Alandrisse
[Église nous voilà]
Elle avait reçu linvitation, non sans un sourire en lisant lheureuse nouvelle. LAlouette avait revêtu son habit de Chef de famille, même si du haut de ses vingt printemps et des brouettes, ce titre lui donnait limpression dêtre une vieille matrone. Mais bon, chacun sa croix et il fallait bien la porter. Elle avait mis en attente ses affaires, avait indiqué à son aide de camp de garder son armée au chaud, pendant que la Montbazon irait célébrer un heureux évènement. Ni une, ni deux, la brune avait déposé son charmant fessier dans le carrosse et en avant pour laventure.
La comtesse sétait paisiblement endormie jusquà lauberge la plus proche de la célébration. Ouvrant un il et indiquant à Robert de mener les bagages jusquà sa chambre. Les émeraudes de la brune observèrent les alentours tout en ôtant ses gants. Au moins, le temps était clément, ce qui nétait pas un mal.
Robert, je pense que demain je mettrais ma tunique verte. Faites la sortir pour enlever les plis.
Et la brune senfonça dans lauberge, direction le bar pour boire une petite chopine bien méritée. On a beau avoir des terres, on mérite aussi son temps de repos. Robert débarqua peu après sa besogne, affichant son air consterné. LAlouette amadoua alors la bête avec un verre plein et mousseux, elle y ajouta un papillonnement des paupières pour gagner cette bataille. Après, ce duel de titans, lAlouette gagna sa chambre pour être fraîche le lendemain.
Le soleil se leva et la Montbazon était déjà sur le pied de guerre, lhabitude de larmée qui ne voulait pas migrer pendant ses repos. Elle enfila sa tenue verte foncée, coiffa sa longue chevelure dans un chignon simple et se dirigea sur le parvis de léglise, cherchant des têtes connues dans le coin.
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Elle avait reçu linvitation, non sans un sourire en lisant lheureuse nouvelle. LAlouette avait revêtu son habit de Chef de famille, même si du haut de ses vingt printemps et des brouettes, ce titre lui donnait limpression dêtre une vieille matrone. Mais bon, chacun sa croix et il fallait bien la porter. Elle avait mis en attente ses affaires, avait indiqué à son aide de camp de garder son armée au chaud, pendant que la Montbazon irait célébrer un heureux évènement. Ni une, ni deux, la brune avait déposé son charmant fessier dans le carrosse et en avant pour laventure.
La comtesse sétait paisiblement endormie jusquà lauberge la plus proche de la célébration. Ouvrant un il et indiquant à Robert de mener les bagages jusquà sa chambre. Les émeraudes de la brune observèrent les alentours tout en ôtant ses gants. Au moins, le temps était clément, ce qui nétait pas un mal.
Robert, je pense que demain je mettrais ma tunique verte. Faites la sortir pour enlever les plis.
Et la brune senfonça dans lauberge, direction le bar pour boire une petite chopine bien méritée. On a beau avoir des terres, on mérite aussi son temps de repos. Robert débarqua peu après sa besogne, affichant son air consterné. LAlouette amadoua alors la bête avec un verre plein et mousseux, elle y ajouta un papillonnement des paupières pour gagner cette bataille. Après, ce duel de titans, lAlouette gagna sa chambre pour être fraîche le lendemain.
Le soleil se leva et la Montbazon était déjà sur le pied de guerre, lhabitude de larmée qui ne voulait pas migrer pendant ses repos. Elle enfila sa tenue verte foncée, coiffa sa longue chevelure dans un chignon simple et se dirigea sur le parvis de léglise, cherchant des têtes connues dans le coin.
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