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[RP] Tous aux portes de Kateline"world"

Neidanac
Il était blond comme l’or et son visage étaient munis de deux joyaux bleus qui lui servaient de yeux, on le disait souvent bel homme mais encore plus souvent charmeur. Bien étrange il ne c’était jamais servi de ses compétences pour satisfaire ses bas instinct d’homme, un talent qui était sans doute un cadeau génétique de feu son père mais la vertu et son abstinence en retour n’étais pas le cadeau de l’héritage. Même si la méditation lui était quotidienne, ses réflexions n’étaient que rarement réfléchies, son départ du Berry avait été une présomptueuse erreur, certes ailleurs il c’était couvert d’or, une bien maigre compensation pour le joyau qui c’étais détourné de lui et de son amour, il c’était montrez indigne. Mais il était déterminé à changer les choses, Le grand amour existe selon lui, et même sa propre stupidité masculine ne saurait lui faire rater son bonheur promis.

Le jeune Nathaniel allait fêter dans quelques semaines ses dix-sept ans, et il savait pertinemment ce qu’il désirait comme présent. À ce jour même une bataille s’amorçait, et son cœur était la chose qui commandait toute l’opération, tout le reste de son corps ne faisait que suivre ses instructions tel des vassaux bien dressé. Ce même cœur l’avais poussé à traverser un duché hostile en compagnie de deux brigands notoire, à abandonner la moitié de ses biens dans son appartement Artésien et à oublier l’existence de ses deux champs, notons qu’il n’a jamais eu l’âme d’un laboureur. Mais il avait une forte capacité à apercevoir les couleurs de l’or en tous ce qui l’entourait. Regrettais t’il l’abandonne de ses richesses? En aucun cas, les bras de sa douce aimé lui étaient une image bien plus douce.

Bref, le gentil homme au mille facette venait à peine de revenir dans la capitale Berrichonne qu’on lui avais volé un misérable écus pour une nuit à dormir sur la chaussé, il fallait bien qu’un duché souffre de la pauvreté pour oser confondre une chambre avec la chaussé. L’écus lui était bien égal, mais il n’aimait pas être escroquez, mais ses vil voleurs l’aurais sans aucun doute mis en tôle pour une quel contre résistance, et peut être même pris quelques écus de plus, mais surtout tous ceci, l’aurais conduit à une plus longue attende avant de revoir sa douce et belle Kateline, sa libération des bras de l’usurpateur ne pouvais attendre, Nul ne profanerais plus jamais l’élu de son cœur, tel étais son serment.

Il ne savait pas trop quel étais l’appartement de sa belle Kateline, et cela lui causait problème, les gens ne savais plus apprécier les facettes de l’amour quelques caillou lancé dans les fenêtres lui avais couté des injures, des attaques malsaines au pot de fleur, et même un restant de poulet, qui étais disons le délicieux.

Découragé et voyant le soleil se levé, pétrifié à la simple idée que le félon qui osais profaner les bras et les lèvres de son grand amour pouvais être avec elle quelques part encore. Le Sade, fit signe à son pigeon d’aller jeter un œil, les plus idiot diront que ce n’est qu’un pigeon mais! Il était sans aucun doute l’un des plus importants personnages dans la naissance de l’amour entre lui et Kateline. Kana qui semblaient avoir trouvé les traces de sa maitresse dison le, étais la seule être de ce monde qui lui donnais de l’affection il aurait pu le trouvez encore et encore, la bête de posa donc sur le seuil même de la fenêtre. L’heure étais venu à Hector d’entrer en scène, le blondinet empoigna son fidèle coq puis l’incita d’une furieuse fessé à chanter, tous en le soulevant au-dessus de sa tête. ‘’Si tu oses te soulagé sur ma tête, je te fais rôtir comme ton copain que j’ai mangez pigé?’’ bref, si un bruit sur ses terres pouvais annoncé à Kateline son retour, le chant de son coq était tous désigné. Ses yeux étais fixé sur les appartements et tentait avec bien plus de mal que de bien de faire preuve de patience, le mot beauté allait enfin être à nouveau désigné sous une image à ses yeux…


RP ouvert à tous et chacun


Titre mis en minuscule (mot pour mot) {Prada}
_________________
Kateline
Dans son appartement berruyer dont elle avait fait l’acquisition peu avant son départ pour son voyage, Kateline ne dormait plus depuis un moment. Elle se trouvait dans son bureau, installée derrière celui-ci, les mains enfermant son visage et les coudes posés à même le bois.
Autour d'elle plusieurs missives trainaient là depuis qu’elle les avait éparpillées la veille afin de faire le point sur les derniers évènements qu'elles avaient causé dans sa vie. Cette vie qui lui semblait si calme et sereine quelques semaines auparavant.

Elle venait à peine de remettre les pieds en sa ville lorsque la première lettre était arrivée. Après avoir visité l'Anjou, puis la Bretagne en compagnie de son semi blond, elle s'était vu obligée de faire demi tour. Elle ne pouvait décemment pas rester au loin alors qu'une sorcière venait de piller sa belle Bourges, et par là même trahir tous ceux qui avaient placé sa confiance en elle. Et à son retour tout semblait paisible dans la capitale berrichonne, la vie avait déjà repris son cours normal, alors que Kateline voyait la sienne être complètement chamboulée.

Elle en avait mis du temps pour faire le deuil de cette relation, il l'avait fait tant souffrir par sa disparition... son abandon qu'il ne lui avait jamais expliqué. Avant ce jour où leur fidèle Kana vint lui délivrer ce parchemin. Nathaniel lui annonçait qu'il avait décidé de revenir en Berry, et qu'il comptait réparer son erreur. Celle de l'avoir laissé bien des mois plus tôt, et de reconquérir son amour. D'abord un sentiment de colère l'avait submergé, pourquoi avait-il fallu qu'il mette tant de temps avant de réaliser cela? Maintenant qu'elle avait tenté de refaire sa vie. Puis à mesure des réponses qu'ils s'envoyèrent, la carapace de sa rancœur se fendilla pour laisser place au doute.

Il lui fallu cependant trouver le courage de parler de cela avec l’homme qui avait voulu faire un bout de chemin à ses côtés. Et le moment vint lorsque Nathaniel pris directement contact avec lui.
Devant le fait accompli elle ne pouvait se dérober, mais elle n’aurait jamais pu penser lui infliger tant de mal.
Et la voilà au matin, la tête prise entre ses mains, en train de se demander qu’est-ce qu’il pourrait bien advenir de tous. Et qu’un coq vint hurler à sa fenêtre.

Elle se redressa les sourcils froncés, plaquant ses mains à plat contre son bureau, intriguée. Le jour était déjà levé depuis un bon moment et à moins d’être complètement débile, ce coq avait quelques heures de retard.
Elle repoussa sa chaise en arrière, se leva doucement puis traversa la pièce pour se poster à la fenêtre qu’elle ouvrit en grand, prête à chasser la volaille agaçante.
Elle se pencha et vit l’oiseau de basse cour posté sur la tête d’un jeune homme qui avait les yeux rivés vers ses fenêtres. Elle croisa le regard de celui-ci, ses yeux s’écarquillèrent et sa bouche s'entre-ouvrit, muette de la surprise qui l’avait gagné.
Alors il ne lui avait effectivement pas menti, il se trouvait bien là, à quelques pas d’elle. Elle balbutia…


Attends-moi là, je viens t’ouvrir…

Elle aurait pu tout aussi bien demander à sa domestique de s’en charger, mais là tout de suite elle en oublia complètement qu’elle avait du monde à son service pour cela. Elle sortit de la pièce en trombe et dévala l’escalier qui la séparait du rez-de-chaussée et de fait, de la porte d’entrée.
La main tremblante, elle tourna la lourde clé dans la serrure puis ouvrit la porte à la volée.
Elle se retrouva face à lui, elle qui l’avait tellement attendu sans vraiment se l’avouer. Une multitude de sentiments s’entrechoquèrent en son cœur, la colère qu’il ait pu blesser Calixte, la joie de son retour, la peur de ne savoir que dire ou que faire, cette vieille rancœur causée par son départ…
Elle resta plantée là, et ne réussit qu’à murmurer son nom…


Nathaniel…
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Neidanac
Le Sade, relâcha automatiquement son emblème sur patte au son même du cliquetis de la serrure, bien nerveusement de sa main droite il repoussa sa mèche blonde rebelle qui lui bloquais une fois de plus la vue. Pour rien au monde il ne voulait ratez ou encore mal apercevoir la deuxième première vision de ce qu’il disait et croyais être son amour destiné. À ce moment précis il regretta de ne pas avoir écoutez d’avantage sa grosse gouvernante lorsque elle incita pour lui apprendre la politesse, le peu qu’il y connaissait rien ne lui disais comment il devait se présenté pour réclamé le pardon. Sans vraiment pouvoir réfléchir d’avantage la porte c’était ouverte, elle était la devant lui ne murmurant que son simple nom. Ses yeux plongé dans les siens il s’exprima le premier, fin le deuxième, mais le premier avec des phrases.

Dans mes rêves, lorsque je te revoyais, tu étais aussi belle, mais conscient de mon indignité et de toute la souffrance que je t’ai causé je n’avais guère droit à de la tendresse ‘’Il baissa la tête à ce moment précis’’ ce n’est point ton cœur que tu me rendais mais la monnaies de ma pièce, chaque fois tu empoignais un long poignard pointu et tu me l’enfonçais droit dans le cœur en me disant souffre somme j’ai souffert.


Le petit homme releva graduellement la tête vers celle de son aimée en essayant de plus de lui attraper les mains

Je ne sais point si je mérite une deuxième chance, mais je sais que j’ai appris beaucoup de chose au loin de toi, je sais que maintenant je ne vois plus la vie de la même manière, je suis revenu ici au Berry pour toi. Pour te montrer que mon départ n’était pas le fruit du non amour, mais de fruit d’une peur inexplicable et d’une stupidité infligeante. Comme je te l’ai mentionné je suis demeuré chaste et pure, je te demande de l’apercevoir comme la preuve irréfutable de mon amour et de ma fidélité. Je ne sais pas pour toi mais mon bonheur ne sera jamais dans l’héritage, ne sera jamais dans mon or, et ne sera jamais dans le sang versé de mes ennemies, mais au tous creux de tes bras, et je suis bien déterminé à m’y taillez à nouveau une place.

Nathaniel porta les mains de Kateline à sa bouche et essaya de les baisers tous en plongeant dans son regard ses creux mi triste, m’y heureux, des yeux sincère comme on dit.

JDNeidanac vous avez un deuxième mp ^^ {Prada}
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Kateline
La Brune ne détacha pas son regard de celui venu réclamer son pardon, elle écouta chaque mot avec attention, ces mots qu'elle avait déjà lu dans ces quelques lettres.
Mais les entendre de vive voix n'avait pas le même impact sur elle. De cette rencontre elle avait imaginé un tas de choses, elle avait pensé à le gifler parfois, ou le blesser avec la parole, mais là face à lui... toute sa colère s'était envolée.


Tu sais que tu mériterais que je te renvoie là d'où tu viens, et sans doute que je devrais... mais je n'en suis pas capable...

Elle perdit encore un peu plus de ses anciennes convictions lorsqu'il porta ses mains à ses lèvres. Elle eut l’irrépressible envie d'un autre contact avec lui, récupéra une de ses mains et caressa la joue de Nathaniel, avec tendresse.
Elle avait imaginé voir ses doigts s'y abattre avec force et finalement le geste de vengeance s'était transformé en presque pardon.


Je ne peux pas te demander de me promettre quoi que ce soit, je suis simplement heureuse que tu sois là. C'est indéniable...

Après la stupeur, un petit sourire commençait à illuminer les traits de Kateline, contenir sa joie devenait difficile. Son regard sondait le bleu des yeux qui le soutenaient, et toute cette époque de bonheur qu'ils avaient pu partager par le passé lui revint en mémoire.
Elle se rappela chaque instant, chaque sourire, chaque étreinte... puis d'un geste vif elle l'attira à elle et le serra fort entre ses bras.
Sur le pas de sa porte, sur la place du Château où n'importe qui aurait pu voir ce qui se déroulait là, et bien peu lui importait qu'on ait pu la voir ainsi, Kateline murmura à l'oreille du blond.


Tu m'as tellement manqué, tu ne peux pas imaginer à quel point...
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Neidanac
Connaissez-vous le phénix? Un animal de prédilection du feu père de Nathaniel. Un animal mystique et légendaire l’on disait qu’au moment de sa mort il s’enflammait et en retour, il renaissait de ses cendres. C’est ainsi que le cœur du jeune Nathaniel avais agis, au loin puni de sa propre indignité son cœur étais devenu meurtris. Pour mille autres femmes ce cœur aurais été imprenable et incasable, pour la simple et bonne raison que ce qui est mort, ne peut mourir. Bien qu’il savais qu’il éprouvais encore au loin de puissant sentiment pour sa Berrichonne, son cœur n’étais encore et toujours qu’a la pitoyable phase d’un misérable tas de poussière, il attendais l’étincelle enfin que les cendre devienne braise. Il attendait le geste ultime, un geste d’amour ou d’espoir et c’est en l’accolade qu’il le vue. La patate du petit blond se mis à battre à la chamade, aussi fort que des tambours.

Sa tête étais désormais côte à côte avec celle de Kateline et ses bras l’entourais avec vigueur et à la fois douceur, il lui étais bon de savoir qu’il avait encore une place, mais il savait mieux que personne que son aimée possédais le cœur le plus noble de tous. Ses narines pouvais enfin ressentir l’odeur qu’aucune autre endroit connu de sa personne ne lui avais fait connaitre. Alors qu’il entrepris de répondre à ses paroles avec aventure il posa un baiser sur le lobe de son oreilles avant de lui murmurer.

Ma douce Kateline, Tu sais bien que j’écoute les sommations mais que je m’y soumets jamais, tu aurais pu essayez de me chasser mais j’aurais persisté comme tous homme aimant devrais le faire, je t’aurais suivi de Bourges jusqu’en Gascogne, en prenant soin de me présenter à tous ses usurpateurs qui pourrais osé prétendre à ton amour.

Avec prétention, il porta son visage face au siens son front collé au siens, ses lèvres parallèle aux siennes, de par envie il resserra d’avantage son étreinte contre elle, puis étira ses lèvres enfin de posé un simple petit baiser sur le bout des lèvres de Kateline.

Sache… que mon départ n’étais pas causé par le manque d’amour et nul autre pensé obscur, j’ai quitté Bourges et Berry pour des raisons que même moi je n’arrive pas à comprendre, comme un croyant dans le pêché je m’étais égaré de mon droit chemin, je m’étais éloignez de toi. Alors cette fois, serre moi bien fort, et empêche mon imbécilité aigu de refaire surface et qu’elle me fasse commettre des actions que je ne veux pas, Douce Kateline, j’accepterais volontiers un combat avec le diable lui-même tu le sais bien. Et j’aurais espoir du début à la fin de gagner, mais je ne sais si je saurais combattre avec succès un jour ma propre stupidité, je te le demande protège moi de moi-même.
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Kateline
Le son de la voix de Nathaniel résonnait au creux des oreilles de Kateline comme une douce musique, sans aucune fausse note. Retrouver la chaleur de ses bras et la douceur de ses lèvres pour deux ou trois secondes valait le sacrifice qu'elle avait commis la veille.
Car si il lui affirmait que rien n'aurait pu l'empêcher de la poursuivre de son amour, le semi-blond lui n'avait su lui parler que de mettre fin à ses jours.
Mais après tout l'évincé n'aurait pas pu se battre face à ce qui redevint en cet instant une évidence aux yeux de Kateline.
Les sentiments pour son Artésien n'avaient jamais disparu, ils s'étaient juste terrés dans un coin de son cœur en attendant le moment où ils pourraient à nouveau voir le jour.
D'ailleurs lorsque la Brune avait fait part de ce retour à sa zumelle, cette dernière avait de suite compris ce qu'il adviendrait... même si ses craintes l'avait poussé à la prévenir d'éventuelles souffrances.
C'est elle qui avait retrouvé Kateline le jour où elle avait su que le Blond avait quitté le Berry, et l'état de dévastation dans lequel elle s'était trouvé ainsi que celui de sa taverne était un souvenir suffisamment douloureux pour ne pas vouloir qu'il se reproduise.
Se protéger du mal était instinctif entre les deux femmes, mais la Rousse lui avait aussi conseillé de suivre son cœur, et qu'en cela Kat pourrait connaître à nouveau le vrai amour.
Elle serra ses bras un peu plus fort autour de la nuque de Nathaniel, une main glissa jusqu'à sa joue à nouveau...


Je veux oublier le passé, et vivre dans le présent avec toi. Si tu veux que je te protège de toi même, je le ferais. Mais si tu es ici avec moi, je ne pense pas que nous puissions nous perdre encore.

Elle plongea ses yeux dans les siens, subjuguée comme elle l'avait toujours été devant son amour inconditionnel, elle approcha lentement son visage du sien et pressa ses lèvres contre les siennes. Un baiser qui fut moins furtif que le précédant, rempli de toute l'émotion et de l'espoir qui l'avaient envahi. Sous sa poitrine, son cœur battait un rythme fou. Elle nicha son visage dans son cou, et respira son odeur qui se voulait si familière malgré le temps passé loin de lui. Elle susurra à son oreille encore, qu'il n'y ai que lui qui puisse l'entendre...

Je t'aime Nathaniel, je t'ai toujours aimé. Jamais ô grand jamais je n'ai pu oublier ce que je ressentais pour toi, malgré mes tentatives parfois insensées pour reprendre une vie normale et tromper mon manque de toi.

Un bref soupire et elle se remit face à lui. Elle n'avait pas su se garder de la solitude, et était passée par plusieurs relations au cours des derniers mois. Certaines plus catastrophiques que d'autres.
Elle savait d'ores et déjà qu'il lui faudrait lui expliquer tout cela. Mais elle estima que cette conversation ne pourrait se faire en pleine rue.


Tu dois être éreinté par cette route que tu as fait, rentrons je vais te faire préparer un repas et un bain. Nous avons tout notre temps pour nous retrouver maintenant...
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Neidanac
Ses petits yeux bleu se dilatais lorsque qu’elle lui parla de son envie d’oublier, il arrivais à sentir le souffle de son aimée qui reflétais dans cou, un souffle chaud et rassurant, mais une chose n’avais pas changé il aimait avoir raison, sur un ton de murmure il lui souffla.

La présence ou non de nos parents, la richesse comme la pauvreté, la noblesse comme la gueuserie, les malheurs comme les chances, les erreurs et les réussites sont tous des facteurs de ce que demain sera fait. En oubliez une partie en reviendrais a renié en quelques sorte qui on est, mais surtout d’où on provient. Je le dit ma vie est parsemé de moment plus joyeux comme plus triste, mais je m’en nourris pour tenter de devenir bien lentement une meilleur personne. En oubliez même la plus petite parcelle, je te le dis, serais un risque trop grand. J’assume toujours mes actions, avec ou sans la critique. Et puis, si je devais oubliez ses mois loin de toi, je ne saurais pas que ton absence créer un nuage noir sur mon ciel, en gardant se souvenir bien en moi, cela m’arme un peu mieux contre la malédiction de ma stupidité imprévisible.

Alors qu’elle venait de lui confessez son amour pour ensuite posé son regard bien dans le siens,

Kateline, est-ce vraiment convenable? De m’embrasser à nouveau, de m’avouer ton amour en plus de m’inviter chez toi à notre deuxième première rencontre?

Un sourire sarcastique se dessina sur ses lèvres et bien à sa manière il colla un nouveau baiser sur les lèvres de sa douce.

Bien heureux nous sommes, j’ai l’âme rebelle c’est une joie d’accepté ton invitation, mais pour le moment je n’ai pas réellement faim n’y envie d’un bain, j’ai plutôt envie de me rassasié à même ta présence. Mais à l’inverse je suis certain que mon cheval et Hector (le coq) aimerais en retour bénéficier de ton hospitalité.

L’Artéso-Berrichonesque comme il aimait se dire, glissa sa main jusqu’à qu’elle atteigne celle de son illustre amour.
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Kateline
La Brune écouta la tirade sur le passé et la nécessité de ne pas l'oublier. Ce qu'elle avait entendu par oublier c'était surtout qu'elle aurait souhaité laisser le passé à sa place, et de par les erreurs commises avancer sur de nouvelles bases.
Cependant elle ne trouva pas nécessaire de relever, et acquiesça à ses paroles.


Crois moi que je ne te louperais pas si par hasard tu devais prendre des décisions aussi stupides que celle de me laisser seule ici.

Elle sourit de concert avec lui, et lui pinça le bras lorsqu'il parla de ce qui n'était peut être pas convenable dans son comportement.

Non mais je peux te mentir aussi, pis te laisser sur le pas de la porte et t'ignorer royalement. Norf.

Faisant mine d'être agacée, elle fit un signe à Sebastian qui ne se trouvait pas loin d'eux. Sans doute que l'intendant, curieux, s'était approché pour savoir ce qui se déroulait.

Seb va nourrir ta ménagerie, pendant que nous allons au moins nous mettre au chaud à l'intérieur, si tu veux bien me suivre...

La main de son aimé qui s'était glissé dans la sienne fut serrée pour l'entrainer dans l'appartement. Elle le guida jusqu'à son salon et lui présenta un canapé, elle s'y assit une fois qu'il fut installé.
Elle le détailla un instant, pendant ces quelques mois le garçon avait quelque peu changé. Un peu moins gringalet, le visage moins enfantin, il était à l'âge où le physique s'affirmait... et les mois passés loin de lui permettait à Kat de noter le changement.
Son charme avait toujours autant d'effet sur elle, si ce n'est plus. Elle reprit ses mains dans les siennes et les serra doucement.


Qu'as-tu fait pendant tout ce temps? A quoi occupais-tu tes journées? Tu es resté vague dans tes lettres... En dehors du fait que tu devais escorter cette princesse...

Un air pincé passa deux secondes sur le visage de Kat, puis elle se radoucit, en attendant qu'il lui parle.
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Neidanac
La stupidité aigu ascendant imbécilité est une grave maladie, Maladie peu rependu qui est souvent contracté par la gente masculine, encore aujourd’hui on ne connait aucun remède infaillible. Mais j’ai foi en le miens l’amour et j’ai foi en ma protectrice si je tente de partir c’est que je perds la tête il faudra m’assommé brutalement pour ainsi garantir la sécurité de l’amoureux en moi.

Le jeune Artésien sursauta au pincement tyrannique qu’elle offrit à son bras, son sourire avais laissé quelques peu place à l’embêtement, décidément elle avais préservé son sens de la riposte. Ne sachant pas trop quoi répondre pour reporter le point, il préféra de rien répondre à son offre de lui mentir et de l’ignorer, peut-être y verrais-t-elle que du feu.

Sa main bien entrée dans la sienne, Nathaniel suivi à l’intérieur au creux même du canapé celle qui étais son amour, pratiquement blotti contre elle, mains dans les mains et yeux dans les yeux. Elle n’avait tout à fait rien perdu de sa beauté, rien perdu de ce qui la rendais si belle à ses yeux. Attentif il écouta sa prochaine question,

Devais? Mon engagement à servir de chevalier blanc à cette princesse de pacotille n’étais en rien un devoir très belle Kat, mais simplement le fruit même de mon envie, je ne l’ai escroquez que sur quelques lieux. Roy, prince, princesse et même Pape quand j’offre une lettre je m’attends à une réponse, et pas seulement lorsque qu’ils ont besoin d’aide. Sinon… j’ai tenté en vain de devenir maire de Compiègne, mais les Champenois n’y ont pas vu ma bonne foi, j’ai combattu un petit moment en Flandre au côté des FSF, mais j’ai passé le plus large de mon temps à chercher une relique et en conséquent me bâtir une petite fortune. Tous ceci étais quelques activité, qui parfois arrivais à me faire oubliez ma condamnation à la solitude, la noirceur et le froid étais mes principaux amis.

Son regard tendre se possa sur le siens alors qu’il remonta à sa bouche l’une des mains pour les embrassez en souriant.

Et toi, dis moi à quoi as tu passé ton temps? outre ton voyage,
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Kateline
Kat hocha légèrement la tête à l'écoute de la réponse de Nathaniel, un petit sourire vint relever ses lèvres, de ceux qui annoncent la pique sur le point de sortir.

Tu dis que tu attends de ceux à qui tu écris qu'ils doivent obligatoirement réponse, tu sais que pour prétendre à un juste retour des choses il te faut en premier agir en conséquence. Vois là dedans une réaction du Très-Haut qui te fais subir ce que tu as fait subir toi même...

Elle n'en dit pas plus, il comprendrait bien par lui même que par le passé il avait laissé nombre de lettres sans réponses. Ne dis-t-on pas "ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l'on te fasse?"...
Puis elle enchaina, tout du moins essaya de répondre à son tour.


Qu'ai-je fais...

Elle laissa vagabonder son esprit, et emportée par une vague de souvenirs pas toujours très joyeux ou glorifiant, un voile presque imperceptible de tristesse se déposa sur son visage.

Et bien j'ai été occupée pas mal de temps au niveau du travail, j'ai été par deux fois au Conseil Ducal, puis j'ai été poursuivante d'armes pour devenir ensuite Hérault du Berry. L'Hérauderie indépendante s'entend...
Tu vois toi qui disais qu'un jour je le deviendrais tu n'avais pas eu tort, tu as vu plus loin que je n'étais capable de le voir à l'époque.
Et je suis encore une fois sur une liste pour les Ducales, les résultats sortiront dans quelques jours.


Elle marqua une pause, et son regard échappa à celui qui partageait ces instants de retrouvailles avec elle.

D'un côté plus personnel, j'ai pas mal divagué après que tu sois parti. J'ai aimé d'autres hommes. Plutôt mal que bien... Jusqu'à reprendre une histoire avec Zephir, tu dois te souvenir de lui j'imagine...

Elle croisa à nouveau le regard bleuté et le soutint avant de poursuivre.

Nous étions sur le point de nous marier, les préparatifs avaient tout juste débuté lorsqu'il a disparu. Du jour au lendemain. J'ai perdu le goût de vivre après cela.
Mais Calixte, que tu as su flageller de tes mots, m'a sorti de ma torpeur, et m'a redonné le sourire.
D'ailleurs tu as été plutôt dur avec lui, il m'a fait part de tes missives. Il ne mérite pas qu'on le traite ainsi, c'est un homme bon.


Elle ne ressentait pas de colère en lui disant cela, mais cela devait être dit. Une de ses mains échappa à l'emprise qu'il avait sur elle pour venir se poser sur la joue de Nathaniel, en une caresse.

Aujourd'hui tu es là, et honnêtement c'est tout ce qui compte à mes yeux. J'avais espérer si fort que cela arrive. J'ai presque du mal à y croire...
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Neidanac
Une remarque sanglante mérité, il savait qu’il avait omis de répondre à certaine lettre jadis, mais il savait en retour que le très haut ne pouvais être reconnu comme l’homme de justice de la situation.

Le très haut tel que nous le connaissons, ne peut être celui qui condamne mes gestes et qui opte pour une simple vengeance en renversant la vapeur enfin que je connaisse le fruit de mes erreurs. Ce genre de pratique serait à mon avis une action intemporelle contraire à même son commandement. Le fort ne dois dominer le faible, comme en retour le faible ne dois tenter de renversé le fort. De mes actions antérieures je me suis confessé et j’ai obtenu le pardon de l’un de ses serviteurs.

Le blondinet au cœur battant était attentif aux paroles de Kate, il voulait tous savoir et comprendre ce qui c’était passé de son absence.

Zephir, comment l’oubliez c’est à ses propres mains que je t’ai arraché la toute première fois, c’est d’entre ses mains que j’ai cueilli la première parcelle d’amour de ton être, et je n’en regrette rien. Je devrais me dire malheureux pour toi de sa désertion mais je n’en ferais rien sans cela je n’aurais pu être ici à te chanter une nouvelle fois mon juste amour.

Si son visage aurait dû se ramollir lorsque qu’elle parla de l’usurpateur il n’en fit rien, il croyait toujours qu’il avait agis pour le bien, qu’il lui avait octroyé une juste chance de défendre son amour en lui annonçant son arrivé et ses futurs geste.

Là ou tu sembles percevoir du mal dans mes actions envers cet usurpateur de Calixte, feu régnant de ton cœur, j’y aperçois de mes actions une juste et simple bonne action. Mes mots ont peut-être été sanglant parfois mais ses lettres étais là pour une noble cause, je lui ai annoncé mes envies de reconquête je l’ai invité à luttez de par son amour enfin de m’empêcher de retrouver l’amour il n’en a rien fait. Je peux concevoir que c’est un homme bon, mais nul le bon en cette précise situation. Je le dis toujours je me crois être le bon.

La main de Kate, le clé même d’un volcan en phase d’entrer en éruption fit rougir ses pommettes au simple contact de sa main, le petit homme posa son regard dans la sien puis s’exprima de nouveau.

Tes connaissances, ta motivation et bien autres de tes talents ne parlait d’eux même et le font toujours, je suis convaincu que tu as encore beaucoup de chose à faire, j’ai aussi dit qu’un jour tu serais Duchesse du Berry, je suis toujours d’avis que cette avis deviendras vérité un jour. Conseilère du Duc fou, si dans sa folie quel’contre il devait te maltraité! Je lui piéterais la gueule en sang! Et Hector bouffera à corps même les tripes de sa fouine.

Affichant un sourire taquin le blondinet pinça avec douceur l’un des bras de son aimée avant même de l’attirer bien au fond de ses propres bras pour lui murmurer.

Peu tu donc y croire enfin? Je suis là, venu de loin pour te dire que je t’aime et que sans toi ma vie ne pèse pas lourd.
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Kateline
Kat nota la remarque que Nathaniel fit au sujet de Zel, elle hocha la tête avec un demi sourire avant de lui répondre.

Tu sais aussi fou qu'il soit... je crois que la seule chose qu'il ne fera jamais c'est bien de me blesser. Il est plutôt du genre sur-protecteur, mais tu auras l'occasion de le constater par toi même. J'en suis certaine.

Et c'était peu de le dire, le parrain en avait gros sur la patate concernant le Blond qui était sans doute la personne ayant fait le plus de peine à sa "fillote adorée". Déjà elle imaginait un combat en lice pour les deux hommes ou un combat de coq... à fouine.
Elle sourit à son pincement gentillet, et acquiesça à sa dernière question. Elle touchait enfin à la réalité de l'instant, là au creux des bras de celui qu'elle avait toujours aimé.
Tous ses espoirs quand à une vie à deux renaissaient de leurs cendres, il avait réussit à rouvrir les portes de son cœur en grand.
Elle resserra ses bras autour de lui, s’imprégna entièrement de sa présence, de son odeur, de son amour. Elle ferma les yeux et le visage niché contre son épaule elle profita tout simplement de lui.


Je le crois... et je t'aime... Lui souffla-t-elle.

Elle se redressa légèrement pour lui faire face, et entourant son visage de ses mains elle approcha son visage du sien et déposa un tendre baiser sur ses lèvres.

Nous avons le droit à une seconde chance tous les deux, mais j'aimerais savoir... que comptes-tu faire? Tu vas t'installer à Bourges, elle hésita, avec moi? Ou tu vas te trouver une maison à toi?

Puis une question traversa l'esprit de la Brune. Elle repris une de ses mains dans les siennes et joua avec ses doigts, l'air de rien.

En retournant chez toi tu as trouvé la richesse, que recherches-tu ici? As-tu des projets quant à ton avenir?

Elle aurait aimé savoir s'il comptait un jour rendre honorable leur relation, d'autant plus qu'elle commençait sérieusement à se demander si un jour elle réussirait à se marier.
Mais ce n'était pas le genre de Kat de parler de ce genre de choses sans avoir l'impression de passer pour un bisounours.
Ceci étant elle préféra esquiver la question...


A un moment donné je crois que tu m'avais parlé d'un bateau...
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Neidanac
Je dois dire que juste à ce moment, peu de gens semble avoir gardé pour moi de la rancœur ou de la haine, c’est même un peu vexant quand tu vois que certain ne se souvienne plus du tout de toi. Peut-être l’oublie est mieux que de mauvais sentiment? Je l’ignore, j’ignore quel accueil me réserve le duc, mais j’ai hâte de constaté à combien se situe se degré de protection envers toi.

Le petit homme fît office de son plus beau sourire la voyant maintenant face à face depuis qu’elle c’était redresser, ses lèvres assailli d’un autre baiser Nathaniel charmez rajouta.

Habitez seul dans une maison me paraitrais poursuivre mon chemin dans la condamnation de ma stupidité, je vais pour le moment faire l’achat d’un appartement pour possédé à Bourges en quelques sorte un entrepôt ou conversé les présents du temps, mais mon désir est de commencer dès maintenant une vie commune sans plus jamais se séparé, sauf l’ou tes charge t’appellerons ;a fuir mes bras. Quand à mes projets, je n’ai jamais été très axé sur la politique ou encore la diplomatie, j’ai de bien plus grand projet personnel.

Le petit de Sade poursuivi étape par étape les réponses à toute ses questions, en prenant soin de terminé cette dernière réponse brusquement pour poursuivre sur une autre.

Les bateaux… les mers se replisse un peu plus chaque jour de navire de guerre, mes finances actuelle qui disons-le s’étend à quelques minimum 4000 écus ne me permettrais pas d’avoir un navire digne de ce nom, et je ne vois point l’utilité de déboursé 2000 écus enfin de faire l’acquisition d’un simple mauvais marcheur pour devenir littéralement une brebis, condamné à erré sur les côtes des mer et a prier pour ne pas faire de rencontre… ce n’est pas mon style de vie… de plus que je ne ressent pas pour le moment besoin d’aventure.

Puis, l’hérité de la maison de Sade avec grande douceur quitta la sécurité des bras de sa douce et belle dulcinée, pour poser pied au sol,

Je souhaite et je chéri le rêve d’unir ma vie à la tienne, mais Dieu pose sur mon chemin d’abord un lourd fardeau, celui l’ou je vais devoir devenir un homme digne de toi, non pas seulement devenant noble, mais digne de toi en tous les aspects de la morale jusqu’à la démonstration de mon pur amour enfin de mérité dignement le droit d’espéré de te voir devenir ma femme. Mais avant toute chose, avant même ma propre noblesse, avant même la transformation de mon être en une personne plus digne de toi. Je pense que la première chose à faire serais de te demander si tu saurais trouvé en toi suffisamment d’amour et de pardon pour accorder à un simple homme comme moi le droit de prétendre à ta main, que je te demande à l’instant.
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Kateline
L'idée venait de lui traverser l'esprit, et pourtant la surprise de la demande était telle que l'émotion submergea Kateline. Elle l'avait tant espéré, il y a si longtemps de cela... elle ne l'avait jamais avoué à qui ce soit, l'idée même d'unir sa vie à celle d'un autre n'aurait jamais pu émerger de son esprit si il n'était pas entré dans sa vie. Nathaniel était et serait toujours l'Elu, quoi que ses actes passés puissent montrer.
Complètement hermétique au fait de se marier, il avait chamboulé toutes ses idées préconçues des échecs maritaux et de l'enfermement que cela représentait pour elle à une certaine époque. A qui aurait-elle pu l'avouer?...
Et aujourd'hui, malgré son envie si forte de lier son âme à la sienne, un sentiment de peur se mêla à la fête de ses émotions. Que se passerait-il s'il venait encore à l'abandonner, tout comme auparavant?
Elle planta son regard brillant dans le sien, émue et la voix légèrement chevrotante. Toute l'assurance de la Brune s'était envolée...


Tu as trouvé mon pardon ici même, et je t'aime toujours aussi fort. Si je ne te pensais pas digne de moi je t'aurais tout simplement claqué la porte au nez tout à l'heure.

Un grand sourire illumina le visage de Kat, et se saisissant des mains de son amour retrouvé qu'elle pressa doucement entre les siennes, elle répondit enfin...

Je veux passer le reste de ma vie avec toi, je l'ai toujours voulu!

Elle serra un peu plus fort les mains de Nathaniel.

Et je te jure que cette fois je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas te laisser t'échapper, et si jamais quelqu'un tente de s'interposer entre nous je le tuerais de mes propres mains.

Et lorsqu'on connaissait la Brune, on pouvait savoir que cela n'était pas des paroles en l'air.
Elle se pencha vers lui, saisit le visage du désormais "fiancé" et l'embrassa avec une passion démesurée.

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Neidanac
Pendant que son visage était coincé le jeune Nathaniel qui prolongeait le baiser en profita pour réfléchir! Oui un blond peut faire deux choses en même temps. Oui, elle a dit oui! À ce moment précis le jeune Sade n’u qu’une révélation, le temps de la gueuserie devais cessez, le temps du retour d’un Sade à la tête de Bruay-la-Buissière & de Cantaing. Vouloir devenir noble par ambition est une mauvaise chose, mais le devenir pour l’amour lui semblait une noble chose, Artois indépendant ou pas, hérauderie indépendante valable ou non, il allait faire valoir son droit et sa légitimité d’héritier.

Dans les temps prochain, une visite chez le patriarche des Sade, son grand père s’imposait, après tous il était sans l’ombre doute comme son père l’était, l’hérité de la maison de Sade, l’héritier du comté du Cambrésis & vicomté de Bouvines. Armé d’une lettre témoignant de la véracité de son sang allait être plus que la bienvenue. Mais en sa tête il était clair, du moment ou il choisissait de devenir seigneur de Bruay-la-Buissière & Cantaing il le devenait automatiquement et de droit s’il apportait les preuves de son sang, n’importe quel hérauderie qui se respecte légale ou non ne pourrais jamais contredire la légitimité du sang.

Le petit homme blond quitta peu à peu les lèvres de sa douce et belle Kateline, puis glissa ses doigts dans les siens à manière de pouvoir contrôlé quelques temps ses douces mains qui semblais appelé au sang, alors que ses lèvres se dirigeait peu à peu vers son oreille pour lui murmurer un bien tendre ‘’je t’aime’’. Elle ne l’avait peut-être pas comprise mais jamais aucune femme ne serais capable de lui faire commettre l’adultère, qu’elle soit la cousine du Duc jusqu’à Princesse de Bretagne ou bien la fille d’un machin truc Arabe. Il ne cherchait pas la plus grande couronne mais un cœur pure et cela c’est Kateline qui pour lui pouvait lui offrir.

Mais il ne la retenait pas coupable de ses envies de sang, combien de fois il avait menacé et provoqué en lice des gens qui lui paraissait draguez sa belle? La jalousie lui semble toujours comme une preuve d’amour, féroce et violente, mais à son propre sens c’est ainsi que les libre s’exprime alors que les moutons se referme sur eux même.


Et moi je jure en retour, de t’aimer et de t’offrir un très trop diamant pour que tous homme puisse voir jusqu’en Angleterre que ton humble personne est déjà prise… ce bijou sera à la fois la démonstration de mon infini amour mais l’avertissement ultime contre les vil’s homme qui recherchais à profané le temple de mon amour, et je jure! De te cédé tous les noms des vilaines femmes qui me sembleront me draguez enfin que tu puisse y faire connaître et respecté la justice Katelienne, une justice impartiale l’ou la mort sera l’unique condamnation.
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