Catalina_constance
[Dans l'entrée de l'hostel des Malpertuis ]
Cette entrée, elle la connaissait bien... dans ses moindres détails, c'est qu'elle avait eu le temps de la regarder un nombre d'heure inconcevable.
Elle se rappelait de tout, des marres sombre, sanglante au sol, des sanglots, de l'agitation et surtout de l'incompréhension totale qui l'avait prise aux tripes ce jour-là.
Faire cela à une si jeune fille?
Comment avait-on pu prendre Margot?
Son frère c'était différent, elle ne s'en rappelait que trop peu, le jour ou elle l'avait vu si pâle allongé la auprès de Marguerite elle avait presque peinée à se rappeler qui il pouvait bien être.
La rousse balaye la pièce des yeux, plusieurs dizaine d'année plus tard rien n'avait changé du chagrin qui tentait de la noyer à chaque fois qu'elle pensait à ce jour sombre, la pièce n'avait pas changé non plus.
Elle était sans aucun doute la même qu'au jour du massacre, on avait seulement nettoyé et caché les taches trop incrusté.
Elle avait donc hérité de la demeure lorsque les derniers membres de la famille Volpilhat avait disparu, aujourd'hui pour combler le vide elle avait nommé sa fille par le surnom de la fleur d'Oc, Margot.
Celle-ci, ressemblait à sa mère mais également à sa tante, bien qu'elle nait pas les cheveux aussi flamboyants que les deux surs.
Non Margot était plutôt blonde, mais tout aussi pâle que la regrettée sur, alors Catalina prenait la plus grande partie de son temps à réfléchir à des moyens de protéger celle-ci du malheur qui sans doute guetter tous les Volpilhat.
Ellissa, Jehan, Reginhart, Marguerite même Jacques avait tous vu leur fin venir de façon tragique et abominable.
Alors évidement que ce serait le cas pour les dernières représentantes.
Catalina, Jehanne et maintenant Margot!
Quel malheur d'avoir donné naissance à une fille!
Elle avait songé à mettre fin aux jours de l'enfant par elle-même, alors que ce n'était encore qu'un nourrisson, mais à cette époque-là sa folie était encore trop peu développé.
Elle l'avait envoyée au couvent.
Et maintenant Margot était une adolescente il lui fallait donc à tout prix trouver un moyen d'enlever sa fille aux griffes du malin.
Carles son ainé lui n'aurait pas autant de problème, non?
Après tout oui, c'était le fils de son père, forcément un Talleyrand! Et d'ailleurs c'est ce dernier qui veillait en ce moment sur le jeune garçon, loin, à l'autre bout du royaume.
Voilà c'était surement ça qu'il fallait à sa toute petite, à sa précieuse enfant! Quelqu'un qui veillerait sur elle, un homme.
La duchesse avait eu l'idée un beau jour lorsque sa plus fidèle dame de compagnie lui avait parlé des jeunes enfants de la défunte reyne.
Beatrice... tout autant regrettée, mais ça ferait encore une histoire à raconter.
Toute fois ce qu'elle avait retenu de la discussion c'est que l'un de ses fils serait bientôt en âge de prendre épouse, tout comme sa petite Margot.
Après tous les deux familles avait été proche à une époque, toutes deux anciennes, toutes deux royales, la boucle serait bouclée, la jeune fille promise à des jours plus heureux qu'avec sa folle de mère...
L'idée n'avait pas mise longtemps à faire son chemin, elle avait d'abord écrit à Ayena pour que celle-ci face le chemin jusquà Carcassonne pour l'entretenir de l'idée, puis ensuite ça avait été au tour du prince.
Enfin tout cela pour dire qu'elle faisait les cents pas en attendant que l'on prépare le grand salon, c'est qu'il ne fallait pas que les domestiques se trompe dans les ordres.
C'était un jour trop important pour la duchesse. Quand ce fut finit elle s'adressa aux maitres de ceux-la.
Dites à Ayena de me rejoindre ici!
Bon certes elle idéalisait le mariage, parfois les époux de ces jeunes héritières se transformait en leur seul et unique bourreau mais elle n'avait pas trouvée de meilleure idée. Et la pensée d'unir les deux maisons la satisfaisait entièrement.
Il ne restait plus qu'à attendre, et à proposer, seul le très haut savait l'issu de l'entretien à venir.
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Cette entrée, elle la connaissait bien... dans ses moindres détails, c'est qu'elle avait eu le temps de la regarder un nombre d'heure inconcevable.
Elle se rappelait de tout, des marres sombre, sanglante au sol, des sanglots, de l'agitation et surtout de l'incompréhension totale qui l'avait prise aux tripes ce jour-là.
Faire cela à une si jeune fille?
Comment avait-on pu prendre Margot?
Son frère c'était différent, elle ne s'en rappelait que trop peu, le jour ou elle l'avait vu si pâle allongé la auprès de Marguerite elle avait presque peinée à se rappeler qui il pouvait bien être.
La rousse balaye la pièce des yeux, plusieurs dizaine d'année plus tard rien n'avait changé du chagrin qui tentait de la noyer à chaque fois qu'elle pensait à ce jour sombre, la pièce n'avait pas changé non plus.
Elle était sans aucun doute la même qu'au jour du massacre, on avait seulement nettoyé et caché les taches trop incrusté.
Elle avait donc hérité de la demeure lorsque les derniers membres de la famille Volpilhat avait disparu, aujourd'hui pour combler le vide elle avait nommé sa fille par le surnom de la fleur d'Oc, Margot.
Celle-ci, ressemblait à sa mère mais également à sa tante, bien qu'elle nait pas les cheveux aussi flamboyants que les deux surs.
Non Margot était plutôt blonde, mais tout aussi pâle que la regrettée sur, alors Catalina prenait la plus grande partie de son temps à réfléchir à des moyens de protéger celle-ci du malheur qui sans doute guetter tous les Volpilhat.
Ellissa, Jehan, Reginhart, Marguerite même Jacques avait tous vu leur fin venir de façon tragique et abominable.
Alors évidement que ce serait le cas pour les dernières représentantes.
Catalina, Jehanne et maintenant Margot!
Quel malheur d'avoir donné naissance à une fille!
Elle avait songé à mettre fin aux jours de l'enfant par elle-même, alors que ce n'était encore qu'un nourrisson, mais à cette époque-là sa folie était encore trop peu développé.
Elle l'avait envoyée au couvent.
Et maintenant Margot était une adolescente il lui fallait donc à tout prix trouver un moyen d'enlever sa fille aux griffes du malin.
Carles son ainé lui n'aurait pas autant de problème, non?
Après tout oui, c'était le fils de son père, forcément un Talleyrand! Et d'ailleurs c'est ce dernier qui veillait en ce moment sur le jeune garçon, loin, à l'autre bout du royaume.
Voilà c'était surement ça qu'il fallait à sa toute petite, à sa précieuse enfant! Quelqu'un qui veillerait sur elle, un homme.
La duchesse avait eu l'idée un beau jour lorsque sa plus fidèle dame de compagnie lui avait parlé des jeunes enfants de la défunte reyne.
Beatrice... tout autant regrettée, mais ça ferait encore une histoire à raconter.
Toute fois ce qu'elle avait retenu de la discussion c'est que l'un de ses fils serait bientôt en âge de prendre épouse, tout comme sa petite Margot.
Après tous les deux familles avait été proche à une époque, toutes deux anciennes, toutes deux royales, la boucle serait bouclée, la jeune fille promise à des jours plus heureux qu'avec sa folle de mère...
L'idée n'avait pas mise longtemps à faire son chemin, elle avait d'abord écrit à Ayena pour que celle-ci face le chemin jusquà Carcassonne pour l'entretenir de l'idée, puis ensuite ça avait été au tour du prince.
Enfin tout cela pour dire qu'elle faisait les cents pas en attendant que l'on prépare le grand salon, c'est qu'il ne fallait pas que les domestiques se trompe dans les ordres.
C'était un jour trop important pour la duchesse. Quand ce fut finit elle s'adressa aux maitres de ceux-la.
Dites à Ayena de me rejoindre ici!
Bon certes elle idéalisait le mariage, parfois les époux de ces jeunes héritières se transformait en leur seul et unique bourreau mais elle n'avait pas trouvée de meilleure idée. Et la pensée d'unir les deux maisons la satisfaisait entièrement.
Il ne restait plus qu'à attendre, et à proposer, seul le très haut savait l'issu de l'entretien à venir.
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