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[RP] Cérémonie d'allégeances - Niall de Rivien

Arutha
Allégeance acceptée, check.

« Que Maathis s'avance afin de prêter allégeance pour ses terres. »

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Jehanne_elissa
Jehanne Elissa, qui avait, on l'a vu, bien traîné les pieds pour venir, considérait ces mornes visages, et il n'y avait aucune distraction dans cette cérémonie, sinon le morne défilé de serments. Aucuns visages assez connus et assez disponibles pour créer un brouhaha de chuchotis.
Elle l'avait prévu : on s'ennuyait plus que dans un tombeau.
Pis : dans cette mécanique bien huilée, sans doute lui reprocherait-on fort de faire un aparté au Duc sur l'état de Malpertuis, quand bien même était-elle dans son bon droit : on avait déjà du retard, tant les nobles récitaient leurs serments avec langueur, et ce n'était pas en tapant la causette (et non la Cosette, pauvre enfant, qu'il faut cesser de taper, Madame Ténardier !) qu'on résoudrait ce retard.

Jehanne croisa les bras et jeta un regard accusateur à Magalona. Un bal en Bourgogne eût été une distraction, oui, et l'occasion véritable de rencontrer des gens. Mais ça... "ça"... C'était la faire sortir de sa tour d'ivoire pour mieux lui donner le goût d'y retourner.
Tout ça pour une baronnie grande comme son poing, déficitaire tous les ans... Avec un poulailler, un clapier et deux chambres.

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Gilbert_phil


Si il était une chose que le jeune Mirandole Montestier détestait plus encore que les plis de son ventre, c’était bien qu’on l’ignore, quand il se posait là, bien présent, prêt à confier au héraut l’allégeance de sa sublissime Matriarche.
Que le Marquis lui soit passé sous le nez sans un regard, que le baron/héraut, le dédaigne au point de ne même pas remarquer sa présence, pis, qu’on le snobe, lui, le fils de duchesse, maitre incontesté de Charolais (tout du moins lors de ses absences), bref, qu’on n’accord aucun crédit à Gilbert Phil, avait pour don, mal leur en pris, de le mettre de méchante humeur.

Ainsi, après l’appel du « Maathis », ce n’est pas un raclement de gorge qui se fait entendre, mais la voix grave, quoi qu’encore teintée d’adolescence, d’un jeune homme épais, sans être obèse
.

S’il vous plait !!!!

Et quel son, au milieu de ce festival ennuyeux et amorphe. Quelle verve, quel tintamarre presque douloureux.
Qui est donc ce jeune parvenu qui ose tous les faire sortir de leur torpeur
.

Je suis Gilbert Phélim de la Mirandole, et j’aimerai vous confier la lettre d’allégeance de la duchesse de Charolais, avant de mourir debout, d’ennuis.

Insolent sur les bords, fier, il redresse le menton, et détaille le duc, suivit du héraut.
Oh et encore pardon à Charlemagne, qui a encore pour unique panorama le noble mais non moins large fessier Mirandolien
.
El_cincelador
Salle du Trône

Il était venu trouvé son maître, le vicomte de Quincy car un terrible évènement venait d'avoir lieu et lui l'homme à tout faire du vicomte connaissait les moindres faits et gestes d'Asclépiade. Il savait donc où le trouver.

Il entra dans l'imposante salle et chercha le vicomte du regard avant de le voir assis à côté d'une jeune fille. Il avait l'air d'être attentif à la cérémonie...

Il se faufila tel un chat évitant au maximum de faire du bruit... puis il atteignit le vicomte et vint lui murmurer à l'oreille le motif de sa venue icilieu.

Aussitôt le vicomte prit congé et regagna Quincy fort préoccupé.



Vers Quincy

Ils partirent directement vers Quincy et le vicomte écrivit sa lettre d'allégeance qu'il remit au Cincelador et ce dernier se chargea de la remettre à Bourgogne... tandis que le Vicomte partait à toute haste vers son domaine...

Citation:


Par la grâce d'Aristote,

Nous, Asclépiade de La Boissière Saincte Foy, vicomte de Quincy,
à Vous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne,

Paix et Salutations,

N'ayant pu rester en la salle du Trône à cause d'un grand malheur survenu,

Par la présente, Nous prêtons allégeance à l'aristotélicienne Couronne de Bourgogne pour les terres de Quincy et reconnaissons comme suzerain vous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, par la grâce des urnes et confirmé par le Roi de France.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer Vous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, notre suzerain, à un tiers, Nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que Nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant Nous osions le tenter, que Nous sachions que Nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main.

Sur la route menant à Quincy, le 17ième jour du IX moys de l'an de grasce 1460

[sceau en future fabrication - en attente d'assemblage de blasons]
Cardinal
à nouveau mandat, nouvelle lettre d'allégeance ... le beau cardinal prit sa plus belle plume, sa plus belle encre, sa plus belle écriture et un peu de papier pour rédiger la suivante missive :

le 16 septembre 1460, le beau cardinal a écrit:
éloquent niall,
le beau cardinal vous écrit aujourd'hui pour vous demander d'excuser son impardonnable absence en votre cérémonie d'allégeance, il craint qu'une fois encore ses affaires ne le retiennent loin de cette grande et glorieuse fête ...

recevez toutefois avec cette missive l'assurance de son indéfectible allégeance à la bourgogne éternelle ainsi que la certitude de son infaillible dévouement à votre personne en qui il reconnaît le duc légitime de l'éternelle bourgogne, le beau cardinal aura à coeur de vous assister du mieux qu'il pourra ... ordonnez et vous serez exécuté ...

puisse l'inhumain aristote envoyer mille châtiments atroces au beau cardinal ou le rendre laid plutôt que le voir faillir à son serment ...

le beau cardinal vous saura gré d'accepter aussi ses cordiales et sincières salutations


après avoir relu la missive, le beau cardinal la data, la signa, apposa son scel et chargea une personne de confiance de porter le précieux papier à qui de droit
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ceterum censeo parvam britanniam delendam esse
Maathis
Le vieux vicomte s'assoupissait maintenant si souvent pendant ces trop longues cérémonies que cela en étant désormais coutume. Sortant, on ne sait pourquoi de sa léthargie, Mellecey s'avança à petits pas comptés vers le Trône.

Il ne connaissait guère le nouveau duc, mais il se rappelait lui avoir déjà prêté allégeance. Encore un délire de la Hérauderie qui voulait qu'on prête allégeance plusieurs fois à un même suzerain. Malheureusement, cette institution n'en est plus à une incohérence près, loin s'en faut. Le châtelain de Germolles n'avait jamais apprécié l'impérialisme des rois d'armes successifs qui n'avaient jamais établi de règles que celles qui les arrangeaient, qu'ils appliquaient ou pas selon leurs besoins. Bref, l'état dans l'état, vu la faiblesse du roi de l'époque, S.A.R. Lévan III. Il était désormais trop retiré des affaires pour savoir si les deux reines et le dernier roi avaient pu changer les choses, et gardait donc ce ressentiment bien ancré en lui. Le nouveau héraut ne lui inspirait donc qu'une confiance relative, et il pris ses distances avec le représentant royal, pour consacrer toute son attention au duc, représentant pour lui la seule autorité après le Très-Haut.

Il s'avança donc au devant du Trône, sortit sa lame de Tolède qu'il portait pour les cérémonies officielles depuis qu'elle lui avait été offerte par Charles de Chastelmaure, premier duc de Bourgogne qu'il avait servi, la prit dans ses mains nues, debout, et la lame offerte, suivant la procédure orientale qu'il avait toujours suivie. Après un long silence, son regard noir dans les yeux du duc régnant, il déclara de sa voix chaude de laquelle pointait encore les restes de son accent romain, d'un ton ferme et n'appelant aucune contradiction la supplique immuable qui avait scellé son appartenance à la Bourgogne :


Malgré, cher duc, l'allégeance à vous déjà faite en d'autres temps, nous, Athanase Serwane Damase Basile Maathis, vicomte de Mellecey et seigneur de Pisy, tutélaire de la Toison d'Or, renouvelons, en tant qu'il est de besoin, notre serment d'attachement et de dévouement à la couronne de Bourgogne, et en son représentant légitimement élu, l'assurant comme il a toujours été, de notre indéfectible fidélité, de notre infrangible aide et de notre incorruptible conseil. Que félon soyons déclaré, si jamais faillissions...

Mellecey, malgré l'âge, car il approchait son quarantième serment, avait toujours les yeux rivés dans ceux du duc élu, attendant de la supplique consacrée la conventionnelle réplique.
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Niall
Et encore un. Il sentait que c'était pas encore la fin d'ailleurs. Bon nombre devaient passer encore avant que la journée dédiée aux allégeances s'achève.

Athanase Serwane Damase Basile Maathis,Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres bourguignonnes.

Et une accolade vassalique ! Une ! Enfin une de plus quoi. Et Niall attendit patiemment que le prochain noble s'avance pour son serment.
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Arutha
D'un geste de la main, Bourgogne ordonna la fermeture des portes ; plus aucun noble ne pourrait entrer, ou sortir, d'ailleurs.

« Que Son Altesse Charlemagne de Castelmaure-Frayner s'avance afin de prêter sa prime allégeance ! »

Puis au jeune homme qui venait de l'interpeller :

« Oui, pourrais-je avoir la lettre d'allégeance de la duchesse du Charolais ? »
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Charlemagne_vf
Accoudé sur son fauteuil, le fessard d'un gamin qu'il ne connaissait ni n'avais jamais vu devant les yeux, Charlemagne aurait presque somnolé. Toutefois, l'Infant sait se tenir, et des cérémonies d'allégeances, il en a vu. Certes, il y a eu celle de Lorraine, mais aussi et surtout ces hommages royaux auxquels Béatrice répondait toujours par un présent. C'était le temps béni où le séant princier avait les honneurs du Trône Royal de France pour ses jeux.
A quatre ans, il jouait au petit Roi. A quatorze, il était devenu un petit tyran.
Enfin, l'Aiglon fut appelé, et après un regard à ses Ombres, pour qu'elles restent autour du fauteuil et que nul ne s'y asseye avant que lui-même n'y retourne, il se leva.
Le pas altier, le corps glacial avança de quelques pas jusqu'à Niall de Rivien.
Les yeux hérités de Guise von Frayner ne manquèrent pas de toiser le Duc de Bourgogne. Il était grand. Trop grand. L'esthète bien sur avait déjà noté la ressemblance entre son amant et son suzerain de la circonstance. Toutefois, l'un et l'autre n'ayant rien de commun, outre quelques boucles brunes et un faciès adorable, le Prince ne pu s'en émouvoir. Devant Niall, Charlemagne se posta, placide et le regard fier.

Il resta debout, droit, car un Prince ne saurait s'agenouiller devant moins qu'un Roi. De facto, par sa naissance et sa noblesse, le Von Frayner était supérieur à son suzerain. Comme il était resté sans plier devant le Duc de Lorraine, il avisa celui de Bourgogne.
Alors, les lèvres rosies de l'Aiglon formèrent des mots, aidées par une langue vive. Mouvement de parole banal, mais le fond lui, s'il est redondant à chacun, reluit de primauté : c'est la première allégeance du Castelmaure pour ses terres bourguignonnes.


Duc Niall, de la Maison Rivien, moi, Charlemagne Henri Lévan, chef de la Maison Royale de Castelmaure-Frayner, je vous reconnais comme légitime et unique Duc de Bourgogne, jusqu'à ce que la fortune en décide autrement. Dès lors, et comme le firent mes grands parents avant moi, leurs Seigneuries les Pairs de France Lhise de Tapiolie et Charles de Castelmaure, ainsi que mes parents, leurs Majestés Béatrice de Castelmaure et Guise von Frayner, je vous fais serment d'allégeance, et vous promet tout à la fois Fidélité, Aide, qu'elle soit ou non armée, et Conseil, pour mes terres ducales du Nivernais, qui s'étendent largement de Corbigny à Bourbon-Lancy, et de Nevers à Château-Chinon ; mais aussi pour ma vicomté de Chastellux, et encore pour mes baronnies de Chablis et de Laignes.
Pour que brille l'infinie Bourgogne, sous le regard de St Bynarr.


Done.
Il ne restait plus qu'à attendre le retour, et avec lui, l'accolade, puisqu'il devait en être ainsi. Certes, l'Infant abhorrait le contact de lèvres qu'il n'avait pas choisies, mais c'est son sens de la tradition qui le poussait à ne pas comprendre ceux qui refusaient le baiser, qui n'était jamais que vassalique. Si ceux là craignaient de simples lèvres, il était à craindre qu'ils ne fuient devant des lames.

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Niall
C'était rigolo quand même comme scène. Le petit Prince, on sait pas si il voulait qu'on lui dessine un mouton , mais en tout cas le voilà qui venait prêter allégeance a un Duc. Quelle ironie. Et en plus il essayait de se faire plus grand qu'il ne l'était en essayant de prendre Niall de haut.
Peine perdue, Niall le dépassait d'un bonne vingtaine de centimètres et c'est donc le Duc de Bourgogne en s'approchant de lui qui le toisa du regard. Il écouta son serment, le plus long qu'il ai jamais entendu et fit sa part du marché.


Charlemagne Henri Lévan de Castelmaure-Frayner,Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres sises en Bourgogne.

Voilà qui était fait. L'habituelle accolade lui avait été prodiguée par ses bons soins et Niall attendit donc que le petit Prince vaque a ses autres occupations et qu'arrive le prochain noble pour la suite des réjouissances.
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Arutha
« Que la Baronne Jusoor s'avance afin de prêter allégeance pour ses terres, ainsi que pour les terres dont elle a la tutelle ! »
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Anna_gabrielle
Elle était dans de beaux draps, la gamine qui n'en était plus vraiment une.

Y a quelques jours, avant qu'une certaine Baronne ne quitte la Bourgogne pour un certain temps, Anna avait accepté de rendre service. Qu'on soit bien d'accord, rendre service ça veut pas dire qu'elle travaille pour elle, j'vous vois venir avec vos histoires de domestique ! Non, elle a juste voulu lui rendre service, comme le ferait une amie. Elle n'avait pas bien compris de quoi il s'agissait malgré les tentatives d'explication de la Blanc Combaz, toujours est-il que ça semblait très important. Avant son départ, elle lui avait confié une lettre, qu'il lui faudrait amener jusqu'au Duc de Bourgogne. Ca non plus, elle savait pas trop ce que c'était, elle en avait retenu que c'était une sorte de chef. Le chef de la région où elle se trouvait.

Elle avait bien galeré à trouver l'endroit, faut dire qu'elle a pas un aspect spécialement soigné, et qu'on peut difficilement croire qu'elle soit là au nom d'une Baronne. Bon, pour l'occasion elle avait quand même fait un effort pour se décrasser le visage, les mains, et passer un petit coup partout, c'était pas du luxe quand même. Pis elle avait mis ses braies noires, sa chemise et ses chausses vertes, avec ça elle était prête, même que Rose lui avait dit en taverne qu'elle ferait presque dame ! Presque hein, parce que c'est pas encore tout à fait ça.
Un petit coup de peigne dans les cheveux plein de noeuds, et elle ressemblait enfin à quelque chose.

Dans la salle, elle s'était faite discrète pendant que tout le monde racontait des histoires de conseil, de s'alléger, etc. Ca restait mystérieux tout ça encore, pour elle. N'empêche que quand le prénom de la Baronne fut prononcé, elle s'était avancée assez timidement, pour tendre la lettre au Duc. Enfin du moins, elle pensait que c'était le Duc vu que tous les gens s'adressaient à lui.
Du coup, fallait bien dire un truc, sinon ils allaient pas comprendre les gens. Un raclement de gorge plus tard, elle essaie d'articuler à peu près correctement.


- B'jour m'sieur l'Duc. J'apporte une lettre de la Baronne Jusoor.

Et la dite lettre qui va avec :


Citation:
A Niall de Rivien, Régnant des terres bourguignonnes, élu et reconnu comme tel.
De moi, Jusoor de Blanc-Combaz, Baronne d'Uchon et Dame de La Guiche,

Mes respects.

Votre Grâce, bien que n'ayant eu l'opportunité d'assister plus longtemps à la cérémonie d'allégeances, c'est scellée de mon sceau et signée de ma main, afin que vale ce que de droit, que cette missive renouvelle mes serments au Duché de Bourgogne.

Ainsi, pour mes terres d'Uchon ainsi que celles dont j'ai la tutelle pour mon jeune frère Lionel Cristos Parfait de Blanc Combaz, Vicomte de Digoine et Baron de Mâlain, je jure ce jour fidélité, aide et conseil.


Puisse le Très-Haut guider vos pas et veiller sur la Bourgogne.





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Arutha
C'était très bien. « Excusez-moi, Dame, mais je vais récupérer la lettre afin de la fournir à Sa Grasce à la fin de cette journée ! »

« Que le Baron Athos s'avance afin de prêter allégeances pour ses terres ! »
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Olivier1er
Le Baron a l'appel de son nom s'approcha pour venir faire face a son suzerain et preter...non donner son allegeance

- Votre Grace, c'est un plaisir pour nous, Athos de la Bronze, Baron de Chatillon en Bazoys, Seigneur de Dennevy, porteur de la Toison d'Or, de formuler notre serment d'attachement et de dévouement à la couronne de Bourgogne, et en son représentant légitimement élu pour nos terres de Chatillon en Bazoys.

Nous vous assurons comme il a toujours été, de notre indéfectible fidélité, de notre aide infaillible et de notre conseil le plus avisé que le tres haut nous autorisera de le faire

Que nous soyons declaré félon si jamais nous faillissons un jour.

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Niall
Au tour du suivant le Baron Athos , un ami bien sur, et un homme sur lequel on pouvait assurément compter quand il s'agissait de faire le bien de la Bourgogne.

Athos de la Bronze,Nous, Niall de Rivien, Duc de Bourgogne, vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres bourguignonnes.

Et hop une accolade vassalique de plus.
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