Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8   >   >>

[RP] Cérémonie d'allégeances - Maud St-Anthelme ~ APRES-MIDI

Niall
Quelle idée il avait eu d'accepter de rester aux allégeances. Il le savait pourtant que ça durait des plombes ! En plus on venait même pas lui prêter allégeance à lui.
Remarque ça défilait sévère ces dernières minutes pas le temps de souffler on dirait.
Il entendait le ventre de sa promise gargouiller et lui retint des affreux bâillements pour éviter de se mettre l'affiche devant tout le monde.

Chaque fois qu'un noble passait devant sa femme il faisait un signe de tête pour le saluer. Fallait aussi savoir être poli. Et puis un signe de tête n'avait jamais tué personne.

Il n'espérait qu'une chose : que ça se finisse vite pour qu'on puisse passer au festin.

_________________
Lunkos
Lunkos qui se plaisait déjà à pouvoir profiter du siège confortable où son séant s'était "légèrement" positionné sursauta à son nom. C'était donc à lui, il se leva, un clin d’œil en arrière et s'avança vers la Duchesse.

Il s'inclina et le genou à terre,

Votre Grâce, Duchesse Maud Saint Anthelme de Rivien, moi Lunkos de Vivans, pour mes terres de la seigneurie d'Hurigny et afin de renouveler mon serment d'allégeance, vous jure fidélité, aide et service armé et conseil ainsi qu'au Duché de Bourgogne.
Que la terre et le feu me rongent la chair si je faillis !

_________________
Uruk
    Non pas qu'il n'appréciait la nouvelle tête qui dominait la Bourgogne, bien au contraire, il l'appréciait bien, mais il ne viendrait pas. Il avait essayait quelque fois de venir, mais le profond ennui que lui inspirait la cérémonie à venir et le repos qui lui manquait (oui, se reposer du repos, c'est un devoir bien urukien) firent que la décision d'une bonne vieille missive sans fantaisie serait la bienvenu pour la duchesse. Une plume et quelques balivernes plus tard, l'affaire était scellé.

    Citation:
    Au Héraut de Bourgogne,
    Pour sa grâce la Duchesse, notre suzerain,
    De Nous, Prince Uruk de Margny-Riddermark,
    Pour les terres d'Antigny, Beaune et Bourbon-Lancy,

    Assurons en ce jour sur la bonne vertu qui nous anime, notre soutient indéfectible, notre aide armée et notre conseil avisé si les portes du conseil ducal nous seraient enfin ré-ouverte.

    PS : Faites un geste pour la France, envahissez la Savoie !

    Fait a Beaune, le soir d'une journée de cette année.

_________________
Divers : Si vous vous faites chier, venez par ici, on a du papier =)
Arutha
Une missive de retour partit.

Citation:
    Altesse,
    Votre serment n'est pas valide ; le conseil que vous devez ne dépend pas de l'accès au conseil ducal.
    Respectueusement,
    Bourgogne.

_________________
Uruk
    Ça s'en va et ça revient, c'est fait de tout petits riens, ça se chante et ça se danse et ça revient, ça se retient comme une chanson populaire.

    Citation:
    Au héraut,

    Si la Duchesse préfère les conseils par missives, soit. Mais ses prédécesseurs était plutôt flegmatiques quand à l'utilisation de ce procédé attendant peut être que je force la porte de mes vieilles forces !

    SAUMR

_________________
Divers : Si vous vous faites chier, venez par ici, on a du papier =)
Maud
Et Maud qui profitait du répit après Aryanha pour s'enfiler au moins deux tartines de pâté amoureusement préparées par Alphonse apprécia que Lunkos marqua un temps d'arrêt avant de s'avancer vers elle.. Avalant le dernier morceau vite fait..

Lunkos de Vivans, nous Maud saint Anthelme de Rivien, Duchesse de Bourgogne vous promettons justice, protection et subsistance pour vos terres d'Hurigny !

Et elle lui fit l'accolade vassalique non sans lui murmurer: Vous savez Hurigny que je vous ai pris au Conseil Ducal comme consultant hein? Venez-y

Et elle s'écarta, observant d'un seul coup un drôle de manège en voyant le héraut recevoir une missive.. pour en écrire une très vite.. pour en recevoir une autre.

Dites-moi Bourgogne, je me doute que votre journée comme la mienne est très prise.. Mais, euh.. misère! On dirait que vous croulez sous les missives là.. Aucun souci j'espère?
_________________

"Mon âme est à Dieu, mon coeur est au Roy, mon corps est à mon époux"
Jehanne_elissa
Allégeance.
Un mot que la jeune rouquine (ou plus si jeune, selon les points de vue) avait appris à détester. Mais bien sot qui, un fois son avis forgé, s'y tient ! À vingt ans, elle avait le sentiment d'avoir déjà trop de fois répété ce serment, sans jamais en avoir ressenti les avantages.
Peut-être ne connait-on vraiment ce que l'on a qu'une fois qu'on le perd.
Peut-être n'avait-elle, effectivement, pas grand chose, en Bourgogne, en échange de ce serment.
Pourtant, elle était là.
Pourtant, depuis l'été, elle était venue vivre ici, chassée par des ombres indécises en Languedoc, enhardie par les deuils qui avaient plombé son coeur. Et puis, la vie ici, en fin de compte, ce n'était pas si mal. Que lui restait-il en Languedoc ? Avant, elle avait Actarius, au moins, et Eirwen. Mais Actarius... Elle avait encore peine à croire ce que Yolanda lui avait appris. Que son parrain lui donnait son congé. Alors... Eirwen ? Elle n'en avait plus de nouvelles. Sa blonde vassale était censé la représenter à l'Amassada de la Noblesa... Elle n'en recevait jamais aucun rapport. Peut-être faudrait-il écrire, s'enquérir... Ou peut-être faudrait-il rester en Bourgogne, humer l'âme de son grand-père Jehan, qui avait émoustillé cette province, bien des décennies plus tôt ; et aller de l'avant, rencontrer de nouvelles personnes, vivre.

Jehanne se prépara, avec plus d'entrain que la dernière fois, mais pas assez pour lui donner des poussées d'adrénaline. La vraie nouveauté, là, c'était qu'elle sortait avec une dame de compagnie. Cela lui était venu sur un coup de tête, quand elle avait réalisé combien elle était seule au quotidien. Il avait fallu la maladie de Magalona pour cela. Alitée tout le jour, Magalona n'égayait plus Jehanne de ses histoires, encouragements, projets.
La Goupile avait rédigé une petite annonce, et, ricochet, ricochet... Plusieurs s'étaient présentées. Plusieurs, c'est bien : l'une peut s'absenter, l'autre sera là. On peut mener deux vies, chacune à mi-temps. Et ce jour-là, la Vicomtesse de Cauvisson avait invité Livinia à l'accompagner. Elle s'était vêtue, surprise-surprise, d'une robe verte, cheveux à demi lâchés, car après avoir porté un grand deuil, elle marquait, par différents indices, qu'elle avait encore de la douleur au cœur. C'était son petit deuil, un petit deuil de couleurs, faute d'avoir la garde-robe d'une endeuillée, ou l'argent pour la renouveler tout à fait.


- « Nous y allons, Livinia ! »

Elle avait brièvement expliqué à sa vassale que sa vicomté n'était pas bourguignonne, et que sa baronnie l'était, mais qu'elles ne pouvaient pas y habiter.
- « Elle est plus petite qu'un champ de blé, et la ferme dessus tombe en ruines, et la terre ne rapporte pas de quoi la reconstruire. La ferme appartint jadis à mes ancêtres, voilà pourquoi mon grand-père accepta que ce fût érigé en baronnie, mais maintenant... »

Maintenant, il fallait que la Hérauderie en élargisse le contour, car cette terre ne répondait à aucuns standards nobiliaires, ne disposait d'aucune seigneuries à octroyer, et par dessus tout, mettait en échec la promesse que faisaient, pourtant de bonne foi, ou sans y penser, sans doute, les Ducs de Bourgogne successifs. La Baronne de Malpertuis désespérait de voir un jour la situation résolue.

Les deux jeunes femmes arrivèrent, en fin de compte, à la grande salle du Palais de Dijon où se tenait la cérémonie. Jehanne adressa un sourire large et un signe de tête au blond héraut. Désormais, elle savait son secret, elle savait qu'il ne serait pas son époux, et qu'il épouserait la Linèta. Elle n'en avait rien dit autour d'elle, et sans doute ignorait-il, lui-même, qu'elle était dans la confidence.
Cela était cause de son sourire.

_________________
Livinia
"Nous y allons Livinia !"

Elle s'était apprêtée avec soins, même si elle ne portait qu'une tenue simple, ses frusques étaient fraichement lavées et sentaient le frais. Elle ignorait où elles allaient, mais elle se faisait une joie de découvrir le monde. De Nevers à Dijon le voyage fut agréable, un peu frilet mais ils étaient à l'approche de l'hiver.

Une envolée de colverts à l'approche de l'équipage qui traversait un petit bois, l'émerveilla et elle garda un sourire en voyant le feu de l'automne vêtir les feuilles des arbres.

- C'est magnifique n'est-ce toutes ces couleurs flamboyantes ? Ça donne envie d'écrire ou de dessiner.


La capitale se profila et elles passèrent le pont levis. Puis elles entrèrent dans le palais ducal. Des corridors plus loin, elles débouchèrent dans une grande salle et Livinia se sentit bien petite. Elle sourit à la Vicomtesse, mais elle était très impressionnée de se trouver là. Toutefois, sa curiosité l'emporta sur sa timidité et elle embrasa la salle du regard.

Signes de tête, révérence, elle se tint derrière Dame Jehanne et attendit de découvrir la suite.
_________________
Lunkos
Après avoir reçu l'accolade, non sans plaisir, Lunkos lui répondit également

Et je vous en remercie votre Grâce. Je m'y suis rendu mais je n'ai pu m’empêcher de me plonger directement dans les archives bien poussiéreuses avec un cœur, je vous l'avoue, bien égoïste. Tant de souvenirs ont refait surface.
Mais je ne manquerai pas à mon devoir de conseil.

_________________
Alexandre_delots
Alexandre se rendait au Palais les bras chargés de lourds paquets protégés par de beaux et blancs carrés de toiles.
La présence de nombreux carrosses de nobles, les équipages innombrables et les hostelleries complètes était la preuve d'une cérémonie d'allégeance, ainsi savait-il que la nouvelle duchesse de Bourgogne se trouvait en ladite salle d'allégeance...
Aussi était-ce dans cette salle des cérémonies ducales qu'Alexandre se devait de se rendre.
Il est un avantage certain de faire partie du dernier ordre, c'est la capacité à devenir, aux yeux des plus grands, invisible. D'autant que beaucoup de nobles devisaient entre eux ou préparaient et répétaient leur serment. Et si tel n'était pas le cas, Alexandre préférait les chemins des offices aux grands couloirs d'apparat, aux grands escaliers de prestige, il choisissait les petits colimaçons, aux doubles portes majestueuses, il prenait les passages dérobés afin de ne pas se faire repérer.
En prenant ces chemins de traverse, forts alambiqués au demeurant, Alexandre essaya de trouver Alphonse, l'intendant de la duchesse Maud. Devant son insuccès, il poursuivit son périple jusqu'à la grande salle des cérémonies.
C'est une fois la dernière porte franchie qu'il le vit, en retrait de la duchesse régnante. Tout en essayant de lui faire discrètement signe de venir à lui, Alexandre observait le lieu de cette cérémonie solennelle et la cérémonie elle-même.
Figurez-vous une immense nef, nimbée d'une douce lumière diffusée par de grandes fenêtres à meneaux, chaque mur étant réchauffé des plus belles tapisseries allégoriques, où bois nobles et cheminées marmoréennes rivalisaient avec les ors des nombreux tableaux et les verres limpides des innombrables flambeaux ciselés dans les plus purs cristaux.
Dans cet écrin magnifiant les actions du régnant de Bourgogne, naviguaient des robes toutes plus affriolantes les unes que les autres, comme des navires subissant une dérive calculée. Les hommes n'étaient pas en reste d'ailleurs! Brocards, velours, satins, dentelles, toiles de batiste, perles, diamants et autres pierres formaient une enveloppe divine qui laissait Alexandre extatique.
Un ballet ininterrompu de révérences, d'accolades, de chevaucheurs, de prestations de serment se jouait sans véritable accroc. Une digne cérémonie!
Pendant qu'Alexandre observait avec application l'assemblée, Alphonse s'était approché un instant.


"Noble intendant" dit Alexandre, "Permettez moi de vous déranger. Votre maitresse, notre combien aimable et estimable duchesse, m'a chargée d'une, comment dirais-je, mission de confiance.
Il s'agissait de lui réserver et de lui livrer les premiers fruits de ma production charcutière.
Je vous confie donc ces pâtés et terrines afin que vous lui portâtes sans détours et avec célérité!"


Alexandre lui transmettant les paquets:
"Vous lui expliquerez ceci:
Ce premier pâté en croute est fait d'un feuilleté à la farine autunoise et farci d'une préparation de porc et bœuf d'Autun, relevé d'olives provençales et d'épices orientales.
Ce deuxième est une pâté de cygne-oie et canards relevé aux graines de moutardes de Dijon et au mou de raisin
Enfin une terrine de campagne plus traditionnelle.
Je me suis permis de glisser quelques mignonnettes de eau-de-vie de prune et de poire berrichonne, de marc de vigne bourguignon et de mirabelle lorraine de ma réserve personnelle.
Transmettez lui quand le moment vous semblera opportun et lui faisant observer toute ma reconnaissance pour l'accueil qu'elle réservera à ces faibles présents."


Les bras plus légers, Alexandre resta en retrait afin d'observer les plus grands noms de Bourgogne.


HRP édit pour modifier le nom de l'intendant... Merci LJD Maud!
Arutha
Citation:
    Altesse,
    Soit, mais cela ne dépend pas de moi, mais de la duchesse ; il vous faudra donc reformuler votre demande d'allégeance.
    Respectueusement,
    Bourgogne.


Le messager était reparti, et le héraut répondit alors à la duchesse :
« Ah, Votre Grasce ! Les missives d'allégeances arrivent, se ressemblent, ou pas. Vous aurez le loisir de les découvrir tantôt ! »

Jehanne Elissa arriva, un simple sourire lui fut esquissé, pour la simple raison qu'il ne savait pour quelle raison elle arborait pareil joie à la vue du blond héraut. Et parce qu'il ne fallait pas prendre de retard :
« Que la Baronne Jehanne Elissa s'avance afin de prêter allégeance pour ses terres de Malpertuis ! »
_________________
Alphonse.


Stoïque il était Alphonse.. Elle lui avait tout fait sa Duchesse Jusqu'à le transformer en porte pâtés à la Cérémonie d'Allégeances.
Muni d'un panier en osier bourré de terrines de toutes sortes, et de pain, de huissier, il était passé au statut de fournisseur de l'ogre que la nouvelle Duchesse portait en son ventre.
Ridicule en somme.
Sauf qu'il l'aimait et il aurait tout fait pour elle.
Guettant le moindre geste dans cette cérémonie d'un long pas possible, sa satisfaction était de voir les vassaux de Bourgogne défiler un à un et mettre genou en terre devant l'amour de sa vie.
Il n'en perdait pas une miette.

Noble intendant.. Déjà le Alphonse bombait le torse. Vrai qu'il avait mis son plus beau pourpoint aussi. Un peu surpris quand même. Et voilà que l'homme lui parlait du péché mignon de sa Grâce .. les pâtés.. Déjà qu'elle rendait fous les cuisiniers du Palis qui devaient chaque jour préparer terrines et croûtes de goût différent qu'elle engloutissait dès qu'elle avait une minute.
Avec un sourire tout ce qu'il y a de convenable, Alphonse tendit donc l'oreille au discours de cette personne.. Juste pendant une pause en fait... tandis que le héraut recevait missives et en écrivait..
Et Alphonse qui croula bientôt sous les paquets murmura à l'homme..

Messire, sa grâce sera ravie de vos présents.. et ne manquera pas de vous remercier à la fin de la cérémonie soyez-en sûr..Restez donc ..ça ne devrait plus tarder ..
Aimbaud
Aimbaud entra dans la salle du trône comme à son habitude, en traînant les poulaines.

Aaah, les corvées... Les corvées ? C'était un truc de pécores ça. Ca consistait à donner son oseille au seigneur, à traîner une partie de son bétail jusqu'au château... Techniquement, ce genre de choses, Nemours en était dispensé. FAUX. Il restait la corvée ultime de la haute noblesse : faire allégeance... Pfiou...

Il aurait fallu trouver un thème festif, au moins, pour égayer la tradition ! "Aujourd'hui c'est allégeance déguisée !" ou "Allégeance mousse !"... Mais non, c'était TOUJOURS allégeance nature et sans sucre au bifidus actif... Bon après tout, Aimbaud aurait pu lancer la mode du changement. C'était une idée ça, aux prochaines, il se ramènerait en hauts-de-chausse pijama. Ou avec un petit verre de vin. Ou pire, ah ah ! Avec sa femme au bras ! Ah ah ! Ahem... Private joke de narrateur.

Bref. Aimbaud de Josselinière se posta dans le rang des courtisans, en méditant à ces pensées profondes.

_________________
Jehanne_elissa
Jehanne appréciait la compagnie de Livinia. Après un plaisant voyage, et goûtant la poésie de sa suivante, qui savait, comme elle, s'émerveiller de tout, elle s'apprêtait à lui présenter, de discrets signes de tête et de mains, les présents qu'elle connaissait, de vue ou de plus prêt.

Mais elle n'en eut pas le temps ! Aussitôt arrivée, alors qu'elle croisait encore le regard d'Arutha et lui souriait, il l'appela à s'avancer. Fallait-il croire que pour une fois, la cérémonie était rondement menée, efficace, et finirait avant la moitié du jour ? Ou avait-elle capté son attention au point qu'il la fît passer avant d'autres, déjà là, qui attendaient ? Elle ne le saurait qu'après.
Elle eut juste le temps de tourner la tête vers Livinia, de dire :


- « Bien, euh... À tout de suite ! »

Et remonta toute la longue salle du trône, puisqu'elles n'en étaient encore qu'au commencement. Sa robe, dont les pans étaient plus longs que ses jambes, ondoyèrent derrière elle, comme une traîne d'eau verte. Elle s'arrêta à un mètre de la Duchesse et énonça, clairement, tête baissée, mains ouvertes devant elle :

- « Je suis Jehanne Elissa de Volpilhat et je vous prête allégeance, Maud de Rivien, Duchesse de Bourgogne, comme ma suzeraine, pour de bien humbles terres. J'aurais grand bonheur à remplir mes devoirs de conseil, aide et fidélité, que je vous dois et vous promets, sitôt que vous l'ordonnerez. »
_________________
Saxaltesse
déja , encore des allégeances, la Vicomtesse était encore présente dans la salle et admirait toutes ces tenus en attendant qu'on l'appelle
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)