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[RP] Joutes de St Michel du Lavardin 1459

Marylune
Sakurahime... Sakurahime... mais qui était-elle donc? Elle avait déjà vu ce nom quelque part... Sakurahime... Marylune jeta un coup d'oeil à Lynette, à son armure faite par un forgeron de l'Atelier des Doigts d'Or...

Hiiiiiiiiiiiii! Lynette!! Mon adversaire fait affaire avec les Ateliers des Doigts d'Or!

Voilà, ça lui était revenu. Elle avait vu son nom dans un catalogue.

La classe! J'adore quand mes adversaires ont bon goût!
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Karyaan
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Et de grimacer la Comtesse tout en s'approchant de la Baronne qui adorait hurler à claquer les tympans de tout le monde. Dans un sens, ce n'était pas un mal, on pouvait savoir où elle était et rester pas bien loin.
C'est qu'elle n'était pas à l'aise le Sorcière d'être là. Pas vraiment son monde tout ça...
Cependant, elle prit connaissance du nom de son premier adversaire et certainement le seul. Elle doute fort aller bien loin. Mais au moins, elle est là.

S'astiquant l'oreille pour tenter de se la déboucher après le hurlement strident, elle parla calmement, tout en balayant la foule du regard.


Je suppose qu'on est appelé quand c'est notre tour Baronne, non ?
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"La parole est l'arme du faible, l'épée l'arme du sot, j'ai choisi d'être faible et de m'entourer de sots."
Erwelyn
Lynette, les hiii, elle en avait totalement l'habitude. Déjà parce qu'elle aussi en poussait tout le temps, et aussi parce que c'était LE cri des poneys roses. L'oreille corleonnienne était donc parfaitement entraînée à ce bruit strident pouvant péter un tympan vierge de toute rencontre avec les ponettes.

Ouaaah ! Faudra pas trop que tu l'abîmes par contre, s'agirait pas qu'il ne puisse plus travailler avec les Doigts d'or à cause de toi hein.

Le doigt ganté de la baronne parcourut le parchemin affiché, cherchant son nom.

Ah tiens, je rencontre quelqu'un qui s'appelle Cruche.
Tant va la cruche à l'eau qu'elle tombe, ahahahahah.


Trop fière de son proverbe la Lynette, elle ne vit pas la Comtesse s'approcher d'elles et sursauta quand elle prit la parole.

Han Comtesse, vous m'avez fait une peur rose !
Oui, vous serez appelée quand ce sera votre tour, et vous affronteeeeeeeez…

Et son doigt de courir encore une fois sur le papier jusqu'à s'arrêter sur un nom.

Jazon, avec z, pas avec s comme le ô ancien héraut du Maine. Vous connaissez ?
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La_hire
Dès leur arrivée, Etienne de Vignolles dressa la tente de Lexhor d'Amahir duc d'Alluyes. C'était la première joute à laquelle il participait en tant qu'écuyer aussi voulait-il faire du mieux qu'il pouvait pour satisfaire le noble seigneur d'Orléans. Il refit plusieurs fois le tour de la tente afin de s'assurer que tout était prêt. Petit mobilier, coffres, tentures, lit avaient été soigneusement disposés afin que Lexhor se sente chez lui et qu'il puisse recevoir les autres nobles qui viendraient certainement s'entretenir avec lui, les joutes étant également un terrain propice à la politique.

Puis La Hire sortit et se dirigea vers la seconde tente. Plus petite, moins richement décorée, il entreprit de ranger soigneusement mais à portée de main les différents éléments de l'armure du duc. Il les examina l'un après les autres afin de s'assurer qu'ils étaient opérationnels. Il graissa les courroies avant d'inspecter les armes. Disposées à l'extérieur de la tente sur un râtelier, il examina les lances en espérant que le duc en utiliserait le plus possible afin d'avancer loin dans la compétition. Il rentra de nouveau sous la tente et inspecta les autres armes puis l'équipement de joute du destrier de Lexhor. Son inspection terminée, il ressortit car il devait encore vérifier l'état des fers de la monture avant l'entrée dans la lice, mais le duc s'était absenté.

La Hire s'assit sur le sol devant la tente et attendit. Tout en jouant machinalement avec l'étui de son couteau attaché après sa ceinture, il regardait les bannières et les chevaliers qui passaient à proximité. Lorsqu'il entendait des gens parler, il prêtait l'oreille espérant attraper au vol un nom illustre que son maître aurait prononcé durant les récits qu'il lui avait fait sur ses campagnes armées ou sur l'Ordre de la Licorne. Prenant subitement conscience de l'endroit où il était, lui qui il n'y avait pas encore six lunes était encore dans la ferme familiale avec l'élevage de cochons comme seule perspective, Il leva les yeux vers le ciel et s'adresser à un défunt qu'il respectait.


J'espère que vous voyez où je suis Messire Bulvaï et si je suis icelieu, c'est grâce à vos enseignements. Vostre disparition ne m'a jamais laissé le temps de vous montrer ma gratitude et j'espère avoir bien retenu tout ce que vous m'avez enseigné afin de servir au mieux vostre ami le seigneur Lexhor.

Il resta un moment silencieux, regardant le ciel, pensif, revoyant le chevalier errant de la Licorne qu'il avait rencontré un an auparavant et qui avait changé à jamais son destin.
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Marylune
Petite correction pour Sakurahime à Lynette:

C'est pas un il, c'est une elle.

Ah mais Marylune les connaissais les adversaires de ses copines!

Lynette! C'est pas Cruche, mais Cuche. Ouais, je sais je sais, moi aussi j'y ai souvent pensé à ce jeu de mot... C'est l'un des vassaux d'Angelyque, tu sais, ta future belle-fille?
Il est Vice-Chambellan, tout comme moi, en Bourgogne. Un collègue, quoi! Très gentil. Ne t'inquiète pas.


Et au tour d'expliquer qui était Jazon.

Ah! Non, rien à voir avec celui-dont-on-ne-souhaite-pas-prononcer-le-nom. Il est ambassadeur dans le BA.

La diplomatie, ça vous fait connaître des gens, hein! Waah! Marylune s'impressionnait toute seule en tout cas.
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Lexhor
Après être arrivé au Lavardin, le duc d'Alluyes laissa son écuyer Etienne installer leur campement et se décida, quant à lui, à entamer une ballade dans le camp où de nombreux jouteurs étaient réunis pour des joutes chaque année très attendues.
Sa destination était bien peu originale, il s'agissait de prendre connaissance de son adversaire pour le tour préliminaire...et de dégourdir les pattes de sa monture, son magnifique frison de son nom complet, Arod_Stewart, qu'il chérissait depuis qu'il le possédait, tant cette bête était spéciale pour lui. Il lui devait de nombreuses victoires.

Le panneau d'affichage livra rapidement son verdict, il jouterai contre le duc Fabien, parmi les premiers duels...
Il fit demi-tour et se retira auprès de son écuyer. Il fallait maintenant se préparer sans trop tarder et retrouver Etienne, qui avait sûrement du avancer dans l'établissement du camp.

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La_hire
Lorsque le duc revint vers sa tente, Etienne sortit de ses pensées et se leva prestement.

Ah mon seigneur ... je vous attendais. Il s'approcha de la monture de Lexhor et prit les rênes au ras du filet pour maintenir l'animal immobile et attendit que le duc d'Alluyes descende avant de poursuivre. J'ai ouïe le héraut prononcer le nom de vostre premier adversaire ... Messire Fabien ... le connaissez-vous ? L"avez-vous déjà vu jouter ?

La Hire pensait déjà à l'équipement qu'il aurait à préparer pour la joute compte tenu de l'adversaire du duc. Lorsque Lexhor fut descendu de monture et entré dans sa tente, Etienne s'occupa d'abord de son destrier. Il enleva le filet et lui mit un licol avant de l'attacher au poteau planté devant la tente. Puis il déposa selle et tapis avant de le bouchonner et de lui cureter les sabots tout en inspectant l'état des fers. Il apporta un peu de foin à l'animal puis un seau d'eau afin de le faire boire. Lorsque ce fut fait, il enleva le seau pour ne pas qu'il soit renversé puis donna une pomme au cheval et retourna voir le duc dans sa tente, non sans avoir caresser l'encolure de l'animal au préalable.

Lexhor semblait pensif lorsque l'écuyer entra. La Hire resta un instant immobile puis brisa le silence.


Cela va être un grand tournoi Messire, il y a de grands noms en lice. Je ne connais guère les nobles présents mais j'ai entendu des noms qui ne m'étaient pas totalement inconnus comme Messires Silec, Sepa et même Guillaume de Jeneffe. Ce sont ou c'étaient des licorneux, je m'en souviens, Messire Bulvaï m'avait parlé de ses camarades de l'Ordre. Il y a aussi un duel entre Orléanais : Messire Bourguignon contre Dame Kalimalice ... ça va envoyer du bois ! Des bruits distincts de préparatifs ramenèrent La Hire à l'instant présent. Vostre équipements est prêt dans l'autre tente mon seigneur, quand vous le voulez.

La Hire s'inclina et sortit de la tente du duc d'Alluyes pour se rentre dans la tente où était installé l'armure du duc. Il posa les différentes pièces qui la constituaient au sol selon l'ordre bien précis dans lequel il allait les installer en commençant par le gambison. Il prépara l'armet, les brassards, le corselet. Puis il prépara les jambières , les genouillères les cuissots en repliant les lanières de cuirs sur les pièces de métal. Enfin les garde-bras, puis tassettes et braconnière. Il posa sur la petite table heaume et gantelets puis il attendit Lexhor pour l'équiper.
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Keridil
Depuis l'entrée sur le Domaine du Lavardin, et plus particulièrement depuis l'instant où le Royal rejeton lui avait parlé comme à un laquais ou presque, l'Amahir faisait la tronche.
Le fils de Béatrice de Castelmaure pouvait se vanter d'une naissance des plus nobles, mais de sa mère il n'avait rien, et s'il pensait que son air supérieur lui faisait prétendre à la Royauté, il se méprenait, puisque si la Reine sa mère, dans sa jeunesse, avait pu paraître haute à certains, elle était apparue comme une Reine proche des hommes et du peuple.

Mais soit. Montant sa tente avec l'aide de Liloute, et y installant de quoi satisfaire son épouse et sa suite le temps des joutes, le Baron de Montpipeau n'avait eu de cesse de grommeler. Oui, il aimait les enfants, mais celui-ci n'en était pas un.

Certes, l'on invoquerait sans doute le difficile épisode de la perte de ses parents, mêlé au traumatisme d'être confié à des étrangers. Mais pour le jeune Amahir, il est des usages et des mondanités auxquelles l'on n'échappe pas, et si le Baron, soucieux d'iceux, se complaît à respecter l'ordre établi et à se soumettre à l'Altesse Royale, il n'en est pas moins vexé.

Du reste et pour lui plaire, il s'efforcera de montrer ce qu'est une joute, et de vaincre son prime adversaire, pour impressionner le gamin. Ou pas.
Puisqu'en effet, à l'annonce des combats, et à la constatation que ledit adversaire n'est autre que Wolfar, le brun blêmit.
Mon gars, ce n'est pas encore aujourd'hui que tu feras illusion.

Liloute. Serres bien la selle. Et apporte mon armure je te prie, nous sommes les sixièmes.

Ceci dit, le Baron pénètre dans sa tente pour y trouver femme et enfant, ignorant le second.

Ma mie, profitez, le jour est doux et je crois que votre mère est ici. Elle sera sans doute en joie à l'idée de vous voir.
Mon père aussi est ici. Mais il a, parait-il, un écuyer.

Et alors ? Pourrait-on lui répondre. Mais qui connait Keri Keri sait que la concurrence dans l'estime paternelle, il n'aime pas ça, allant jusqu'à jalouser ses frères. Beh voui, c'est la vie.
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En deuil, mais de sa chienne de chasse.
Ingeburge
[Et pendant ce temps-là, dans les tribunes]


Le campement auxerrois avait été quitté dès que la rumeur de la publication des duels des éliminatoires était parvenue jusqu'à la duchesse d'Auxerre. Celle-ci était plutôt impatiente d'assister aux premiers affrontements et pour cause, ce serait là une bonne distraction à son trouble et ce serait aussi l'occasion de voir deux personnes défendre les couleurs d'Auxerre. Ne plus penser à la proximité d'Aubemare, soutenir Theudbald et Namaycush avec tout l'enthousiasme dont elle pouvait publiquement faire preuve constituaient le programme du jour avec, peut-être, la possibilité de croiser Ellesya. La lettre de sa filleule lui était parvenue alors que les domestiques achevaient de dresser le camp et elle avait ainsi pu apprendre, sincèrement réjouie, que la duchesse d'Amboise ferait le déplacement jusqu'au Lavardin. Il avait donc été décidé de rallier au plus tôt la lice et les gradins, afin de dénicher la place la plus appropriée pour assister au tournoi tout en se préservant une intimité relative et de croiser quelques visages connus avant que tous se retrouvent absorbés par les prouesses des jouteurs engagés.

Après s'être rafraîchie dans sa tente privée, la duchesse d'Auxerre avait donc rejoint sa suite, au dehors, et tous avaient cheminé vers le champ-clos, à charge pour ses compagnons de campement de la rejoindre ou non. Ils arrivèrent alors que le tirage au sort avait débuté mais la Prinzessin ne s'en préoccupa nullement, elle ne voulait pas savoir, préférant de loin avoir la surprise de la composition des couples de jouteurs au moment de leur entrée en piste et puis, il serait divertissant d'essayer de reconnaître les armes qui seraient présentées par les valets d'armes ou les écuyers, exercice qu'elle appréciait, truc de héraut peut-être. Et puis, elle appréhendait sa propre réaction en entendant la liste des jouteurs, craignant, comme lors de son arrivée, de se rendre compte qu'elle était plus désappointée de le savoir absent que présent... autant ne pas savoir, pour le moment.

L'on se désintéressa donc du tirage dont on ne savait s'il était définitif ou non, la grande affaire du moment était de trouver la bonne place et de s'y installer. Songeuse, la duchesse d'Auxerre gravit un escalier et se dirigea vers la rangée du milieu, s'excusant vaguement quand elle passait devant quelqu'un. Finalement alors que c'était pour sa préoccupation première, sans se préoccuper d'où, elle s'assit et aussitôt, une de ses suivantes enveloppa ses jambes dans une peau fourrée sombre alors qu'une autre lui tendant un petit sac de cuir. Les filles furent congédiées une fois leurs tâches accomplies et la duchesse d'Auxerre, bien emmitouflée dans sa mante de velours noirs et sa couverture, sortit un petit livre d'heures de sa besace. Une main gantée vint tourner quelques pages mais son regard clair, lui, errait sur la lice. Secouant la tête et fronçant les sourcils, elle se gourmanda in petto et détacha son regard du champ-clos pour le poser sur sa gauche. Là, elle aperçut...



[Celui/celle qui a envie de réagir.
EDIT = faute énormissime ]

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Just Leave Me The Hell Alone
Akane
Arrivée au campement, brune veuve qui s'engouffre dans sa tente. L'air se voulait frais. Elle revétit son mantel noir à fourrure par dessus sa robe de deuil, enfila une paire de gants de même couleur, et se rendit dans les tribunes après avoir consulté la liste des passes à venir.

Une place de libre, non loin de Son Altesse qui avait filé sans l'attendre au campement. Déjà que les sorties se faisaient éprouvantes pour la normande, et qu'elle venait en rechignant un peu, elle ne manqua pas de lui faire une remarque de façon diplomate et courtoise malgré tout.


- Votre Altesse, permettez donc que je prenne place à vos côtés, vous qui m'avez si aimablement conviée à vous rejoindre.

Azurs un peu froids, qui se reportent un instant sur la Lice

- Je pense que nous allons avoir du spectacle, nous avons des jouteurs prometteurs de ce que j'ai pu constater. Guillaume se distingue dans cet art, comme quelques autres licorneux. J'ai ouïe dire également que Sa Grace Lexhor se trouvait fort bon dans ce domaine.

Eviter de dire qu'on aimerait bien s'y trouver sur cette lice, tellement cela semblait évident...
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Semper Paratus Servio
Guy_de_dampierre
Guy ne connaissait pas son adversaire, mais chercha l'étendard ou les livrées correspondantes pour se faire une idée de la Dame qu'il aurait à affronter.

Les couleurs qui se dégagaient du champ étaient assez éblouissantes et se confondaient dans leur nombre impressionnant. On ne comptait plus les étendards, les livrées et les blasons qui cohabitaient sur ce tout petit bout de terrain. Qui plus est, la noblesse de France aimait les couleurs chatoyantes pour elle-même et n'hésitait pas étendre ce goût au profit de sa domesticité. Tout cela rendait les choses encore plus confuses.

Sans doute y verrait-on plus clair quand chacun aura revêtu sa tunique et portera écu à son emblème.

Mais ce qu'il savait, c'est qu'il ne passait que seizième. Cette place en "milieu" de tableau lui laisserait le loisir d'observer les premiers combats avant d'avoir à enfiler son armure. D'ailleurs, les premiers jouteurs de la journée n'allaient plus tarder à apparaitre...
Xalta
Les tentes du campement orléanais avaient été montées rapidement, les hommes commençaient à avoir l'habitude, elle avait veillé au bon montage de celles-ci et au déchargement du matériel et de tout le nécessaire. Trois femmes, forcément cela en apporte des objets, plus ou moins utiles diraient certains. Trois hommes aussi qui pouvaient presque rivaliser quoique son filleul était plutôt venu léger. Elle espérait sincèrement que cela lui changerait les idées, qu'il mettrait au loin ces funestes pensées.

Puis ceci étant enfin fini, elle avait rejoint son fils Titouan près de là où l'on annonçait les futures rencontres. Son regard se pose sur une silhouette qu'elle chérit plus que tout: son fils. Son coeur se gonfle d'amour et d'orgueil. Il n'est pas sorti de ses entrailles mais elle l'aime tout comme, elle n'a pas d'autre enfant que lui et ne sait si elle en aura de son sang, elle n'est plus une jeune fille depuis fort longtemps.

Elle se rapproche de son fils, consulte la liste des rencontres , Atalante, un nom qui pour l'instant n'est associé à aucun visage mais ce serait bientôt chose faite. Désormais il suffisait d'attendre et de voir la suite des évènements. Elle pose une main sur l'épaule du jeune homme, juste pour lui signaler qu'elle est là, elle lui adresse ensuite un sourire chaleureux.

Titouan, il me semble que même si nous avons fait une partie de la route ensemble, je n'ai pas eu le temps de vous présenter à toutes les personnes qui nous accompagnaient.
M'accompagnez vous jusqu'à notre campement ? Ou préférez vous flâner encore un peu et vous familiariser avec les lieux ?


Elle laisse son regard errer sur les alentours, elle aime particulièrement les joutes et leur ambiance mais il faut reconnaitre que celles-ci étaient particulières, une parenthèse dans un contexte belliqueux. Elle se demande si le statu quo se maintiendra jusqu’au bout de ces rencontres.
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Cuche
Fulvy était venu voir la liste des jouteurs quelques instants après qu'Angelyque lui aie indiqué qu'il allait rencontrer sa futur belle-mère. "Erwelyn"?
Marchant tranquillement vers le petit groupe qui parcourait la liste, il se demandait si défoncer son adversaire dès le premier tour rendrait service à sa suzeraine ou pas. Après tout, les belles-mères ne sont pas toujours les personnes avec qui on s'entend le mieux. Surtout si la belle-fille est la Charolaise... Cette pensée le fit sourire. Puis Ange avait l'air plutôt arrangée de cette combinaison.

Devant la liste, il retrouva Marylune en discussion avec une autre femme. Il se rendit donc de ce côté pour la saluer, la liste ne s'envolerait pas de toute manière.


Bonjour vous!
Finalement ce n'est pas vraiment une surprise de vous retrouver ici. Vous savez déjà contre qui vous aller jouter?


Un petit sourire et il salua également l'autre dame, histoire de s'excuser de les interrompre.
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Marylune
Marylune était en grande discussion avec Lynette et Karyann, lorsque Cuche vers les rejoindre. Bon, d'abord, la Baronne d'Entrammes sursauta de surprise.

Bonjour vous!
Finalement ce n'est pas vraiment une surprise de vous retrouver ici. Vous savez déjà contre qui vous aller jouter?


Hiiiiiiiiiiii! Excellence!
En effet, ce n'est pas une surprise!


Et en réponse à sa question:

Je joute contre une certaine Sakurahime au goût vestimentaire exquis.
J'y pense! Je me permet de vous présenter Erwelyn Corleone, une très proche amie à moi.
Elle épousera mon cousin très bientôt.
Promettez-moi que vous ne l'abimerez pas trop!


Marylune avait prise Lynette par les épaules pour l'avancer et la présenter.

Lynette, voici Cuche de Fronsac, Seigneur de Fulvy.
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Erwelyn
Ah ben tiens, le vassale de la future belle-fille, rien que ça. Autant dire que sa suzeraine avait déjà du le briffer sévère et qu'il s'acharnerait à la coller au sol. Sa chance de débutante n'allait peut-être pas lui coller aux basques cette fois-ci…
La baronne offrit donc une petite moue à son amie lorsqu'elle lui apprit qui était son adversaire.

Mouais, tu sais, même les diplomates oublient leurs bonnes manières lors de joutes. Et vu ô combien les filles Mirandole m'ont dans leur cœur, je pense que Cruche va se faire une joie de m'étaler comme une crêpe pour faire plaisir à sa suzeraine.

Lynette avait encore en tête sa seule et unique rencontre avec Angélyque. Fière comme un bar tabac, elle avait réussi à gagner leur duel lors de joutes cet hiver et la discussion qui avait suivie avait été un peu animée.
Elle en était là de ses pensées quand un homme s'approcha de Marylune. Son radar à futur mari de ponette se mit directement en route. Était-il duc, marquis, comte ? Un regard vers son annulaire pour vérifier qu'il ne portait pas de bague, mais elle ne réussit pas à l'apercevoir. Ses prunelles détaillèrent donc le nouveau venu, essayant de capter une touche de rose sur ses habits, ce qui l'aurait tout de suite placé haut dans l'estime de la poney rose porte bonheur.

Mais son inspection fut interrompue par son amie la chopant par les épaules et la collant devant l'homme en question. Le temps que l'information monte au cerveau et la mainoise s'écria :


Ah Cruche, c'est donc vous !
Oui, ne m'abimez pas hein, je me suis déjà pété un ongle la dernière fois sur les remparts en chassant de l'angevin, ça commence à bien faire.


Et un sourire mi-figue mi-raisin de s'afficher sur son visage avant de conclure.

Enchantée en tous cas.
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