Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 18, 19, 20, ..., 29, 30, 31   >   >>

[RP] Bureau du Maire

Catcat64
Dites moi Dame pourriez vous me dire d ou provient le blé que vous n arrivez pas a vendre ?? car selon mes sources , vous n etes point bléicultrice , d ailleurs selon ces memes sources vous seriez rien d autre non plus


***censuré, evitez ce genre de screens sorti de nulle part. Les sources en question ne sont pas en phase avec les balises RP du sujet

Bon jeu bon RP
Réclamations MP
{Temperance}***


vous speculez ??
Boulange
tu m'apprends rien catcat64
car cette personne s'amuse a speculer ce blé a eté acheté ,comme elle souhaitait vendre du bois
elle dit que dans le bureau du maire il y a des poulet et joue a la dinde
bien qu'on arrive a noel
elle comprend pas la langue des autres et on doit interpreter son dialecte
meme pas capable de faire la differrence en mairie,j'ai mis prix maxi,la pauvre lit prix mini.je lui sucgère d'arreter l'alcool
Grmy
Messire Leviathan,

Ce qui m'attriste au plus haut point c'est que vous commenciez à réagir seulement maintenant, alors que vous êtes dans l'équipe municipale depuis 1 mois 1/2 !

Si cela n'avait été que de moi, au bout de 2/3 jours j'aurai commencé à réagir !

_________________
GRMY, pour vous servir !
Breton un jour, Breton toujours !
Boulange
messire GRMY
Si ça avait été vous vous auriez rien fait comme d'habitude.
Quand vous etiez dans la police vous avez rien fait et j'étais la , vous avez permis le plus gros marché parrallèle possible cat trop occupé a lecher les bottes
vous osez prétendre avoir pu etre au conté,meme en donnant des viande a 7 écus,mais nous connaissons pas les bénéficiaire de cette offre
apres cela grillé en béarn
Après quelques mois en Béarn, GRMY décide d'aller voir ce qu'il se passe ailleurs....
ça a pas marché et vous etes revenu,comique
ce que vous ignorez c'est que la majorité de mon conseil est avec moi sur mésange comme d'autre personnes du conté
non vous avez pas cessé d'etre asocial mais je vous ai retrouvé dans votre veritable role,celui de leche bottes il y a 15 jour catcat etait la honte d'Orthez ,et la oublions et travaillons ensemble mais cessez de grogner comme un mollosse et au moindre ***censuré*** vous redevenez le toutou a mémère, ces élections promettent car vous allez retrouver votre viel ami,messire mathieu deldor a croire que tout vos proces c'est parcequ'il vous manquait,vous lui avez tellement leché les bottes presque une histoire d'amour
quand a levviathan32 il agit selon mes instructions sur mesange
la halle étant obstruée par vous donc ça sert a rien
quand au bilandu maire et du conseil vous allez l'avoir et le vrai et apres comme d'habitide vous ferez coucouhe panier bon a rie mais brave toutou

***pas de termes comme copié-coller sur un topic RP***
Khalamite
Ouh là, la poulette se réveillait, le maire retrouvait la parole et le poulet rôti était revenu ... fallait suivre !

Se tournant vers le gars à la canne qu'elle souhaitait suivre, Khalamite le prévint.

Accord'moi deux minutes, j'ai à caqueter.

Puis, revenant à la porte du bureau d'où on l'avait hélée avec force conviction, elle s'adressa au fermier et à sa poulette première.

M'sieur, dame ... j'spécule ? Pourquoi ? Parce que j'ai mis du blé en vente et qu'j'suis pas bléicultrice ? Euh ... pour ça, z'avez raison. Mais aucun spéculation là-dedans puisque ce blé j'le traîne en charette d'puis le Bourbonnais Auvergne où j'avais ma terre avant qu'de v'nir m'installer dans c'comté. Ce blé, j'l'ai jamais acheté à Orthez. Mais si ça peut vous faire plaisir, portez plainte, apportez des preuves et je viendrai défendre ma parole ... Sinon ... euh ... ben ... rien. Quant au bois ... hum ... j'souhaite pas en vendre pour la simpl'raison qu'j'en ai pas en stock. Mais j'savais pas qu'il était mal v'nu d'donner son avis sur un décret que j'trouve idiot. Alors ... vous m'mettez aux fers ou j'peux partir ... pas qu'j'aime pas vot'compagnie, mais j'crois pas qu'j'pourrais obtenir autres paroles qu'des billevesées insipides... Dites ? J'peux y aller ?
Anguerand
Il y avait foule et à ce rythme la, la foule n'allait cesser de se faire plus dense encore. Anguérand arriva au milieu de ce que certains aurait pu nommer poulailler dont les habitants avaient un cerveau de la taille d'un grain de blé que certain ne trouvait pas avouable de vendre car, sois disant non produit par des petites mains orthéziennes.

Anguérand entra dans le bureau

Tiens toi ici ma fillotte. Remarque je ne suis pas surpris. Tu es toujours à l'endroit ou l'on ne s'attend pas à te trouver.

Il se tourna vers l'assemblée.

Ola braves gens.. Désolé de m'immiscer dans vos conversations que je suivais distraitement du coin de l'oreille depuis la rue, mais un caquetage aussi intempestif devient gênant à ma sieste traditionnelle que je fais debout, appuyé sur mon épée. J'ai d'ailleurs ici une missive que je viens de recevoir. Que dire de ce ton employé dans un courrier envoyé par un adjoint au maire ? A la seconde phrase on me menace, moi Anguérand de Villandras, de me faire arrester par la maréchaussée ? Qu'est ce que cela ? je demande des explications immédiates.

Anguérand sorti de sa besace la lettre en question. Devait il l'afficher ici ?

J'en suis à me demander si ceux que le peuple Orthézien à envoyé gérer les affaires municipales savent d'exprimer correctement ou si la menace est la seule façon qu'ils comptent mettre en oeuvre pour exercer les responsabilités de leur mandat. Cela me navre plus que ne me fait sourire.
_________________
Galessin
Réveil dans la cité, la belle et … le bonhomme, petit tour matinal et s’imprégner des échos qui se meuvent en somme.
Communiqués placardés et étals d’endoctrinements se succèdent, pourtant … au milieu de tout cela, les mirettes cèdent.
Représentations et fresques animent une des annonces, couleurs qui se s’entremêlent … une troupe de troubadours et montreurs d’ours, tout ça pêle-mêle.
Pas le temps de prendre augure de l’affiche, dommage, il aurait vu le programme d’une potiche.

Aviser la belle du théâtre à venir, d’un pas empressé, prestement l’en avertir.

Diable, la représentation aurait-elle débutée, qu’en lieu et place de la municipalité,
Des piaillements s’en laissaient ouïr, qu’il n’eut d’autre choix d’entendre les dires.
Menaces alimentaient les conversations, aux nouvelles trognes, on promettait la comparution.


Olaaaaa … le monde !
Veuillez pardonner mon intrusion, mais je ne puis me taire, devant telles impolitesses et récriminations.
Dame Stalactite, je vous salue et suis heureux de vous trouver en ce lieu.
Messire, enchanté de vous rencontrer … je ne sais si les circonstances sont privilégiées.


Un bras qui se lève pour saluer le reste des ouailles, sursaut d’une nuit bien courte, le bonhomme baille.

Je me présente, Galessin de Garlot, lieutenant de l’OST béarnais, chasseur d’ours et de truffes, s’il en est.

Humm … messire de la ville d’Arras, j’ai par le plus grand des hasards entendu qu’il vous est fait grief et que l’on vous menace ?
S’il vous sied, laissez moi donc prendre connaissance de cette hâblerie, afin qu’un tel fait ne vienne à se reproduire ici.
Je suis certain que dame Catcat ici présente, veillera à ce que le gougnafier ne se représente.
Grmy
Messire Boulange,

Alors, vous commencez à vous énerver ? Enervez-vous plutot contre vous, à cause de l'absence de politique municipale que vous prônez !

Rendez-vous compte, moi en tant que simple citoyen, en quelques jours, j'ai fait plus de choses que vous en 2 mois !

Allez donc vous calmer et transformez cette agressivité en travail...

_________________
GRMY, pour vous servir !
Breton un jour, Breton toujours !
Khalamite
Un courant d'air dans le cou, un parfum familier, celui du sang. Non, amis lecteurs, aucun poulet égorgé pour l'heure, nous faisons là référence au lien filial. Une voix, donc, qui tonne et résonne, le renard est dans le poulailler (remarquez la métaphore filée que j'me tue à filer d'puis l'départ !) et l'ours ne tarde pas à suivre (on va finir par virer au documentaire animalier ... r'marquez, finalement, j'me d'mande ... bref, revenons à nos moutons ... euh, pas fait exprès, celle-là ).

Khalamite voit entrer tour à tour le paternel et le dénommé Galessin avec lequel elle avait eut joie de converser, en version "collet serré".

En fille fière de son ascendance, elle s'approche du père et salue par un large sourire son entrée. Celui-ci tient parchemin en main et discours contrarié. A l'autre, Galessin, elle adresse une grimace, posant comme un réflexe une main sur le galure qu'elle ne quitte plus depuis qu'il a quitté une autre chevelure brune.

Revenant à son père, elle saisit, curieuse belette qu'elle est, le parchemin et le parcourt rapidement. Eclat de rire la prendrait si elle n'avait vu dans les yeux de son père une lueur de colère lui rappelant soudain les manières de bienséance que sa vieille intendante, muée par les vicissitudes de la vie en préceptrice de secours, tente de lui inculquer non sans mal chaque jour.


Elle se tient donc mais ne peut s'empêcher de souffler à son père :

Z'ont la menace judiciaire vive par ici ... j'aime bien, moi, c'rigolo, non ?

Regard qui se baisse devant la mine contrarié du père, mais coeur gonflé de fierté quand il en vient lui passer le bras autour des épaules pour toute réponse.
Leviathan32
voyant le beua petit monde et ne comprenant pas trop ce qui fesait la j essayais de passer jusqu au bureau de monsieur le maire lui deposas le dernier dossiers sur les artisans et commercants


bien le bonjour dame khalamite et messire galessin

alors khalamite votre ble je vous attend toujours


apres avoir converser se dirigeas vers la porte avec un air un peu agasee
Anguerand
Humm … messire de la ville d’Arras, j’ai par le plus grand des hasards entendu qu’il vous est fait grief et que l’on vous menace ?

Un homme de belle prestance était entré dans le bureau, s’inquiétant de propos entendus par le plus grand des hasards. Anguérand avait posé son bras autour des épaules de sa fillotte, signe indéfectible du soutien paternel.

De Villandras Messire Galurin de Charlot.. De Villandras .. C’est le nom de nos ancêtres, et voila ma fille du répond au prénom de Khalamite, au surnom nouveau de blonde ébène et parfois aussi à celui de La Mite. Acceptez, Messire, mes souhaits de bonne journée.

Anguérand n’était pas très sur d’avoir bien compris le nom du militaire de l’OST béarnais, et il se dit qu’entre tous les noms, prénoms et surnoms, voire les autres appellations patronymiques, on finirait par se perdre. Enfin chacun y retrouverait ses petits, il l’espérait.

Effectivement, Messire Galopin Purbarjot.. Excusez moi si je prononce mal votre nom, mais il faut que je me fasse à l’accent du coin qui ne ressemble point à celui auquel je m’étais habitué en Auvergne. Effectivement, je vais vous expliquer en quelques mots ce qu m’amène ici et comme dit ma fille, z’ont la menace facile dans le coin.

Anguérand se tourna vers La mite en souriant, sachant que tous les protagonistes présents dans le bureau entendraient les propos qu’il s’apprêtait à tenir.

Voila messire lieutenant, j’ai donc reçu un courrier de la part de Dame CatCat64, adjointe au maire dont je vous donne ici la teneur.

D’un bras levé le courrier fut brandit et agité au plus haut de permettait le membre.

Premièrement on me demande l’origine de trois malheureuses carcasses de Cochon que je vends sur le marché. De quel droit ? En second lieu on affirme que mon prix de vente est, je cite, « Exorbitant ». Au passage je vous fais remarquer que celui-ci ne doit pas être si élevé que cela, car Dame CatCat m’a acheté les trois carcasses. Ensuite, commencent les menaces, à savoir que sans réponse sous 24 Heures le dossier sera transmis au services de police sans autre préavis, car, on m’affirme qu’il est illégal de vendre des choses que l’on ne fabrique pas et que je suis sensé ne pas ignoré la loi. Par ailleurs la prose est moqueuse… Comme l’auteur se félicitait du ton donné au texte.

Anguérand fit une pause et d’une mine renfrognée ajouta.

Je me fait fort, à chaque Duché ou Comté visité, de prendre connaissance des coutumes et lois en vigueur et de respecter cela du mieux possible. C’est bien la première fois que je suis aussi vertement accueilli dans une ville, qui plus est par l’adjoint du Maire en place. D’ailleurs je crois que les mêmes griefs sont reprochés à ma fillotte concernant une affaire de blé d’après ce que j’ai pu comprendre.

Anguérand haussa le ton et lança à la ronde et particulièrement à l’attention des fonctionnaires municipaux présents.

Est-ce qu’il est possible d’obtenir des explications à tout cela ?
_________________
Catcat64
Messire il me semble que vous avez recu un second courrier !! non ?
Nous ne pouvons laisser faire n importe quoi , le marché n est deja pas des plus reluisant , mais je vois et cela me navre que vous etes juste la pour faire scandale visiblement et bien faites donc Messire , mais pensez a montrer les deux courriers


catcat n en revenait pas , oui elle avait posé questions , se demandant pourquoi personne qui ne cultive ni n eleve rien pouvait vendre des marchandises a 17ecus passée la carcasse de cochon tout de méme ..... Mais bon voyant a qui elle avait affaire elle ne releverai point , cela n en vallait point la peine , si tout le monde peut vendre n importe quoi n , importe comment a n importe quel prix et bien soit , mais quand le marché aura flambé par deja une fort mauvaise gestion et ensuite parce que chacun fait a sa guise , et bien faudra pas venir , pleurnicher ....[i]
Anguerand
Contre une pièce de 20 deniers, un petit mendiant qui traînait dans les parages avait rapidement fait l’aller retour entre le bureau du Maire et la masure qu’occupait Anguérand depuis peu. Un courrier était bien arrivé entre-temps.

Je vous demande juste quelques instants, Dame CatCat. Le temps de prendre connaissance de la missive et je suis a vous.


Anguérand parcoura attentivement le second courrier de l’adjointe au maire. Une fois terminé, il le fourra dans sa besace et souriant s’adressa à l’adjointe.

Fort bien.. Fort bien.. Dame CatCat. Vous me demandez de ne point vous tenir rigueur des termes de votre premier courrier. Soit, c’est bien volontiers que cela sera fait. Cependant je ne peux m’empêcher de relever votre action.

Vous exigez des réponses de ma part sous 24 heures. A défaut, vous menacez un électeur honnête, qui vend en toute légalité quelques articles sur le marché d’Orthez de plainte de police et de procès. Vous invoquez pour justifier votre intervention, la loi Comtale qui stipulerai une interdiction de vendre des produits que l’on ne fabrique point et vous cloturez votre missive par un grandiose « nul n’est sensé ignorer la loi ». Qui de nous deux ignore donc les lois ? C’est à mon tour de vous poser la question.

Cette loi, Dame CatCat, n’existe que dans votre imagination tourmentée et par votre signature, c’est bien en qualité de Maire Ajointe de la ville d’Orthez que vous vous este présenté à moi. Belle image de la municipalité d’Orthez que vous monter la. Est-ce que la population peut vous faire confiance ?

Comment pourrait ton qualifier vos actions ? D’abus de pouvoir par personne ayant autorité municipale ? De tentative d’intimidation ? De menteries, de sournoiseries, de fausseté, de tartuferie ayant pour objectif d’induire en erreur une personne ? Un juriste trouverai le qualificatif exact facilement. Imaginez que mon courroux soit tel que je m’emporte et porte plainte contre vous ? Heureusement que je suis de bonne composition et j’espère qu’à l’avenir vous ferez preuve de plus de discernement et de retenue dans vos propos.

J’ai vu que vous présentiez votre candidature au poste de Magistrat suprême de la ville pour la prochaine mandature municipale. Je vous souhaite bonne chance.

Anguérand se tourna vers Khalamite et ajouta.


Ma fille, si tu as des soucis pour vendre ton blé, mes finances me permettent facilement de subvenir à tes besoins. Si tu as le moindre besoin d’écu, tu sais à qui t’adresser. Il sera toujours temps de revendre plus tard ce blé, ici ou ailleurs.
_________________
Galessin
De Villandras … Arf ! Pourtant pas bien alambiqué comme sobriquet. Faut dire que la pointe d’accent du bonhomme était elle aussi assez prononcé.
Pas faute pourtant d’avoir fréquenté le bourbonnais il y a temps. Une qui avait tout saisi, à se demander toutefois, répliqua aux tourments.


Ma gaucherie me jouera des tours messire debafouillagedras et je ne désespère pas de graver votre nom avant de faire trépas.

Ceci dit, les cages à miel de l’auvergnat avaient elles aussi un récurage à opérer. S’abstenir de froisser la bête, l’avait déjà eu à faire avec la jouvencelle manquant de l’émasculer.

Se tournant vers la bougresse, entendons par là, Dame Catcat … un défrichage s’avérait indispensable sur la justice et les lois de cet état.

Dame Catcat, je vous encourage vivement à revoir les lois qui régissent notre Comté, celles relatives au commerce et si le courage vous en dit, celle sur l’inéligibilité.

La laisser méditer à cela, et reprendre le cours.

J’ose espérer Messire que vous ne tiendrez rigueur de ce parjure, et d’un autre œil vous verrez nos murs … vos murs.
Oserais-je vous proposer d’aller vider quelques godets en d’autres lieux, à vous et votre progéniture, faire plus ample connaissance sous d’autres cieux ?
Constantcorteis
Cela faisait un moment que constant avait déserté le lieu qu'il était d'usage de qualifier par le biais du terme un peu trompeur de "bureau du maire".
Trompeur dans le sens où, d'un point de vue général, on pouvait globalement partir sans trop de risque de se tromper du principe que l'heureux titulaire d'un bureau personnel voit généralement de par l'usufruit même du privilège géographique sus mentionné son droit à une certaine, et salutaire au demeurant, intimité garanti.
Ce qui, à l'évidence, n'était pas le cas ici...

Bref, il était tout de même officiellement Porte-Parole, il fallait bien qu'il aille de temps en temps tailler le bout de gras avec le peuple mécontent.

Il fut assez surpris de voir l'agitation qui régnait en les lieux à son arrivée. D'habitude, ce genre d'endroit ne sert à rien, puisque bon, au fond, il n'y a jamais grand chose de fondamental à dire sur la vie économique d'une ville.
Et ce ne fut qu'en raison de l'intervention décisive d'un certain scrupule d'ordre éthique qu'il se retint de prononcer la phrase "Mais que c'est que c'est que ce bronx ?", ayant peur de se montrer un peu trop avant gardiste.

Il s'en tint à du classique, donc :


Bigre, en voilà une belle foire...

Puis, s'adressant à tout le monde :

Vous avez des questions à poser ?
Non parce que bon... en tant que Porte-Parole, je me disais que je pourrais peut-être, éventuellement, être apte à vous renseigner quelque peu...
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 18, 19, 20, ..., 29, 30, 31   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)