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[RP] Joutes : Huitièmes de finale – 24 août, le matin

Ingeburge



[Lice, one more time]

Les seizièmes de finale, comme les trente-deuxièmes qui les avaient précédés, avaient vu nombre de favoris au titre de Champion du Tournoi de la Saint-Privat tomber et parmi eux, l'hôte lui-même, le comte du Languedoc avait été défait pour n'avoir jamais pu briser sa lance. Cet incident n'était pas de nature à satisfaire la duchesse d'Auxerre qui en la matière, n'aurait su se montrer impartiale. Mais l'arbitrage lui commandait de l'être et elle avait donc assisté au duel sans plaisir aucun comme elle avait continué de scruter les autres combats sans vibrer aucunement. Fort heureusement, une bonne nuit de sommeil plus tard, elle se sentait d'attaque à arbitrer la nouvelle session de confrontations même si elle avait encore à compter avec un contretemps : George du Chastel, payé pour son bel organe, avait perdu la voix.

La présentation en cette matinée fut donc moins clinquante et grandiose que les occurrences précédentes, le Roi d'Armes de France était bien connu pour donner dans la sobriété dès lors qu'il s'agissait pour lui d'intervenir :

— Noble assistance, le bonjour! Place aux jouteurs!

Et les buicines résonnèrent pour captiver les spectateurs et avertir les tournoyeurs.

Citation:

    Pour débuter ces huitièmes de finale, un duel féminin opposant Célénya Océalys, dame de Lasson à l'épouse de celui qu'elle a défait au trou précédent : Nynaève de Gaudemar, vicomtesse de Monestier-de-Clermont, baronne de Mornant & du Glaizil, dame d'Anthon.




    Première passe... Nullement impressionnée à l'idée d'affronter une épouse peut-être animée d'idées vengeresses, la Champenosie s'élance tambour battant! La Lyonnaise n'est pas en reste; le choc promet d'être détonant. Les lances s'abaissent et se croisent et chacune des duellistes touche. Mais la réussite est côté champenois : Nynaeve ne brise, Célénya si; mieux cette dernière éjecte sa rivale de selle... et chute également. Les deux femmes sont blessés : Célénya légèrement au ventre et Nynaeve moyennement au dos. Les médicastres sont appelés par l'arbitre sur le champ-clos.


    Par une lance brisée à aucune, la dame de Lasson est déclarée vainqueur!


Citation:

    La noblesse du Domaine Royal est de nouveau à l'honneur avec la deuxième confrontation opposant Aimelin de Millelieues, seigneur d'Etampes-sur-Marne joutant en l'honneur de sa suzeraine Dotch d'Appérault de Cassel, pair de France duchesse de Saint-Florentin, comtesse d'Armentières, vicomtesse de Cassel, baronne de Château-Thierry à l'un des com-pairs de celle-ci, Ztneik du Ried, duc d'Alençon & donc pair de France.




    Première passe... Les drapeaux sont abaissés donnant ainsi le signal du départ et les duellistes se mettent au galop, sans tarder. Ceux-ci semblent bien entrés dans l'affrontement et l'impression se confirme lors de leur croisement : tous deux touchent. Cependant, seul le duc d'Alençon brise sa lance. Les deux hommes restant en selle, ils retournent chacun à leur rang.

    Deuxième passe... Pour une redite. Bien dans leur duel, le Champenois et l'Alençonnais repartent animés d'intentions conquérantes. Mais cette fois, le rapport de réussite est inversé : si les deux hommes touchent à nouveau mutuellement c'est cette fois le seigneur d'Etampes-sur-Marne qui brise sa lance là où le duc d'Alençon garde une lance intacte. Alors, nouveau passage pour départager les duellistes? Non mais un duel à l'épée car les concurrents ont tout deux démonté, sans pour autant se blesser.

    Le Roi d'Armes s'approchent des deux hommes désormais armés d'une épée, arme avec laquelle la décision se fera. Les règles sont rappelées : le premier arrivant à quatre touches ou mettant son adversaire hors d'état de combattre gagne le duel. Le Roi d'Armes donne le signal!
    Aimelin est le plus incisif, il touche en premier Ztneik mais ne blesse pas celui-ci.
    C'est reparti et Ztneik, d'estoc et de taille, ne se laisse pas abattre. Celui-ci touche Aimelin au niveau de la cuisse, le blessant légèrement. Nouveau signal et Aimelin, piqué au vif, rend coup pour coup : par trois fois il touche Ztneik, ne laissant pas une seule chance à son adversaire de répliquer. Celui-ci, lors de la deuxième touche des trois consécutives est légèrement blessé à la nuque. Le combat est arrêté, le champenois ayant atteint l'un des deux objectifs possibles et les soignants sont appelés pour le duc d'Alençon.


    Par quatre touches à une, le seigneur d'Etampes-sur-Marne est déclaré vainqueur!


Citation:

    Troisième duel pour deux novices : Jason Maccord, vicomte de Lyons-la-Forêt, seigneur de Crevecœur-en-Auge affronte Khristof, seigneur de Rocquecelier.




    Première passe... C'est plein d'ardeur que les adversaires s'élancent quand autorisation leur est donnée! Et cet esprit combattif se traduit en actes et de manière percutante! En effet, les duellistes abaissent leurs lances, se croisent et touchent chacun la targe de l'autre dans une explosion de bris de bois! Les deux lances éclatées, le choc envoie chacun des protagonistes au sol. Le vicomte de Lyons-la-Forêt récolte une blessure légère au mollet au passage, le seigneur de Rocquecelier reste lui entier.

    Pour la seconde fois de la matinée, le Roi d'Armes retourne sur la lice, au plus près des jouteurs qui se voient chacun lesté d'une épée par un écuyer. Les règles sont rappelées. Qui touchera quatre fois le premier? Qui abandonnera?

    Le Roi d'Armes autorisent les duettistes à ferrailler et c'est le vicomte normand qui prend l'affaire à son compte. Il touche le premier et sans dégât.
    Le seigneur auvergnat réplique aussitôt en touchant lui aussi sans infliger de blessure.
    L'égalité est parfaite pour un temps car Jason repart bien décidé à en découdre : il touche à nouveau, toujours sans dégât.
    Et dans le quatrième passage, Khristof remet les tableaux à égalité en touchant également sans blesser son rival.
    Nouvelle égalité donc, mais pas pour longtemps : l'Auvergnat, sur sa lancée, d'estoc et de taille, se fait virevoltant. Il touche une fois, une autre... le combat est arrêté! Ce sont des duettistes indemnes qui sont séparés.


    Par quatre touches à deux, le seigneur de Rocquecelier est déclaré vainqueur!


Citation:

    Colombe Alix Amnell, dame d'Ussy-sur-Marne, aura fort à faire pour se débarrasser du tombeur du comte du Languedoc, Gamalinas, seigneur de Saint-Gervais-les-Bains & de Versonnex.




    Première passe... Fort à faire, oui, le Savoyard part le mors aux dents à peine les drapeaux tournés vers le sol! Les deux cavaliers en armure s'avancent au galop l'un vers l'autre, lances bien en main. Les armes sont pointées vers l'avant... et la Champenoise manque la targe. Gamalinas, lui, connaît plus de réussite, beaucoup plus de réussite : sa cible est atteinte et sa lance se brise en mille morceaux, entraîannt dans l'impact la malheureuse dame d'Ussy-sur-Marne. Fort heureusement, l'infortune s'arrête là pour celle-ci, elle s'en sort indemne.


    Par chute de son adversaire, le seigneur de Saint-Gervais-les-Bains est déclaré vainqueur!


Citation:

    Pur la cinquième confrontation, un duel entre la novice Liloute, dame de Rozières et l'expérimenté




    Première passe... l'Orléanaise aura fort à faire pour se tirer des griffes du Chat qui lors des deux tours précédents, n'a pas fait dans le détail. Les deux adversaires s'élancent le signal donné et l'un comme l'autre, en réussite lors de leurs duels, se montrent engagés. Et engagés, ils le sont même puisque lors du croisement des lances, chacun touche l'autre en pleine targe et fait exploser son arme de bois. Alors? Chance du débutant ou expérience du vieux briscard? La fortune est côté orléanais et non normand puisque le duc de Mortain chute, heureusement sans se blesser.


    Par chute de son adversaire, la dame de Rozières est déclarée vainqueur!



Citation:

    Sixième duel et nouvel affrontement entre un débutant, Adrien d'Ormerach, seigneur d'Orgelet et un cador, Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute.




    Première passe... Cet affrontement sera-t-il une redite du précédent? A voir l'attitude des jouteurs, la réponse est non. Argael se montre en effet plus déterminé dès l'entame du premier passage, galopant avec conviction et abaissant sa lance avec la meêm fermeté. En face, c'est plus mou et moins fructueux, Adrien se manque complètement. Le Fier lui touche et mieux, brise sa lance, entraînant dans le choc la chute de son adversaire. L'Impérial se relève, légèrement blessé au vente. Les physiciens du Tournel s'en chargeront.


    Par chute de son adversaire, le marquis de Senlis est déclaré vainqueur!


Citation:

    Duel seigneurial pour ce septième appel : Klouska d'Hauteroche, dame de Champigneulles-en-Bassigny affronte Anzeme du Castel Marchoix, seigneur de Saint-Pe-de-Leren.




    Première passe... Les drapeaux sont mis en berne, signe que les jouteurs peuvent éperonner. La Champenoise et le Gascon s'exécutent, mais pas avec la même vivacité. En effet, très vite, Anzeme prend le duel à son compte en se montrant plus incisif : il touche la targe de son adversaire, voit sa lance se rompre. Klouska, elle ne touche rien d'autre que le sol : sa lance manque sa cible et elle est projetée hors de sa selle. Sa cuisse est légèrement blessée dans la retombée. Les soignants sont invités à venir sur la lice.


    Par chute de son adversaire, le seigneur de Saint-Pe-de-Leren est déclaré vainqueur!


Citation:

    Le dernier duel des huitièmes de finale voit affronter le seul régional de l'étape en course, Salvaire d'Irissarri, baron d'Apcher & de Randon qui défendra les couleurs de sa promise Magalona Eufrasia, comtesse de Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Marmorières & de Mireval face à Ceraphin d'Azayes, seigneur de Bourdeilles.




    Première passe... L'Azayes est un peu plus expérimenté que l'Irissarri qui fait au Tournel ses débuts en tournoi. Cette expertise fera-t-elle la différence? Les spectateurs vont vite le savoir car les deux jouteurs s'élancent rapidement. Tous deux semblent vifs et résolus et au moment de se croiser, chacun touche la targe de l'autre... pour tomber tout aussitôt. Mais l'expérience a parlé indubitablement car Ceraphin a réussi à briser sa lance là où Salvaire, non. Les deux hommes se relèvent, indemne.


    Par une lance brisée à aucune, le seigneur de Bourdeilles est déclaré vainqueur!

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[Indispo pas prévue, rattrapage en cours.]
Argael
Citation:

    Sixième duel et nouvel affrontement entre un débutant, Adrien d'Ormerach, seigneur d'Orgelet et un cador, Argael Devirieux, pair de France, marquis de Senlis, comte de Menin, vicomte de Monestier-de-Briançon, baron de la Tour-du-Pin, seigneur de Grave, de Saint-Giraud & de Vinderhoute.

    Première passe... Cet affrontement sera-t-il une redite du précédent? A voir l'attitude des jouteurs, la réponse est non. Argael se montre en effet plus déterminé dès l'entame du premier passage, galopant avec conviction et abaissant sa lance avec la même fermeté. En face, c'est plus mou et moins fructueux, Adrien se manque complètement. Le Fier lui touche et mieux, brise sa lance, entraînant dans le choc la chute de son adversaire. L'Impérial se relève, légèrement blessé au vente. Les physiciens du Tournel s'en chargeront.
    Par chute de son adversaire, le marquis de Senlis est déclaré vainqueur !


[Avant la rencontre]

Le montagnard comme tout homme avait ses faiblesses, la rancune et ne point pardonner au lâche faisaient donc partie de ses défauts. La Reyne dans sa couardise, avait refusé de l’affronter pour régler leurs différents, et de cela il n’arrivait pas à se le sortir de la tête.

Votre Seigneurie, il s’agira de Messire Adrien d'Ormerach, seigneur d'Orgelet.


Sortant de ses pensées, il acquiesça, opinant de la tête. Voici donc une personne qui lui était inconnu, l’occasion de faire connaissance, finalement le Royaume de France était point si grand et les têtes couronnées finissaient par toutes se connaitre.

[L’affrontement]

Concentration et rituel de rigueur, à adversaire inconnu il n’y a de meilleur moyen de préparer la confrontation. Revenir au fondamentaux, avec sérieux et application. Ces joutes devaient être une réussite en l’honneur de son enfant, une pensée pour son épouse, pour Elzéar…
Il s’élance, hurlant sous le heaume, comme un appel à ses aïeux ;
Devirieuxxxxxxxxx

Sa lance touche brise et blesse au ventre. En face, le seigneur d’Orgelet connait moi de réussite et se manque….

Descendant de son cheval, il va s’enquérir du malheureux, lui proposant son médicastre particulier.


Messire merci d’avoir été mon adversaire, assurément je vous souhaite bon rétablissement et serait ravit s’il vous plait de vous apporter votre revanche.

S’éloignant cependant le naturel revient vite au galop, ses pensées se retournent vers ses proches et vers la couardise de Sa Majesté….
_________________
PLUS DE BLASON EN SIGNATURE ALORS HEUREUX ??? Mode révolte ON
Pair de France
Marquis de Senlis
Comte de Menin
Vicomte de Monestier de Briançon
Baron de la Tour du Pin,
Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute
Aimelin
Citation:

    La noblesse du Domaine Royal est de nouveau à l'honneur avec la deuxième confrontation opposant Aimelin de Millelieues, seigneur d'Etampes-sur-Marne joutant en l'honneur de sa suzeraine Dotch d'Appérault de Cassel, pair de France duchesse de Saint-Florentin, comtesse d'Armentières, vicomtesse de Cassel, baronne de Château-Thierry à l'un des com-pairs de celle-ci, Ztneik du Ried, duc d'Alençon & donc pair de France.




    Première passe... Les drapeaux sont abaissés donnant ainsi le signal du départ et les duellistes se mettent au galop, sans tarder. Ceux-ci semblent bien entrés dans l'affrontement et l'impression se confirme lors de leur croisement : tous deux touchent. Cependant, seul le duc d'Alençon brise sa lance. Les deux hommes restant en selle, ils retournent chacun à leur rang.

    Deuxième passe... Pour une redite. Bien dans leur duel, le Champenois et l'Alençonnais repartent animés d'intentions conquérantes. Mais cette fois, le rapport de réussite est inversé : si les deux hommes touchent à nouveau mutuellement c'est cette fois le seigneur d'Etampes-sur-Marne qui brise sa lance là où le duc d'Alençon garde une lance intacte. Alors, nouveau passage pour départager les duellistes? Non mais un duel à l'épée car les concurrents ont tout deux démonté, sans pour autant se blesser.

    Le Roi d'Armes s'approchent des deux hommes désormais armés d'une épée, arme avec laquelle la décision se fera. Les règles sont rappelées : le premier arrivant à quatre touches ou mettant son adversaire hors d'état de combattre gagne le duel. Le Roi d'Armes donne le signal!
    Aimelin est le plus incisif, il touche en premier Ztneik mais ne blesse pas celui-ci.
    C'est reparti et Ztneik, d'estoc et de taille, ne se laisse pas abattre. Celui-ci touche Aimelin au niveau de la cuisse, le blessant légèrement. Nouveau signal et Aimelin, piqué au vif, rend coup pour coup : par trois fois il touche Ztneik, ne laissant pas une seule chance à son adversaire de répliquer. Celui-ci, lors de la deuxième touche des trois consécutives est légèrement blessé à la nuque. Le combat est arrêté, le champenois ayant atteint l'un des deux objectifs possibles et les soignants sont appelés pour le duc d'Alençon.


    Par quatre touches à une, le seigneur d'Etampes-sur-Marne est déclaré vainqueur!



Pour son quatrième duels à ces joutes du Tournel, il allait affronter un pair, et c’était bien le moment de ne pas faire d’impair, et de continuer à faire honneur à Dotch. Quoi qu’en y réfléchissant, il pensait au duel suivant s’il s’en sortait et si sa blonde amie aussi, avec un peu d’amertume. Le destin s’acharnait. Et puis d’un autre côté s’il perdait ça lui donnerait une excuse pour ne pas l’affronter si elle sortait victorieuse de son duel.

Ses mirettes grises restèrent fixées quelques moments sur son gant dont un petit rayon de soleil avait pris possession. Immédiatement, la blondeur de la petite lumière qui veillait sur lui depuis l’été 58 laissa entrepercevoir deux pervenches qu’il connaissait bien. Un sourire en laissant défiler toutes les images qui se bousculaient, et cette discussion qu’il voulait avoir avec Terry mais qu’il sentait reportée à un peu plus tard. Il n’y avait pas urgence, et puis il lui fallait trouver Kawa, son double, sa jumelle, celle qu’il sentait respirer même à des centaines de lieues de lui.
Il leva la tête à l’appel de son nom et s’équipa de son bacinet, après un dernier regard vers Aliénor, tandis que Célénya sortait de lice.


bien joué belle blonde ... juste un murmure avant d’aller saluer Montjoie et de se positionner.


[En lice]

Visière rabattue, seul le galop d’Altaïr troubla le silence dans lequel il s’était plongé. Une impulsion sèche pour un galop rapide. Il ne devait pas hésiter et devait toucher. Une grimace tandis qu’il pestait sous son bacinet, ralentissant la course de l’étalon pour contourner la lice et l’élancer à nouveau avec autant de hargne.

yep yep !

Sa lance vola en éclats tandis qu’il se sentait perdre l’équilibre sans pouvoir se maintenir en selle. Il roula au sol et se releva, soulagé de voir son adversaire dans la même position que lui.

Il allait devoir se mesurer à l'épée et il remercia le Roi d'Armes d'un signe de tête. C’était le moment de montrer son habileté et de ne pas se faire blesser. Il attaqua rapidement, et la riposte rapide le fit grimacer, n’ayant pu l’esquiver assez vite.
Le temps de se remettre en place et de reprendre son souffle, il rafermit sa poigne sur le pommeau de l’épée et enchaina aussitôt ses attaques, rapide et leste, prêt à parer chaque coup, ses mirettes fixées sur sa lame qui fendait l'air. Il porta le deuxième coup un peu haut avant d’enchainer sur le côté et de retenir son geste au signal d’arrêt du combat.

Un sourire sur son visage poussiéreux en tendant l’épée au valet.


Votre grâce merci pour ce combat.

Il le salua avant de récupérer Altaïr et de regagner la sortie, ses pensées déjà tournées vers le prochain duel qui l’attendait.
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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Gamalinas
Citation:

    Colombe Alix Amnell, dame d'Ussy-sur-Marne, aura fort à faire pour se débarrasser du tombeur du comte du Languedoc, Gamalinas, seigneur de Saint-Gervais-les-Bains & de Versonnex.




    Première passe... Fort à faire, oui, le Savoyard part le mors aux dents à peine les drapeaux tournés vers le sol! Les deux cavaliers en armure s'avancent au galop l'un vers l'autre, lances bien en main. Les armes sont pointées vers l'avant... et la Champenoise manque la targe. Gamalinas, lui, connaît plus de réussite, beaucoup plus de réussite : sa cible est atteinte et sa lance se brise en mille morceaux, entraîannt dans l'impact la malheureuse dame d'Ussy-sur-Marne. Fort heureusement, l'infortune s'arrête là pour celle-ci, elle s'en sort indemne.


    Par chute de son adversaire, le seigneur de Saint-Gervais-les-Bains est déclaré vainqueur!


Huitième de finale ! niveau de compétition que Gamalinas n'envisageait même pas de côtoyer. Mais ses pensées étaient un peu ailleurs, comme depuis le début des joutes. Néanmoins il pouvait sentir que tout allait mieux. Cette fois il avait encore regardé le nom de son adversaire. C'était une personne qu'il ne connaissait pas, mais cela ne changeait pas de d'habitude. Vu la passion que Gamalinas avait pour les joutes, cela allait bientôt changer peut être.

Les armoiries de la dame étaient ornées de symboles étranges en sautoir. Elle devait sûrement être officier d'une certaine charge royale. Une adversaire talentueuse en somme, qu'il fallait craindre.

Apprêté comme toujours dans son armure et coiffé d'un armet, Saint Gervais prit place sur son animal de guerre caparaçonné aux couleur d'azur au lion naissant d'or. Sans aucunes pensées pour la situation, le visage une fois de plus masqué par la visière rabaissée, le tombeur du Comte du Languedoc avançait sur la lice.

Ce jour allait être un moyen de tester sa chance se dit au dernier moment le savoyard. Un peu comme un jeu de pile ou face. L'époque qu'il traversait en ce moment prenait l'ère d'une épreuve, il fallait qu'il en sache plus sur sa fortune. Etat d'impuissance face à la puissance aveugle qui le touchait. Ne combattons pas le mal par le mal, peut être que le subjectif se combat par le subjectif. Autrement dit, l'état d'esprit de Gamalinas au moment précis d'avant le départ était peu commode ; dans tous les sens du terme.

Les drapeaux baissés se reposaient à peine sur le sol que le destrier soulevait le sable de son galop. Pendant tout le trajet le cavalier talonnait son cheval, qui semblait répondre par une accélération continue. Ce que jamais l'un et l'autre n'avait encore testé.

Très vite la rencontre se fit entre les deux jouteurs. Les lances se croisèrent à toute vitesse, la destination de ces dernières était presque imperceptibles, Gamalinas ne ressentit rien mais vit et entendit le bois de sa lance craquer et voler, terminant sa course folle au pied des tentes opposées de la lice. On pouvait dire que l'équipage impérial était sortit dans le décor. Revenant tranquillement sur le sable, la dame se relevait et on proclamait Gamalinas vainqueur. Cette fois il avait gagné dans les honneurs, sans tomber.

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Adrien
Adrien avait, jusqu'ici, eu beaucoup de chance, était t'il fait pour les joutes?

La prochaine personne avec qui il jouttera s'appelait Argael. Ce nom ne lui disait rien, comme les autres qu'il avait rencontré. Il remarqua tous de même qu'il s'agissait d'un marquis, encore une fois... comme quoi, les seigneurs étaient plus rare que les marquis...

Aprés la préparation qui fut plus rapide que les fois précèdente, il ferma son heaume et se prépara, pensant a sa fille et son futur enfant qui allait naitre. Il se mit correctement et se concentra. L'arbitre lança le départ et Azur se mit a galoper à vive allure. La vitesse augmenter petit à petit, l'adversaire s'approchait. Le maréchal tenta de viser le bouclier, puis un bruit le fit réagir, sa lance se décala, et il prit un gros choc au niveau du ventre, et tomba de coté.

L'homme fut sonner par sa chute, se demandant à l'instant à quoi servait une armure si elle fait aussi mal. Aprés un cours instant à terre, il se releva, non sans mal. Une coupure au ventre, ba bien grave, l'homme a connu pire. Il remercia néanmoins le marquis de lui avoir fait connaitre la chute à cheval.


- Votre magnificence, sincéres félicitations. Pour me vaincre à nouveau, je crains, hélas, que vous devrez vous deplacer jusqu'en empire

Le moustacha souria et s'en alla voir les dames blanches pour nettoyer sa blessure.
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Ceraphin
Citation:

    Le dernier duel des huitièmes de finale voit affronter le seul régional de l'étape en course, Salvaire d'Irissarri, baron d'Apcher & de Randon qui défendra les couleurs de sa promise Magalona Eufrasia, comtesse de Gévaudan, baronne d'Alaigne, dame de Marmorières & de Mireval face à Ceraphin d'Azayes, seigneur de Bourdeilles.




    Première passe... L'Azayes est un peu plus expérimenté que l'Irissarri qui fait au Tournel ses débuts en tournoi. Cette expertise fera-t-elle la différence? Les spectateurs vont vite le savoir car les deux jouteurs s'élancent rapidement. Tous deux semblent vifs et résolus et au moment de se croiser, chacun touche la targe de l'autre... pour tomber tout aussitôt. Mais l'expérience a parlé indubitablement car Ceraphin a réussi à briser sa lance là où Salvaire, non. Les deux hommes se relèvent, indemne.


    Par une lance brisée à aucune, le seigneur de Bourdeilles est déclaré vainqueur!


Blancs et cotonneux, presque vaporeux.
Quoiqu'un rien grisâtre, sur les bords...
Sur fond bleu d'azur intense et profond.

Le tableau semblerait presque figé dans le temps et c'en est reposant.
S'il n'eut été le hennissement de sa monture, non loin... fidèle et attentiste.

Un soupir profond.
Un clignement d'yeux... qui ne suffisent pas à chasser la poussière ocre qui lui trouble quelque peu la vue.
Relevant tant bien que mal son mézail, la dextérité de sa main quelque peu handicapée par le port du gantelet, Ceraphin tente de se frotter les yeux.
Mais la solution n'est guère probante, le métal recouvrant temporairement ses doigts n'étant guère adaptée à telle opération nécessitant plutôt minutie et sens tactile.

Qu'importe, laissons cela à plus tard, lorsqu'il sera défait du poids qui pèse sur ses épaules, de cette chape protectrice qui le rive au sol, pour l'heure.
C'était le calme après la tempête, le repos du guerrier... la pause syndicale.
Il a chuté.

Quelques élans du corps seront nécessaires pour qu'il espère se relever enfin, se libérer de la pesanteur de sa carapace de métal.
Et bientôt il apercevra, floue mais reconnaissable entre toutes, la silhouette dévouée de Knud Magnusen Von Ahlefeldt-Oldenbourg, accourant à son aide.
Et lorsque la voix de stentor du nordique retentira avec des accents de joie qui ne trompa, le jeune griffon comprendra que s'il a certes chuté, c'est avec les honneurs et la victoire au bout de la lance.

A Dieu vat!
L'aventure continue donc et c'est là bonne fortune.

Saluant bientôt son opposant, l'Azayes, licol en main, s'en repartira tranquillement vers sa tente, savourant chaque pas posé sur ce champ-clos tant aimé.

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Ptitmec13
Citation:

    Pour débuter ces huitièmes de finale, un duel féminin opposant Célénya Océalys, dame de Lasson à l'épouse de celui qu'elle a défait au trou précédent : Nynaève de Gaudemar, vicomtesse de Monestier-de-Clermont, baronne de Mornant & du Glaizil, dame d'Anthon.




    Première passe... Nullement impressionnée à l'idée d'affronter une épouse peut-être animée d'idées vengeresses, la Champenosie s'élance tambour battant! La Lyonnaise n'est pas en reste; le choc promet d'être détonant. Les lances s'abaissent et se croisent et chacune des duellistes touche. Mais la réussite est côté champenois : Nynaeve ne brise, Célénya si; mieux cette dernière éjecte sa rivale de selle... et chute également. Les deux femmes sont blessés : Célénya légèrement au ventre et Nynaeve moyennement au dos. Les médicastres sont appelés par l'arbitre sur le champ-clos.


    Par une lance brisée à aucune, la dame de Lasson est déclarée vainqueur!


Concentrée oui elle l'était.. tellement qu'elle ne fit pas attention à l'annonce qui était erronée... non elle n'avait pas battu l’époux de son adversaire c'était Aimelin.. Elle aurait pu s'amuser du fait qu'il y avait eu amalgame sur les deux compères mais elle n'avait pas entendu... Son but: toucher, briser et faire chuter.

Elle respirait profondément mais calmement. Ses précédentes victoires la rendaient sereine sur ce coup là. Se pouvait-il vraiment que l'implacable comme l'appelait Minerve se soit enfin réveillée après des mois de sommeil?
Le signal fut donné et elle s’élança la lance bien en main. Le choc entre les deux jouteuses fut rude. Elle sentit qu'elle avait été touchée, elle sentit aussi sa propre lance rompre sous l'impact. Déséquilibrée elle essaie de se maintenir en selle, elle s'accroche comme elle peut.. non il ne faut pas qu'elle tombe.. puis finit par tomber sur le sable à plat ventre son moignon de lance sous elle.
Difficilement elle se retourne pour vérifier si son adversaire est toujours en selle ou non. Grimaçant de la voir au sol, il allait y avoir combat à l'épée.


Par une lance brisée à aucune, la dame de Lasson est déclarée vainqueur!

Soulagée.. Ainsi elle avait été la seule à briser ce qui lui donnait la victoire sans avoir à se battre à l'épée. Elle se laissa aider des médecins et des soigneurs qui l'amenèrent à l’écart pour lui donner les premiers soins, son regard azur croisa celui de perle et elle lui sourit. Elle ne vit donc pas le duel de son ami.. Elle ne sut donc pas que le prochain adversaire serait son complice.
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