vieux baron moustachu.
Enfin bon fallait pas faire de discrimination. Serment lui sera donné comme à la première.


Baron Roland Wallère, Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres en Bourgogne.

Par contre à lui il était hors de question de faire un câââlin vassalique. Il se contenta donc de l'accolade coutumière.
_________________
Lunkos
Lunkos se présenta discrètement, aurait-il quelque retard...
Pour ne point perturber la cérémonie, il se glissa jusqu'à un siège dans un murmure.
Reconnaissant son suzerain, il prit place juste derrière le couple. Une tape sur l'épaule en guise de salut et un signe de tête pour Dame Mallory.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)