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[Rp] Et quand plus rien ne va, arretez de jouer.

Kelso
Alors quand plus rien ne va, plus rien ne va ! Un mal de crâne horrible, un mal de bide à vous faire gerber vos entrailles, et une odeur de transpiration mélangée à -surement des excréments- d’animaux, flottait autour de lui. En gros, c’était inviable et le cauchemar semblait loin d’être fini. Par reflexe, il se toucha le doigt où sa bague rayonnait par le passé, et, misère, désespoir, néant, que dalle, on lui avait chouravé. A lui quoi ! On l’avait dépouillé dans son sommeil, lâche ! Ah non, il se rappela en fait que c’était la presque reine - ou l'autre la, le pot de chambre- qui lui avait piqué pour une histoire complètement infantile de dés.

Il se releva d’un bond sec, prit entre la frustration d’avoir perdu cet objet, et cette envie de vomir rien qu’en se reniflant. Au milieu de nulle part, la foret à perte de vue devant lui et derrière, une taverne miteuse perdue on ne sait où. Bordel, qu’est-ce qu’il foutait la ?

Ni une ni deux, il entra dans la taverne l’air hautain et mal léché, s’adressant au tavernier qui semblait le reconnaitre et rigola en le voyant.

Raclure !


« Vous parliez avec une dame et un homme ».

On avance dans l’énigme. Mais encore.

« Puis vous êtes sortis et eux aussi. Ca semblait être son garde … blablabla blabla. »

Terminé, il n’écoutait plus. Une soudaine révélation : GNIAAAAAAAAAA ! Entendez par là, un « non » déformé pour le jeu de mot. Il sortit de la taverne, regagna son cheval, l’enfourna et s’arma. C’était la guerre peuchère, elle n’allait pas faire de vieux os. Saleté de bonne femme, pire que la vassale -enfin l‘ex-, c’était pas possible mais la, il avait trouvé le maitre en la matière d’emmerdement.

Tagada tagada …

Injures … tagada, tagada …

Bourgogne nous voila, Baronnie de Malain n’a cas bien se tenir.

Une longue montée l’attendait. Fichtre, c’était le pompon après plusieurs jours de chevauchée. Il traversa le village non sans se faire remarquer, puis suivit le chemin pour arriver devant la forteresse. L’idée de creuser la terre pour passer sous le grillage semblait complètement idiote maintenant.

Fallait trouver un truc pour qu’on lui ouvre la grille. Un truc malin, un truc où on ne lui poserait pas de question.

Il resta en scelle et cria :


Ouvrez moi ou je me retiens de caguer pendant des mois !

Ca c’était malin !
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Gnia
[Mâlain - De retour au bercail]


La nuit avait tenu ses promesse, elle avait été agitée.
La houle avait été forte et Agnès avait gité.
Et tangué aussi.
Soirée tripot en entrée, intronisation au vol et au passage à tabac en guise de plat de résistance, soirée "Astronomie et Oenologie" en digestif, Vairon en guise d'édredon pour l'after.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin et il avait donc fallu rentrer chez soi.
Avec un dé manquant.
Et de sombres cernes sous les yeux.
Et le spectre d'une volée de phalanges - au mieux - planant sur ses épaules fatiguées.

Le temps passé dans un bain prolongé fut mis à contribution pour affiner l'excuse qu'elle servirait à Eusaias pour la disparition de ses dés fétiches. Et sans conteste, c'était accuser Lionel la solution la plus... viable.
Une fois habillée de frais, prostrée sur un coffre dans ses appartements, elle avait achevé de se rogner son dernier ongle accessible avant de se résoudre à prendre le taureau par les cornes.
A défaut des bourses.



Que votre jour soit bon, mon ami.

Elle s'était annoncée ainsi dans l'étude de son époux et avait tenté de couper court à tout questionnement en s'approchant du Balbuzard penché sur son écritoire et déposé un baiser chaste sur son front.


J'ai retrouvé quelque chose qui vous appartient et que vous avez failli perdre.

La main relâcha deux petits dés qui roulèrent sur le bois. Elle s'était placée stratégiquement derrière son époux et avait ensuite posé ses mains sur ses épaules.


Malheureusement, je n'ai encore retrouvé le dernier. Lionel, et je ne sais comment il a fait pour se les procurer, s'est amusé à les jeter du haut des remparts. Nous avons fouillé et fait fouillé tant est plus en évitant les chausses trappes au bas des murs, mais nous n'avons retrouvé que ces deux là...
Ne soyez ps trop dur, mon époux, Lionel a déjà reçu punition pour sa bêtise...


Et d'adresser une prière muette au plafond noirci de suie, visage crispé dans une grimace expectative, pour que le Balbuzard soit d'humeur ce matin à gober ce genre de plat en sauce.


Puis quelque chose ou plutôt quelqu'un vint interrompre la manoeuvre salamandresque et le garde annonça platement, l'air d'en avoir vu d'autres


Y'a un gus à la poterne qui exige qu'on lui ouvre sinon il dit qu'il se retient de caguer pendant un temps indéfini... On fait quoi ?


Et merde...
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Eusaias
218 ça fait 9 soit R….. Fait chier… Rmster ça eut rien rien dire. P*tain…

Ce qui était bien avec les messages codés c’étaient que ceux qui ne connaissaient pas le code ne pouvait pas décrypter le message. Ce qui était ennuyeux avec les messages codés, c’était que ceux qui oubliaient le code ne pouvaient plus décrypter le message. En ce jour le Balbuzard était l’un d’eux et pour la 30eme fois tentait de déchiffrer le message codé par son défunt trésorier.

Sur le moment le balbuzard avait trouvé intelligent que faire coder l’emplacement de son trésor mais les deux personnes connaissant le code n’étaient plus aptes à déchiffrer. Le premier étant le bourguignon qui avait oublié et le second le défunt.

Aussi quand Agnès le perturba il se préparait à tonner et pensait pouvoir l’accuser elle histoire que lui se sente mieux, mais elle fut plus rusée que lui. Les dés roulèrent sur la table et se finir évidemment sur un double 6 vu qu’ils étaient pipés.

D’une oreille distraite il écouta donc la Salamandre. Son fils…. ?


Agnès, vous êtes entrain de me dire que Parfait est venu jusqu’à mes habits pendant que je dormais, m’a volé mes dés pipés et tout cela pour les jeter d’en haut des remparts…

Il lui lança un regard qu’il voulait noir. La feuille codée fut posée sur la table calment alors qu’il tentait de la foudroyer du regard. Puis son rire de hyène sortit de sa gorge à pleine puissance.

Dieu en soit loué, mon fils tient de moi ! Il ne sait pas tenir une épée qu’il a déjà compris qu’on s’amusait mieux sur les remparts ! Hahaha, je vais désormais lui apprendre à faire rouler les dés sur une table quand il y a de l’argent en jeu plutôt que de les lancer dans le vide.

Il tapa du plat de la main sur la table.

Ceci dit vous êtes une mère indigne Agnès ! Punir un enfant car il veut être comme son père ! Je vous ordonne de faire retirer la punition à Lionel. En plus techniquement c'est lui qui nous héberge....

Le rapace planta alors son regard dans celui du garde qui venait d'annoncer l'étrange visiteur.

Un bouseux refuse de chier si on ne le fait pas entrer ? En voilà une nouvelle intéressante. Je parie 2 écus qu'il cédera avant d'éclater. Vous en pensez quoi madame mon épouse ?
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Gnia
J'en pense que je suis fort curieuse de savoir si vous gagnez votre pari. J'vais aller voir ça de plus près...

Une pensée là tout de suite maintenant ?
"Si j'avais su..."
Une autre pour la route ?
"Mais maintenant je sais. Note à moi-même : toujours brandir Lionel quand c'est possible pour se sortir d'un mauvais pas."

La Saint Just laissa filer discrètement le trop plein d'air retenu dans son poumon et demi et se dirigea vers le garde, prête à prendre congé, soulagée de s'en tirer à si bon compte. Puis sur le pas de la porte, elle se retourna vers son époux.


Ah ! Au fait.
Si 218 fait 11 et que vous partez du début de l'alphabet, ça vous donne un K. Mais un mot qui commence par un K c'est pas commun. En tout cas pas en français. Donc je suppose qu'il faut partir de la fin, ce qui vous donne un P.


Et de filer à la suite du soldat dans les couloirs du bastion non sans omettre de faire un détour par ses appartements pour tenter de remettre la main sur une bague qu'elle avait totalement oubliée.
Une fois la chevalière retrouvée, elle avait considérablement ralenti l'allure, détaillant le bijou les yeux plissés. Des armoiries... Mais lesquelles... ? Foutrement compliquées en tout cas...

Sur ce dernier constat, elle releva le minois et se trouva à la poterne donc le guichet était resté ouvert. Glissant un oeil prudent pour vérifier que c'était bien qui elle pensait qui s'y trouvait, elle esquissa une grimace.


Ouais... J'l'aurai parié aussi...

J'vous laisse entrer si vous jurez de vous tenir tranquille, sinon j'fais prévenir les arbalétriers... D'ailleurs j'vais les prévenir quand même, ça sera plus prudent...


Message passé, elle fit enfin ouvrir à l'inconnu qu'elle avait malmené qui en conservait visiblement encore les stigmates.
Nez froncé devant le navrement du quidam, elle le toisa


Vous avez ce qui m'appartient ?

Elle avait glissé la chevalière à son index et, par provocation, la main qui la portait vint triturer la fine balafre qui ourlait le bas de sa joue.
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Kelso
C’est que le pire de tout, c’est qu’on le laissé glander, la, comme un idiot. Comme s’il avait que ça à faire quoi, attendre. Jamais il n’attendait lui, on l’attendait plutôt et pas l’inverse. Que les choses soient claires : il n’avait rien de mieux à faire mais c’était une question de principe bon sang.

Il attend …

Encore …

Blablabla, enfin !


Humpf !

Sur cette parole, il sauta -se laissa tomber plutôt- de son cheval pour arriver devant elle. Bras croisés, pied qui tapotait le sol, nerveusement pour canaliser cette boule au ventre, cette envie de lui gueuler dessus et de l’insulter. Et qu’en plus, elle le nargue, ca monte doucement, très doucement. Ca va pas tarder à péter. Il serra les dents, et les fesses aussi. On ne sait jamais, un coup de stress et up, c’est la déferlante.

Bah évidement que j’ai ce qui vous appartient sale bonne femme.

Héhé, bien envoyé. Il se tripota le ventre en la regardant.

C’est bien au chaud, la dedans. Et je précise aussi que si je suis contrarié et bien je ne fais pas. D’ailleurs, c’est assez rare que je fasse ailleurs que chez moi, mais je peux faire un effort pour vous. Malheureusement, je ne vois pas votre pot de chambre la, le grand dadet, il aurait venir m’essuyer le derrière.

Regardant sa bague, à lui.

Rendez la, elle vous va très mal. Si vous me la rendait, je promet de faire sans attendre et vous pourrez répandre le tout dans vos champs. Ca ferra pousser des merveilles. Allons cessons ce jeu, rendez la, et je me retire prestement.

Tendant la main quand même, histoire qu’elle ne lui jette pas au visage. Vi, parce qu‘elle ne savait pas, c‘est qu‘il avait déjà sortit ce maudit dé. Et dieu sait qu‘il l‘avait senti passé. A s‘arracher le fion cette histoire.

J’attends.
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Gnia
Elle esquissa un sourire en coin au souci du détail qui avait l'air de tenir à coeur au quidam.
Elle posa sa main, celle qui ne portait pas la bague évidemment dans la sienne et referma fermement les doigts dessus.


Allons allons, que d'agressivité dans ma propre demeure...
Venez, on va boire un coup et reprendre depuis le début.

Relevant sur lui un regard où luisait une lueur amusée, elle ajouta

Je sais même pas comment vous vous appelez...

Et de faire un pas vers le poste de garde, tenant toujours la main, avant de se retourner, l'oeil interrogatif.

Vous v'nez ?
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