Queen
El duel, le duel. Enfin, elle lattendait avec impatience. Cela faisait longtemps quelle navait pas affronté quelquun. Bien trop longtemps. Cela aussi faisait bien trop longtemps quelle navait pas réduit à néant les ambitions dun homme ou dune femme déglise. Ici cétait un homme, sa victoire nen serait que plus délicieux régal.
Le machiste lui avait tapé sur le système. Déjà que les neurones de la rousses étaient réduit en bouillie car Queen était imbibée dalcool à vie, mais elle avait un mal de crâne insupportable à cause de son nouveau voisin à lauberge. Déjà que les lits étaient inconfortables, que les rideaux étaient laid, et que linsalubrité était présente Queen elle naimait pas la déco. Oui, on ne marie pas le lin et le chanvre pardi ! Dans cette auberge, les murs cétait des feuilles des roulées que elle voit senfumer une blonde tard dans la nuit. Pas plus épais que des parchemins. Elle évitait même de raser de trop près les murs de peur quen respirant trop forts, ils senvolent.
Pour en revenir à ses problèmes, elle avait un nouveau voisin qui passait ses début de soirée en douce compagnie bruyante au plus haut point, à croire que cétait fait exprès, de un, pour la narguer genre « Tu vois, toi tes là, seule dans ton pieu, et moi jtravaille le miens. » et de deux, pour lempêcher de dormir. Elle avait soupçonné que le voisin en question soit au courant de son combat proche, et quil voulait que faute de repos, elle perde.
Mais elle avait plus dun tour dans son sac, la « Sorcière ». Elle avait même gueulé, contre ledit voisinage. Mais sans succès. La femme criait plus fort que la rousse. Alors les cernes sous les yeux, le matin du duel, elle cétait préparer. Elle avait jeuné depuis la veille. Dalcool, soyons daccord. Et la tisane eut un gout tellement affreux dans son gosier dessécher de sa boisson favorite quelle fallait envoyer valser le bol encore chaud. Mais un sage lui avait appris comment toujours réussir son duel.
Une bonne infusion de menthe, et de la concentration. La concentration Pas le genre de Queen si vous avez remarqué. Elle était toujours à demi à côté de ses poulaines. Telle une éponge elle était tellement imbibée dalcool quelle nétait jamais dans un état tout à fait normal.
Non, en ce jour, elle était concentrée.
Puis cest pas comme si sa vie en dépendait, hein ?!
Ce duel, ce nétait pas simplement mettre une déculotté à un prétentieux. Ca elle pouvait le faire pour son plaisir en chopant un ivrogne machiste et trop bavard au coin dune rue. Une satisfaction personnelle alors ? Non ce nétait pas ça non plus.
Revenons alors un an avant, en Espagne, avec une très belle femme que tout le monde appelait la Mariposa. Cette femme faisait le bien. Elle soignait les gens dune méthode merveilleusement inexplicable. Sa science des plantes étaient tout bonnement incroyable. Queen sétait pris daffection pour cette femme. Elle lui avait promis de toujours la protéger. Cétait en quelques sortes, la mère quelle navait pas eu. Mais voilà quun jour linquisition sétait mêlée de ça. Elle avait décrétée que les pratiques de la Mariposa étaient de la sorcellerie et avait invoqué lirrévocable -Comme ça c'est bien clair- sentence du bucher. Mais Queen déjà nétait pas du genre à se laisser faire. Elle avait voulu aider la Mariposa à séchapper. Linquisition na pas de limite, les deux femmes se firent rattraper, Queen torturée et scarifiée à vie dune croix puis pour finir sa peine, elle avait assisté à la crémation publique du médecin.
Depuis de leau à couler sous les ponts, mais la hargne et la rancune de Queen été ressortit quand elle avait été accusé de sorcellerie. Elle ne tuerait pas le purgateur ou un truc du genre soit. Cela aurait été se rabaisser à son niveau. Mais si elle pouvait le faire souffrir elle le ferait, et avec le plus grand des plaisirs.
Avant de quitter lAuberge, elle sétait observée dans un miroir. Elle navait pas le même air que dhabitude. Ce devait surement être la concentration, elle nétait pas habituée.
Elle se rendit au lieudit de la place centrale. Queen avait voulu que le duel se déroule devant des spectateurs.
Elle navait aucune intention de perdre.
Dans sa tête se déroulait le programme. « Pierre. Feuille. Ciseaux. »
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Le machiste lui avait tapé sur le système. Déjà que les neurones de la rousses étaient réduit en bouillie car Queen était imbibée dalcool à vie, mais elle avait un mal de crâne insupportable à cause de son nouveau voisin à lauberge. Déjà que les lits étaient inconfortables, que les rideaux étaient laid, et que linsalubrité était présente Queen elle naimait pas la déco. Oui, on ne marie pas le lin et le chanvre pardi ! Dans cette auberge, les murs cétait des feuilles des roulées que elle voit senfumer une blonde tard dans la nuit. Pas plus épais que des parchemins. Elle évitait même de raser de trop près les murs de peur quen respirant trop forts, ils senvolent.
Pour en revenir à ses problèmes, elle avait un nouveau voisin qui passait ses début de soirée en douce compagnie bruyante au plus haut point, à croire que cétait fait exprès, de un, pour la narguer genre « Tu vois, toi tes là, seule dans ton pieu, et moi jtravaille le miens. » et de deux, pour lempêcher de dormir. Elle avait soupçonné que le voisin en question soit au courant de son combat proche, et quil voulait que faute de repos, elle perde.
Mais elle avait plus dun tour dans son sac, la « Sorcière ». Elle avait même gueulé, contre ledit voisinage. Mais sans succès. La femme criait plus fort que la rousse. Alors les cernes sous les yeux, le matin du duel, elle cétait préparer. Elle avait jeuné depuis la veille. Dalcool, soyons daccord. Et la tisane eut un gout tellement affreux dans son gosier dessécher de sa boisson favorite quelle fallait envoyer valser le bol encore chaud. Mais un sage lui avait appris comment toujours réussir son duel.
Une bonne infusion de menthe, et de la concentration. La concentration Pas le genre de Queen si vous avez remarqué. Elle était toujours à demi à côté de ses poulaines. Telle une éponge elle était tellement imbibée dalcool quelle nétait jamais dans un état tout à fait normal.
Non, en ce jour, elle était concentrée.
Puis cest pas comme si sa vie en dépendait, hein ?!
Ce duel, ce nétait pas simplement mettre une déculotté à un prétentieux. Ca elle pouvait le faire pour son plaisir en chopant un ivrogne machiste et trop bavard au coin dune rue. Une satisfaction personnelle alors ? Non ce nétait pas ça non plus.
Revenons alors un an avant, en Espagne, avec une très belle femme que tout le monde appelait la Mariposa. Cette femme faisait le bien. Elle soignait les gens dune méthode merveilleusement inexplicable. Sa science des plantes étaient tout bonnement incroyable. Queen sétait pris daffection pour cette femme. Elle lui avait promis de toujours la protéger. Cétait en quelques sortes, la mère quelle navait pas eu. Mais voilà quun jour linquisition sétait mêlée de ça. Elle avait décrétée que les pratiques de la Mariposa étaient de la sorcellerie et avait invoqué lirrévocable -Comme ça c'est bien clair- sentence du bucher. Mais Queen déjà nétait pas du genre à se laisser faire. Elle avait voulu aider la Mariposa à séchapper. Linquisition na pas de limite, les deux femmes se firent rattraper, Queen torturée et scarifiée à vie dune croix puis pour finir sa peine, elle avait assisté à la crémation publique du médecin.
Depuis de leau à couler sous les ponts, mais la hargne et la rancune de Queen été ressortit quand elle avait été accusé de sorcellerie. Elle ne tuerait pas le purgateur ou un truc du genre soit. Cela aurait été se rabaisser à son niveau. Mais si elle pouvait le faire souffrir elle le ferait, et avec le plus grand des plaisirs.
Avant de quitter lAuberge, elle sétait observée dans un miroir. Elle navait pas le même air que dhabitude. Ce devait surement être la concentration, elle nétait pas habituée.
Elle se rendit au lieudit de la place centrale. Queen avait voulu que le duel se déroule devant des spectateurs.
Elle navait aucune intention de perdre.
Dans sa tête se déroulait le programme. « Pierre. Feuille. Ciseaux. »
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