Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, ..., 29, 30, 31   >   >>

[RP] Bureau du Maire

Mathieu.deldor
[Ce matin dans le Bureau du Màger..]

Le jeune Seigneur de Cors, travaille dans son bureau depuis le lever du soleil en ce beau jour du 20 mai 1456.

Il faut dire que ces temps-ci, beaucoup d'évènements se sont suivis comme le soutien pour Cahors, mon anniversaire fêtant ma majorité, mon annoblissement, banquets, ameublement de mon nouveau Castèth d'Aigues-Joignant...

Je suis entièrement plongé dans les papiers et divers bilans économiques et sociaux, signe les derniers contrats commerciaux avec les villes de Dax et Bayonne.

Après quelques heures, le plus urgent étant terminé, je décide de faire une pestite pause et de me consacrer à l'élaboration de mon programme pour les élections qui arrivent à grand pas afin de me tourner vers un second mandat et continuer ainsi mes travaux. Il est vrai que pour une ville naissante, si un Maire désire faire du bon travail et pas qu'à moitié, il lui faut au moins deux mandats consécutifs. Ce qui est ma volonté.

Je pose devant moy un nouveau parchemin, me munie de ma belle plume, la trempe légèrement dans l'encre puis commence à rédiger une première ébauche de mon programme que je retravaillerais ensuite pour le finaliser.

Il me faudrait aussi, d'ici deux-trois jours, penser à rédiger le Bilan Municipal du mandat complet, afin d'informer mes habitants de l'évolution positive de la ville, les actions faites, du travail accompli par le Conseil municipal, etc.
---fromFRLes trouba*hips*
En ce matin du 19 May 1456, deux silhouettes titubantes entrèrent dans la sublime ville d'Orthez. Après de nombreux jours de marche et un nombre incalculable d'outres de mauvais vins vidées, Berni et Bodoin membre du Trouba*hips* estoient enfin arrivés à destination.
S'ils avoient fait tout ce trajet du Languedoc jusqu'au Béarn s'estoit pour retrouver un ami à eux qui estoit parti sans mesme les avoir prévenu. Malgré que certaines mauvaises langues affirmoient que le Sieur Cheval ne vouloit pas d'eux et les avoit intentionnellement pas informer de son départ, Berni et Baudoin savoient qu'il pouvait compter sur ce bon bougre. Mesme s'il les rabrouoit souvent ils estoient certain de l'amitié qu'il leur portoit.
Aristote estoit d'ailleurs de leur côté, à peine estoient-ils arrivé en ville qu'ils tombèrent nez à nez avec une affiche annonçant un buffet pour l'ouverture de la boucherie du Sieur Cheval le rieur, comme ils se plaisoient à le surnommé mesme si celuy-ci sembloit trouvé ce surnom ridicule...
Ah que Cheval alloit surement estre content de voir qu'ils avoient retrouvés sa trace...
Ne sachant point où se trouvoit cette échoppe ils entreprirent d'aller immédiatement se renseigner afin de pouvoir ensuite passer leur temps à boire tranquillement jusqu'à l'heure fatidique. Titubant plus que jamais, l'haleine empestant le vin aigre il entrèrent donc dans la mairie. Ils suivirent le couloir jusqu'à une parole où l'écriteau "Bureau de Monsieur le maire" estoit affiché. C'estoit parfait! Le bourgmestre estant sans doute le plus à mesme à les renseigner, ils entrèrent sans mesme frapper.
Face aux deux ivrognes se trouvait un bureau avec derrière un jeune garçon qui - outre le fait d'estre rudement bien habillé - sembloit tout juste majeur. Sans doute le fils du bourgmestre se dirent nos deux compères tendis que Berni prenoit la parole:


Ben *hips* l'bonjour mon p'tiot! Dis moi un am*hips* à nous, le Sieur Cheval organise une boucher*hips* pour l'ouverture de sa Beuverie euh...
Petit temps d'intense réflexion la tête dodelinant de gauche à droite avant de se reprendre: Enfin non une beuver*hips* pour l'ouverture de sa Boucherie... Oui v'là ç'est ben ça! Et donc moi et berni voulions savoir si tu pouvais avoir l'abamili euh... amabala enfin la gentill*hisp* de nous indiquer où ça all*hips* avoir lieu. Petit sourire de satisfaction. Il y estoit arrivé! Puis il s'approcha un peu plus du jeune homme manquant en mesme temps de s'affaler sur le bureau et luy chuchota d'un air confidentiel tout en luy tendant un petit morceau de parchemin:
Dis moi tu s'rois pas où ton père cache sa piquette? Parce que z'avons l'gosier bien desséché et les outres vides... !

Citation:
Pour animer vos mariages, beuveries en tous genre, n'hésitez pas une seule solution: Faites appel aux Trouba*hips*!!!

_________________
Pour vos mariages, réception ou quoi que se soit d'autre: Pensez Trouba*hips*!!!
Mathieu.deldor
Alors que j'eusse à peine terminer mon programme et signer des ordres de transactions pour le CaC du Comté, ma porte s'ouvre tout d'un coup et une odeur de vinasse nauséabonde envahit la pièce.

Deux inconnus, visiblement bien "pleins" s'introduisent en mon bureau, se permettent de me tutoyer et s'affalent presque sur mon bureau !

Je fronce les sourcils, un air sévère se dessine sur mon visage. Très en colère, je me lève de mon siège. Haussant la voix d'un ton autoritaire :


Mais pour qui vous prenez-vous pour entrer ainsi dans le bureau du Màger ? QUI ? Et dans un tel état qui plus est ! Bande de barrique à vinasse !

GARDES !


Deux gardes municipaux entrent en trombe dans le bureau et se mettent au garde à vous :

- Oui Mon Seigneur ?

Je désigne de la main les deux zigotos :

Que fait donc ma sécurité ? Comment se faict-il que deux énergumènes ainsi ivres puissent s'introduire aussi facilement en mon bureau ? Vous n'êstes que des incapables ! Embarquez-moy ces saoûlards et qu'on les jètent dehors à coups de pied dans le séant avant que je ne décide de les enfermer en nos geôles pour les faire dégriser !

- A vos ordres Monsieur le Maire.


Je regarde une dernière fois les deux hommes ivres puis d'un ton plus calme, retrouvant mon sang-froid :

Messieurs, vostre comportement est inadmissible et irrespectueux envers ma personne. De plus, je ne comprend aucunement de quoi vous voulez parler surtout avec un certain messire Cheval.. à ma connaissance, personne ne porte ce nom là à Orthez. La prochaine fois que vous désirez me parler à moy, le Maire d'Orthez et non son fils ou que sais-je encore, demander donc audience et surtout dans un état décent ! Allez !

Je fais signe aux gardes d'emmener les deux hommes hors de mon bureau.
Je retourne m'assoire en soupirant et marmonnant :


C'est pas croyable...
---fromFRAnonymous
Mâa ne savait pas si son petit soucis concernait vraiment le maire mais elle ne savait pas à qui d'autre elle pourrait demander. Et puis ce qu'elle cherchait devait normalement ce trouver à la mairie alors...
"TOC TOC TOC!"
Elle toqua doucement à la porte du maire et attendis un instant pour voir si le maire était dans son bureau.
Pour patienter, elle réfléchit à la façon dont elle devait s'adresser au maire de la ville bien qu'elle l'ai déjà rencontrer en taverne.
Mathieu.deldor
[De retour à la Mairie après les Joutes]

Deux jours après les Joutes qui se sont plutôt mal passées pour moy, deux jours de soins pour guérir mes blessures plus ou moins sérieuses, je me résigne à retourner à la Mairie malgré l'interdiction des médecins.

Têste de mûle comme je suis, je reprends quand mêsme du service.

Dans le couloir, en face de la porte de mon bureau, attends une jeune femme désireuse de me rencontrer sans doute.

Avancant lentement, prenant mon temps en m'appuyant sur une belle canne forgée avec une têste de Lion en guise de poignée, dû à ma blessure de ma cuisse droite après ma violente chute de ma monture aux Joutes, je salue d'un hochement de têste la damoiselle puis lui faict signe d'entrer dans mon bureau, la précédent.

Je m'assois avec difficulté, grimaçant à cause de la douleur puis pose ma canne à proximité.


Asseyez-vous je vous en prie Gente Dame et pardonnez l'attente.

Je met de côté mes missives de la journée puis la regarde croisant mes mains.

Que puis-je pour vous ?

[HRP: désolé de l'absence imprévue : week-end chargé]
Cyann
Un volatil des plus banals fit une arrivée tonitruante sur le rebord de fenêtre de la mairie d'Orthez. Ce pigeon à l'œil morne ne tenait pas en son bec un fromage et n'aurait sans doute intéressé en rien mestre Renard mais était bien le porteur d'un message.

Citation:


Messire Mathieu Deldor de Plantagenest,


Par la présente, je vous fais part de mes sincères félicitations pour vostre anoblissement.

D'autre part, et là je m'adresse au maire, je vous demande si cela obtient vostre agrément, d'informer la population de vostre village des festivités qui ont actuellement cours en gargote béarnaise.

Ainsi, pourriez-vous afficher au fronton de vostre mairie et de la taverne municipale le message suivant :


"Actuellement en gargote du Béarn :
Concours de tir à l'arc (http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=327884)
concours de saltimbanques (http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=327892)
Grand banquet ouvert à tous dès le 1er juin."

Je vous remercie d'avance sachant que conformément à vostre habitude, vous ferez diligence et vous prie de croire en l'assurance de mes salutations les plus distinguées.


Cyann, tout simplement.


_________________
Erel
Un faucon Tarbais bien reconnaissable largua une lettre scellée sur le bureau sculpté élégament du maire d'Orthez après être passé par la fenêtre ouverte.

Citation:
Sieur Mathieu,

C'est avec grand plaisir que j'ai appris votre réelection. J'espère que nos deux villes par nos intermédiaires, se développeront grâce au commerce, à l'entraide et à des relations que j'espère excellentes.

Recevez, par la présente, mes salutations amicales et distinguées.

Erel,
Maire de Tarbes,
Ambassadeur du Béarn en Artois et en Bourbonnais-Auvergne,
Soldat de l'Ost béarnais.

_________________
---fromFRcendrillon79
Cendrillon entra dans le bureau du maire confuse, entre les mains la lettre de la prévote.
Bonjour monsieur le maire, je viens vous présente toutes mes excuses.
Je vous ai donc envoyé une missive fort désobligeante. Mes paroles ont dépassées ma pensée. J'ai agit sur le coup de la colère et je m'en excuse encore auprès de vous.
D'ailleurs vous avez du recevoir une autre missive avec toutes mes excuses.
Mais je tenais à passer ici à votre bureau pour vous le redire.
Sans rancune.

Sur ses mots Cendrillon tendit la main à Monsieur le maire et s'en retourna à ses occupations.
Ursaff
Ursaff vînt au bureau du maire, il désirait s'entretenir de chose et d'autres avec lui.

Il arriva donc et frappa à la porte.
Mathieu.deldor
Tard dans la nuit, bougies à moitié consumées, malgré les recommandations du médecin je continus à travailler d'arrache-pieds en me penchant sur le dernier état du marché.

Dans la pièce plongée dans l'obscurité où seule le bureau est éclairé, l'on entend uniquement le griffonnement provenant de la plume de paon sur les multiples parchemins étalés de long en large sur la table de travail.

Tout à coups, l'on frappe à ma porte. J'arrêste ma plume quelques secondes surpris par une visite à une heure si tardive. Puis j'hausse les épaules me disant qu'il devait s'agir d'un domestique envoyé par ma famille pour m'inciter à rentrer à l'Oustau.


Je termine mes affaires je rentre plus tard ! m'écriais-je en trempant la plume dans l'encrier puis reprenant l'écriture.

L'on insiste en frappant de nouveau à la porte, rouspétant sans lever la têste tout en continuant de griffonner sur les parchemins, j'hausse de nouveau la voix :



Entrez !
Ursaff
Ursaff entra donc à l'invitation, d'abord hésitante du maire.

Bonsoir messire, ce n'est que moi. J'espère ne point trop vous déranger, je désirerais m'entretenir avec vous...


Ursaff n'était pas là pour rien, il voulait prendre le temps et avoir les conditions adéquates pour s'exprimer.
Mathieu.deldor
Je lève la têste, seul mon visage illuminé par les bougies.
Quelques cernes marquent mon jeune visage démontrant ainsi les longues heures passées à travailler et le manque de sommeil évident qui s'accumule au fil des jours..

Je signe un premier parchemin puis pose ma plume. Me redessant légèrement sur mon siège, je fais signe de la main à Ursaff de prendre place.


Messire Ursaff. Je vois que vous êstes revenu de Guyenne en bonne santé, j'en suis rassuré. Que me vaut l'honneur d'une visite si tardive ?


Je croise les mains sur mon bureau puis le fixe attentivement.
Ursaff
Ursaff sourit à l'accueil chaleureux du maire. Il s'assit sur le siège qu'il lui présentait.

Je suis effectivement rentré il y a quelques jours, la mission s'est bien déroulée, tout le monde est en bonne santé.

J'y ai appris vôtre réélection. Je vous présente toutes mes félicitations.

Il marqua un temps de pause.


Ma visite tardive n'est pas innocente messire. Je ne suis rentré que depuis quelques jours et je remarque que la situation économique ne s'améliore pas.
Alors certes, il y a des nouveautés comme l'abrogation de la grille salariale. Il y a des points moins sympathique comme la grille de prix, mais elle va avoir son effet, enfin ses effets.
Bref, la situation économique n'est pas bonne.
Je suis ici pour m'en entretenir avec vous et vous proposer mes services pour la ville.
Mathieu.deldor
Je prends un air grave lorsqu'il me parle de la situation économique.

En effet, nostre marché a une évolution peu réjouissante. D'ailleurs j'y travaille dessus depuis des jours et des jours. Malgré tous les messages que j'ai fais passé, malgré les contrats avec des artisans, les prix restent hauts et de ce fait, de moins en moins d'artisans font fonctionner leurs échoppes.


Je désigne le buffet.


Désirez-vous un verre d'alcool ? Vin d'Anjou, Jurançon, Sancerre ?


Puis je reprends la conversation sur le marché.


La grille de prix a été longuement étudiée et préparée par ma personne.
Les prix seront rapidement abordables et donneront un salaire global de 25 écus à l'ensemble des Artisans d'Orthez. Ainsi tout le monde aura la mêsme base de salaire. J'ai longuement réfléchi pour trouver une solution mais vu l'urgence, celle-ci me semble la plus appropriée. Dans la semaine, le marché devrait normalement se stabiliser et se réapprovisionner d'après mes prévisions.

Dois-je comprendre, Messire Ursaff, que vous désirez travailler au sein de mon équipe municipale ? Malgré nos légers différents du passé ? Je vous rassure, je ne suis en aucun cas rancunier.
Ursaff
Ursaff sourit.

Messire... Vous commencez à me connaître. Je vous propose juste mon aide pour le peuple orthézien. Ce n'est pas un désir de travailler, c'est un désir de servir encore et toujours le peuple pour son bien.
Nous avons eu des différents, nous en avons toujours, je vous rassure sur ce point. Mais ce ne doit pas être un obstacle, ce doit être constructif.
Nous avons des visions diamétralement opposées de l'économie, peut être pourrions-nous arriver à en faire quelque chose de viable et rentable...

Jurançon plutôt, je vous remercie.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, ..., 29, 30, 31   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)