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[RP] Cérémonie d'allégeances - Niall de Rivien

Niall
Aaaaahhhh le moment tant attendu , celui pour lequel Niall était venu. Presque rien que pour ça d'ailleurs. Voir celui là s'agenouiller et lui prêter allégeance ça valait bien une journée de perdue.
Niall sourit de même, c'était pas tous les jours qu'un ennemi venait vous prêter allégeance. On pourrait même dire que Niall jubilait grandement , mais intérieurement , fallait pas déconner non plus, faut pas montrer la jubilation extrême en public ça fait désordre.

Il s'était agenouillé mais il avait gardé son chapeau, c'était pas très respectueux, d'aucuns dirait même qu'il aurait pu lui demander de recommencer en lui faisant enlever ce truc de sur la tête, ça aurait eu le mérite de doubler sa jubilation mais point trop n'en faut. L'exagération c'était mauvais, c'était le maaaaaaaal.

Il l'écouta donc déblatérer sans le couper, l'écoutant et le scrutant le plus attentivement du monde, cherchant peut être une faille ou essayant de le déstabiliser peut être. Moué non ça pourrait aller on dirait, le serment avait l'air correct. De toute façon il ne comptait pas sur Bourgogne pour le faire remarquer si jamais ça n'était pas valide.

Il s'apprêta donc a faire sa part du marché.


Sire Alexandre Olund, Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour les terres de Bonnencontre.
Relevez vous!


Pas de câlins pour celui là, une accolade vassalique bien brève. Et il le laissa retourner à ses occupations.
Non mais quelle jubilation quand même ! Celui là allait être obligé de lui être fidèle pour au moins deux mois, c'était quand même ironique et vraiment jubilatoire.
Ben quoi , on avait l'exutoire qu'on pouvait.

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Aimbaud_de_josseliniere


Aimbaud de Josselinière arriva en traînant des pieds.
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Lana_
Un sursaut lorsqu'elle entendit le nom de son époux cité. On y était. Le moment tant attendu et redouté à la fois. Connaissant l’animosité entre les deux hommes, elle pouvait s'attendre au pire.

C'est les mains derrière le dos, les doigts croisés, qu'elle fixa son époux, ne le quittant pas du regard. Elle se parlait à elle même et répétait sans cesse la même chose
"Tout ira bien...tout ira bien...Tout ira bien..."

Elle vit les sourires. Ils en disaient long d'un côté comme de l'autre. L'un défiant l'autre, l'autre défiant l'un. C'était presque un duel entre les deux. Elle les quitta un instant laissant ses iris chercher Maud pour tenter de lire sa réaction sur son visage.
Elle ne pouvait penser que quelque chose allait se passer. Il fallait que tout aille bien. Pour elle, pour son époux.

Les yeux à demi clos, elle écouta son époux prononcer ses allégeances puis celle du Duc. Ses doigts se serraient plus encore, à s'en faire mal. Les ouvrant doucement une fois le silence revenu, elle ne put que constater cette brève accolade qui était plus par tradition que par plaisir. Il ne pourrait le nier.

Rassurée que tout soit terminé, elle se détendit lentement affichant un léger sourire.

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Arutha
Alexandre Olund s'avança, ainsi, au devant du dit-duc ; et quoi que ce dernier ait eu à redire, le serment était valide. Ah ! Imaginer un instant que le héraut aurait pu ne pas respecter le serment de neutralité qu'il avait passé était eu delà du risible.

« Seigneur de Bonnencontre, tâchez, désormais, de respecter le vivre noblement. Voici vos armes. »

Un oriflamme fut, ainsi, tendu, enroulé sur lui-même.



Citation:

    Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

      Savoir faisons à tous présents et à venir :

      Qu'en vertu des coutumes et lois héraldiques royales et après consultation et votation du Collège Héraldique de France, validons et contresignons la demande de Sa Grâce Angelyque de la Mirandole, alors duchesse de Bourgogne, quant à l'octroi d'un fief de mérite sur les terres de Bourgogne à Alexandre908 Olund.

      Qu'après recherches héraldiques dûment étayées et validées, confirmons que le fief de Bonnencontre est bien fief mouvant du duché de Bourgogne.

      Et qu'en conséquence de quoi, messire Alexandre908 Olund se voit octroyer le fief de mérite de Bonnencontre, érigé en seigneurie et portera, après prime allégeance en bonne et due forme, « de gueules, à l'aigle d'or membrée de sinople, au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles aussi d'or », soit après dessin :




      En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le dix-septième jour de septembre de l'an de grâce MCDLX.





« Que Dame Keltica de Salives s'avance afin de prêter allégeance pour ses terres. »

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Keltica
La Dame de Salives et d'Artus était restée auprès de ses filleuls Alexandre et Lana ; elle ne voulait pas les laisser seuls, perdus dans cette grande salle, surtout pour la prime allégeance d'Alex face à Niall. C'était uniquement pour cela qu'elle était présente, pour être auprès d'eux, pour féliciter son filleul lors de son anoblissement, sinon, sa fatigue grandissante de ces dernières semaines l'auraient résolue à rester chez elle à se reposer et envoyer une lettre pour prêter son allégeance. Mais comme d'habitude, pour elle, c'était le devoir d'abord...

Assise près de Lana, elle écouta et regarda l'allégeance d'Alex, souhaitant qu'aucune anicroche ne vienne rompre ce moment précieux, malgré les airs de défi largement visibles. Tout se passa selon la coutume, et Alex revint, étendard à la main, pour retrouver femme, alors qu'on appelait Keltica à prendre sa place. La jeune femme se leva, pâle et moins souriante qu'à l'ordinaire, et s'avança lentement pour arriver devant le trône ducal. Du coin de l'oeil, elle vit Bourgogne, avec qui elle avait eu maille à partir pour le blason mariant ceux de Salives et d'Artus, mais le salua comme il se devait avant de se tourner vers le Duc.


Votre Grâce... Nous, Keltica de Chancelley, Dame de Salives et d'Artus, prêtons ce jour allégeance à la Couronne et au Duché de Bourgogne pour les terres de Salives. Ainsi, nous vous promettons, à vous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, obéissance, conseil et aide armée, en tout temps et tout lieu, tout au long de votre mandat.

La voix était bien moins assurée que d'ordinaire, et la jeune femme semblait pâlir à vue d'oeil ; elle s'inclina pour dissimuler ses traits, attendant que le Duc la délivre, qu'elle puisse aller se rasseoir et se remettre de son moment de faiblesse.
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Niall
Et hop suivante. Câlin? Pas câlin? Elle avait l'air malade Keltica ce serait dommage de choper une maladie par un contact prolongé.
Il écouta donc son serment et se lança pour faire sa part du deal.


Dame Keltica de Chancelley, Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres bourguignonnes.

Allez accolade vassalique de rigueur et on libère Keltica qui avait l'air trop pâle pour ne pas avoir quelque chose qui couve. Et suivaaaaaaannnt.
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Arutha
C'est avec un petit œil inquiet que le héraut observa la dame de Salives prêter son allégeance à la couronne de Bourgogne.

« Qu'Aimbaud de Josselinière s'avance afin de prêter allégeance pour son duché de Corbigny. »

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Keltica
La jeune femme reçut l'accolade règlementaire du Duc, et fut soulagée de constater que son propre serment était parfaitement en règle ; dans son mal-être, elle aurait pu bafouiller, oublier une partie, mais non, tout était correct. Elle inclina la tête devant le duc quand il lui fut donner l'autorisation de se retirer, tourna les talons et vit le regard teinté d'inquiétude du Héraut. Etait-elle si effrayante que cela ? Bien possible... Aussi se hâta-t-elle de regagner sa place pour suivre la fin de la cérémonie.
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Maud
Elle avait bien vu et entendu le serment de Alexandre. Tendue comme un arc et une drôle d'odeur de musc bien animal qui envahissait la salle.
Ces deux là s'affrontaient chacun à leur manière. Des coqs bourguignons dans leur splendeur ou des taureaux.

Elle se retint de manifester quoique ce soit. Le regard que lui lançait Lana était parlant et avec un sourire, elle la rassura.. Faire un scandale ici, ne servirait à rien.

C'est bien plutôt un drôle de bruit comme un corps que l'on traîne sur le sol ou encore la démarche d'un poivrot dans une ruelle qui l'intrigua.

Après le fils gâté pourri de Beatritz, on avait droit au fils Josselinière. Elle se mordit l'intérieur de la joue pour ne pas rire et les allégeances de Keltica toujours aussi digne, mais souffrante détournèrent son attention.

Elle se dit que finalement le régnant risquait bien plus avec accolades ou baisers vassaliques qu'un coup d'épée.

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Lana_
Lana laissa son époux revenir vers elle quand ce fut au tour de sa marraine. Elle était à ses côtés et voyait bien que ça n'allait pas. La raison, elle la connaissait aussi.

Une fois les doigts croisés dans son dos relâchés, elle saisi celle de son amie et la serra un peu accompagné d'un regard qui se voulait à la fois protecteur et de soutient. Si problème il y aura, elle sera la pour la soutenir, même si l'échange de regard lui indiqua le refus d'être accompagnée.

C'est la main de son époux qu'elle serra alors, souhaitant que Keltica puisse prêter allégeances sans soucis, et debout. Elle retint sa respiration au moment où Kelti s'abaissa, puis souffla doucement de soulagement quand tout fut terminé.

Elle s'avança un peu vers elle pour aller la soutenir afin qu'elle revienne à sa place sans chuter lui murmurant au passage :
"Il va falloir te reposer...et ça devient urgent !" puis l'aida à se rassoir, écoutant la fin de la cérémonie
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Magalona_eufrasia
Il ne m'avait pas été simple de convaincre Jehanne Elissa de sortir présenter en personne son allégeance. Mais j'y étais parvenue... Le temps commençait à se faire plus frais aussi j'avais choisi de bien me couvrir d'un grand mantel fourré.

Une fois arrivées, nous fumes annoncées comme il se devait. J'entrainais mon amie-sœur à ma suite, gagnant pour une fois un coin de la pièce qui n'était pas dans l'ombre. Il m'apparaissait important que les gens apprennent à reconnaître la rousse baronne de Malpertuis. Les allégeances commencèrent alors que nous gagnions les places que j'avais choisies. Bien entendu, je saluais d'un signe de tête les personnes que je connaissais. J'eus même un sourire ou deux pour certains, comme la blonde Della à qui j'avais offert des compotées afin de comploter. J'espérais pouvoir lui présenter moi-même Jehanne Elissa à la fin des allégeances. Cela sortirait peut-être un peu mon amie de sa torpeur que de rencontrer des visages amicaux.

Serrant le bras de celle pour qui je me démenais, je tournais mon attention sur les scènes se jouant devant nous, accompagnant quelques gestes discrets de murmures. Je présentais ainsi les personnes que je connaissais à ma petite renarde, me reposant sur ma fonction de secrétaire d'état qui m'avait ouvert les portes du conseil.

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Gilbert_phil


[Quand les gens sont des Morts]

Le Jeune de la Mirandole Montestier s’ennuyait ferme.
Si il avait su que ce genre de cérémonie était propice à l’endormissement, pour sûr qu’il aurait envoyé Riccardo à sa Place, négligeant ainsi la demande de sa mère qui voulait qu’il se dévoile, enfin, aux yeux du monde.
Mais, en garçon exemplaire de par son obéissance, il était la, et las, de voir ce tas bariolé de gens amorphes tous plus ennuyeux les uns que les autres.
Heureusement, et Gilbert Phélim remerciait Aristote pour cela, il y avait Aryanha , et heureusement, sa mise la mettait suffisamment en valeur pour occuper son esprit, tout du moins le côté plus vicelard, en éveille, de fait de son adolescence. Celui qui faisait qu’il l’imaginait sans le jupon soyeux de cette robe, sans le tissu qui emprisonnait sa poitrine...

Mais las. Les vendanges l’attendaient, les moissons l’attendaient, la valetaille l’attendait également. Bref, Charolais l’Attendait, car en l’absence de sa mère, il en était le Maître absolu.

Tout à sa rêverie, il dépasse le Marquis, qu’il bouscule inconsciemment, et vient se placer devant le prince de France, qui aura pour unique panorama, le fessier épais du jeune Montestier. Enjoy !

Et de fixer, le Gisor, dans l’expectative. Pour sûr, il ne souhaitait pas encore attendre, d'autant plus qu'il était là pour remettre une simple lettre
.

Hum HUM !

Dieu, que trouvait sa mère à ce milieu ?
Aimbaud_de_josseliniere


Aimbaud de Josselinière s'avança donc pour ployer devant Niall. Dans une main il tenait la toque de velours qu'il avait ôtée. Et relevant le front, il prononça son serment. Basique.

Votre grâce, moi, Aimbaud de Josselinière, vous jure ce jour de vous être loyal, de vous prêter mon bras armé en cas de pépin, et de vous conseiller tant soit peu judicieusement.
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Maathis
Mellecey parut, de retour de Candie. Un peu fatigué mais la mine réjouie, et pour une fois dans un délai raisonnable...
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Niall
Bon voilà le suivant, un marquis en plus, allons y de notre petit couplet également, basique tout ça, faudrait pas que ça traîne trop non plus.

Aimbaud de Josselinière, Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres de Corbigny.

Niall fait se relever le jeune impudent qui finalement n'était pas si mal que ça et lui fit l'accolade vassalique de rigueur. Neeeext !!
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