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[RP] Wedding/Mariage de Jade de Sparte et Ezequiel d'Avila

Uriel
La vue d'en haut était imprenable ... mais il ne fallait pas avoir le vertige. Les carrioles arrivaient, ainsi que les gens, tout cela était si grisant ... difficile aussi de reconnaître qui était qui, car à cette époque, les constructions étaient proches de l'édifice religieux et il n'y avait nulle grand place face à la Chapelle Impériale. Tout au plus quelques mètres devant le parvis. Un chose certaine, c'était qu'on pouvait distinguer les nobles du peuple, à leurs manteaux de fourrure ou encore à leur tenues colorées, contrastant complètement avec les vêtements sombres des ouvriers.
Uriel se décida donc à descendre de cet endroit, bien qu'il eut préféré contempler encore un peu la ville ; on allait finir par l'attendre, ce qui ne se faisait techniquement pas.

Ah oui ! Sonner les cloches !!


Dong !!! Dong !! Ding !! Dong !!!


Un son agréable, car il ne s'agissait pas du glas.

A peine arrivé en bas des escaliers, il rencontra les premières personnes à être entrées dans l'édifice, dont le Vicomte Sepa, anciennement Duc de Lorraine.


Monseigneur, ravi de vous revoir.

Il avisa Flavien-Charles, dict Fenthick, et s'approcha pour échanger quelques mots avec lui ...

Excellence, j'espère que vous vous portez bien ?

... il n'aborda pas le sujet de l'officialité épiscopale de Vienne, car ce jour ne devait pas être ponctué de tristesse mais bien de joie. Il aurait sans doute l'occasion de discourir avec lui par la suite, il s'excusa et s'éclipsa par une voie de traverse afin de rejoindre le choeur, facilement et sans encombre.
La vie était quand même bien faite, parfois. Ses yeux se posèrent sur Ezequiel, à qui il sourit, voyant ainsi son visage se détendre quelque peu. Le pauvre devait être assez stressé par ce jour précis pour ne pas en rajouter davantage avec une absence incongrue.

L'on allait pouvoir débuter, dans la joie et la bonne humeur.
Eudes_von_strass
« Viiiiite ! Allons plus vite ! »

Voilà ce que l'on pouvait entendre depuis le carrosse aux couleurs de Coussey qui conduisait le jeune Échanson Impérial jusqu'à la Chapelle Sainte-Hélène. Bien qu'il connaissait les lieux, étant régulièrement au Palais de Strasbourg, ce fut toujours une surprise pour lui que de découvrir les lieux. Émerveillé par les vitraux et la décoration du lieu saint.

Alors assez en retard, c'est de manière très discrète qu'il essaya d'entrer dans l'édifice impérial et de se faufiler entre les rangs afin d'essayer de se trouver une place qui pourrait être assez confortable jusqu'à que la cérémonie se termine. Effectivement, ce soir, ce sera à lui de jouer, de sublimer les plats et de faire en sorte que les invités de la Duchesse Jade de Sparte se régalent. C'est une mission importante qu'il a en charge et il se devait par tous les moyens de l'assurer.


Vive Jade, vive Ezecquiel, vive les futurs mariés !
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    En deuil !
    EUDES VON STRASS & D'ACOMA
    Baron de Coussey & Seigneur de Gensac

    Échanson Impérial
    Ministre Royal de la Justice de Lotharingie
    Chancelier & Porte-Parole de Lorraine
Nerval
Bien sûr du retard, il ne pouvait en être autrement. Il avait l’habitude de l’être du temps où il passait ses journées sous son arbre mais là c’était encore pire. Entre les demandes incessantes, les voyages à droites et à gauche, c’était limite gérable pour quelqu’un de calme comme lui. Alors quand son page lui avait dit qu’il y avait le mariage de Jade ce jour, un retour en urgence à Chignin s’imposa.

Peu de temps pour se préparer, à peine le temps de rappeler son épouse l’évènement, il fallait déjà repartir. La cérémonie n’avait pas lieu dans une église toute proche. Ils prendraient le temps de se parler dans le coche. Peine le temps d’ajuster de manière parallèle sa tenue dans un souci quasi maniaque, et le couple était en route.

Enfin du temps à soi, juste discuter avec son épouse, la complimenter, échanger, juste elle et lui. Bientôt il aurait de nouveau plus de temps pour sa propre vie.

L’église était bien et le coche aux couleurs de Chignin et de Beuil s’arrêta pour laisser descendre le Sieur Poete et sa Tornade. Le bras tendu il invita son épouse à rentrer dans l’Eglise. Ils n’étaient pas en retard mais presque… mais ils étaient bien là.

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Carles.mathys
Heureusement, elle n'eut le temps de finir sa phrase. Si jamais elle aurait osé l'envoyer paître, le jeune Carles aurait fait preuve de rancune durant tout le trajet jusqu'à Strasbourg. C'est donc avec ravissement qu'il accueillit son père, ne prêtant aucune attention à sa cadette.

Ah, père, je suis fort aise de vous voir ! Si fait, Monsieur de Gérardmer m'a permis de quitter son enseignement plus tôt. Vous savez que je sais faire preuve de persuasion quand il le faut.

Regardez comme il parle bien, le goupil ! Tout au long de sa jeunesse, il avait suivi des cours de différents natures, dispensées par différents précepteurs. Et le résultat était là, plus ou moins fructueux, à l'aube de sa majorité. Le Talleyrand écouta la morale de son père et lui promis de rester civilisé et courtois, à la différence de sa jeune soeur.

Le voyage.
Carles appréciait tout particulièrement les déplacements en coche, bien qu'il lui arrivait d'avoir quelques incidents, comme sur les chemins fangeux de la Bretagne récemment. Toutefois, cet accident lui permit de rencontrer une jeune héritière avec qui il s'était lié d'amitié. Et rien de plus.

Carlotta était loin de lui, grand bien lui fasse. Un regard lui fut adressé, un regard lourd et curieux. Ses iris s’arrêtèrent sur le visage du Duc, à qui il fit un tendre sourire. Son père était un véritable modèle pour lui. Le jeune homme se fit par ailleurs la promesse de devenir un Grand du Royaume, pour honorer son paternel et sa famille. Des rêveries secrètes dont Carles tiraient de grandes espérances.

Carlotta était une fille. Simple constat, remarquez. Toutefois, ce n'était pas si simple pour Carles. Sa cadette rassemblait effectivement tout ce qui le répugnait chez la gente féminine. Cette dernière était quémandeuse, bavarde, taquine, superficielle - bien que Carles l'était également - addictive aux robes puis terriblement féminine. Tout cela dégoûtait le goupil au plus profond de son être et bloquait une certaine entente entre lui et sa jeune soeur.

Bien qu'il ressentait une certaine indifférence pour sa soeur - et qu'il l'aimait tout de même - tout était différent avec sa mère. Le jeune homme adulait sa mère, comme un renardeau pouvait être attaché à une renarde. Le Talleyrand ne voyait aucun défaut entacher la Duchesse de Salm, pourtant tout aussi féminine que Carlotta.

La chapelle de l'Impératrice était aussi prestigieuse que la caste qu'elle abritait. Carles était honoré d'avoir la privilège d'y entrer et d'avoir une place réservée, étant donné qu'il était parent avec la mariée. Tout en pénétrant dans l'édifice religieux, le goupil resta un peu en retrait, dans l'ombre de son père.

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Fenthick


En attendant que le Cardinal redescende du Clocher, le futur époux et Traducteur en Chef des Offices Impériaux accueillit le Galanodel.

- Monsieur le Chancelier Impérial, merci infiniment de votre présence ce jour. Cela me touche beaucoup, et je sais le respect mutuel que vous entretenez avec mon aimée et future femme Jade.
- Nous attendons l’officiant, et, évidemment, la mariée.


Il eut un sourire, puis répondit.

Tout le plaisir est pour moi, Messire. Puisse cette cérémonie se dérouler dans le calme, la joie et l'amour.

Il lui serra la main, et le laissa à ses autres invités, quand le Cardinal arriva.

Parfaitement bien Votre Éminence. Je souhaitais vous saluer, et vous adressez mes vœux pour la cérémonie.

Il lui sourit, serein, puis s'en fut prendre place dans la nef centrale, aux sièges des officiels impériaux, à la droite du siège encore vide de l'Impératrice. Encore ? Oui, car peut être plus pour longtemps.

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May She rest in peace. Farewell.
Leif_von_dumb
Voilà bien longtemps qu’il n’avait plus croisé la route de la Cathédrale Saint Hélène et les raisons de l’ancien passage était autres que celles d’aujourd’hui et plus beau au goût du Comte de Sochaux.
Sa fille qui, de par son talent et le sang qui était le sien avait procuré fierté et louange pour ceux qui représentaient à ce jour les parents de la rousse, qui était devenue, au fil des jours, diablement belle avec l’âge.

L’annonce du mariage était arrivée bien avant les heures de l’hiver froid dans les oreilles Sochaliennes et, se voyant dans l’impossibilité de rencontrer son futur gendre officiellement pour cause politique et de représentation de sa personne dans d’autres lieux, avait par la force des circonstances empêché une rencontre avec l’homme qui allait partager la vie de la Duchesse ardente d’émeraude… Mais les circonstances étaient faites pour être compensées. La cérémonie et l’attitude de l’homme, le futur mari, allait être une bonne source de référence pour le jugement personnel du Dumb, mais quand bien même qu’il le connaissait peu ou pas, Jade lui portait grande affection et dans ce sens et pour ce sens, il était heureux pour elle et pour un mariage qui incombait la joie des futurs mariés, qui sans l’ombre d’un doute le mériteraient au simple motif que le bonheur était important.

Accompagné de sa femme, Katarina de Sparte, la mère de ses enfants, ils s’étaient au fil du temps plus rapproché d’elle que par le coutumier et espérait que cet événement familial allait encore rapprocher le couple pour le meilleur et d’aucun pour le pire et puis de tel événement, inconsciemment redonnait à l’imagination et à la réflexion des vieux souvenirs nostalgiques du jour où il avait épousé sa femme, la belle Vicomtesse au physique divin et à l’intelligence digne d’un Comte de Sochaux. Et c’est justement à elle qu’il fit un magnifique sourire pour partir à la destination de la future mariée et de lui prêter son bras pour l’accompagner à l’autel et la guider dans ce bonheur.

Quand il la rencontra dans la robe pour l’occasion, un simple et grand sourire exprimait tout l’oratoire qu’il aurait pu dire en de pareil circonstance, elle était divinement heureuse et cela se voyait dans ses yeux et dans ses geste … Et pour peu, le père fut comblé.
Lors du première mariage de sa douce fille, il avait fait défaut de sa présence, préférant un deuil personnel à enterrer, alors qu’il avait prévu les rencontres et le mariage des anciens mariés. Mais tout cela était du passé et le présent incombait plus à présent.

Il lui tendit son bras pour lui offrir soutien et force à l’événement idyllique qui allait s’ensuivre et le contact était chaleureusement beau, il la suivait et l’accompagnait, sans rien dire pour la soutenir moralement.

Elle, la future mariée, le gratifia d’un baiser sur la joue.
Et ce simple contact était une ode de mots papillonnants.


- Ma fille, autant que ma présence vous réconforte, la mienne de vous voir si belle et si comblée de bonheur me satisfait au plus haut point.


La porte s’ouvrit et une vague d’invités et de proches qu’il connaissait s’affichant dans le lieu d’Aristote, sourire ou hochement de tête pour certains, il ne lâchait pas sa fille et patienta pour qu’elle le guide dans un épisode marquant pour les futurs mariés.
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En deuil Impérial - Pro Imperium
Jade.de.sparte


Elle avait passé les portes de la Chapelle Sainte Hélène, radieuse sous le regard de tous et en la divine présence du Très-Haut enfin elle s'unirait au Seigneur de Candiolo. Ses prunelles azur cherchèrent immédiatement son promis, et en le voyant, son joli minois s'éclaira. D'un pas lent et solennel, fermement appuyée contre le bras du Comte de Sochaux, Jade débuta la marche traditionnelle, avançait, remontait l'allée vers son destin. Sa fille et son fils devant elle, charmants, adorables, faisaient avec précaution ce qui leur avait été dit. Yarwelh, sa Dame d'honneur la précéda également.



Tout le temps, son regard était rivé sur le séduisant Espagnol, ne pouvant s'en détacher, la ravissante rouquine franchit finalement l'espace qui la séparait de son bien-aimé. La flamboyante rousse laissa le bras de son père pour celui de son futur époux, adressant un sourire reconnaissant au Comte de l'avoir conduite à l'autel en ce jour mémorable. Son cœur battait à vive allure et Jade leva les yeux vers Ezequiel pour lui sourire, le trouvant follement séduisant dans cette tenue et bouleversée par son regard de braise, pressa légèrement son bras alors que ses lèvres formaient un "je t'aime" silencieux, sincère et émouvant.




She had passed the doors of the Chapel Saint Helena, radiant under the eyes of all and in the divine presence of the Almighty she would finally wed the Lord of Candiolo. Her azure eyes immediately sought for her promised, and seeing him, her pretty face brightened. From a slow and solemn step, firmly resting against the arm of the Earl of Sochaux, Jade began the traditional walk , moving forward, up the aisle toward her destiny. Her daughter and son in front of her, charming, adorable, doing carefully what they had been said. Yarwelh, her lady of honor also preceded.

All the time her eyes were riveted on the attractive Spanish, unable to detached from it, the ravishing redhead finally crossed the space that separated her from her beloved. The flamboyant redhead left the arms of her father for the one of her future husband, giving a grateful smile to the Earl to have led her to the altar on that memorable day. Her heart was beating at a fast pace and Jade looked up to smile at Ezequielfinding him madly attractive in this outfit and overwhelmed by his fiery eyes, pressed his arm slightly as her lips formed an "I love you" silent sincere and moving.

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En deuil de Sa Majesté Impériale Adala, qu'elle repose en paix
Adala
Late. Of course… How couldn’t she be late? Hasting she almost runs over the corridors of the castle, been stuck up with work, she has forgotten time. There is no excuse. The chapel – luckily – is not far from the offices and her private rooms, so that, once the bells rang, she stumbled over to her private rooms, got dressed. The maids were hustling around her, tucking the robe every now and then, straightening it. Another one taking care of the loose blonde hair, binding it in a braid and hiding it after all beyond a with pearls embroidered hood.

So, after all, she makes her way to the chapel, entering it, just after bride and groom. Smiling apologetically to the left and right, she silently seeks her place. Maybe Pippa is here as well? It would be wonderful – be able to witness this exceptional day for Jade and Ezequiel together with the person closest to her.

Love is such a powerful bond that it hardly is imaginable to live without and a gift even brighter and more worth than anything on earth imaginable. May the light of the love between Jade and her soon-to-be husband last for eternity, as nothing less would be deserved by this fine lady, who has proven to be one exceptional person for the Empire and a friend as well.

Smiling at Fenthick, the Imperial chancellor and her second, her heir to the Imperial throne, she silently takes a seat at his side upon the fine wooden chair reserved for the highest office in the Empire.

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Trop tard. Bien sûr ... Comment pourrait-elle pas être en retard? Pressant elle court presque plus les couloirs du château, été coincé avec le travail, elle a oublié le temps. Il n'ya aucune excuse. La chapelle - heureusement - n'est pas loin des bureaux et ses chambres privées, de sorte que, une fois que les cloches ont sonné, elle a trébuché sur ses appartements privés, s'habilla. Les femmes de ménage ont été bousculant autour d'elle, en repliant la robe de temps en temps, le redresser. Un autre en prenant soin des cheveux blonds en vrac, en l'associant à une tresse et de le cacher après tout, au-delà de perles brodé avec capuche.

Alors, après tout, elle fait son chemin à la chapelle, y entrer, juste après mariée et le marié. Sourire d'excuse à gauche et à droite, elle cherche sa place en silence. Peut-être que Pippa est ici aussi? Ce serait merveilleux - être en mesure d'assister à cette journée exceptionnelle pour Jade et Ezequiel avec la personne la plus proche d'elle.

L'amour est un lien puissant qu'il est difficilement imaginable de vivre sans et un cadeau encore plus lumineux et plus de valeur que n'importe quoi sur terre imaginables. Que la lumière de l'amour entre Jade et son futur mari-être dernière pour l'éternité, comme rien de moins serait mérité par cette belle dame, qui s'est avéré être une personne exceptionnelle pour l'Empire et un ami aussi.

Souriant à Fenthick, le Chancelier de l'Empire et son second, son héritier au trône impérial, elle prend siège silencieusement à côté de lui sur la chaise en bois noble réservée à la magistrature suprême de l'Empire.
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Uriel


Il s'inclina légèrement face au Galanodel, un homme qu'il commençait à apprécier pour sa discrétion mais aussi pour son efficacité.

En vous remerciant, Excellence. Je gage que la cérémonie soit réussie.

Uriel prit alors place à l'autel, juste à temps pour voir Jade s'approcher avec ses deux enfants, ainsi que Yar' et Leif.
Enfin, il fut satisfait d'avoir attendu car venait alors l'Impératrice, qu'il salua d'un sourire ; il l'avait vu peu de temps avant, pour un tout autre travail, mais de la plus haute importance.

Les futurs mariés étaient prêts, tout le monde était là, on pouvait débuter.

Bien chers fidèles, chers croyants,
Bien chers Jade et Ezequiel ,

Aujourd'hui, voici un grand jour, celui où une femme et un homme, ont décidé de clamer devant nous et devant Dieu leur Amour, leur Amitié.
Jade et Ezequiel vont en ce jour particulier recevoir le sacrement du mariage.


Il tourna alors les pages du Saint-Livre et prit un passage de la Vie de Christos :



Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :
" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu aura épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Comme cette dernière parole frappa d’étonnement l’assemblé, car l’époque était à l’inconstance… Natchiatchia reprit :

" Mais, Maître, seront-nous assez fort pour respecter ce choix et vivre sans pêcher ? "

Alors, Christos répondit :
" Sachez que l’humain doute par nature, que l’amour qu’il éprouve pour Dieu et pour son prochain peut connaître autant d’aléas que la vie comporte d’épisodes. Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. N’oubliez pas non plus la puissance de la miséricorde, qui est accordée grâce à la repentance. "


Il marqua une courte pause afin de laisser chacun réfléchir à ce texte, puis reprit :

Ainsi donc, Christos nous rappelle que le mariage est un engagement à vie, un choix à ne pas prendre à la légère.
Bien souvent, des jeunes gens s'engagent dans cette voie et se rendent compte, quelques semaines plus tard, qu'il n'ont pas fait le bon choix.
Et au contraire, d'autres trouvent réellement leur "âme-soeur" et s'unissent ainsi pour toute leur vie terrestre.

Afin d'être purs pour cela, je vais demander aux futurs mariés, et à ceux qui le veulent, de réciter le Confiteor et ensuite le Credo Aristotélicien.


D'un geste, il invita les jeunes gens à se prononcer ...




He bowed slightly against the Galanodel, a man he began to appreciate for his discretion but also for his effectiveness.

Thank you, Your Excellency. I guarantee that the ceremony will be successful.

Uriel then took place at the altar, just in time to see Jade approach with her two children, and also Yar 'and Leif.
Finally, he was satisfied to have waited, just in time then the Empress, who he greeted with a smile ; he had seen shortly before, for other work, but of the highest importance.

The bride and fiancé were ready, everyone was there, he could begin.

Dear faithful, dear believers,
Dear Jade and Ezequiel

Now, here's a great day, one on which a man and a woman, decided to proclaim in front of God and us, their love, their friendship.
Jade and Ezequiel on this special day will receive the sacrament of marriage.


He then turned the pages of the Holy Book and took a passage in the Life of Christos:



Natchiachia poured the wine of her pitcher into the Horn of Christos, and asked:
"Master, I am experiencing a deep torment of the soul. I'd like to follow your teachings, but I like a man who lives here and is called Yhonny, I love a love as pure as Diamond ... What Aristotle says that this issue should I do? "

Christos replied: "When two people love a pure love and they want to perpetuate our species through procreation, God allows them, through the sacrament of marriage, their love life. This love so pure, lived in virtue, glory to God, because He is love and that love that humans share is the highest tribute that can be done to him. however, such as baptism, marriage is a lifetime commitment, also Natchiatchia, chosen wisely, because you have faith Yhonny married, you can not escape you. "

As these last words struck with astonishment the assembly, because the time was the inconstancy ... Natchiatchia continued:

"But, Master, will we be strong enough to respect this choice and live without fish?"

So, Christos said:
"Know that the human nature of doubt, that his love for God and neighbor can find many vagaries that life consists of episodes. However virtuous life is an ideal to which man should be directed. And in its way, it may help to prayer. Prayer can indeed be the way to strengthen all love when necessary. Do not forget the power of mercy, is given through repentance. "


He scored a short break to let everyone think about the text, and then continued:

So, Christos reminds us that marriage is a lifetime commitment, a choice not to be taken lightly.
Often, young people engage in this way and realize a few weeks later, they have not made the right choice.
And conversely, others find their true "soul mate" and unite and for all their earthly life.

To be pure for that, I will ask the bride and fiancé, and those who want to recite the [color=darkred ] Confiteor [/color] and then Aristotelian Creed .


With a gesture, he invited the young people to pronounce ...
Ezequiel.a.joaquin
Son sang ne fit qu’un tour à l’arrivée d’Uriel, mais dans le bon sens du terme ; Ezequiel avait l’impression d’avoir frôlé la catastrophe, oh, avec erreur, bien sûr, mais tentez donc de dire cela à un homme sur le point de se marier, qui accueille de son mieux les présents, et cherche du regard l’officiant, la mariée, le père de la mariée, la mère de la mariée, et… Déos, la tête lui en tourne, à force que ses yeux se baladent aux quatre coins de l’endroit.

Mais enfin, le Cardinal est là, et c’est, bien plus qu’un sourire, un véritable soupir de soulagement qui s’extirpe des lèvres d’un Ibère au bord de la syncope. Il sourit au Chancelier, chaleureusement, et hocha la tête :


- C’est là mon vœu le plus cher, Monsieur le Chancelier.

L’Echanson impérial et Ministre Royal de la Justice fut remarqué, évidemment ; comment en eut-il pu être autrement, comme l’Espagnol semblait aux aguets, fou de nervosité ? Il lui sourit poliment, le remercia pour son aide dans la préparation du mariage, et s’inclina, une main dans le dos, l’une sur le ventre, ainsi qu’il le fit avec un couple arrivé juste après. Marchant vers eux, il se présenta avec égard, après avoir soufflé un baise-main à la jeune femme :

- Le bonjour à vous, et merci de votre venue. Je suis le futur marié, Ezequiel d’Avila.

La famille qui suivit reçut le même accueil, si ce n’est qu’Ezequiel se permit une accolade franche avec son Suzerain.

- Mon Suzerain… Quelle joie de vous voir !

Il salua ses enfants et son épouse avec politesse, et leur indiqua leurs sièges réservés. Vraiment, son ciel s’éclairait. Il les accompagna en remontant l’allée, et, comme plus personne ne faisait son apparition, demeura près de sa place, à se tordre les mains, à tenter de maîtriser son souffle, balançant légèrement d’un pied sur l’autre, son regard s’attardant à telle ou telle jointure de dalle au sol, ou à quelque fil particulier de tapisserie.

Et elle apparut enfin. Le silence qui s’installa soudain lui fit tourner la tête vers les portes ouvertes de la Chapelle, et il inspira profondément. Elle était merveilleuse de beauté, somptueuse d’élégance, comme toujours… Sa plus proche que jamais future épouse. Les yeux rivés à elle, il sourit comme la mer des yeux féminins rencontrait le noisette étoilé d’or des siens, et d’aucuns auraient affirmé, si toutefois il prenait le temps de regarder les iris masculines à cet instant précis, que le mordoré pétillant ne tenait qu’à Elle, sa divine, sa précieuse, son époustouflante fiancée.

Aussi silencieux que les pierres de la Chapelle, son seul souffle répondant en écho aux pas feutrés et au frou-frou soyeux de la robe de mariée de Jade, il lui semblait revivre chaque instant de leur relation, au gré de la remontée de l’allée effectuée par sa belle. Leur échange de missives, cordial d’abord, progressivement galant… Leur première rencontre, cette chevauchée sur les terres de Vittel, l’empressement avec lequel il s’en était allé seul la retrouver en Italie lorsqu’elle était tombée… cette longue convalescence où inquiétude avait rimé avec prières, avec guet du moindre des signes d’amélioration de son état de santé… Leur premier baiser, la première fois qu’elle avait glissé sa petite main au creux de la sienne, ces échanges de mots doux, ce travail en commun ; et les enfants, ces deux merveilleux petits être qui la précédaient en compagnie de Yarwelh dans chaque pas, et sur lequel il posa un regard bienveillant.

Ezequiel savait qu’il n’était pas son rôle de remplacer leur père, mais ne les en aimait pas moins que s’ils n’avaient été de son propre sang. Et il veillerait sur eux deux, et il veillerait sur eux trois, et sur un ou plusieurs autre(s), si le Très-Haut bénissait leur union d’un chérubin.

Son cœur martelait à son poitrail, son souffle trépidant ; son corps, son esprit, son être tout entier piaffait d’impatience de le savoir uni à elle pour toujours, et c’est en prenant une grande inspiration qu’il accueillit sa main sur son bras. Après avoir plongé ses yeux dans ceux de Jade, lui communiquant ainsi tout l’amour qu’il éprouvait pour elle, il se tourna vers le père de celle-ci et inclina la tête envers son père, avec respect et dévotion.

Alors qu’il mouvait ses lèvres en un « tu es magnifique » silencieux, il nota, comme tout un chacun, l’arrivée de Sa Majesté Impériale, l’Impératrice Adala. Il s’inclina bien sûr avec respect, reconnaissant de son déplacement, et lui sourit, avant de regarder à nouveau sa compagne, yeux pétillants.




Uriel prit la parole, les invita, après la lecture d’un passage des Saintes Ecritures, à réciter le confiteor et le Credo, ce qu’il fit, sur le même ton et le même rythme que sa compagne. Le mariage avait, dès lors, véritablement débuté.
Jade.de.sparte


Son seul regard avait suffi à la rassurer et à faire palpiter son cœur, le compliment formé sur ses lèvres l’avait comblée, doux instant complice entre les promis avant le début de la cérémonie. La future mariée vit son fiancé tourner la tête en direction des invités et suivit le mouvement, remarquant l’arrivée de l’Impératrice et Jade lui sourit, honorée de sa présence, elle La savait très occupée et était touchée qu’Elle ait trouvé du temps pour venir assister. Jade inclina la tête en signe de respect, ne pouvant quitter sa place pour faire une révérence, ce qu’elle aurait fait en temps ordinaire.

Ses yeux revinrent vers Ezequiel dont les yeux pétillaient, elle connaissait bien ce regard qui s’illuminait lorsqu’il était heureux, puis vers Uriel qui débutait la cérémonie. Rassurée par sa présence, sa sérénité et sa façon, simple et agréable, de célébrer. Il débuta par une lecture que la flamboyante rouquine écouta avec la plus grande attention, des mots, des phrases l’interpellaient, elle levait donc régulièrement les yeux en direction du Seigneur de Candiolo, lui démontrant par l’expression de son joli minois qu’elle appréciait le choix de la lecture.

Uriel les invita ensuite à réciter le Confiteor, sa main se glissant au creux de la sienne comme un refuge alors que sa voix se fit claire et forte

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Elle l’avait récité, sincèrement, candidement, non machinalement. Jade voulait débuter cette union avec un cœur repenti. La future mariée poursuivit avec le credo qu’elle récita de concert avec Ezequiel, ses doigts toujours entrelacés aux siens.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés ;
En la Vie Éternelle.

AMEN

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En deuil de Sa Majesté Impériale Adala, qu'elle repose en paix
Uriel
Et promptement, furent récitées les deux principales prières de l'Aristotélisme.
L'on aurait encore pu lire plusieurs textes sur le mariage, répéter combien l'amour mais aussi la compréhension étaient importante dans un couple ... tant de choses qui menaient à une union pouvant tenir la distance du temps et ne pas s'essouffler.

Le sablier coulait vite dans les Royaumes et souvent quelques semaines suffisaient à créer ou à détruire quelque chose, parfois sur un malentendu.

L'heure était à présent aux témoins, ceux qui avaient choisi de se tenir spirituellement aux côtés des futurs mariés. Le Cardinal les regarda et capta leur regard, les invitant à se lever et à peut-être aller au lutrin. Si ils espéraient s'en sortir à bon compte aujourd'hui, c'était raté. Mais tout se passait, comme d'habitude dans la cordialité et la bonne humeur.

Il reprit alors :


J'en appelle à présent aux témoins de Jade et d'Ezéquiel.
Vous avez souhaité vous engager à leurs côtés aujourd'hui, en ce jour qui est pour eux d'une importante capitale et qui, à n'en point douter, rayonnera sur le reste de leur vie terrestre.

Et comme tout engagement, j'imagine que celui-ci fut motivé ; j'aimerais, ainsi que probablement cette assemblée, connaître les raisons qui vous ont poussé à accepter. Enfin, vous pouvez également nous raconter une anecdote sur les futurs mariés, afin que nous partagions tous avec vous, avec eux, plus encore, cette journée.


Il les invita à parler.


Intervention possible des témoins pendant une semaine maximum, soit jusqu'au 12/11 ; au-delà je continuerai ou avant bien sûr si ils se sont exprimés.
Jospin81
ITALIAN

Ascoltava in silenzio la cerimonia, che gli faceva tornare in mente il suo matrimonio. D'altronde non era passato molto tempo da esso.
La solennità della Cappella di Sant'Helena era una splendida cornice per quel giorno memorabile. Leonardo era molto contento di partecipare alla felicità dei suoi due amici con i quali svolgeva ogni giorno un formidabile lavoro di squadra. Jade ed Ezequiel erano due veri maestri.
Così disse al suo fedele amico e servitore Livio di tenere pronto il regalo con cui li avrebbero omaggiati. Si trattava di una preziosa trascrizione della Divina Commedia, una grande opera fiorentina del Duecento.

ENGLISH

He listened in silence to the ceremony that reminded him of his marriage. In fact, not much time had passed from it.
The solemnity of St. Helene Chapel was a beautiful setting for that memorable day. Leonardo was very pleased to participate in the happiness of his two friends with which did every day a formidable teamwork. Jade and Ezequiel were for him two great teachers.
Così disse al suo fedele amico e servitore Livio to prepare the gift with which they would be honored. It was a valuable transcript of the Divine Comedy, a great Florentine work of the thirteenth century.






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Gregor.
Une invitation, mais quelle invitation. Celle du mariage de sa soeur. Il fut surpris en l'ouvrant, il avait de suite reconnu l'écriture, c'était celle de Jade. Sans doute Grégor s'attendait à prendre des nouvelles, comme à son habitude. Ils s'écrivaient très souvent. Mais sa surprise fut de taille, un mariage. Aussitôt il en avait fait part à sa compagne, la Vicomtesse de la Fère, Constance de Clèves, mais elle aussi avait reçu cette même invitation. Normal, elle était la vassale directe de Jade. Elle se devait elle aussi d'être présente au mariage de sa suzeraine. Aussi, ils avaient convenu tous les deux, d'y aller ensemble, tout naturellement.
Grégor commençait à connaître Strasbourg, le Palais Impérial notamment pour avoir été demander audience à Sa Majesté Impériale, mais il ne connaissait pas encore la Chapelle Sainte Hélène, le moment de la découvrir.
Le voyage s'était déroulé sans encombre, la route ne fut pas longue depuis la Lorraine. Le paysage était le même qu'en Lorraine, juste le faste de la ville changeait, on voyait bien qu'il s'agissait de la ville impériale. Tout était différent, sans pour autant tellement changer de Nancy ou Dole qu'il connaissait bien. A près peu de temps de voyage, les deux soupirants sortirent de la voiture traînée par deux chevaux. Grégor sortit en premier une fois la porte ouverte par le cochet. Puis il fit le tour de la voiture pour aller lui-même ouvrir la porte de sa compagne.


- Si vous voulez bien vous donner la peine Constance.

Le parvis était vide, sans doute que tout le monde était déjà entré. Une habitude, une salle habitude que d'arriver en retard. Au moins, il éviterait les présentations avec la foule d'invités. Constance était très jolie, comme à son habitude. Il aurait aimé voir sa soeur avant la cérémonie, mais visiblement ce n'était pas le cas, personne n'était là. La cérémonie devait soit avoir commencé, soit être sur le point de commencer.

- Je crois que nous sommes en retard. Je pense que nous devrions ne pas tarder à rentrer.

Il tendit son bras à Constance et commença à marcher vers la porte de la chapelle. Elle était grande sans l'être de trop, il reconnaissait bien le goût de sa soeur. S'il en croyait le valet à la porte, le jeune Sparte et sa compagne étaient placés au devant. La cérémonie n'avait pas encore commencé, une chance. Ils prirent place à l'endroit dévolu, non sans avoir regardé au passage les personnes présentes. Son père était là, mais aussi quelques connaissances et surtout des membres de la famille. Les présentations n'étaient pas pour maintenant, il fallait prendre place à présent. Il irait les voir ensuite. Sa Majesté Impériale était là aussi. En passant devant elle, il lui fit une révérence respectueuse, celle due à son titre. Il s'assit aux côtés de sa compagne et la cérémonie commença, avec les paroles de son ami, Uriel. Un moment qu'il ne l'avait pas vu, mais il était content que ce soit ce dernier qui officiait.

Le temps du
Confiteor passé, Uriel demanda aux témoins des mariés de venir à leurs côtés. Sans doute Jade ressentait la peur de ne pas voir son frère arriver. Il la comprenait. Ne pas voir son témoin le jour de son mariage aurait apeuré n'importe quelle personne. Mais il était là, certes en retard mais il était bien là.

- Je crois que c'est à moi. Je vous laisse quelques instants.

A l'invitation d'Uriel, Grégor se leva. Il regarda Constance et lui sourit, lâcha sa main dans laquelle il avait glissé la sienne depuis le début de la cérémonie et alla rejoindre Jade. Il ne put s'empêcher de la regarder, elle était magnifiquement vêtue, une sublime robe, une très belle coiffure. Il vit aussi son futur beau-frère, outre la tenue, il n'avait point trop changé, il faut dire qu'ils ne s'étaient pas vus beaucoup jusque là, seulement quelques fois à Dole. Arrivé aux côtés de Jade, il déposa une bise sur sa joue et lui caressa le dos. Un sourire s'esquissa sur leurs deux visages? Le jeune Sparte regarda Uriel, puis Jade et enfin Ezequiel, et s'avança au devant de l'assemblée maintenant toute assise.

- Bonjour à tous. Si nous nous connaissons pas, je suis Grégor de Sparte, frère de la mariée Jade. La magnifique mariée m'a fait l'honneure ce jour de me choisir comme son témoin. Quelle fut ma surprise en ouvrant l'invitation. Mais je suis tellement heureux qu'elle m'aie choisie. Voyez Jade et moi avons grandi séparément, nous avons la même mère, Katarina de Sparte, mais pas le même père. Mais nous avons tous les deux été adoptés par le nouveau mari de mère, Leif von Dumb. C'est sans doute cela qui nous a rapproché. Depuis ce jour, il n'est pas une semaine sans que nous nous écrivions. Il n'est pas une seule semaine sans que je fasse prendre des nouvelles auprès de ma soeur, il n'est pas une seule semaine sans que je pense à elle. Nous nous sommes jurés de toujours garder notre complicité.

Il s'arrêta quelques instants, pour reprendre son souffle, mais surtout pour regarder Jade. Elle semblait émue.

- Je me rappelle d'une chose nous concernant tous les deux. Une chose qui me fait encore rire. Sourit. Nous nous voyons souvent, entre Dole, Besançon, Strasbourg, mais aussi Vittel. Mais je me rappelle d'une "mission commando" menée par nous deux, à Sochaux. Père, Leif von Dumb, était souvent absent. On le cherchait sans cesse, il ne répondait pas à nos courriers. Jade et moi nous inquiétions. Aussi, nous avions pensé qu'il se saoulait seul dans son manoir, il est petit mais il est très résistant. Notre mission à Jade et moi était d'infiltrer Sochaux, et d'aller à la cave pour vider tous ses fûts et ses bouteilles. On a réussit je crois, enfin, non sans blessures à la tête, mais on a réussi. Je m'en souviens bien, c'était un moment de partage, de complicité, réunis tous les deux pour le bien de notre père adoptif. Je me souviens d'avoir été très heureux de la mener avec elle, on a rigolé, mais on a bien fait cela. Voila, ce souvenir, cette anecdote si vous voulez l'appeler ainsi, c'est celle qui me reste, celle qui véhicule les valeurs que j'aimerais toujours partager avec ma soeur, l'entraide, la confiance. Et je suis là ce jour, à ses côtés, pour lui prouver que, peu importe ce qu'il arrivera dans nos vies respectives, je serai toujours là pour elle.

Il revint aux côtés de sa soeur. Lui même était ému, mais il était heureux d'être à ses côtés. Il redéposa une bise sur sa joue, regarda à nouveau Ezequiel et inclina respectueusement la tête, puis attendit de voir les autres discours. Jamais facile de passer le premier, mais c'était fait, et il était heureux et fier ce jour, il allait marier sa soeur.
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En deuil de Sa Majesté Impériale

Ministre de la Sécurité Intérieure de Lotharingie
Procureur Héraldique Impérial

Mathilde.von.frayner
Quel joli petit bouquet, quel robe sublime, c'était un peu son jour a elle aussi.
Radieuse la rousse miniature avait rendu le bisou à sa mère et c'était ensuite préparé pour faire ce qu'on attendait d'elle, ouvrir le cortège en quelques sorte.

Elle regarde son frère qui lui aussi a son rôle dans l'affaire, rigole.

Bah oui il a pas de bol! un coussin, c'est nul!
Elle son bouquet est plus jolie, et c'est partit!

On les amènent à destination, la petite fille reste droite souriante, elle veut que sa mère soit contente d'elle.
Petite sourire par ci par la, elle fonce!

Puis à un moment elle s'efface et c'est l'heure de réciter des trucs bizarre.

Mathilde est sage, mathilde sourit!
Oui Mathilde est heureuse!!
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