Felian
Les cavaliers se mettaient en place cependant que le héraut se raffraîchissait avec une poire. Chacun prêt, il sonna le départ. Le soleil tappait de plus en plus fort et chaque intermède représentait la fin d'une souffrance terrible, tant il était assoiffé. Ces pauses étaient comparables aux moments, dans les chasses, où les valets crient aux chiens Houl'eau pour leur signifier qu'il peuvent se désaltérer. Notre héraut n'est pas un chien et agissait donc avec plus de dignité. Cependant, pour avoir déjà participé à de telles événements, c'est ainsi qu'il voyait son comportement avec quelque vergogne.
Citation:
Prime combat
Sa Seigneurie Llyr di Maggio & d'Astralgan, Duc et Pair de Touraine, dont les armes sont « D'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bordure componnée d'argent et de gueules »
affronte Seigneur Pierre de Val de Loire, Duc de Montlouis, portant « Écartelé ; aux premier et quatrième, contr'écartelé, aux premier et quatrième de la partition, d'argent, au sénestrochère de gueules sortant d'une nuée d'azur mouvant du flanc sénestre, tenant une poignée de vesce en rameau de trois pièces de sinople, aux second et troisième de la partition, parti, de sinople, au pal d'argent et de gueules au pal du même ; aux second et troisième, d'azur, à une ancre de marinier d'argent avec deux anneaux du même, l'un en chef et l'autre en pointe, chargée d'une gerbe de blé d'or liée d'argent à sa stangue et accostée de deux sarments de vigne tigés et feuillés d'or, fruités chacun de trois pièces d'argent à dextre et de gueules à sénestre. »
Prime lance
Messieurs les Ducs, lançant leurs destriers au galop, commencent cette journée par un tour d'essai. Ils se croisent, mais ne se touchent point.
Seconde lance
Ayant ainsi échauffé leurs monture et assuré leur assise, voici les deux cavaliers qui se rencontrent à nouveau. Visant juste, chacun, ils brisent ensemble, avec une force digne des chroniques, le rochet et la lance. Maîtres absolus de leurs montures, chacun reste en selle.
Un bris partout, troisième lance.
Tierce lance
Premier combat de la journée, et quelle intensité, déjà. Les deux guerriers d'expérience se font fasse et lance leurs chevaux à l'allure de la charge. Par un manque de chance, le Duc de Montlouis ne parvient pas à toucher son Seigneur dominant, qui, en revanche, brise sa lance et désarçonne son adversaire, sans dommage pour aucun.
Le Duc de Touraine est vainqueur.
Sa Seigneurie Llyr di Maggio & d'Astralgan, Duc et Pair de Touraine, dont les armes sont « D'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bordure componnée d'argent et de gueules »
affronte Seigneur Pierre de Val de Loire, Duc de Montlouis, portant « Écartelé ; aux premier et quatrième, contr'écartelé, aux premier et quatrième de la partition, d'argent, au sénestrochère de gueules sortant d'une nuée d'azur mouvant du flanc sénestre, tenant une poignée de vesce en rameau de trois pièces de sinople, aux second et troisième de la partition, parti, de sinople, au pal d'argent et de gueules au pal du même ; aux second et troisième, d'azur, à une ancre de marinier d'argent avec deux anneaux du même, l'un en chef et l'autre en pointe, chargée d'une gerbe de blé d'or liée d'argent à sa stangue et accostée de deux sarments de vigne tigés et feuillés d'or, fruités chacun de trois pièces d'argent à dextre et de gueules à sénestre. »
Prime lance
Messieurs les Ducs, lançant leurs destriers au galop, commencent cette journée par un tour d'essai. Ils se croisent, mais ne se touchent point.
Seconde lance
Ayant ainsi échauffé leurs monture et assuré leur assise, voici les deux cavaliers qui se rencontrent à nouveau. Visant juste, chacun, ils brisent ensemble, avec une force digne des chroniques, le rochet et la lance. Maîtres absolus de leurs montures, chacun reste en selle.
Un bris partout, troisième lance.
Tierce lance
Premier combat de la journée, et quelle intensité, déjà. Les deux guerriers d'expérience se font fasse et lance leurs chevaux à l'allure de la charge. Par un manque de chance, le Duc de Montlouis ne parvient pas à toucher son Seigneur dominant, qui, en revanche, brise sa lance et désarçonne son adversaire, sans dommage pour aucun.
Le Duc de Touraine est vainqueur.
Citation:
Second combat
Dame Ellesya de la Louveterie, Duchesse d'Amboise et de Luynes, dont les armes sont « Coupé ; au premier, parti, au premier de la partition palé d'or et de gueules, au second de la partition écartelé, au premier et au quatrième de la sous-partition, d'or au lion de gueules, au deuxième et au troisième de la sous-partition, d'azur aux deux louves ravissantes et affrontées d'argent, sur le tout de gueules à la massue d'or, armée de piquetons d'argent et dressée en pal, au chef du même chargé d'un gonfanon de deux pendants du champ ; au second, écartelé au premier et au quatrième de la partition, d'azur, à deux lions affrontés d'argent, supportant une grappe de raisin d'or, tigée du même, au second et au troisième de la partition, de gueules à neuf mâcles d'or accolées trois par trois »
affronte Seigneur Zebracolor de Val de Loire, Duc des Roches-l'Évêque, qui porte « Écartelé ; au premier et au quatrième, de pourpre à une croix d'argent cantonnée en chef à dextre d'un roc d'échiquier du même ; au second et au troisième, d'azur aux deux clefs d'or passées en sautoir, liées en cur d'argent, surmontées de trois fleurs de lys aussi d'or rangées en chef. »
Prime lance
Le Duc des Roches-l'Évêque et la Duchesse d'Amboise se font face et lancent leurs destriers bardés, houssés et caparaçonnés. Le Duc touche et brise, mais ne fait point tomber la Duchesse.
Un bris à aucun pour le Duc des Roches-l'Évêque.
Seconde lance
Le même scénario se reproduit lors de la seconde lance. Le soleil arde et les cavaliers s'élancent. Le Duc brise, la Duchesse se maintient.
Deux bris à aucun pour le Duc des Roches-l'Évêque.
Tierce lance
La fatigue poind chez les deux adversaires qui ne touchent point à cette troisième lance. Personne n'a chu, les adversaires ne sont pas à égalité. Le combat est donc terminé.
Deux bris à aucun - le Duc des Roches-l'Évêque est déclaré vainqueur.
Dame Ellesya de la Louveterie, Duchesse d'Amboise et de Luynes, dont les armes sont « Coupé ; au premier, parti, au premier de la partition palé d'or et de gueules, au second de la partition écartelé, au premier et au quatrième de la sous-partition, d'or au lion de gueules, au deuxième et au troisième de la sous-partition, d'azur aux deux louves ravissantes et affrontées d'argent, sur le tout de gueules à la massue d'or, armée de piquetons d'argent et dressée en pal, au chef du même chargé d'un gonfanon de deux pendants du champ ; au second, écartelé au premier et au quatrième de la partition, d'azur, à deux lions affrontés d'argent, supportant une grappe de raisin d'or, tigée du même, au second et au troisième de la partition, de gueules à neuf mâcles d'or accolées trois par trois »
affronte Seigneur Zebracolor de Val de Loire, Duc des Roches-l'Évêque, qui porte « Écartelé ; au premier et au quatrième, de pourpre à une croix d'argent cantonnée en chef à dextre d'un roc d'échiquier du même ; au second et au troisième, d'azur aux deux clefs d'or passées en sautoir, liées en cur d'argent, surmontées de trois fleurs de lys aussi d'or rangées en chef. »
Prime lance
Le Duc des Roches-l'Évêque et la Duchesse d'Amboise se font face et lancent leurs destriers bardés, houssés et caparaçonnés. Le Duc touche et brise, mais ne fait point tomber la Duchesse.
Un bris à aucun pour le Duc des Roches-l'Évêque.
Seconde lance
Le même scénario se reproduit lors de la seconde lance. Le soleil arde et les cavaliers s'élancent. Le Duc brise, la Duchesse se maintient.
Deux bris à aucun pour le Duc des Roches-l'Évêque.
Tierce lance
La fatigue poind chez les deux adversaires qui ne touchent point à cette troisième lance. Personne n'a chu, les adversaires ne sont pas à égalité. Le combat est donc terminé.
Deux bris à aucun - le Duc des Roches-l'Évêque est déclaré vainqueur.
Citation:
Tierce combat
Dame Fildaïs de Compostelle, Dame de La Roche-Majeure, qui porte « D'azur, au Roc d'or, accompagné de trois croix potencées au pied fiché d'or en chef (composition, non historique »
affronte Seigneur Altaiir Auditore da Firenze, Vicomte de Rigny-Ussé, qui porte « Parti de gueules à la tour ruinée d'argent maçonnée de sable et ajourée su champ en franc quartier et d'or à la couronne de Laurier au naturel en quartier de la pointe senestre et à deux jumelles d'azur brochant sur le tout, posées en barre. »
Rigny-Ussé et la Roche-Majeure lancent leurs montures sur la terre sèche, ce qui leur fait prendre une allure rapide. Tandis que la Dame ne touche point, le vicomte brise sa lance et déstabilise suffisamment son adversaire pour le faire cheoir.
Le vicomte de Rigny-Ussé est déclaré vainqueur.
Dame Fildaïs de Compostelle, Dame de La Roche-Majeure, qui porte « D'azur, au Roc d'or, accompagné de trois croix potencées au pied fiché d'or en chef (composition, non historique »
affronte Seigneur Altaiir Auditore da Firenze, Vicomte de Rigny-Ussé, qui porte « Parti de gueules à la tour ruinée d'argent maçonnée de sable et ajourée su champ en franc quartier et d'or à la couronne de Laurier au naturel en quartier de la pointe senestre et à deux jumelles d'azur brochant sur le tout, posées en barre. »
Rigny-Ussé et la Roche-Majeure lancent leurs montures sur la terre sèche, ce qui leur fait prendre une allure rapide. Tandis que la Dame ne touche point, le vicomte brise sa lance et déstabilise suffisamment son adversaire pour le faire cheoir.
Le vicomte de Rigny-Ussé est déclaré vainqueur.
Citation:
Quarte combat
Seigneur Sepa von Strass, Seigneur de La Croix-près-Bléré, dont les armes sont « Écartelé ; au premier et au quatrième, d'azur, à une croix de Malte d'argent, au chef du second chargé de trois merlettes de sable ; au second et au troisième, de sable à deux épées d'or posées en sautoir, à un orle du même »
affronte Seigneur Anthoyne de La Louveterie, Seigneur de Maillé, qui porte « Mi-parti ; au premier, de gueules au chevron d'argent accompagné de trois coquilles d'or ; au second, de sable au chevron d'argent accompagné de trois loups ravissants du même, à deux jumelles de gueules posées en barre brochant sur le tout. »
Les deux seigneurs, face à face, lancent leurs montures au galop, sous le soleil qui poudroie et dans l'herbe qui verdoie, enfin qui jaunit. La Croix touche et brise, faisant cheoir Maillé qui a raté son adversaire.
Le Seigneur de La Croix-près-Bléré est déclaré vainqueur.
Seigneur Sepa von Strass, Seigneur de La Croix-près-Bléré, dont les armes sont « Écartelé ; au premier et au quatrième, d'azur, à une croix de Malte d'argent, au chef du second chargé de trois merlettes de sable ; au second et au troisième, de sable à deux épées d'or posées en sautoir, à un orle du même »
affronte Seigneur Anthoyne de La Louveterie, Seigneur de Maillé, qui porte « Mi-parti ; au premier, de gueules au chevron d'argent accompagné de trois coquilles d'or ; au second, de sable au chevron d'argent accompagné de trois loups ravissants du même, à deux jumelles de gueules posées en barre brochant sur le tout. »
Les deux seigneurs, face à face, lancent leurs montures au galop, sous le soleil qui poudroie et dans l'herbe qui verdoie, enfin qui jaunit. La Croix touche et brise, faisant cheoir Maillé qui a raté son adversaire.
Le Seigneur de La Croix-près-Bléré est déclaré vainqueur.