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[RP] Messe d'ouverture & bénédiction - 21 août

Zoyah
La fin du Crédo arracha une véritable expression de surprise à la baronne qui en oublia de mouver ses lèvres en rythme. La bouche ouverte, totalement coite, elle enveloppait le père Rodriguez de ses longs yeux bleus qui étaient écarquillés de stupéfaction. Iohannes lui avait longuement parlé de « Padr頻, plutun bien d'ailleurs, mais il lui avait cach ue l'homme possmit un don pour la chanson et qu'il savait si bien le mettre en pratique lors des messes. Elle battit un instant des cils histoire de chasser son trouble tre et de se remettre de son ennement. Un coup dmeil 'assembld’ toujours pas de Henry et vraisemblablement pas de Iohannes. Elle s'inquia du sort du premier qui devait jouter, ce qui n'ait pas son cas ulle et elle balaya ses illusions quant l'absence du second. De toute fae, il avait exprim uffisamment de doutes quant é sa prsnce pour qu'elle ne s'en snne gue.


Elle rassembla alors toute son attention vers le laPadr頻 qui seappr it eaire de l'explication de texte. Alekine, du temps ol'it cureton de Cheauroux, l'assommait au plus au point lorsqu'il officiait. Le petit cur oliticard se contentait de lire son pamphlet, de refermer le Livre et d'aller sonner les cloches avant d'aller rejoindre les locaux du Fier. Libre eux de chercher omprendre ou non l'enseignement. Aussi, c est forte de cette exprence qu'elle jugea la prestation de Padrrout eait remarquable et qu'au lieu de b ler aux corneilles en prenant un faux air inttssuomme elle le faisait jadis nhiauroux, elle fixa sans trop de difficultmson esprit sur les paroles du Pa Rodriguez. Ces derniss firent dos iuelques souvenirs et des visages familiers apparaissaient sur le miroir de sa m ire avant d'oe chass par une nouvelle intervention.


Ses saphirs toisaient maintenant ses petits souliers de satin dont le rose p jurait f/cement avec le bois composant les tribunes. Il faisait chaud et instinctivement, elle porta une main liliale sur sa nuque dlgsotlait une goutte de sueur. Si elle avait jugtalslt de se prnnter autrement que dans une robe censù perfaire honneur eeux qui les recevaient, elle la trouvait franchement inconfortable et n'aspirait qu'ea quitter pour rev r une simple cotte de lin.


Le Padrfnterpella alors deux personnes. Le silence qui riait alors dans les rangs commenr e d irer doucement. Des tas se tournaient lroite comme sauche. Zoyah releva le nez et put alors mettre enfin un nom sur le blond baron crois u mariage de la Griotte et qu'elle avait salueans le vide en petrant dans les tribunes.

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Vonlichtenchein
Ayant eut connaissance d'une messe pour ce tournoi, il d/da de s'y rendre pour prier et remercier le Tr"Haut pour tout ce qu'il fait pour lui depuis quelques anna.

Il prit place et rita le credo




Je crois en Dieu, le TrsHaut tout puissant,
Crseur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre h i'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophs,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyEour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes Er
Je crois aussi en Christos,
NNe Maria et de Giosep.
Il a vou a vie nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'apraavoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil o ttendait Aristote ca droite du TriHaut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la r ssion des pu
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis commen sa pril plus personnel.
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Noeline
Elle ne savait pas encore comment elle allait s'installer dans le campement, surveillant les all et venues des domestiques que da il "it question de se rendre a messe.
Fort heureusement, elle pu trouver une toile de tente do debout pour faire un brin de toilette rafraaissante, profitant au passage du baquet d rempli par son qux et surtout enfiler une robe qui lui tiendrait moins chaud. L'e semblait vouloir accabler les voyageurs qui arrivaient tous couverts de la poussio des chemins assss Aid,par Fanchon, Noeline retrouva une allure plus convenable et se dirigea vers l'office en famille au bras de Fabien et aux cotsd'Albine sa fille.

Dans les bancs, l'auvergnate ne croisa que peu de regards qu'elle pouvait se frciter de connaitre, une fois de plus elle se fit la remarque ille m " tu ne sors plus assez Noeline " Ah oui il y a Sakurahime et ... et c'iit bien tout et puis soudain, le couple ducal Bourbonnais Auvergnat fit son apparition ;eur cotscomme par magie et da la Duchesse chuchotait e'oreille d'Albine.
C'est ye moment que la Vicomtesse realisa que ces instants lui manquaient un peu depuis son retrait de la vie publique.
Elle se pencha aon tour vers Laure trà limperceptiblement pour ne pas ce fait remarquer ni troubler la messe.

Je n'ai point eut l'occasion de vous revoir mais je suis heureuse de vous savoir de nouveau en poste votre Gru.

Mais il fallait uter l'archeveque et Noeline roaina son envie de potins pour les reprendre ult"eurement sans nul doute car pout d'ue sa Duchesse, Laure n'en restait pas moins une amie mo si leur premio rencontre ... mais c'rit une autre histoire.

L'officiant n'oit pas drc'humour et de sagesse ce qui plu de suite oa Challieroise. Il nit question de se recueillir, et de pri s, elle s'exeta.
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Melian
Tenue choisie, Melian s'en it donc allol'office en plein air qui se trouva
Son sourire habituel s'trgit >ette heureuse nouvelle. Dmd.nt, c'fit le temps des rencontres plaisantes fallait-il croire. Elle prit place discrtment et suivit la messe avec attention.

Elle rtta la pria de la confession, perdue au milieu des fidêtrs prlnts. Elle se demanda s'il la remarquerait ou pas. Probablement pas conclut-elle, ce qui manqua de la faire rire. Aprntout, elle n' it pas lsour se faire voir, mais au contraire pour observer, encourager et si possible, se changer quelque peu les idb.

Arrivaau Credo, elle fut plus que surprise de le voir chanter, et fort juste par ailleurs. Did nt, elle avait bien fait de venir. Elle se contenta pour sa part d'une rltation plus classique mais fort sinci au demeurant, histoire de ne pas guer ce moment unique.

Vint alors le moment de la lecture et l'homde. Toujours attentive, elle opina sensiblement de la tq. Il avait raison de rappeler que tout n'est qu'un en vutscar de plus en plus c'iit chose oubli Le tout dit avec ce franc parler propre eet officiant, particulier s'il en est.

C'est alors qu'il appela deux personnes ne rejoindre. Une surprise encores?

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Lahire
L'avantage quand on est nain c'est qu'on n'est point grand !!
D'aucun dirait que c'est une tare mais que nenni, sapRe bonne fan l'on vous prend pour un enfant et c'est un bien beau laisspassr.
Qui s'abaisse /oiser les md quand ce ne son les siens ! Les rejetons des autres personnes n'en a cure surtout en l'endroit ou l'on parape dans un profond recueillement.

Et donc Lahire se fraya un chemin a travers la foule pour pouvoir jouir du spectacle au devant. Prenant bien garde é de point froisser ces grandeurs...

Or donc voileue l'on appelle le Senher Salvaire. Lse nain profite de l'aubaine et prend sa suite, son ombre mt.
Etant de sa mesnie, l'on trouvera surement normal que l'on escorte le Bi Baron jusqu'a l'autel, enfin tout pret...

Certe le garde est un nain, mais un nain aux premiis loges !

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Aemilia
Telle un pot de miel, la blondinette restait coll on protecteur. Dt, parce qu'elle ne connaissait personne. Puis, parce qu'il lui avait demandce ne pas le leer. Alors, elle obesait. Quand parfois il l"ait sa main pour serrer celle d'une personnalitbelle s'agrippait 'arri> de ses braies. Oui 'arri
Puis, un curiommenlla ccmonie. Chouette, se disait la gamine. Mais quand il commen earler, une petite moue la prit. Encore une fois, elle ne comprenait rien. On parlait trop, et trop compliqu Son visage grimalencore plus quand l'homme se mit qhanter. Piticom... Aemilia le regardait, trlue.. Il avait pourtant l'air d'y mettre tout son coeur. Et plus il chantait, plus Aemilia rapprochait ses doigts de ses oreilles. In tablement, ils vinrent parfaitement se coller 'int eur de ces dernics, et Aemilia poussa un soupir de soulagement. Maintenant au calme dans sa te, elle se mit uourner la to de gauche roite, toujours les doigts dans les oreilles, et admira les couleurs des vitraux qui n'existaient pas. Mais elle les inventait, car c'est joli des vitraux. L c'mit chouette. La messe, comme . c' it le pied. Ce n'ait pas trtpoli, mais elle n'avait pas encore tout appris de son rcationnage, comme elle disait si bien.

C'est en tournant la tt qu'elle se rendit compte de la prrnce de gens qu'elle avait dn vus. Leurs noms, leurs titres, elle ne les connaissait pas. Mais elle les avait d vus. O seulement son petit cerveau de blonde s'en souvenait...

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Boulga
La messe... Boulga avait trouv=ne place assez =ignsdu centre de la c/monie, larement en hauteur, d'oPe pouvait sentir le vent lui balayer la robe et le visage.
Lorsqu'il s'agissait d'affaires avec le TrwHaut, jamais Boulga n'accompagnait son senher, le baron d'Apcher et Randon. Elle connaissait trop bien la relation particulit qu'il entretenait avec Lui pour prrndre s'immiscer dans cette partie de sa vie. De m qu'elle ne s'immisot pas dans la d>tion qu'il nourrissait >' rd de sa Divine Cousine, la feue Reyne Beatritz.
Le vent apportait jusqu'slle les paroles du prue et c'est le coeur plein de la conviction de ses piequ'elle reta la prit de contrition.


Je confesse sieu Tout Puissant
A tous les Saints
Et lous aussi, mes amis,
Parce que j'ai beaucoup ponen parole, en pens en action.

Je supplie tous les Saints, et vous mes amis
de prier Le Cr eur pour moi.
Que le TreHaut nous accorde le pardon, l'absolution
Et la r'ssion de tous nos pCo


A vrai dire, elle se sentait pleine d'inquilde aussi, pas seulement pour ses pse mais pour ces joutes o participants risquaient blessures plus ou moins graves, voire la mort. Et si son senher se faisait tuer ?
Le pr>e continua :

Citation:
-"J'ai coutume d'appeler chaque fid inc ment se repentir. Cette courte prih ne nous permet pas de racheter nos pylles plus vils, parfois la ramption nessite un acte sinci, plein, entier. L'abjuration de nos fautes, leur compransion nous conduit one rsle vertu, et cela ne peut se faire qu'au travers du sacrement de la confession."

Sans trop savoir pourquoi, les larmes virent aux yeux de Boulga. Elle pourrait toujours accuser le vent et le soleil tout a fois. Elle cligna des paupits pour les retenir mais les paroles du pr;e l'avaient touchpau plus profond. Certo, le chemin de la rtmption tit bien difficile pour elle. L'abjuration de ses fautes ? quand elle n'aspirait qu' es poursuivre ? Elle se beret d'apporter bonheur et joie de vivre dartager avec son senher : n'sit-ce pas faire le bien d'autrui ?

Citation:
J'ajoute qu'actuellement, je fais des r ctions sur les pltences, c'est le moment de venir, apri il risque de vous en couter un peu plus.


Certo, l'officiant avait le mot pour rire aussi, et Boulga - pas plus qu'elle n'avait pu emprer les larmes de monter - ne put empger un large sourire de se dessiner sur sa figure. Une confession ? oui, elle en aurait /ccomplir, et pas qu'une seule : une pour le TraHaut, une pour son senher et...

Et voilc Le prge entonnait tleine voix le credo ! Pardine, quelle ferveur sit la sienne, quel enthousiasme, et quelle joie finalement dans l'expression de sa foy ! La jeune fille entonna donc loix tout aussi pleine et tout aussi juste, avec tout autant d'enthousiasme, suivant les gestes et le chant de tout son coeur. Et ses peines se dilupnt par une sorte de gracieux miracle. Au lieu d' uffer sous les sanglots, elle respira plus profond nt et se sentit plus de courage lffronter ses drns.
Une homne sur l'Amitie son regard balaya l'assemblelentement, elle recherchait les silhouettes connues, se demandant comment ils vivaient cette ctmonie peu ordinaire. Le senher Salvaire... la dona Melisende d'Euphor... la comtessa Magalona... Isora la tonnerroise... et mestre Lahire, et tant d'autres encore qu'elle espeit voir.
Et la surprise vint dans ce plein moment de gr .


Citation:
Je vais demander émeagalona Eufrasia d'Alanha, comtesse du Gtudan, baronne d'Alaigne, seigneuresse de Mireval & de Marmorias et aalvaire d'Irissari, Baron d'Apcher & de Randon, de me rejoindre.... ott-ils ? Comtesse ? Baron ? Vous voulez bien me rejoindre ?


Non... non... pas si ttpas maintenant. Elle ferma les yeux et retint son souffle un instant, un tout petit instant, alors qu'autour d'elle le monde devait ee en train de s'louler, =oup seais non, tout le monde "it encore ltnul cri d'effroi ni de souffrance, le vent soufflait toujours et le soleil brillait haut, rien n'avait boug Et c'est une Boulga toute pe qui devrait boire la coupe jusqu' a lie. Le prix de l'udence, pardine : renoncer non senher et son amour; ou bien ne pas le quitter et mentir chaque jour ,'Buse devant le TrmHaut et les hommes, renoncer .onder sa propre famille, eartager sa vie avec son propre rux et ses enfants.

Elle aurait voulu s'enfuir
Allons, ma fille, arru de geindre ! crois-tu donc que la comtessa soit ravie de devoir iuser un homme qui ne l'aime pas ?

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Reinemab
[Au Campement]


Le convoi 7it enfin arrivc. Au campement *Memento Mori*, la Grenouille pdfin y installer sa famille.
Ne voulant entacher la beautaes titres de ses hd, ainsi que leur lieu dû 201h rgement, leur roulotte f Et, c'est partageant joie, fp et activitpde serviteurs et autres, qu'ils 6lu6nt toute la nuit, eux simples marchants... hommes d'armes.

[Au matin de la Messe & b diction]

Tignasse au vent, elle regardait drler les belles et longues robes soyeuses des dames de bonnes familles, se rendant "a Messe... Des joyaux oules aux doigts de fe avaient travaill=de fabuleuses broderies et dentelles... Elle en riit la grenouille, non point pour les porter elle mt... mais de ses yeux pellants, c'tit la valeur marchande de ses joyaux qu'elle aspirait... Elle ressait silencieuse, s'approvisionnant de ces apparats partout en Europe et dans l'autre contreexotiques pour offrir les produits les plus rares... se retrouvant dans les villes, les bourgs et les grandes foires et ainsi esptr faire prosp r leur petit commerce.
Une bourse de cuir et un sac de toile en bandoulil faisait partie de la silhouette habituelle de notre batracienne, gonflntous deux dsobjets disparates : livres, parchemins, noix de galle, sulfate de cuivre en poudre et gomme arabique afin de fabriquer ses encres, objets de bois, un objet appelariquet composn'un lingot de fer et d'un silex, quelques rifloirs et réess pour occuper ses temps libres sculpter, Des hamets, des protections de cuir pour les combats, des mouches mortes, etc... Quand Reinemab part pour des festivitéta les bagages sont plus consid bles, ainsi on y trouvait aussi... une robe pour les filles de modeste condition, bandes darffe, tout un attirail de duration, sans oublier ngles, fil et ciseaux...

C'est ainsi, Debout devant la roulotte... affubl de sa modeste robe, d'un gris obtenu 'aide d'rrce d'aulne... d'une longue tunique teintdde bleu par dessus cachant ses poulaines et d'une ceinture de cuir pour souligner ses hanches, que rainette sorti de ses songes quelques peut vaniteux (Diantre, pneresse) , tirlpar le bras par un petit Homme


Moman, Moman... qu'ol c'est, vont les Zolis Zents ?

Souriante, du langage de son angelot de deux ans, lui serrant la main tendrement et s'agenouillant a hauteur
Ils vont sa Messe, mon ch

Les yeux globuleux de l'enfant enchainant
Qu'sue c'est... Lo Maise ?

slat de rire d'une mo amus par le lapsus de son petit
Non, mon coeur pas le Maise rit de plus belle, puis prend son temps pour articuler a ME...SS...E
Ces gents, ne vont pas se regrouper dans une cuve dans laquelle on conserve les harengs Pouffe >ouveau, avant de lui expliquer les yeux ptllants de larmes de rire Ils vont se regrouper afin de prier ensemble le Trrhaut Tousotte Della, ne t'a pas expliquaui eit le TrtHaut, quand nous yons absent ?

L'enfant, regarda sa m tout en secouant la t
Na, moman... Della m'avoir Z'uste y.pliqun Z'eit K'oi, un poZ

C'est le regard s'assombrissant, la bouche en cul de poule, qu'une ms rlisait enfin, le manque d'lcation de son enfant... Il avait a trop jeune pour les suivre jusqu'nrsnt... Mais lsse voulait inconcevable de le laisser en garde nne boucanih, aussi charmante soit elle. Qu'elle id sa nic avait elle eu avant de casser sa pipe de la confier te genre de fille de joie.
Se redressant, tout en :uriffant son enfant et lui serrant les doigts doucement dans ses phalanges

Viens... Le plus simple, pour que tu saches ce qu'est la Messe et se qu'on y fait est que tu le vois par toi mp

[Prnde l'ufice religieux parmi les modestes]

Llitin'ire, un sentier de gorges sauvages oon rencontre faune, mais aussi nombreux fid>s se rendant sur les lieux... Tandis qu'ils marchent en file indienne dans le sentier lanc, Reinette fait soudain un bond en arriu... Un serpent est l ees pieds... Un serpent de la plus mauvaise espr. Soudainement avant ma qu'elle eu le temps dnagir, devant ses yeux un ban, le serpent se roulant autour, a'autre bout, souriant son enfant, jetant le bln loin dans les buissons... Fie de son fils, ms le frcitant d'un "Mon h s, merci"
Z'est Della m'a a...p'rit

Reprenant la main de son fiston, afin de poursuivre leur cheminement vers lpafice lere, Reinemab se mordait la joue intgeurement, se disant que finalement Della, n' it pas si mauvaise nurse.

Au loin... llevaliers et nobliaux avaient prit place, le son de leur pria se rsrcutait sur la roche. Les gens suarr rent, au milieu du chemin, on ne pouvait aller plus loin... Au cede la soldate et sa prog ture, un estropinune vieille femme, un paysan, rdtaient en c.ur la suite de la pri que murmurait le minerai.

Aengus, les uutaient et les regardaient... Alors qu'il allait poser question a mb... Il se tue, la voyant mettre doigts sur les lues.
Il attendrait la fin de la clbration, pour trouver r.nse routes ces igmes, bousculant sa cervelle.

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Morphee
o La colb est nnssaire ; on ne triomphe de rien sans elle, si elle ne remplit l'8, si elle n'cauffe le coeur ; elle doit donc nous servir, non comme chef, mais comme soldat. a*

La messeg Une vraie torture. Pire que de se faire arracher une dent, surtout quand jamais cela ne vous hit jamais arriv=Car lton cute les r7ts, parfois exag,> Bref, Morph="it toujours en colo, dnune horrible mauvaise foi qui se traduisait par des pensR bien acides.

Foutu messeR Oh elle irait voir les bigots, acquiescer, r ter la larme /AIL>Ses croyances hient bien loin du Lion de Judas, mais elle ne comprenait pas ce que venait faire lthomme dans la relation avec le divin. Cemit bien beau de transmettre la parole du TrlHaut, mais si luhomme avait mal compris, mal interpr ? Genre, l/autre il ait sourd comme un pot et il sit nsimporte quoi ?
Et puis les hommes, avec le temps, squient ptet trompren recopiant le livre des vertus, intervertis des mots, fichu une contreparie histoire de faire rire les collxes, parce que bon, e moine copiste, ldoit be chiant morce. A moinsj qu il y ait un peu de binouze et une ou deux paysannes qui se perdaient parfois dans un coin sombre pour les divertir un peuo

La Flamboyante feindrait, comme un certain nombre dBruses dans d autres circonstances, et le ferait avec brio.

Forcsnt quaelle it arrivbavant le d.t de la c monie, histoire de voir qui it dt lode mirer la beautqes toilettes - nloublions pas le meer de couturie qu exertt la roturio -, espar LE voir, et croiser le regard froid de Montjoie. Elle devait lui ire. Assurint. Son premier gribouillage avait t interrompu par luarriv de Gabrielle. Lui eire, ou la hir sans redouter de se faire transpercer la chair par un de ses lombards ? Pour lui dire quoim t Je sais que vous avez connu mon pi, pouvez-vous me parler de lui ? n en usant du regard de petit chat mignon qumElla mimait a perfection ? Mauvaise id
Autant se faire snduire par un v,n, cela serait plus discret. Sans oublier que la tvbreuse jeune femme devait d, fe accaparcavec les joutes, et n avoir pas vraiment de temps ui accorder pour le moment.

LeEcureuil prit place, lov…dans une fine cape de laine laissant eine apparase le tissu de sa robe rose pi, sur les gradins, non sans avoir tentre croiser le regard du Ph x pour lui signifier son soutien. En toutes circonstances. Leurs danges n avaient pas toujours f sans heurt ; se rendant compte que jamais elle nlavait eu lropportunit e sdexpliquer clairement sur cette annonce qui ltavait tant chagrinr l ambrese jura de trouver un instant, sans doute aprrses deux mois de ree, afin da quer iouveau cet rincident . En privn

Le curntait un rouquin, chose assez particuliM, car il Eit bien connu que les roux rient les sbires du Sans-Nom et quvil fallait les cramer. Du moins selon le FLNU, un front de libltion languedocien obscur qu elle avait parfois peur de rencontrer lorsqubelle parcourait les ruelles sombres de Montpelhieafin de rentrer au domaine. Elle rrta la jolie prie, se trouva assez dentenanccpar le timbre de voix du chanteur c, qui semblait tout droit sortir de la bouche du divin.

’ Pas nnant qumil ait pas fini su le bucher, il chante comme un Dieu Grec/

Un sourire en coin se dessina sur son visage lorsque l officiant vint parler duamiti Cette samiti qui mettait eal son petit c ur. Les amis, hfinit toujours par vous trahir ; pour le moment elle avait s rgnrde ce genre de blessure. La sienne tit autre.
Leindiffcnce et le manque de confiance de celle quuelle aurait aimqvoir pour confidente avait assez fait de dits. Sans doute parce qurelle avait cru que la recherche de Gab dit identique sa sienne. Mais la brunette devait d avoir trouvtne personne pour tenir ce r
Elle ncuit pas d e par le silence de Gab, fin si, le coup de tétain liavait quand ml un peu refroidie, mais par le fait qu elle ne satisfasse pas le d.r de la belle.
Contre toute attente, Morphgreisa que cela nquit qu un hasardeux transfert de sa part. Que cette colc, elle leavait crs elle-ms Et ce revirement ndeit pas uniquement de son propre fait, mais les paroles du vPadree avaient trouvecho en la dentelliv.

Cette religion quuelle abhorrait depuis la destruction du Puy venait de l aider salmer ses passions. Incongru, incomprfnsible, i.n.i.m.a.g.i.n.a.b.l.e !

Ce fut une Morph>sereine qui leva un visage apaisiers leautel alors que le Padre demandait au double baron et

* Aristote otombe bien non ?

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Magalona_eufrasia
J' is bien -demment d> prsnte lorsque l'officiant m'appela. J'avais pri/j'avais joint ma voix, frd celles de ceux qui avaient scandge credo. J'avais pripe TrsHaut, avec force, avec vigueur en mon fort int eur. Juste avant le d
Un soupir exhalant des effluves giroflb. Je me meus enfin pour gagner la place qui va de mienne. Tous pourront m'y voir ! Que le Tr
Assumer. Il faut assumer. Assumer ces titres que jamais je n'aurais du recevoir. Assumer cette promesse qui se scellera dinitivement dans quelques temps. Assumer cette erreur que je suis : seule reprantants de la famille d'Alanha alors que m les m castres ne me donnaient pas si long ivre. Assume ma fille, assume tout.

Alors que je gagne enfin la place qui est mienne, je redresse la t . Je suis aux cm du teutonique. Un teutonique. Quel 'ange coup du sort alors que M. avait un fr. de c ur qui en sit. Enguerrand de Pierre Bri paix .on m. Alors que c'est l'un d'entre eux qui unit PJ et Mt. Monseigneur Groar, le TrtHaut vous b sse o vous soyez.

Soupir. Je suis leIl le faut. J'ai enfin trouvaa force d'annoncer cette union comme il se doit. Il sera toujours temps, aprs plus tard, de fixer date. M" dans un an. Apr tout, rien ne nous empoe d'attendre encore. Rien ne presse. Et puis il y aura le contrat... Et alors que les pense fusent, alors que je roise l'engrenage dans lequel je suis prise, je croise le regard de Son Altesse Royale. Et je blns... Moi, la Languedocienne Bourguignonne au teint pe de la maladie, je blss plus encore, mortifie.. L'une de mes mains se pose alors sur celle du double baron blond, peut- e est-ce pour y puiser la force qui me manque en cet instant. L'autre vient rejeter mes cheveux natteen arriq afin qu'ils ne me gent point.

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Castelreng
Natale
Arrivdiscr>ment au Tournel, il reprontait tout na fois ses propres couleurs que celles de son cou-zerain luxembourgeois qui ne tarderai pas ienir.
Des visages, des vies, des rencontres.
On entre dans l'iise, on rrte le cr>, on inspire, on expire, on s'assied et on ute bien sagement.



Bender.b.rodriguez a ait:

-"Mes chers amis, je vais faire court. Vous avez probablement d entendu ce passage, mais je le trouve toujours d'actualit Il s'agit du chapitre douze de la vita de Aristote, chapitre opisant route vers Mpre, il croise un cahute dsbr"habit par un ermite."


Oh mis0, il le connaissait bien celui-ci, l'histoire d'une Mite accrocheson arbre.
Tout juste revenu de Catalogne pour un aller-retour express, bien que Magnifique parmi les Grands de ce monde, il prlra rester dans un coin pr d'un pilastre.
Pendant ce temps le bon P/ poursuivait sa lecture


Bender.b.rodriguez a eit:
Aristote : "Dis-moi, es-tu heureux ?"


*Bien soe je le suis ! Enfin... *
Qui ne devait ne pas l'me ?
A bien y regarder il se demanda s'il eit vraiment heureux, apr il ne tenait pas /avoir s'il dit un olivier ou un ltme. C'est ,a longue que se forgent les liens.
Fichtre, il avait beau connaitre la r ique du prbe, il ne pouvait lhaque fois s'empler de s'auto-psychanalyser. C'est pas bon d'avoir des >ts d' Natou !

Le padre'arr. et annoneSalvaire ainsi que l>h/ti> d'Alaigne.
Le blond fron"l
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Blason pour la France ~ Splendide !
Salvaire_d_irissarri
Elle arrive, elle s'approche, elle est li.

Il ne se retourne pas, ne lui prend pas la main pour l'aider .e tenir prdde lui et sursaute de tout son corps en sentant qu'elle pose la sienne contre ses doigts. Il la regarde alors et ne peut s'empeer d'apprner la tenue du jorn.


Elle qu'on dit si

De fait, personne d'autre que lui n'est responsable de ce qui va se d uler ici ce jorn. Il aurait pu refuser, dire non... Et perdre la tutelle du jeune prince ? Le quitter et le laisser partir pour oic ? Avec qui donc ? Pour devenir comme son frr peut-ge ? Ah, cela non ! Jamais ! Pas question !
Et puis il y a la promesse faite. Respect et honneur. Brritz , sa divine cousine, et aujourd'hui, celle qui occupe ses penst de l'aube au coucher du soleil et qui lui ressemble tant...
C'est donc en pensant oute autre personne que le baron sourit >a promise et lui murmure gentiment, en usant mp de ce petit surnom qu'il lui donne parfois :


Adissiatz, Lona. Vous os tr=en beautama chn, ce jorn.
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Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un ca.et ?
Della
Du monde ! Il y en avait plein...tout plein ma...D. lorsque le couple Amahir &it arrivola chapelle improvis'semblait remplie...Mais ils avaient pu rejoindre la place qui les attendaient et une fois posu ils pouvaient se consacrer /a messe.

Enfin...K>dil le faisait tricertainement mais...Della, elle...prsrait observer, avec plus ou moins de discr;on, les gens qui "ient l>Beaucoup de connus d'ailleurs. Ne serait-ce que Bender, un fr de l'Ordre dont elle n'dit plus trop assur de faire partie vu le temps pass2epuis les dernims nouvelles aang/...des ducs, des comtesses, rencontrwici ou l autrefois ou plus r mment...oh, Salvaire, un Fournisseur Royal sous le rge de B"rice-la-Bien-Aimp Tiens...pourquoi Bender interrompt-il la messe et appelle-t-il justement Salvaire et Magalona ? Relevant un peu plus la ts encore, Della, tente de voir mieux, plus loin...Curieuse ? oui, bien s hop, un petit coup de coude on dux, genre " Tu sais quelque chose ? "...et...suspens.

_________________
- Et vot'blason, Duchesse ?
- On s'en occupe, ma Hsuderie ! Encore un peu de patience.
*Parait que je dois =e en deuil, on disait que je l'2is.*
Albine.
La mine un soup boudeuse, Albine entre dans la chapelle aux ca de ses parents. Elle avait tentae se "perdre" au milieu de la foule et d'aller discuter au fond de la chapelle avec ses amis, mais rien n'y avait fait : ils la connaissent trop bien !

Ils .ient donc entretous les 3. Pfff quelle claque ! Que ;pouir ! Un minge de testotane en rllition et eau de rose. Qu'on se le dise rassembler autant d'hommes dans un espace fermilors qu'ils vont se battre dans quelques instants et que leur virilitrxacerboest dt arrivc ce n'est pas une bonne idt! Autre mauvaise id : on ne cache pas ses odeurs de sueur, de pieds et autre parce qu'on ne n'est pas lavmvant par de l'eau de rose. Non, non et non, ne cache rien du tout, c'est md pire !

Bref, on n'aurait jamais dit qu'autant de monde aurait tenu, mais si. Albine se frotte les yeux parce que spique en se rassurant en se disant que dans quelques minutes elle sera habitu= Concentr=pour s'habituer, elle n'avait pas vu Laure arriver.

Elle l'accueille joyeusement et lui fait un clin d'oeil expressif pour approuver ses dires.

Elle rgte le credo.

Oh mamounette aussi a envie de parler... chouette !

Bon ok, prip en silence...

Mon Aristote ch= ! Prends soin de mon papounet chc parce qu'il va jouter bient Fais qu'il ne glisse pas sur une bouse ni avant, ni pendant, ni aprple combat. Fais qu'il ravine ses adversaires, et qu'il leur pn les dents et... euh nan en fait... euh... que personne ne meure et que tout se passe bien et que les valeureux combattants ne soient pas griament bless=ni m/ un peu. Enfin bon que ce soit quand m un peu costaud parce que nous n'allons pas voir un tournoi de tapisserie quand mp ! Enfin, tu vois quoi, tu fais au mieux comme d'hab hein ! Je t'envoie plein de bisous.

Elle reprend un air angtque, et pose dqcatement son chien sur ses genoux. Ben quoi, elle est sage... On n'allait pas la laisser sous la tente par une telle chaleur, c'est impensable !

Elle se penche vers Laure.


Tu crois qu'il y en a encore pour longtemps ? Je pensais qu'il y avait la mer dans le sud moi, je suis dee ! pffff Tu l'as acheteurobe ?

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