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[RP] Bureau du Maire

Grmy
Vous voulez dire l'apparence de justice !

J'espère que vous n'êtes point là pour changer de conversation et permettre ainsi au Maire de ne pas répondre à mes questions (cf plus haut) !

_________________
GRMY, pour vous servir !
Breton un jour, Breton toujours !
Balarion
Je ne vois pas pourquoi le maire perdrait son temps à répondre à un criminel avec un casier comme le votre et surtout étant en prison vous ne pouvez pas poser de questions donc il n'a rien à répondre.
Grmy
Bonjour,

Je suppose qu'avec la nomination du porte parole, nous n'allons plus voir le Maire !

Que font actuellement le Maire et ses conseillers car je ne vois rien bouger !

_________________
GRMY, pour vous servir !
Breton un jour, Breton toujours !
Grmy
Il ya quelqu'un ? Un porte-parole qui ne parle pas ! Voilà donc une chose étrange !
_________________
GRMY, pour vous servir !
Breton un jour, Breton toujours !
Boulange
bonjour monsieur Grmy
bien sue qu'il y a quelqu'un je suis la tous les jours a vous écouter ou a vous lire
mais encore aujourdhui vous m'avez choqué et démontré que vous respectéz rien cat entrer dans une église avec son renard quel manque de respect
comme vous ne respectez ni le roi ni ses lois pour moi vous etes un etre meprisable et comme le pire des mépris est l'ignorance je vous ignore tout simplement car vous répondre c'est vous donner de l'importance
j'ai jamais voulu etre maire c'est votre candidature qui m'y a poussé
car elle est mi la petite grmy a la mairie j'ai dit non voila
j'attend que vous ayez derssé votre renard peut etre aurai je a ce momment la un interlocuteur
papelez vous on est jamais sali que par la boue
le fait de vous ignorer est la meilleure chose que je puisse faire
cordialement grace a vous maire d'orthez
Constantcorteis
"Et un porte parole qui perd son temps à répondre aux questions débiles d'un emmerdeur microcéphale, ça vous plairait ?"

Non, non, non. Pas possible. Il ne pouvait pas se le permettre.

Bigre, Constant avait perdu l'habitude !
Il en avait pourtant calmé des plus retors, à l'époque. Le tout était de reprendre le rythme, et retrouver le ton conciliant qui était le sien lorsqu'il faisait de la politique.

Bah, cela reviendrait bien vite.

Mais en l'occurrence, il fallait neutraliser l'importun...

Allez, courage...


Bonjour Messire, puis je me permettre de vous demander votre nom ?
Veuillez m'excuser mais, étant nouveau venu par ici, je n'ai pas encore eu l'occasion de faire marcher mes capacités d'assimilations mnésiques appliquées à la reconnaissance des topographies faciales.

J'ai cru déceler comme une certaine forme de critique à mon égard dans votre intervention.
Ah oui, pardonnez moi, je me nomme Constant Corteis, je suis le porte parole dont vous suggériez à l'instant l'aphonie probable, laissez moi donc le temps de vous faire entrevoir, ne serait-ce qu'en partie, l'ampleur démentielle de cette monumentale erreur de jugement ! Voyez vous, je me suis heurté pour le moment à quelques menues contrariétés d'ordre logistico-communicationelle, simples formalités administrative au fond, mais il faut bien en passer par là !

Bref, je m'égare.
Je voudrais, avec votre, accord, vous faire une petite remarque formelle.
Je pars bien sûr toujours de l'hypothèse selon laquelle c'est bel et bien une intention ironique que je devais déceler dans votre précédente intervention. Il va de soi, donc, que je vous présente mes excuses, et que mes conseils seront frappés de la plus parfaite caducité si cela n'était pas le cas.
Je pense que vous ne devriez jamais faire de l'ironie la forme de vos critiques sous-jacentes. Et ce pour deux raisons majeures, tout d'abord, c'est très désagréable à entendre pour l'auditeur, et deuxièmement, ce n'est absolument pas un mode d'exposition clair. En outre, l'intérêt humoristique me semble négligeable, hormis dans le cas de certaines personnes particulièrement douées pour le calembour, et dotées d'un esprit particulièrement fin ce qui, permettez moi ce jugement amical, ne me semble pas, même s'il est évident qu'en l'état actuel de ce que je sais de vous il est probable que je me trompe, entrer dans le nombre de vos compétences.

Bref, je me permettrais donc, toujours en postulant votre permission (n'hésitez pas à me rappeler à l'ordre si cet axiome vous paraissait illégitime), de reformuler votre critique, pour lui donner un sens et afin d'essayer que nous en perdions point trop notre temps. Je ne sais pas pour vous, mais le mien est précieux.

Vous me reprochez de ne pas parler, et semblez souligner une certaine incompatibilité entre ce fait, selon vous avéré, et la charge qui m'incombe depuis deux jours.
Premièrement, je tiens à contester votre constat. Il est fort peu pertinent de dire que je ne me saisis pas de la communication avec les orthéziens.
En effet, outre la prise en charge des annonces, je me donnerai pour but tant qu'on me le demandera, de servir d'interlocuteur privilégié pour els cas où le maire ne pourrait pas se rendre disponible. En revanche, vous comprendrez aisément que, mon temps étant drastiquement calibré, engoncé dans une organisation millimétrée, je ne prenne pas le temps de répondre aux questions dont je ne perçois pas l'intérêt. Ce qui était le cas pour votre première intervention. Reformulez là, je vous prie, afin que je puisse en percevoir le fond.
Vous comprendrez qu'à refuser de le faire, vous solliciteriez de moi que je passe un temps considérable à jouer avec vous dans le but de chercher où vous voulez en venir, ce que je ne me peux me permettre de faire, par respect pour les orthéziens.
Je ne sais pas si je suis clair, mais il me semble que votre attitude est amplement paradoxale. Vous semblez vous inquiétez du devenir de votre ville, et du manque de communication, mais ne faites pas de votre côté l'effort suffisant pour que, premièrement les membres de l'équipe municipal puissent vous répondre sans perdre le temps qu'ils consacrent à l'administration de la municipalité en temps normal, et deuxièmement, pour que la communication dont vous fustigez l'indigence puisse se faire normalement.

Deuxièmement, en imaginant que vous ayez raison, et que je sois effectivement silencieux, vous n'avez toujours pas la légitimité de fustiger unilatéralement cet état de fait. Ce n'est parce que l'on publie un communiqué tous les jours que l'on est actif. Il y a tout un travail de fond, de gestion des affaires courantes, de régulation économique et de communication directe avec les orthéziens dont on ne fait pas l'objet d'une annonce particulière. En ces circonstances précises, il n'y aurait rien d'étonnant à ce que, en tant que porte parole, je puisse rester silencieux plusieurs jours.

Voilà, voilà.
C'est tout ce qui me vient à l'esprit pour vous répondre, j'espère que vous serez satisfait.
Pourrais-je compter sur votre bon vouloir pour donner une manifestation plus adéquate et plus intelligible à vos critiques ?
Grmy
Citation:
Bonjour Messire, puis je me permettre de vous demander votre nom ?
Veuillez m'excuser mais, étant nouveau venu par ici, je n'ai pas encore eu l'occasion de faire marcher mes capacités d'assimilations mnésiques appliquées à la reconnaissance des topographies faciales.


Nous nous sommes croisés à l'Eglise il me semble...
Je suis GRMY. J'ai occupé les fonctions suivantes:
Candidat à l'élection municipale d'Orthez.
Rédacteur à l'AAP.
Copiste à l'Académie Royale de France.
Conseiler municipal d'Orthez en charge de l'animation.
Ambassadeur du Béarn au Royaume d'Aragon.
Porte-parole de la Mairie d'Orthez.
Sergent de police d'Orthez.
Soldat de la garnison d'Orthez.
Tribun de la ville d'Orthez.

En tant qu'ancien Porte-parole, je peux très certainement vous donner quelques conseils...surtout que vous êtes nouveau ici...


Citation:
J'ai cru déceler comme une certaine forme de critique à mon égard dans votre intervention.
Ah oui, pardonnez moi, je me nomme Constant Corteis, je suis le porte parole dont vous suggériez à l'instant l'aphonie probable, laissez moi donc le temps de vous faire entrevoir, ne serait-ce qu'en partie, l'ampleur démentielle de cette monumentale erreur de jugement ! Voyez vous, je me suis heurté pour le moment à quelques menues contrariétés d'ordre logistico-communicationelle, simples formalités administrative au fond, mais il faut bien en passer par là !


Depuis le temps que vous avez été nommé à cette fonction, je croyais qu'il s'agissait d'un poste fictif...
Et bien dîtes-moi, si vous vous avez des problèmes en étant au conseil municipal, qu'est-ce que cela doit être pour le citoyen lambda ?


Citation:
Bref, je m'égare.
Je voudrais, avec votre, accord, vous faire une petite remarque formelle.
Je pars bien sûr toujours de l'hypothèse selon laquelle c'est bel et bien une intention ironique que je devais déceler dans votre précédente intervention. Il va de soi, donc, que je vous présente mes excuses, et que mes conseils seront frappés de la plus parfaite caducité si cela n'était pas le cas.
Je pense que vous ne devriez jamais faire de l'ironie la forme de vos critiques sous-jacentes. Et ce pour deux raisons majeures, tout d'abord, c'est très désagréable à entendre pour l'auditeur, et deuxièmement, ce n'est absolument pas un mode d'exposition clair. En outre, l'intérêt humoristique me semble négligeable, hormis dans le cas de certaines personnes particulièrement douées pour le calembour, et dotées d'un esprit particulièrement fin ce qui, permettez moi ce jugement amical, ne me semble pas, même s'il est évident qu'en l'état actuel de ce que je sais de vous il est probable que je me trompe, entrer dans le nombre de vos compétences.


J'ai toujours parlé avec la plus grande franchise et cela m'a valu quelques procès. Mais aujourd'hui tout le monde sait que ma vision était la meilleure.
Je suis aujourd'hui le seul à jouer le rôle d'opposition dans cette ville et je compte bien continuer à le faire.
Donc je me fiche totalement de ce que vous pouvez penser, moi je ne m'intéresse qu'aux actes du Conseil Municipal qui sont, pour l'instant et à mi-mandat, inexistants.


Citation:
Bref, je me permettrais donc, toujours en postulant votre permission (n'hésitez pas à me rappeler à l'ordre si cet axiome vous paraissait illégitime), de reformuler votre critique, pour lui donner un sens et afin d'essayer que nous en perdions point trop notre temps. Je ne sais pas pour vous, mais le mien est précieux.


Si je comprends bien, en plus de critiquer votre action (celle du Conseil Municipal), je dois en plus faire votre boulot ?

Citation:
Vous me reprochez de ne pas parler, et semblez souligner une certaine incompatibilité entre ce fait, selon vous avéré, et la charge qui m'incombe depuis deux jours.
Premièrement, je tiens à contester votre constat. Il est fort peu pertinent de dire que je ne me saisis pas de la communication avec les orthéziens.
En effet, outre la prise en charge des annonces, je me donnerai pour but tant qu'on me le demandera, de servir d'interlocuteur privilégié pour els cas où le maire ne pourrait pas se rendre disponible. En revanche, vous comprendrez aisément que, mon temps étant drastiquement calibré, engoncé dans une organisation millimétrée, je ne prenne pas le temps de répondre aux questions dont je ne perçois pas l'intérêt. Ce qui était le cas pour votre première intervention. Reformulez là, je vous prie, afin que je puisse en percevoir le fond.
Vous comprendrez qu'à refuser de le faire, vous solliciteriez de moi que je passe un temps considérable à jouer avec vous dans le but de chercher où vous voulez en venir, ce que je ne me peux me permettre de faire, par respect pour les orthéziens.
Je ne sais pas si je suis clair, mais il me semble que votre attitude est amplement paradoxale. Vous semblez vous inquiétez du devenir de votre ville, et du manque de communication, mais ne faites pas de votre côté l'effort suffisant pour que, premièrement les membres de l'équipe municipal puissent vous répondre sans perdre le temps qu'ils consacrent à l'administration de la municipalité en temps normal, et deuxièmement, pour que la communication dont vous fustigez l'indigence puisse se faire normalement.


Si je comprends bien, vous dîtes que vous êtes un incompétent qui n'a pas de temps à consacrer à une fonction stratégique pour le Conseil Municipal et la ville d'Orthez ?

Citation:
Deuxièmement, en imaginant que vous ayez raison, et que je sois effectivement silencieux, vous n'avez toujours pas la légitimité de fustiger unilatéralement cet état de fait. Ce n'est parce que l'on publie un communiqué tous les jours que l'on est actif. Il y a tout un travail de fond, de gestion des affaires courantes, de régulation économique et de communication directe avec les orthéziens dont on ne fait pas l'objet d'une annonce particulière. En ces circonstances précises, il n'y aurait rien d'étonnant à ce que, en tant que porte parole, je puisse rester silencieux plusieurs jours.


Si vous n'avez rien à dire, c'est que vous ne faites rien donc vous êtes incompétents !

Au fait, il y a eu du changement au Conseil ces derniers jours, non ?
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GRMY, pour vous servir !
Breton un jour, Breton toujours !
Constantcorteis
Bon... Courage.
Les joies de la vie politiques se doivent bien d'être tempérées par quelques menues contrariétés somatisées à l'occasion en un être spécifique tel que celui qui se présentait à présent.
Allez, deuxième acte.

Constant opterait pour la réponse linéaire. C'était le plus simple, au fond.


Bien.
Messire GRMY, donc.
Je me permets de vous faire remarquer que votre curiculum vitae ne m'intéresse pas.
Vous savez, je suis bien trop platonicien, à mon esprit défendant d'ailleurs, car il est évident que, au fond, le vieux culte Socratique de la maïeutique n'est apte qu'à nous détourner des vérités édictées par le Saint fils de Nicomaque, même s'il me paraît évident qu'il est toutefois envisageable d'en faire un usage pertinent à condition de se conformer draconiquement aux strictes règles de la conduite du raisonnement édictées par l'Organon, bref, je ne suis que trop platonicien pour penser que l'essence d'un être puisse se laisser subsumer à travers les manifestations sensibles qu'il revêt.
Vous suivez ?

Il est donc évident que les formes successives que prirent les réifications administratives de vos compétences ne me concernent en aucun cas.
Je me crois donc en droit de vous demander de ne point faire perdre son temps à un fonctionnaire public en lui racontant votre vie, laquelle, si je puis me permettre un petit jugement hâtif, n'a rien d'intrinsèquement intéressante.

Suffit.
Je vais être clair avec vous. Je vous réponds car telle est ma fonction.
C'est donc en tant que fonctionnaire municipal que je m'intéresse à vous. Si ça ne tenait qu'à moi, je noierais bien vite la piteuse tentative de socialisation que je suis en train d'opérer sur vous dans le miel d'une indifférence nourrie au sein d'un mépris que vous me semblez mériter amplement.

Bref. Pour être clair et aposer un point définitif à vos propositions incongrues, je considère que vous n'aviez strictement rien à m'apprendre en aucun domaine que ce soit. En revanche, comme je suis beau joueur, je vous laisse le loisir de me prouver le contraire. Vous partez bien mal, soit dit en passant.

Bien. A présent que le cadre est clair, je me dois, en tant que Porte Parole, de vous donner une réponse.

Vous évoquez un délai excessif dans la prise de parole.
Il va se soi que je conteste radicalement votre jugement. J'ai fait ma première communication deux jours après ma nomination. Sachant que les communications de la mairie se tiennent généralement éloignées d'une huitaine de jours environ, il ne me semble pas avoir été si lent que cela. Bref, tout ceci n'est pas très intéressant. Je terminerai en disant que, si c'est l'absence de réponse à votre remarque ironique et déplacée que vous fustigez, j'ai déjà amplement développé une réponse à laquelle vous n'avez confronté aucune réponse. J'en conclue logiquement que vous êtes d'accord, et que vous reconnaissez le fait qu'il eut été parfaitement illégitime que j'endosse le poids de votre propre inconséquence.

Vous faites références au citoyen lambda, pouvez vous développer ? Je peine à saisir le sens de vos propos, et pour ne rien vous cacher, je pense qu'ils ne survivraient pas à l'épreuve d'une formulation un tant soit peu exigeante.
Il me semble toutefois que vous partez du principe qu'il n'existe qu'une simple différence de degré le long de je ne sais quelle axiologie politique entre les membres du conseil municipal et les "citoyens lambda". Je ne saurais en aucun cas suffisamment vous montrer toute l'étendue de l'erreur métaphysique fondamentale que vous faites, je vous laisserai donc découvrir par vous même en l'état actuel des choses, en attente que je suis de votre reformulation conforme aux plus élémentaires critères d'intelligibilité.

Continuons. Vous ne parlez pas avec franchise. Vous ne dites d'ailleurs rien, car je pense que vous n'avez pas les facultés sémantiques et syntaxiques pour l'exprimer. Vous usez donc du pis aller des pauvres d'esprit, à savoir l'ironie.
J'en veux pour preuve votre remarque puérile concernant mon prétendu silence, que j'ai déjà suffisamment commentée tout à l'heure.

Vous ne jouez en outre pas de rôle d'opposition, ou alors si vous le jouez, c'est ce que l'on nomme un rôle de composition.
En effet, vous érigez l'opposition en principe, sans vous rendre compte, alors que c'est pourtant évident, que votre position se dissout en une parfaite absurdité ontologique.
En fait, je pense que la réalité est autre. Vous êtes frustré d'avoir été battu aux élections, et vous travestissez votre petite quête de vengeance méprisable en position philosophique.
Vous avez le droit de vous adonner aux bouffonneries des clowns, mais ne me demandez pas de vous prendre au sérieux.

Concernant les actes du conseil municipal, je me permets de vous renvoyer aux annonces correspondantes.

Ah ! J'oubliais. Je ne pense pas que votre vision soit la meilleure. Loin s'en faut d'ailleurs, car il me semble que vous êtes affectivement inapte à mener une réflexion désintéressée.


Citation:
Si je comprends bien, en plus de critiquer votre action (celle du Conseil Municipal), je dois en plus faire votre boulot ?
Si je comprends bien, vous dîtes que vous êtes un incompétent qui n'a pas de temps à consacrer à une fonction stratégique pour le Conseil Municipal et la ville d'Orthez ?


Vous comprenez mal.
Mon travail est de vous répondre, le vôtre de vous exprimer de manière à ce que je puisse le faire. Ce n'est pas le cas actuellement.
Et pour la deuxième partie de ce que vous comprenez, je vous demande de bien vouloir être plus clair, car je ne comprends pas comment vous pouvez tirer de telles conclusions de ce que je vous ai dit.
Voulez vous que je réexplique en langage plus abordable ?

Je passerai purement et simplement outre votre dernière remarque, car elle se borne à affirmer l'inverse de ce que je m'étais de mon côté employé à vous démontrer.
Mon devoir de faire cas des interrogations que l'on me soumet ne s'étend pas jusqu'à l'obligation de perdre mon temps à enseigner aux indigents.

Pour ce qui est des changements, reportez vous aux annonces.
--Gusty
Allongé confortablement au pieds de Grmy, la tête nonchalamment reposée sur une patte, il n’en perdait pas une miette.

Ah ! Quelle belle chose que la dialectique ! Que de subtilité ! Que d’invention et tout cela venant inexorablement se fracasser sur le mur des convictions inébranlables de son maitre. Ils se relayaient même pour tenir le crachoir et cela sans le moindre petit début de résultat.
Grmy, sûr de son bon droit et de sa mission salvatrice, écartait tous les arguments sans coup férir.

Comble de subtilité, il ignorait superbement quand l’adversaire perdant son calme en venait à friser l’injure, même si celle-ci était vainement camouflée derrière des édifices de circonlocutions verbales que n’aurait pas reniés Cicéron lui-même. Le tout malgré tout transparent, montrant seulement qu’ils étaient très en colère mais incapables de la montrer de crainte de représailles et qu’ils manquaient sérieusement de ….comment dit on déjà …Ah oui de « couilles au cul ».

Son maitre au contraire, quand il avait quelque chose à dire, le disait sans ambages, et ne prenait pas de gants pour dire à un imbécile qu’il n’avait pas inventé la poudre et à un ignare qu’il n’avait de leçons à recevoir de personne, surtout d’un incompétent.
Ah ! Quelle magnifique chose que la dialectique !
Grmy
Bonsoir,

Pouvons-nous savoir ce que fait actuellement le Conseil Municipal ?
Depuis l'élection de Messire Boulange, il n'y a eu aucune action concrète pour améliorer la vie de nos concitoyens !

Amicalement.

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Constantcorteis
Qu'appelez vous une action concrète, messire GRMY ?
En réalité, je dois être un petit peu corrompu par le sens savant du mot, car je peine à comprendre votre question. De fait, il est d'usage dans un bon nombre de milieu de définir par le biais de vocable l'ensemble des choses que l'on peut saisir. C'est en quelque sorte un synonyme de "tangible", en somme.
En arithmétique par exemple, cela désigne un nombre dont on indique l'espèce de ses unités.
Vous comprendrez dès lors que je peine à comprendre votre demande.

J'ai du mal à voir comment une mesure, c'est à dire un acte, pourrait être tangible. Il faudrait pour cela qu'il soit incarné, ce qui ne m'apparaît pas possible.

En extrapolant un peu, je peux tout de même vous donner une réponse, en prenant pour hypothèse l'idée que la réification administrative de l'impulsion d'une idée peut se rapporter à ce que vous nommez la concrétude d'une mesure.
Bref, je partirai du principe que vous cherchez à vous renseigner sur les prolongements législatifs positifs de l'action de régulation qu'exerce l'équipe municipale, et en premier lieu le maire, au quotidien.

Je ne pourrais vous citer d'acte de législation dont la nature soit telle qu'il soit voué à se pérenniser, à ma connaissance, nul décret n'a été promulgué. Cependant, je ne peux pas, à titre personnel, vous donner un avis bien éclairé sur ce qui a eu lieu avant ma nomination.
En revanche, on peut tout à fait voir dans la décision de faire prendre en charge à la mairie la part d'imposition qui lui revient, en tant que décision univoquement exprimée ayant pour conséquences un changement du mode de vie, l'acte d'une souveraineté législative ponctuelle. Cela répond donc en cela à votre question.
Proudhon
Bonjour mesire

je suis un petit peu l'evolution de votre mandat, et je me pose qu'elle que question qui suivent.

Pourquoi n'avez vous pas mis de prix maximum sur le marché?

car cela été dans votre programe et meme si vous dite que le marché va bien je pense que nous avons besoin de limite.

Ma seconde question,

Vous proposiez dans votre programme une aide du village pour acheter un second champs. Donc j'aimerais savoir si cette mesure est en court de réalisation, si elle est tous simplement réalisable ou pas.

Pour finir j'avais une proposition a faire.

afin d'attirer plus de monde vers la cueillette pourquoi ne pas s'endraider en utilisant un referencement des case que nous avons visiter et pas
utilisé

Merci pour votre attention. Je vous salut et vous souhaite une bonne continuation.
Boulange
messire Proudhon bonjour
a votre premiere question
pour mettre une grille de prix maximun il faut un decret et que ce decret soit validé
la demande a été faite aux autorités contales qui ont pas validé la demande

pour l'aide aux ^paysans pour l'achat d'un deuxieme champ ou d'une échope
la création d'une banque du béarn est a l'étude pour ce sujet

en ce qui concerne l'aide pour la cueillette votre idée est bonne seul probleme c'est que ça passe par la halle un plan verger a été mis en place sans grande utilité car la halle est lue par environ 30% des habitants et sur 360 villageois pas 15% participent
quel serait l'éfficacité d'un tel système
cordialement
Grmy
Monsieur le Maire,

Que fait actuellement votre Conseil Municipal ?
Est-ce que vous vous occupez toujours d'Orthez ?

Depuis votre élection, n'a rien changé ! Vivement quelqu'un d'acitf, comme moi par exemple !

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Constantcorteis
Décidément, encore GRMY...
Finalement cela tombait assez bien, Constant était d'assez bonne humeur.

En piste !


Dites, messire GRMY, je vous demande d'avance de me pardonner pour le côté cavalier des propos que je m'apprête à tenir, mais je voudrais vous demander s'il est vraiment utile que je m'agite la théière à vous répondre...

De fait, vous posez beaucoup de questions, mais vous ne semblez pas écouter les réponses...
Je m'appuie sur deux faits pour justifier ce triste constat. Tout d'abord, vous ne rebondissez jamais sur les éléments de réponse que je vous propose.
J'ai fini par en conclure que vous n'aviez rien à ajouter, suivant en cela le vieil adage selon lequel "qui ne dit mot consent".
Pourtant, vous persistez à sembler ne pas m'écouter, car vous posez des questions auxquelles j'ai déjà, ce me semble, apporté de très clairs éléments de réponse.

Je suis donc perplexe, et il me semble que vous ne venez pas auréolé d'intentions innocentes.
C'est fort fâcheux... Mais vous comprendrez que, ayant visiblement en face de moi quelqu'un qui pose des questions tout en ayant pas la volonté de recueillir des réponses, j'en conclue fort naturellement que votre objectif est d'ennuyer le monde.
Le raisonnement est un peu rapide, je le concède, mais il me vient à présent très naturellement à l'esprit dès lors que je me hasarde à réfléchir à votre cas.

Il est donc nécessaire que je m'assure que je ne suis pas en train de souffler sur le moulin grinçant d'un esprit tordu épris de contradiction...

Hummm...

Excusez moi, en réalité je pense avoir compris la manière dont vous fonctionnez. Vous partez du principe que l'énonciation d'une interrogation rhétorique suffit à présumer de la valeur de vérité de son contenu.
Ainsi, vous pensez souligner l'absence du maire en lui demandant, attifé gauchement d'un châle de vertu rapiécé trop grand pour vous, s'il s'occupe encore des habitants de la mairie.

Mais allons ! C'est parfaitement idiot ! Vous êtes tout de même assez grand pour le comprendre !
Supposez que je vienne vous voir, et que je vous demande quelque chose... Hummm, mettons....

Heu... Oui bon là je manque un peu de répartie, je ne suis pas rompu à l'exercice...

Ah oui ! Je sais !

Je vous mime la scène !


Là dessus, Constant, dont la voix était plutôt monocorde pour le moment, changea radicalement de timbre, et s'exclama d'une voix candide en tachant de feindre la surprise :

Oh tiens, messire GRMY ! Quelle surprise ! Comment allez vous, vos épaules sont elles toujours affublées de cette ridicule excroissance osseuse hélas pourvue d'une cavité laissant échapper des sons qui ne seraient agréables que s'ils étaient des râles d'agonie ?

Reprenant son sérieux sans transition :

Serait-ce pour autant donner ici là moindre accréditation à la thèse de l'existence effective d'un ridicule intrinsèque de votre organe capital ?
A l'évidence non. Et il serait au combien ridicule de le penser !

Pardonnez moi de marcher dans les traces du fondateur de l'Académie, mais il me semble que, pour capillotracté qui soit en lui même, ce petit exemple, auquel j'espère d'ailleurs que le côté vivant de la représentation théâtrale ne sera pas inutile, pourrait bien, en vertu justement de son caractère idiomatique auprès des esprits peu habitués à manipuler les symboles un peu abstrait il est vrai, des pensées dialectiques, se révéler instructif, et servir de manière tout à fait profitable, de paradigme de la mauvaise façon d'user de la question dont vous semblez pâtir.
Le tout, vous l'aurez bien évidemment compris, dans l'idée que vous puissiez vous corriger sur cette base !

Je vous souhaite bon courage pour le travail que vous avez à faire dans cette voie !

Pour le reste, vous comprendrez tout naturellement qu'il ne m'est pas loisible de prendre le risque de vous répondre alors même que je ne dispose toujours pas d'une certitude ferme et inébranlable à votre sujet, comme un point d'Archimède sur lequel je pourrais faire reposer le levier de mon raisonnement pour parvenir à mouvoir, et ainsi à expulser hors de mon champ de vision cognitif, tous les éléments de doute que je vous ai présentés, lesquels m'incitent actuellement à quelques réticences dans l'évaluation de votre bonne volonté.

Croyez moi, je me désagrège de honte à l'idée de devoir faire entorse à la plus élémentaire des politesses en vous donnant une réponse laconique, je suis balayé, pauvre feuille morte hagarde sur le sentier des culpabilités d'automne, par les vents implacables de l'exigence de prudence !
Je suis tout autant victime que vous de ce que je vais faire, j'insiste vraiment sur ce point.
Je tâcherai d'être bref, mais néanmoins distingué, afin que, tout en veillant à ce qu'elle soit brève, je puisse vous garantir que la souffrance de se placer en situation inconvenante pour les gens civilisés que nous sommes saura s'adoucir d'une dérisoire mais cruciale consolation, à savoir la grandeur des âmes ciselées dans la dentelle exquise des tissus d'esprit les plus fins, je parle, mon cher, de ce petit plaisir esthétique que l'on prend à observer la mort pourvu seulement qu'elle soit belle, de cet ultime reliquat d'estime de soi que n'attaque pas la rouille de l'opprobre, de cette drogue des esprits raffinés ivres du reflet de leur âme qu'ils contemplent à l'orée chatoyante de la silhouette de leurs actes dardant leurs avatars de lumière pariétale par le miroir des mots, de cette fierté en rut, irréductible, irrévocable en doute, que nourrissent à jamais en leur sein les apôtres bénis de la chorégraphie existentielle; j'ai nommé le panache !


La voix de Constant s'était faite emphatique, enthousiasmé qu'était le locuteur par son délire improvisé.
Il tâcha toutefois de maîtriser au plus vite son entrain, et, n'ayant qu'à peine pris le temps de reprendre sa respiration, il poursuivit son monologue d'une voix mécanique et froide :


Messire GRMY, je fais valoir par la présente requête le devoir qui est le mien de veiller à ne pas alimenter un processus mortifère pour la ville dont je représente partiellement l'administration. Je vous demande de ne plus présenter vos questions ici avant d'avoir pu témoigner de manière convaincante du bien fondé de vos intentions.
J'assortirai mes exigences d'une suggestion, si vous me le permettez. En effet, étant pleinement convaincu que, quand bien même vous seriez de bonne foi, vous n'êtes pas en mesure de faire valoir une démonstration rationnelle suffisamment convaincante pour rattraper le retard que vous aura fait prendre votre inconséquence passée aux yeux des personnes sérieuses que le peuple à mis à la tête de la municipalité d'Orthez, je me vois dans l'obligation de vous proposer amicalement une méthode pour que vous en finissiez de cette manie sans vous couvrir de honte. Je pars également du principe que le vice est honteux, et en arrive par ce double chemin à l'évidence confirmée de deux sources que vous n'échapperez pas à un funeste destin si vous vous obstinez à vivre. Vous n'êtes pas assez sage pour simplement vous retirer dans l'érémitisme que votre indigence devrait prescrire. Vous n'avez rien à gagner à laisser se poursuivre la parodie d'existence qu'est votre vie, ayez au moins l'opiniâtreté de vous rabattre sur le menu honneur d'être celui qui claque la porte. Il arrive, hélas, que certains organismes ne trouvent pas leur place dans la structure ordonnée et hiérarchisée qu'impose la vie des animaux politiques. C'est triste. Il faut pourtant trouver la force de couper les branches mortes, et d'achever les poissons qui s'étouffent sur la berge. Je suis prêt à vous accompagner, en ami, sur le chemin qui vous mènera à l'acceptation de cette dure réalité. C'est par respect pour l'être humain que vous fûtes en puissance que je trouverais le courage, si vous m'en faites la demande, d'écraser du talon les derniers espoirs d'un étant avorté, pour crever enfin les bulles d'illusions dont les êtres non viables se bercent.
Je préfèrerais toutefois, à l'évidence, que vous donniez à votre acte la valeur esthétique d'une action exemplaire, en glorifiant la lucidité au prix de votre vie.
Choisissez bien votre mode opératoire, cher ami, selon ce que vous souhaitez comme empreinte de vous à la postérité. Voudrez vous l'abandon lubrique de l'étreinte des eaux ? Allez vous ainsi vouloir vous étendre dans un doux clapotis, tirer le rideau de la scène sur laquelle s'est jouée votre vie sur le bercement apaisant de l'écoulement d'une cascade, ponctuées ça et là des effusions spongieuses de vos poumons imbibés ?
Préfèrerez vous la morsure véhémente du feu, pour vous éteindre en guerrier, en martyr, en sonnant à la corne la charge de votre révolte face à ces insipides conditions d'existence que vous réduisez en cendre à travers votre corps ? Voudrez vous célébrer l'hystérie orgasmique de la victoire éclatante de votre volonté sur la réalité oniricide des petites douleurs mesquines ?
Ou peut-être jouerez vous à l'Icare, donnant enfin corps au fantasme de tout homme de voler dans le ciel. Nul homme n'écrivit l'Illiade et l'Odyssée avant Homère, pourquoi ne serait il pas vrai que nul homme ne volât avant GRMY d'Orthez ? Voilà un bien exaltant moyen de finir vos jours, placez vous votre vie au dessus des rêves de l'humanité ?

Faites votre choix, cher ami, et affrontez votre destin.


Bon, tout cela était amplement suffisant, Constant détendit les traits de son visage, qu'il avait voulu austère jusque là, et marqua le point final de son discours d'une voix naïve :

Vous avez des questions ?
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