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[RP] Une clairière devenue hameau - arrivées et campements

Salvaire_d_irissarri
Melisende_ a écrit:
Bonjorn Senher d’Irissarri.
....
Plaisir partagé de vous retrouver ici Senher Salvaire, je ne savais point si vous seriez présent au festivités du Tournel, puis à voix basse, mais je l’espérais.

Vous allez participer aux joutes?


Le bel et blond frissonne malgré lui sous le charme de la voix, de son visage qui se tourne vers lui, de la vision si délicieuse qui le subjugue toujours autant. Ils sont seuls. Personne à proximité...Il lui murmure donc très doucement:

Je ne pouvais manquer de saisir l'occasion de vous revoir, douce damiselà, vous le savez bien. Toutes mes pensées sont pour vos dès l'aube du jorn...Vous etes si... délicieuse sous ce soleil et mon coeur bat toujours aussi fort à votre simple vue.

Il s'empresse de se reculer, cependant, avant que d'aller plus loin encore. Il aimerait tant lui dire... la toucher... l'...
Reprends-toi, mon garçon ! Ce n'est ni lieu, ni moment.

Son tourment est immense de ne pouvoir rien faire ici, de ne pouvoir rien faire plus jamais peut-être. Comment oserait-il lui dire qu'il vient ici jouter sous les couleurs de sa promise ? Comment lui dire qu'il ne veut point la perdre ? Comment lui expliquer qu'il n'est plus rien depuis qu'il l'a rencontré ? Qu'il ne vit plus que pour elle ? Que son esprit, son coeur, son âme lui sont entièrement dévoués ?
Il enchaine, conscient d'être devenu d'une délicieuse couleur pourpre sous sa blonde mèche et la voix devenue quelque peu bégayante :


Voulez-vous ... que je ...vous ....hmm.... fasse porter boisson ou quelques victuailles ? Vous êtes bien courageuse de rester ici tout debout par cette chaleu
r.
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“ Se ne vos pas sentir la fret, te cal minjar un caçolet ”
Archybald
Le convoi de Guyenne scindé en deux, la garde prétorienne du petit comte, à forte dominance masculine, salua les chambrières et autres domestiques des dames Harlegnan à coups de railleries et de grands gestes virils pour faire écho aux propos de la patronne de la troupe : "les femmes à l'arrière, les hommes à la guerre".

Apprenez, cher cousin, que la lice n'est que l'apothéose de ces festivités, et que vous mènerez un combat, tout aussi énigmatique à mes yeux que peut l'être une joute qui n'est pas faite pour tuer, mais qui revêt une importance des plus cruciales, car c'est parmi les tentes de vos adversaires que vous devrez vous battre pour glorifier votre nom et vos étendards.

Tenez, regardez ces tentes qui se dressent là. Celle du duc d'Auvergne, du comte d'Armagnac, de la duchesse d'Amboise, etc etc. N'avez-vous pas une once d'envie de leur signifier, à eux tous qui prétendent au titre de champion du Tournel, que le comte de Beaumont est lui aussi présent et qu'il a la ferme intention de remporter ces joutes ?

Ne feignez pas la répugnance, cousin, et sachez que si j'ai parfaitement conscience que vous n'avez été élevé que par des femmes, je n'en ai pas moins la ferme intention de faire de vous un comte digne de votre cancrelat de père. Et après avoir fait vos premiers sangs, car vous me ferez le plaisir de ficher la pointe de votre lance dans les côtes de vos adversaires, nous irons boire et ripailler à l'auberge, comme vous l'avez demandé.

Achevant sa tirade, le Bordelais exhiba sa dentition à son parent au travers d'un souris des plus déroutants. La petite troupe arrivée à destination, les cavaliers mirent pied à terre et tendirent gonfalons et tentes sur le champ.



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Ereon
Le duc de champagne c'était inscrit pour les joutes et monta un petit campement a son arrivé.

Il était un peu fatigué, mais les joutes allé vite le remettre en forme. C'est accompagner de sa servante qui qu'il regarda la montage du campement .

Plusieurs heure plus tard, il partie voir contre qui, il allé jouter.
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Louis_saint_prigent
Le voyage du petit groupe dauphinois s'était bien passé, dans une ambiance bon enfant. Le soleil de plomb ne les avait cependant pas épargnés.

Arrivant non loin du lieu où se dérouleraient les joutes, la foule se faisait de plus en plus dense, les équipages des différents participants arrivant toujours plus nombreux. Le jeune Baron sentait l'excitation monter en lui, profitant de l'émulation et de la gaité qui montait.

Les Dauphinois, sous le commandement de Gérault prirent leurs quartiers. L'adolescent, resté aux côtés de son parrain répondit:


- Non Parrain, je n'ai jamais encore participé à un tel évènement, ni même établit un quelconque campement, sinon des cabanes dans les forets autour de Montfort.

Cet enfant, là, est votre fils? Je ne l'avais jamais encore vu!


Il sourit.


- C'est une grande première pour moi. Vous savez, depuis la mort de mon père, je m'étais plus ou moins réfugié dans les études... Mais je dois avouer que je suis enthousiaste à l'idée de découvrir tout cela !As tu déjà participer à de tels évènements par le passé ? Ou même établit un campement ?


Ce disant, suivant le mouvement, il se mit au pas pour suivre la charrette qui s'ébranler pour rejoindre le lieu si convoité.
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Astruc
Dès qu'il avait pu le faire, l'Astruc avait couvert la distance séparant Mende où étaient entreposés tentes, malles, tapis et autres indispensables au conforts de sa maîtresse. Louant des mains sur place, il avait fait monter la tente, juste à côté de celle du seigneur Salvaire d'Irissari. Et il avait tout préparé à l'intérieur : la chambre de sa maîtresse, comportant lit de bois et matelas ferme comme elle l'aimait, la pièce principale, comportant malles où s'asseoir, table pour recevoir, et quelques chaises de voyage. Une seule "folie" trônait dans cette pièce : une sorte de trépied sur lequel reposait une vasque. Elle serait remplie fréquemment d'eau additionnée de fleur d'oranger afin que chaque visiteur puisse s'y laver les mains.

Bien entendu, il avait veillé à l'approvisionnement en douceurs, victuailles et boissons, puisant, comme elle le lui avait ordonné, dans les réserves de sa Mère. Il était prêt l'Astruc.

Et elle était arrivée, le matin du vingtième jour du mois, avec sa fragilité habituelle. L'Astruc avait souri quand elle lui avait fait compliment sur la tenue des lieux. Il avait alors fait hisser ses couleurs, sur sa demande, révélant enfin à qui appartenait la tente.


Aimelin
[de la Normandie au Languedoc]


Le Languedoc, ces terres où il était né et où il avait passé son enfance et qu'il n'avait pas foulé depuis plusieurs années. Ses pensées le ramenèrent à sa sœur et un sourire éclaira son visage tandis qu'ils chevauchaient. La voiture aux armes d'Etampes était partie au devant d'eux, direction Mende pour laisser Alais un peu plus au sud et, rejoindre le campement que leurs gens venus directement de Champagne, prépareraient pour les accueillir, ce qui impliquait que son fidèle garde et écuyer pour l'occasion serait là en cas de besoin. L'ébouriffé et sa douce avaient préféré leurs montures, et se faisaient un bonheur de pouvoir chevaucher, rivalisant lorsque l'envie leur prenait de se mesurer dans quelques galops comme ils le faisaient souvent non sans quelques taquineries.
Cette fois ci, Célénya avait dû insister pour qu'il accepte de participer à ces joutes, et la passion de ces duels l'avait emportée sur le côté guindé qu'il n'aimait pas. Et puis il jouterait pour sa suzeraine qui le lui avait demandé, ce qui l'avait d'autant plus encouragé. Et puis revoir la blonde Dame de Lasson rendait impatient le jeune Etampes. Depuis que l'un et l'autre étaient sur les chemins, ceux ci ne se croisaient plus vraiment souvent, hormis à l'occasion de joutes.
Ils avaient donc quitté Honfleur où ils étaient avec la petite Marine depuis quelques semaines et pris la direction du sud. Et puis le languedoc était proche du Béarn, peut être que des amis y seraient aussi, ce qui augmentait les motifs de se rendre à ces jeux.



[Aire de Campement]

Les oriflammes flottaient déjà au vent, les tentes étaient installées et c'est avec soulagement que les deux cavaliers mirent pieds à terre après s'être présentés à l'entrée du campement.
Ne leur restait plus qu'à trouver la blonde Cécé et à vérifier que tout serait prêt côté matériel avant d'aller s'enquérir des nouvelles des différents duels.


          ***** *****

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Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Lahire
Le nain déambulait de tente en tente ! C'était grand, ça grouillait de gens grands et grands...
Lahire suivait comme son ombre, le Senher Salvaire, mais il avait de grandes jambes et ne semblait pas faire cas des petites gambettes de son mestre pintor.

Enfin le Senher avait stopé net, évidement la cause etait un gente Dona ! Quoi d'autres pouvait freiner les élan du Bi Baron à la mèche dorée ???

Lahire en profita pour souffler un peu et regarder de plus près ce grand monde....

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Albine.
Incroyable mais vrai : Rémi parle encore plus qu'Albine ! Elle le regarde admirative, mais comment fait-il ?!!!
Il part finalement saluer ses parents, ça se fait c'est vrai.. Elle leur sourit et fait un signe de la main. Timide, elle n'ose pas aller faire une grosse bise à Nyna, et encore moins à son époux c'est tout de même le recteur. Nyna bon, c'est pas pareil... plus tard...Pour l'heure, elle agite seulement sa main.


Tu as amené ta grosse dinde, elle a l'air de mieux se porter.

Elle rit de bon coeur avant de saisir la main de son amie et de l'entraîner à sa suite.

Viens viens !!!

Non mais ça va pas la tête ?!!! Gaspard faisait barrage de son corps devant l'entrée de la tente.

Bah Gaspard ?!!!

Le valet reste planté devant la tente infflexible.

Vous c'est à côté voyons, en plus vostre père prend un bain.

Gloussement niais de la jeune fille tandis que le vieux valet lève les yeux au ciel. Elle part donc dans la tente voisine tirant toujours Hélène. Avant d'entrer, elle se place derrière et lui cache les yeux... Puis la pousse délicatement dans la tente...et enfin le suspens intense et impossible se lève !



Tu veux lequel ? claironne-t-elle.
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Boulga
[toujours avant la messe de bénédiction]

Finalement, la petite Boulga n'eut pas à aller bien loin pour présenter ses respects à la promise de son senher, car sa tente avait été dressée dans le voisinage immédiat. A quoi pensait-elle de ne s'en être pas même aperçue ! Certo, la fatigue accumulée de toutes ces dernières semaines commençait de se faire sentir, et la peur aussi de son propre avenir lui occupait bien la cervelle, mais tout de même...
A vrai dire, elle l'avait bien vu que les deux tentes s'érigeaient logiquement dans le même périmètre, mais elle n'y avait pas encore prêté attention. Là était toute la nuance.

Ne voyant pas la comtessa Magalona, elle alla cependant se présenter à celui qui paraissait son homme de confiance, qu'elle avait déjà aperçu à deux reprises au moins. La première fois à Randon lorsqu'il avait fait porter d'importantes provisions de bois au senher Salvaire, et la seconde fois en salle d'allégeance, mais si en retrait qu'elle ne l'avait pas vu de suite.

Robe bleue, simple pour attester de son rang mais suffisamment élégante pour faire honneur à son maître, les cheveux bruns nattés et attachés, elle assura son pas et sa voix :


Lo bonjorn messer, je suis Boulga, intendante du baron d'Apcher et Randon...

Elle eut une très légère hésitation avant de poursuivre, comme si elle allait préciser qu'elle était mestressa officielle, mais elle n'en fit rien

Nous nous sommes croisés de loin, déjà, mais pas présentés.

Elle baissa furtivement les yeux :

Pourrez-vous transmettre mes respects à votre maîtresse ?
Et s'il est besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à m'en faire la demande, messer, je m'efforcerai de la satisfaire au mieux.

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Julios
[Campement toujours, à côté de Guillaume de Jeneffe]

Le temps passait, le "village de toile" s'agrandissait et Julios s'acharnait sur son armure. De mauvaises langues, assurément des personnes bouffies de jalousie et d'envie devant sa superbe prestance, prenaient un malin plaisir à dire que son armure était rouillée en permanence. C'était dit, il ne laisserait pas le moindre doute aujourd'hui en paraissant devant tant de monde dans le comté où il avait passé la majeure partie de sa vie. Cette gnnn... saleté groumpf ! d'armure sera impeccable.

Il apportait un dernier coup de chiffon au chef d'oeuvre lorsqu'une voix familière lui parvint d'un peu plus haut.


Un vieillard hein murmura t-il en esquissant un sourire.
Mon brave curé Jub, puisse t-il reposer dans un tonneau de liqueur de carotte en compagnie de Sainte Boulasse pour l'éternité, m'a toujours dit qu'il ne fallait pas contrarier les vieillards... Comment pourrais-je alors vous refuser dans mon voisinage.

Puis, levant enfin les yeux de son ouvrage, il répondit chaleureusement à Guillaume :
Salutations et bienvenue en Languedoc, frère.

Du calva ? Oh, cela m'a déjà fait du tord un jour je crois mais il devrait suffire de ne pas en abuser.
Encore que vous devriez en avoir plus besoin que moi, voyager jusqu'en Languedoc à cette époque de l'année doit donner soif. Pour ma part, je n'ai eu que quelques jours de voyages à faire en prenant mon temps.

Comptez-vous jouter où n'êtes vous ici qu'en tant qu'invité ?
Guillaume_de_jeneffe
[Campement, au niveau des tentes Licorneuses]



S’asseyant face à son frère d’armes qui n’abandonnait pas son armement, le Flamand répondit, tout sourire.

- Certes, le voyage n’est pas aussi… rafraîchissant qu’en Maine ou en Anjou, mais pourtant, je dois avouer qu’il est bien plus agréable. La certitude de ne pas entrer dans un pays en guerre, peut-être… On ne badinait peut-être pas avec l’amour, encore que…, mais avec la mort, c’était une toute autre paire de gantelets !

Et sur ces entrefaites, il fit sauter le bouchon de sa gourde pour la présenter à celui qui, bientôt, profiterait de son contenu.


« Quoi qu’il en soit, je vous fais confiance pour ne pas tomber dans le pêché d’ivresse. D’autres, je le crains, le feront à notre place. Et vous verrez qu’ils en accuseront le soleil. Voire notre hôte pour avoir choisi une telle date. Ou comment refuser ses responsabilités, en somme. On croirait des Provençaux se justifiant de leur hébergement de brigands et autres routiers bretons ». Déclaration qu’il acheva d’un rire tonitruant, de ce rire qui raisonnait parfois, autrefois, dans les couloirs normands de leur vaisseau de pierre. Relique du passé, certainement, lui aussi… Ou comment dire des choses sérieuses sous le couvert de l’humour.

Mais là n’était pas le thème de la journée, aussi changea-t-il de disque, comme on ne le disait pas encore.


« Pour vous répondre, oui, je figure bien parmi les jouteurs. Je joute d’ailleurs assez fréquemment ces derniers temps. Et pas uniquement dans les couloirs du Louvre. Mais puisque de plus le vicomte du Tournel m’a invité, tout comme vous je gage, je ne pouvais décemment refuser son invitation. J’ose juste espérer que je ne vous affronterai pas au premier tour. Et que d’autres frères et sœurs se joindront à nous… »
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Beren
[Arrivée au campement – Courchaton est dans la plââââââââââââââce…]



Et rien ne baigne ! Si ce n’est Beren, dans l’inquiétude – tout cela le plonge dans la perplexité*. Déjà, il y avait trop de malles, trop d’équipement, trop de choses à ne pas oublier, bref TROP de « trop », et, c’est bien connu, « trop c’est trop ». Une pensée à sa femme, délicieusement arrondie de vie à ses cinq mois de grossesse, et bientôt, c’est l’image de sa main posée à son ventre, l’autre nouée à la sienne, que le Fiole se rassure lui-même. La mort du fils de sa belle a tant attristé celle-là qu’elle a dû se maintenir alitée. C’est dans un souci de la laisser un peu en paix, pour lui permettre de faire son deuil et de vivre sa peine que Beren a pris la route seul, direction le sud du Royaume de France. Myla et Elisette étaient sous tendre garde, il lui appartenait de faire le vide dans sa tête, et de se rendre à ses premières joutes, en tant que seigneur.

Malgré tous ses efforts, une image lui restait à l’esprit : comment cela se passerait-il ? Il entendait déjà, les commentateurs, les imaginait déjà déclamer, dans un élan semblable à celui de ceux officiant en lice, la voix nasillarde et portante : « Sur le coin droit, accusant 60 kilos tout mouillé et une barbe blond roux finement taillée, l’homme au chaton, bésicles sur le nez ; juriste de formation, parfumeur et Nez, j’ai nommé : le Seigneur de Courchaton… Beeeeeeerrrrrrrrreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen ! Sur la gauche, un gigantesque baraqué qui n’en fera qu’une bouchée, à savoir sooooooon Piiiiiiiiire Cauuuuuuuuch’maaaaaaaaar ! »

Il le savait, il allait morfler, et ce, malgré l’armure et l’équipement fournis par son cousin l’Ecureuil, le Baron Roux, Guillaume de Sparte. Pourtant, c’est avec fière allure qu’il montait la jument élevée au haras d’Elisabeth Stilton et offerte par sa sœur jumelle Idril, et qu’il arborait le foulard rouge sang offert par l’amour de sa vie, Lara. Il porterait ses couleurs et songerait à elle, qui, si elle n’était pas physiquement présente, était bien là, à son côté, comme toujours, et à jamais. Ces deux là ne faisaient qu’un, depuis que leurs regards s’étaient croisés.

Enfin parvenu au milieu du camp, il posa campement à l’endroit qu’on lui avait désigné, s’affairant à planter ce foutu fanion**, qui refusait de se laisser disposer.




C’était sa veine, il commençait déjà à se battre, et contre un étendard, sans certitude de l’emporter, en plus de cela… Il finit par le tenir en place et sourit, satisfait, bien qu’épuisé – c’est qu’il était presque droit ! - ; un soupir, quand une voix familière l’interpelle. Sa cousine. Elle. Ici. Son ange. La prunelle de ses yeux. Vague regard au ciel, de remerciement : Héloise Marie est là ! Il va la rejoindre quand un énergumène s’adresse à elle de façon extrêmement cavalière. Sa Grandeur de cousine n’est PAS perdue, elle a le trajet aléatoire ! Non, mais !

Quelques pas, le voilà tout près, à la dernière phrase du loustic en question, et le voilà qui répond :


- Elle et Stolberg RIEN DU TOUT ! Qu’est-ce que c’est que ces manières ! On s’écarte, et plus vite que ça !

Sourire tendre à Héloise Marie :

- Il ne va pas t’importuner longtemps, celui-là !


* Oui, oui, c’est bien une référence au film Disney « Tarzan ».
** Un grand merci à Jd Héloise_Marie pour la réalisation de celui-ci.

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Nynaeve87
La brune allait suivre la carriole quand son époux lui montra Rémi qu’Hélène avait déjà rejoint… oh… mais il y avait aussi Albine son élève préférée. Levant la main elle répondit à son signe, sûre qu’elle passerait un peu plus tard un moment ensemble.

Voyant son fils venir vers elle, Nyna n’y tient plus et démonta rapidement afin de le serrer dans ses bras. Bras dans lesquels il ne resta qu’un instant regardant de droite et de gauche et chuchotant…


Psss… Maman pas trop de bisous, y’a trop d’monde…


Elle le regarda en souriant se diriger vers la blanche Fauconnière pendant qu’elle passait la bride par dessus l’encolure. Clair on voyait beaucoup moins bien les deux pieds sur terre. Pourtant il lui semblait avoir aperçu quelques visages connus lui rappelant son ancienne vie de héraut, mais pour l’heure il fallait s’installer car toute la troupe devrait se reposer et se restaurer.

Longeant la charrette, elle montra à Rémi son poney, un hongre pi de petite taille qui répondait au non de Jolicoeur aussi facétieux que son cavalier.

Puis regardant Lucie…


Il n’a pas encore grandit Persil ?


Nyna se demandait en le regardant s’il ne finirait pas par devenir aussi grand que ces petits poneys que Stephandra avait amené au collège Saint-Louis et qui venaient des iles Shetland.


Déjà, Alexian sortaient les grandes tentes qui leur serviraient d’abris. Il étalait sur le sol avec l’aide de Margaux, les grandes toiles écrues, le campement ne serait pas monté avant un bon moment. Machinalement, Nynaève laissait ses doigts trainer dans la crinière de sa baie…

Bon, ben… il n’y a plus qu’à te desseller toi…

Puis regardant Gérault…

Il va nous falloir trouver de l’eau.
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Geronimo2751
Gérault gardait un œil bienveillant sur son fils qui courrait dans tous les sens, après tout ce qui bougeait et demandait sans cesse, pourquoi ceci, pourquoi cela ... l'âge voulait ça.
Il répondit à Louis à ce moment là.


Oui il s'agit de Rémi notre enfant et avec lui dans les parages le séjour risque de ne pas être triste ! Il ne loupe pas la moindre des idioties qui passe à sa portée ...

Il finit par sauter à terre pour se faufiler entre les arrivants qui s'installaient.
Ca lui rappelé bien des souvenirs.


Et bien la dernière fois que j'ai jouté dans ces conditions, ce devait être aux festivités du Lavardin qu'organise Messire Di Maggio. J'étais alors tout jeune seigneur et je venais d'arriver à la vènerie royal ... Que cela me semble loin tout cela !!

En effet cela semblait faire des lustres, il se demandait d'ailleurs ce qu'était devenu Llyr lui qui était plutôt actif il avait l'habitude de le croiser dans diverses manifestations comme celle du jour. Il irait vérifier, il devait bien y avoir le nom des jouteurs quelque part.
Une fois sur l'emplacement qu'ils avaient choisi il attacha Plume à la charrette le temps qu'il installe le bloc à l'ombre pour Janis.
Nyna lui parla d'eau, il réfléchit alors qu'il attachait les jets aux rets.


Je crois avoir vu une pâture proche de la rivière. Soit nous les laissons la bas, soit nous ramenons de l'eau du Lot. Il nous en faudra de toute façon pour retirer la poussière de nos chutes de cheval.

Il rit

Je te confie Plume, je vais aider au montage de notre tente.
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en cours de réfection
Pour ma patate
Melisende_
La demoiselle est émue, troublée, elle ose à peine le regarder, il lui avoue qu'il désirait la revoir, qu'il pense à elle... Elle le sait, il lui a déjà écrit cela dans ses courriers, mais le lire sur un vélin et l'entendre murmurer près de son oreille n'a rien de semblable. Est-ce cela que l'on appelle l'amour, Mélisende l'ignore, elle qui n'a encore jamais été amoureuse.

Elle lève doucement les yeux, ses émeraudes caressent le visage du jeune homme, elle sent son trouble lorsque celui-ci s'adresse à elle.


Voulez-vous ... que je ...vous ....hmm.... fasse porter boisson ou quelques victuailles ? Vous êtes bien courageuse de rester ici tout debout par cette chaleur.

J'accepte avec plaisir, je pensais justement me rendre à la taverne pour me rafraîchir. Tous les participants semblent être arrivés, je ne sais ce que mon père attend de moi maintenant.

Une chose est certaine, il n'attend surement pas le rapprochement des deux jeunes gens, il lui a bien fait comprendre le jour de leur départ de Mende, elle ne doit plus lui parler, ne pas chercher à le revoir. Est-ce l'esprit de contradiction de la jeunesse qui l'a fait agir ainsi, sachant le courroux que cela provoquerait chez son paternel.

Ne pouvant quitter le doux regard du jeune homme, une pensée lui traverse soudain l'esprit. S'il était ici, c'était certainement pour défendre les couleurs de sa promise, Boulga lui avait déjà parlée d'elle à l'épi chantant. Il allait donc combattre un adversaire, risquer d'être blessé. Cette pensée lui fut insupportable, la jeune d'Euphor n'avait encore jamais assistée à des joutes, mais cela pouvait certainement être dangereux. Mélisende croisa à nouveau le regard du jeune noble, elle n'avait qu'une envie, se blottir dans ses bras et lui faire promettre d'être prudent, mais elle n'osa le faire, elle ne pouvait le faire.

Comment le lui faire comprendre?

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