Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Quel est le rayon de la roue quand elle tourne?

Chimera
      [Parce que oui, elle tourne!!]




La déprime, c'est comme le cheval, c'est génial. C'est génial parce que c'est empli de la conviction sous-jacente bien que souvent par l'esprit réfutée que si l'on ne meurt pas, on ne peut que remonter. L'esprit est convaincu, s'est convaincu, d'avoir touché le fond, mais le corps, lui, n'est de toutes façons pas prêt à rejoindre Tir Na nOg.
Allez, Dénéré, fille de la Mère, on se secoue. Ruade d'un esprit pas si convaincu.
Elle sait que tout est cycle et qu'elle n'y échappera pas. Hallelujah hérétique. Awen, en somme. Si frustrée qu'elle soit parfois de n'avoir aucune prise sur les choses, cette implacable conviction est une chaleureuse embrassade. Ô joie, savoir qu'on est entre les mains d'une chose qui nous dépasse, d'une permanence qui ne se soucie guère de l'influence qu'humain peut avoir sur elle. Là, nul besoin d'agir pour être partie du tout, et elle plongerait, plongerait et plongerait encore dans ce fleuve immuable aux eaux pourtant parfois troubles et mouvantes si l'élément n'avait pas été source récemment d'une telle déconvenue. Autant changer la métaphore donc, et s'oublier dans cette bienheureuse passivité.

Quand ça va mal, mal, mal, mal très mal, donc, qu'on croit que ça ne pourra jamais aller plus mal, une solution revient à se faire soutien, vite, d'une âme dans un péril qu'on juge plus grand encore que le sien, peu importe l'avis que l'être en détresse en a puisque de toutes façons on ne lui dira pas. Se faire soutien, pilotis, mimine ouverte, lapin salvateur, qu'importe, se fondre en ce qui soulagera.
Étrange chose que de vouloir voler vers une petite endeuillée d'une autre qu'on ne peut ni ne veut pleurer. Instinct-Mère surpasse Instinct-Femme, c'est bien connu, voyons.

En langage commun, on dit que la roue tourne. Elle aurait bien pris la voiture pour souligner sa volonté de la voir tourner et tourner encore jusqu'à être sûre d'avoir retrouver l’ascensionnel mouvement, mais les cahots sont contrariants, et la route n'est pas assez longue pour nécessiter des chevaux frais. La cour ne résonne donc pas du tapage du bois de fer cerclé, mais du doux son des équins petons impatients


- Monterez vous l'arabe?
- Morvac'h, Ifig. Après tout, c'est celui qui marche sur l'eau. C'est approprié, non?
Les lèvres pourpres sont étirées. Elle est amusée. Le brun est visiblement perplexe, n'ayant pas profité du fil de la rousse pensée, mais a coutume de ce genre de sorties chez la scelaig et ne s'en offusque pas. Il sait que la question est rhétorique, et la laisse donc poursuivre:
- Inutile de faire montre de prestige. Elle est désormais plus titrée que moi. Soyons humbles pour être grands, et Morvac'h a encore fière allure, malgré son âge.
Il sourit, et elle lit le soulagement sur ses traits. Nota Bene, remercier Calyce, qui au matin même avait, dans une grande vague de naturel fraternel, balayé les rouges réticences de l'ex-duchesse de Cholet qui se serait enfoui la tête sous le sol plutôt que de croiser la route de celles qu'elle devait désormais appeler grâces quand lors de leur dernière rencontre, le protocole exigeait l'inverse.

    [Chateau-Gonthier - Terme d'Angevine chevauchée]


Ifig pousse sa monture en avant, jusqu'au poste de garde, laissant sa dame à ses pensées songeuses.

- D... Bonjour. Veuillez je vous prie annoncer Sa Grandeur Chimera de Dénéré-Malines, Comtesse de Cholet et Baronne de Bubry, à Sa Grâce la maîtresse de céans.
_________________
Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Alix_ann
C'est une fée qui fusse dans Château-Gontier alors que le coche aux armes de Cholet vient à peine de franchir la bordure de la limite de son champ de vision là-bas. Alix regarde souvent par la fenêtre, le regard perdu, du temps libre à ne plus quoi savoir en faire. Si elle était un peu plus gaillarde elle pourrait aller aider les castrogontériens dans leur travaux de paysans, mais la paysannerie ça la tentait pas trop. Non flâner le nez dans les nuages dans les couloirs de Château-Gontier en s’arrêtant aux fenêtres était bien plus amusant. Bien loin des autres filles qu'elle avait abandonné pour l'heure et devait s'occuper d'une autre manière. Et c'est ainsi que la Fadette découvrit ce petit coche qui perçait le paysage et s'avançait jusqu'au domaine en continuant sa course qui ébranlait toute la litière. Elle trouvait ça marrant un coche, elle ne peut s’empêcher de se fendre d'un rictus amusé et d'un rire étouffé. Quelle drôle d'idée de transporter les gens dans des baraques de la sorte!

Il ne lui en a pas fallu davantage à cet instant pour se bouger le fion et s'activer jusqu'aux escaliers. D'une main elle tient sa robe pour ne pas se casser la gueule de manière certaine, c'est qu'elle n'a aucun besoin de se recasser un membre pour le moment, et de l'autre elle intime Obéron, cet énorme dogue que Yolanda lui avait offert de la suivre de près. Alix eut à peine le temps de vraiment s’interroger sur la raison de la venue de la Duchesse ici. Parce que si il a été décidé que la Dénéré-Malines n'était plus que Comtesse ce n'était que par la bêtise qui contaminait les terres bretonnes et elle décida qu'au fond ce n'était qu'un détail. Comme beaucoup, elle omettrait celui-ci tant que ça lui chante.

Cholet était en Anjou, la Duchesse était venue lui rendre une visite. Ça la comble de bonheur et on sait combien c'est une chose heureuse que la Fadette rayonne, qu'elle se porte mieux. C'est si peu dans son habitude! Les chaussures claquent contre le sol tandis qu'à la hâte elle s'atèle de rejoindre l'entrée où doit se trouver Chimera. Elle ne l'avait rencontré qu'une fois en Bretagne, avec Yolanda. Une lointaine cousine qui l'avait plus que marquée. Elle avait cette stature que les grandes dames avaient, pire que Mamm même, sa chevelure lui coupait le souffle, tous ces cheveux flamboyants qui semblaient alors danser autour de son visage imposant le respect, cette manière de parler si sage et érudite. Elle gardait de cet échange un sentiment étrange qu'elle ne serait qualifié. Cette personne l'avait regardé pour la décortiqué du regard, petit à petit, mais au final l'enfant gardait une grande sympathie pour sa grandeur. C'était un souvenir si imprécis en même temps qu'il serait vain de lui demander de le retranscrire.
Admirative, voilà comment elle été globalement ressortie de sa première visite de conventionnelle avec la jeune Josselinière. Et de manière plus patriotique elle appréciait d'autant plus chez elle le fait qu'elle soit Bretonne.

La voilà qui débarque dans la grande entrée, affirmant d'un signe de tête aux personnes posés tranquillement devant la porte de la lui ouvrir. Bien quoi, elle était bien trop frêle pour venir à bout de ces deux grands et lourds battants. Toujours sur le même pas plutôt jovial elle descend jusqu'à la hauteur de Chimera. C'était une belle journée aujourd'hui, le ciel était complètement gris ce qui procurait au lieu une atmosphère qu'elle appréciait particulièrement. C'était l'hiver qui se dessinait peu à peu et un temps gelé qui s'installait, se propageant dans le corps de la Montfort alors qu'elle vient à peine de se découvrir à l’extérieur.
Frénétiquement elle frotte ses mains contre ses hanches dans un vague effort pour s'apporter un peu de chaleur, arrivée vers Chimera elle fait sa plus belle révérence.


-« Demat deoc'h ha Donemat. Penaos ‘man ar bed ganeoc’h? » Puis en portant affectivement sa main jusqu'au haut du crane du dogue « Obéron eo. »
_________________
Yolanda_isabel
-« Et il a dit Sa Grandeur ? »
-« Tout à fait ma Dame. »
-« Non mais ils vont pas commencer à m’lourder ces cons de bretons. Elle était duchesse, elle le reste, Cholet, c’est un duché. Sérieux le péquenot qu’a fait de son duché un comté, je vais le foutre aux geoles, je vois pas d’autres solutions, non parce que là, ça va bien hein.. »
-« Ca doit être le Grand Duc de Bretagne ma Dame.. »
-« Non mais au pire, je m’en fous. Je l’appelle Cousine, ça ira bien. Non parce que bon si à chaque fois que ces pignoufs de faux celtes germent une idée, on doit l’appliquer, on a pas fini hein. »
-« Ma Dame, si on vous entendait ! »
-« Non mais ça va, là y a personne. »
-« .. »
-« Non mais vous c’est pas pareil, vous êtes une bonniche. »
-« Bah des fois que je l’oublierai, vous serez bien civile de me le rappeler. »
-« Attention ! Je suis pas comme ça, moi ! »
-« Ah.. Je me disais aussi.. »
-« J’oublie rien ! J’y manquerai pas, tiens. Bon, bah je vais y aller. Duchesse ou comtesse, c’est quand même ma cousine ! »


Les chiens à la suite, vaillants suiveurs, elle quitte sa chambre, convaincue que de toute façon où qu’elle aille, ils seront là aussi, quand soudain, ses pieds se prennent dans un autre chien. Le sourcil se hausse.

-« Bah Titania.. Qu’est-ce que tu fais là ? »

Yolanda parle aux chiens, et l’un dans l’autre, ça vaut bien les bonniches. Sauf que cette chienne-là fait partie du couple de mâtins offerts à la petite Alix Ann – oui, ces choses-là, ça va par paire, promo exceptionnelle – d’un mouvement de main qui se veut dissuasif à l’égard des soucis à venir, elle embraie sans plus de questions, à la tête d’une meute de chiens, composée d’un gros dogue noir et de trois jeunes mâtins napolitains, autant dire qu’il y a du chahut dans les couloirs, et enfin, la porte est rejointe, et la Fadette avec, quant aux chiens, vous savez ce que font les chiens qui se retrouvent après s’être perdus de vue pendant plus de quelques minutes, ils se .. Saluent. Les humains aussi !

Alors ses pas la mènent jusqu’à la cour où elle vient se placer tout à fait à côté de sa damoiselle de compagnie et cousine, pour saluer son invitée et cousine – et à ce rythme-là, on aura plus aucun doute quant à la capacité légendaire des Dégénérés à s’immiscer à peu près partout – d’un grand sourire ravi.


-« Ma cousine, bienvenue à Château-Gontier. Vous avez fait bonne route ? »

C’te blague ! Il fait au moins moins huit mille degrés, et elles restent dehors à parler de la qualité des routes angevino-bretonnes ? La pelisse sur ses épaules est tirée un peu et se retrouve à moitié sur les épaules de la Fadette.

-« Voulez-vous que nous entrions ? »

Question piège.
_________________

Bienvenue à Chateau-Gontier
Chimera
La kontez a mis pied à terre, et dans une main gantée qu'une attente prolongée aurait rendu tremblante, elle maintient les rennes de Morvac'h, dont le souffle écumant vient blanchir l'air de la cour. Il est encore bouillant de l'exercice récent, et la seconde main vient donc quérir la chaleur en se lovant au dessus des naseaux.

Bientôt, et contre toute attente, c'est la petite protégée de la gardienne des lieux qui vient à sa rencontre, semi-gelée à peine elle à mis le nez dehors. Un korrigan fortuit aurait-il soufflé à la petite déshéritée que la visite lui était principalement destinée, bien que rien de cela n'ait été déclaré? Réminiscence d'une visite choletaise, d'une discrétion proche d'un autisme inquiétant malgré les percées vives d'un esprit déjà affiné. Elle avait déjà eu l'air d'une orpheline quand bien même elle ne pleurait pas sa mère.
Non, elle n'y arrive pas.
Elle n'arrive pas à en vouloir à ce minois rosi par le froid d'avoir été engendré par une féminité volage échappant à sa définition de liberté, que stupidement elle s'est toujours bornée à limiter là où celle d'autrui débutait. Elle a essayé pourtant, de maudire toute vie échapper de ces chapardeuses entrailles. Mais à quoi bon, c'est comme le seigneur idiot qui fait pendre le messager pour avoir transmis contrariantes nouvelles.
Inclinant la tête en réponse au salut appliqué, touchée par l'usage que la petite fait de sa langue, elle souffle au milieu d'un nuage immaculé:


- Mat-kenan, ha ganeoc’h?

Elle ne l'interrogerait pas sur l'état de santé de Jean-Baptiste, du moins pas de suite, de là à ce que la blonde enfant soit doublement endeuillée. Faire preuve de tact. A moins que... lapinou n'ait été supplanté par compagnon plus conséquent en le
A moins que -la rousse à l'esprit débordant d'imagination- Jean-Baptiste soit le format de poche d'Obéron, pour le voyage. Avec ces chimères, on est jamais à l'abri de rien.


- C'est donc un roi qui vous accompagne...

On est toujours gardés par quelqu'un, ou quelque chose. Alix Ann l'était par un être aussi massif qu'elle, non sur deux mais quatre pattes, solide veilleur qui devait, en ces temps, être remercié. Aussi elle se penche, s'incline pourrait-on dire, sans avoir grand effort à faire au vu de la taille de l'animal, et grattouille l'imposante mâchoire en soufflant:


- Demat Cuchulainn, ha trugarez.

Elle relève les yeux vers la petite.
C'est bien joli d'être venue jusqu'ici mais maintenant quoi. Le Fou dont elle ignorait toujours la protocolaire appellation tant il semblait déterminé à y échapper lui avait demandé quelles étaient ses options, la veille, tardivement. Songe d'une nuit d'hiver.

Option 1: La prendre dans ses bras comme la Mère qu'elle n'avait plus.
Nan... nan....bien que que nan.
Option 2: Lui exprimer de vive voix ses plus vives condoléances.
...ou la joie délicate de remuer le couteau dans la plaie.
Option 3: Demander si celle qui lui avait volé tous les hommes ayant attiré son regard ou presque était enfin en terre, qu'elle puisse aller danser sur sa tombe, insolence nue des soirs de pleine lune.
Même pas, Chimera a de ces caractères qui terrassent la mesquine vengeance. Pas fun vraiment.
Option 4: Engager la conversation sur l'âge, l'origine et le pédigrée du molosse, ou sur l'agenda de Yolanda, sinon, car il n'est pas courtois de réclamer la chaleur d'un salon lorsque l'on est pas l'hôte, malgré l'envie. Elle s'apprête donc à cesser de lister les possibles pour échanger courtoise introduction à cette visite quand Awen -Hallelujah des celtes vrais. Comme invoquée, et non sans cortège, voilà ladite maitresse de céans qui s'avance.

C'est dans l'agitation des queues remuantes et des glapissements contents qu'elle incline la tête à l'arrivée de sa cousine -les humains sont tellement coincés- et lui sourit -on fait ce qu'on peut, elle ne pas se mettre à courir en ronds fous pour lui exprimer sa joie de la voir, un peu de tenue.
Quoique, ça réchaufferait.

Il y a de ces appellations qui jamais ne changent.
Les noms.
Les liens, surtout, qu'on les révreau ban ou les ignore.
Yolanda se fait tact.


- Ma chère cousine, demat. Elle fut revigorante, vivifiante et sans encombres, trugarez.

Providentielle, la jeune duchesse lui épargne l'embarras de la fête-quête. Dans un nouveau sourire -destiner à opiner autant qu'à veiller que par le froid les zygomatiques ne soient pas définitivement figés, elle hoche la tête.

- Ce serait avec joie.
_________________
Comtesse de Cholet - Baronne de Bubry
Alix_ann
-« Oh Titania! » Ankou, Hadès, Perséphone.

Elle se tourne avec affection vers les espèce canines, tendant ses bras pour que chacun puisse avoir son lot de câlin Alixien. Voyez comme elle tachait de survivre à la mort de sa mère, elle se greffait déjà aux petites tournures des autres. Elle se greffait à Chimera qu'elle trouvait si chaleureuse, à Yolanda et ses tournures, à Ann en lui confiant les moindres de ses maux. En somme, elle avait beau s'accabler de tout les tords on ne pouvait pas douter de sa capacité à reprendre le cap et arriver à reproduire ce qu'elle aurait attendue de sa mère. Marie est morte, et elle ne la pleure pas. Ce fut au prix de temps d'effort, une longue ascension jusqu'à parvenir à effacer sa douleur, ou presque. La refouler du moins. La Fadette ne veut pas pleurer les morts, elle sait qu'il y en aura encore tant. Elle s'est défaite des lourds tenants Aristotéliciens qui commençaient à peine à germer pour se créer l'idée qu'il n'y avait rien de moins inquiétant de la mort. Il devait en être ainsi. Sinon elle pleurait à chaque fois, elle avait bien peur de ne plus avoir de larmes.
Chacun avait son petit truc à soit à Château-Gontier pour se protéger des pertes.

Voilà qu'elles se dirigent vers l'intérieur. Elle embraie le pas sans se faire désirer.


-« Comment ça se passe, là-bas? »

Là-bas, la Breizh ou elle s'entendait toujours à retrouver la ville d'Ys. Cette question là était plutôt dangereuse et elle ne s'avait pas à quoi s'attendre.
Le cortège se dirige progressivement jusqu'au salon. C'est marrant, cette image de la petite Duchesse à coté de la plus grand, Cholet, les deux accompagnées par la mioche.


-« Et votre fille, comment se porte votre fille? »

Elle blablate, elle parle. Elle en oublie presque de céder la parole à Yolanda qui est l’hôtesse, qui lui avait gentiment inculquer pourtant de la laisser parler pour éviter qu'elle fasse une bourde. Mais ça, c'était avant non, quand elle était jeune et encore inexpérimenté de ce genre d'entrevues. Ça allait mieux maintenant!

Petit saut pour esquiver la marche, elle monte avec gracieuseté. Elle avait ça dans le sang. Comment croyez-vous que sa mère ait pu se montrer si volage? Un petit sourire s'esquisse sur ses lèvres alors qu'elle se rappelle la frêle silhouette de maman, si évanescente vers la fin mais qui avait toujours eut un grand charme. Un matient irréprochable, une parole slave et délicate, une étreinte pleine de force. Alix ne doutait pas que maman, un temps, ait aimé vivre. Elle ne doutait pas qu'avant sa venue au monde la vie en Bretagne dont elle faisait partie était rythmé par ses aventures. Elle ne doute pas qu'elle défrayait la chronique. Quand on voit sa mère on ne pouvait douter qu'elle avait été à sa manière une grande dame. Car si en ce moment elle n'ose se l'avouer, la Platine restait un modèle maternel qu'elle enviait, qu'elle jalousait, qu'elle détestait autant qu'elle l'aimait. Toujours avec passion, une qui aurait un genre plus malsain.
Mais elle ne lui a jamais laissé l'occasion de gagner son amour. C'est pour cela qu'Alix est triste de cette mort qui est venue décontenancer son monde de manière tout à fait naturel en faisant des monstrueux dégâts et en effaçant d'un tour de bras le but le plus cher qu'elle avait pu avoir à ce moment.

_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)