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[RP] Wedding/Mariage de Jade de Sparte et Ezequiel d'Avila

Princesssewen
M’agenouillant comme invitée par Uriel, je me mis moi aussi à réciter le Confiteor, et ensuite je fis comme tout le monde en récitant le crédo.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché,
En pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
L'absolution et la rémission de tous nos péchés.



Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action divine ;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés ;
En la Vie Éternelle.

AMEN


En jettant un coup d'oeil discret, je vis les doigts des futurs épousés se caresser, s’étreindre en attendant de se consumer en une nuit de folies.

Je me souvenais de mes propres épousailles qui s’étaient terminées ou par une de ces ou par une annulation comme je l’étais en se moment.

J’y avais cru moi aussi et maintenant je me retrouvais avec mes 5 enfants seule à les élever.
Mon statut de vice amiral de Provence faisait de moi une femme de poids dans la vie de Marseille, et je ne me plaignais pas le moins du monde,
car je pouvais à loisir côtoyer de bonnes personnes et aussi vaquer à mes occupations en tant que Mire de la ville.

Je souris aussi à la vue des enfants de mon amie Jade qui étaient si grands maintenant depuis que je les avaient mis au monde...
tout le portrait de leur mère me dis-je avec un bon fond de leur père n'es, en moins.

En écoutant Uriel je répondis presque aussitôt :


Pour moi être en ce moment avec mon amie Jade et son doux Ezequiel et surtout les aider dans leurs quêtes du bonheur est un honneur pour moi, d’aider avec mon savoir de la vie et aussi de soutenir leurs vœux formuler auprès d’Aristote est une forme de confiance pour moi.

J'ai renconté Ezequiel pour la première fois en Provence alors qu'ils revenaient tous deux de leur voyage en Italie. Il n'avait d'yeux que pour elle, transi, discret, il attendait que Jade fasse les présentations. En les voyant tout deux, former un si beau couple, le cœur m'en palpitait et j'ai souhaité que cela continue à l’infini pour que Jade oublie les années de grisaille.

_________________


Ex Maire de Marseille, 5 mandats
Uriel
Uriel écouta les témoins et leurs justes paroles, fermant à demi les yeux, on aurait pu croire qu'il dormait, mais cela aurait été inexact, il se laissait imprégner de ces belles phrases, si profondes et empreintes d'Amour, d'Amitié et de sérénité.

Il lui fit cependant plaisir de revoir Gregor, depuis ce temps. Il avait toujours apprécié l'homme, faisant connaissance avec le "fromager de Saint-Claude", puis ils avaient eu l'occasion de travailler ensemble, un peu, mais les charges d'Uriel ne lui avaient pas permis de continuer. Ils avaient néanmoins conservé une relation tout amicale.
La jeune dame témoigna alors pour Ezéquiel ; il se souvint d'elle lorsqu'elle vint lui demander son certificat à l'archidiocèse, si rapidement retrouvé dans les archives impeccablement tenues.

Les témoignages révélaient souvent des détails sur les futurs mariés, on apprenait, dans une certaine mesure, qui ils étaient vraiment. Mais en tous les cas, on sentait surtout qu'ils étaient prêts l'un pour l'autre.
Lorsque la dernière personne eut terminé, il les remercia d'un signe de tête et contourna l'autel, s'avançant vers les futurs jeunes mariés.

Il leur tendit à chacun une main et prit la dextre qu'ils lui tendaient. Il plaça ainsi la main de l'homme dans celle de la femme et reprit alors :

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos.

Puis il regarda son amie, en premier lieu :

Jade, je vous remets Ezéquiel, comme époux pour que vous le gardiez, sain ou malade, et que vous lui conserviez votre foi selon les commandements de l'Église, et pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour. Voulez-vous faire dépendre votre bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre ?

Le grand moment était arrivé ...
Jade.de.sparte


Pendant que les témoins discouraient, Jade ne put s’empêcher d’échanger des regards et sourires complices avec son futur époux, les souvenirs évoqués la ravissaient et elle sentit ses joues prendre une délicate teinte rosée à l’énoncé de son expédition secrète à Sochaux ! Elle était émue d’entendre son frère et son amie parler aussi tendrement de leurs liens et se contint pour ne laisser aucune larme s’épancher sur ses joues en ce jour heureux.

Mais on y était ! Le moment de prononcer les vœux, les échanges de consentement, de promettre à son futur compagnon de tous les jours tout ce en quoi elle croyait ! Après un sourire calme et posé envers Uriel, comblée qu’il soit l’officiant en ce jour si important pour elle, Jade se tourna vers Ezequiel, glissa ses mains dans les siennes alors que son regard se posait sur ce visage aimé. La ravissante rousse ressentait une complicité avec cet homme qui partagerait ses jours et ses nuits, et son coeur tressaillit dans sa poitrine sous l'émotion, devant inspirer profondément avant qu’un seul son sorte de sa bouche. C’est finalement, béate de joie qu’elle parvint à faire son serment.

Oui, Uriel, je le veux et l’accepte ! En ce jour et devant tous ces témoins, je choisis librement de m’unir à toi mon très cher Ezequiel. Je veux être pour toi une épouse aimante et tendre, présente à tes côtés et je souhaite de tout mon coeur et mon âme te rendre heureux et te combler. Je te fais la promesse solennelle de t’aimer, de te respecter et d’être d’une fidélité absolue, et ce, chaque jour de ma vie. J’accueillerai, le moment venu, les enfants que le Très-Haut nous accordera et les chérirai comme ceux qu’il a bien voulu me confier lors de ma précédente union. Mon engagement envers toi est sincère, profond, inaltérable, source de l'amour que j'éprouve pour toi, mon bien-aimé !

La flamboyante duchesse avait prononcé son engagement d'un trait et emportée par l'émotion. Son cœur s’était emballée dans sa poitrine et elle avait inconsciemment serré un peu plus les mains du Seigneur de Candiolo . Jade garda les yeux rivés vers son futur époux et lui adressa un sourire empreint de chaleur et de douceur, attendant anxieusement qu’il prononce son engagement.

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En deuil de Sa Majesté Impériale Adala, qu'elle repose en paix
Uriel
Le premier pas vers le mariage fut fait, facilement, simplement ... oui ... c'était si simple, si aisé de dire "oui". Cette acceptation impliquait tellement de choses, que seul Dieu pouvait en percevoir tous les tenants et les aboutissants.
Les futurs mariés, eux, ne le découvriraient qu'au fur et à mesure du temps qui passe, et il valait mieux ne rien savoir ... il y aurait de peines mais aussi de grandes joies, il ne restait qu'à espérer que le bonheur serait toujours présent.

Souriant à son amie de longue date, très respectée et respectable, il défit alors les mains des amoureux et les recroisa en sens inverse, puis levant la tête vers l'homme il lui demanda :

Ezequiel, je vous remets Jade comme épouse pour que vous le gardiez, saine ou malade, et que vous lui conserviez votre foi selon les commandements de l'Église, et pour vivre avec elle dans l'amour de chaque jour. Voulez-vous faire dépendre votre bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre ?
Ezequiel.a.joaquin
Et suite aux deux prières, vint le temps des témoins. Alors qu’il comprit que le moment était enfin arrivé, les paupières d’Ezequiel cillèrent une infime seconde, et ses doigts, entrelacés à ceux de Jade, s’y pressèrent un peu. Elle, plus que quiconque, le devinait, le savait ; elle seule était au fait des événements qui avaient marqué les jours précédent le mariage, et ainsi était-elle l’unique à savoir que le témoin initial de l’Ibère ne viendrait pas.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est à cet instant davantage qu’à aucun autre que l’absence d’Ares fut vraiment marquante à Candiolo. Son père aurait dû être là, malgré l’incident ; son père aurait dû être là, malgré cette querelle idiote qui s’était déroulée entre eux. A vingt ans de paternité effacée, passée loin de ses deux enfants, le maire avait donc choisi quelques semaines à aimer une autre femme que son épouse, elle-même une autre femme que sa mère… Chacun suivra comme il le pourra.

Ainsi donc par deux fois, Ezequiel avait été abandonné par son père ; ainsi donc, par deux fois se relèverait-il sans père – chacun se forge sa propre route au gré des aléas de la vie. Gabriela était là qui siégeait quelques bancs plus loin*, et son regard de grand frère s’était porté sur elle, rapidement ; elle aussi, avait été délaissée, la pauvre enfant. Plus jeune, elle avait tenté de se lier avec la maîtresse du paternel, alors qu’ils venaient de perdre leur mère et d’arriver en Empire : comme elle avait demandé à la jeune femme quelle serait sa place après l’hyménée, celle-là avait répondu « et bien, vous serez les enfants de mon époux ! », lui reniant le statut de fille, lui ôtant, finalement, la présence de deux mères.

A la suite de la querelle entre les deux hommes, Ares avait ordonné qu’elle partît avec son aîné, quand bien même elle n’était pas mêlée à l’affaire…
Pauvre petite Gaby que tout le monde aimait pourtant ! Il serait là pour elle, pour sa petite sœur chérie qu’il avait finalement élevée comme si elle fut sa fille. Dans quel genre de vie pouvait-on naître une fois, et être abandonné davantage ? Mais Candiolo refusa de laisser plus avant toute pensée négative traverser son esprit, alors qu’il vivait l’instant le plus beau de toute sa vie, et bien vite, le clin d’œil fut adressé à la petite, un sourire tendre, ensuite, vers sa future/presque épouse.

Les témoins, donc ; Gregor s’avançait. Ezequiel ne l’avait rencontré qu’une fois, alors qu’il était le cavalier de Jade à une autre union ; décidément, la vie était affaire de mariages ! Aussitôt l’Ibère avait-il réalisé que Jade, si elle n’avait pas tari d’éloges sur son frère, n’avait pas été aveuglée ou biaisée par quelque lien filial : sa relation complice avec son frère était bien telle qu’elle l’avait décrite, et le discours de Gregor ne l’en convainc que davantage.

Ces deux là nourrissaient un lien profond, que le brun halé pouvait aisément comprendre, et dont il se réjouissait : la famille n’était-elle pas l’un des premiers signes de l’amitié aristotélicienne ? L’anecdote le fit sourire, et l’amusa sans doute autant que l’assistance ; il pressa la petite main de sa promise comme il la sentit émue, bouleversée, et lui-même fut chaviré par la bise que Gregor apposa à sa sœur. Oui, vraiment, ce qui comptait aujourd’hui, c’était bien les présents, et non les absents.

Alors qu’il inclinait la tête en retour à Gregor, il nota le sourire de Mathilde, et fondit immédiatement sur place. Réprimant de justesse un « ooooooh » attendri, il se contenta de lui adresser un petit clin d’œil malicieux ; elle tenait son rôle à merveille, tout comme son frère, d’ailleurs, à qui fut adressé le même petit signe affectueux.

Séwen s’approcha à son tour du lutrin, et prit la parole. Elle était un témoin adorable, aussi charmante qu’elle l’avait été lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Jade avait la jeune femme en haute estime, et c’est avec respect et confiance qu’Ezequiel en était venu à l’avoir pour témoin ; Marseille était bien loin mais les liens de l’affection et de l’amitié n’en était que plus renforcés. Il lui sourit, inclina doucement la tête à ses dires, pour la remercier ; succinct mais relatant l’essentiel, son discours était parfait car en sus d’être émouvant, il décrivait les choses comme l’Ibère lui-même les avaient perçues, et c’était là gage de sincérité.

Uriel reprit la parole, après que les mariés lui eurent confié leur dextre ; les senestres toujours nouées l’une à l’autre reçurent chacune une complice supplémentaire comme l’officiant confiait le soin à la paume droite, plus petite et infiniment plus délicate, de Jade, de recevoir celle d’Ezequiel.

Le sentiment qui traversa son poitrail alors que son adorée et adorable rouquine de compagne se tournait vers lui serait bien trop complexe à définir ; toujours est-il que son cœur, assurément, manqua un battement au moins, et que son souffle parut un instant suspendu. Emu, yeux plongés dans ses siens et mains entremêlées, il lui sourit avec une infinie tendresse, comme elle semblait alors, aussi bouleversée que lui.

Chaviré, il but chacune de ses paroles, ressentant chacun de ses mots, pressant en retour ses petites mains au creux des siennes, lui conférant sa force et son soutien à travers elles ; se livrer n’était pas toujours aisé, et Déos en serait témoin – littéralement, pour le coup -, aucun des deux époux ne se fourvoierait dans un serment qu’il ne ressentait pas au plus profond de son être.

Un voile d’émotion passa à ses yeux comme il lui sourit ; moment rien qu’à eux au milieu d’une foule, comme à chaque fois que leurs regards se croisaient, que leurs pupilles s’embrassaient, se couvaient… Un seul regard, et tout était dit.

Tout ? Sûrement pas ! Car ce fut bientôt le tour d’Ezequiel de prononcer ses vœux, mains inversées par Uriel. C’est le cœur martelant en son poitrail qu’il s’exprima donc, après avoir toussoté légèrement, sa voix s’étant cassée d’émotion de prime abord :


Oui, Eminence, je veux et j’accepte Jade pour épouse, et m’engage à la garder, saine ou malade, à lui conserver ma foi selon les commandements de l’Eglise, pour vivre avec elle dans l’amour chaque jour. Je veux faire dépendre mon bonheur de son bonheur, et donner par l’exemple de notre union un signe visible de l’amitié de Dieu sur terre, car Elle est mon bonheur, Elle est ma joie, Elle est mon exemple et mon admiration ; Elle a fait de ma vie une image colorée, une peinture céleste que je mire se dessiner chaque jour à mes yeux éblouis, transcendés. Elle a fait se changer de simples lettres en soutien confirmé, les plus courtes missives en poèmes inspirés ; Elle a…Elle est…

Il fit une légère pause, sa voix ayant tremblé, et, même s’il ne l’avait quittée des yeux jusque là, c’est bien à elle que cette fois-ci, il s’adressa :

- Et tu es mon Soleil avant l’heure, ma douce mie… Mon réconfort, ma chaleur, pour tous les jours de pluie… Aussi ce jour d’hui, le plus merveilleusement… merveilleux de ma vie, je te promets amour, soutien, fidélité, tendresse ; une présence continue dans la tristesse ou la liesse ; je te promets ma main dans ta main à chacun des matins ; de me faire oubli, espoir, dans les heures les plus noires ; et de tout faire pour que jamais la moindre perle salée de larme ne s’en vienne couler à ta joue. Je te promets mes bras pour te protéger et de réconforter… Je te promets, devant Déos et les hommes, de faire de mon mieux pour te combler, te chérir, dans un respect mutuel et dans une relation de confiance, d’être un époux aimant, et de prendre soin de toi, et de tes, et de nos enfants. Je t’en fais le serment, ici et maintenant, sur la base de l’amour indéfectible et infini que j’éprouve pour toi et qui n’a fait que croître, depuis la première heure de notre rencontre… épistolaire.

Un petit regard malicieux comme il ajoutait le dernier mot, pour la faire sourire, et le brun de serrer tendrement ses petites mains au creux des siennes, un sourire épanoui aux lèvres. Ce n’était pas de sa faute, avouons-le ; l’entendre rire était un tel plaisir que même dans son esprit, l’image en était vivifiante…


*Vu avec Jd Gabriela, qui ne sait pas s'il lui sera possible de poster.
Alienor.




Adore Adore Adore

Et de sautiller partout, partout. Maman elle en parle et en reparle. "Out doit etre parfé" "Vou devé etre parfé". Sage aussi. Elle a ke ce mot là à la bouche. Sage par ci sage par la. Et la robe alor???????? Ze veu la robe moua. Maman elle a promis a moua une belle robe, une robe de prinzcesse. Meme que j'auré une plus belle robe que la reine. Parce qu'il y aura la reine. Enfin Maman a dit un autre mot mais j'ai pas retenu.

Maman annonce que ce soir, on dort ensemble moi et Eng'. Roooop contente. Et demain la robeeeeeee.


[Le lendemain]

Pffffffffff Maman est fachée. Elle veut rien. On mange et on z'habille k'après. Pas pareil d'abitude.

Ze veux la robe!

Non. Tu manges et on t'habillera apres. Il ne faut pas te salir.

Je mange rien alor!

On a une grosse journée. Si tu ne manges pas tu auras faim et je n'aurais pas le temps de m'occuper de toi. Je dois aussi m'occuper de Jade aujourd'hui. Alors tu manges et tu ne discutes pas. Sinon, pas de robe non plus.


Ze veux Maman. Est pas Maman la. Est une méchante maman.

Wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. Maman ze t'aime!!!!!!!

Et oui, les z'enfants sont versatiles! Il suffit qu'une robe soit sortie de son écrin et paf! Ils changent d'avis.
Maman rale. Elle trouve que je fais pas d'effort, que je bouge tout le temps. Mais suis excitée moua, ze veux qu'elle soit sur moi, que ze soit une Prinzezin. Et puis après la tenue, la coiffure. Le peigne la teigne.


Comment ze suis rohhhh zolie!

Madame? La duchesse de Vittel vous demande.


Ca c'est le signe que Maman s'en va. Elle va voir Jade, la marraine d'Eng. Parait qu'elle va avoir une zolie robe aussi. Mais elle sera moins belle que moua.
Hilda est zentille mais je prefère Maman. Hilda elle joue pas comme Maman.

Maman revien. Elle court. Elle s'habille aussi. Elle sort de la chambre





T'es rohhhhhh belle Maman.

Je la zieute tout le temps qu'elle se regarde dans le miroir. Maman, c'est la plus zolie de toute.

T'es sale a l'épaule.

Ce n'est pas une saleté, c'est une cicatrice mon Ange.


Mon ange ses moi. Une cicatrice c'est quoi? Maman remonte sa tenue pour la cacher, mais le tissu retombe encore. Elle a jamé dit ces koi une cicatrice. Elle la montre jamé non plus.
On court jusqu'a la zapelle. Maman est pressée. Ya plein de monde dans la capelle. C'est pas une capelle, ses rop gran pour une kapelle, ses une guilise ou une tathédrale.
Hilda nous fait vite assoir. Maman a disparue. Elle doit etre avec Jade.

D'ailleur la voila. Et Jade aussi. Elle suit Maman, mé elle est pas doué. Elle pourré vite la rattrapé ma Maman. Ya les zenfant aussi. Zeux avec ki on est parti en Italie! Le tré looonnnnnnn voyage.
Elle a une belle robe aussi. Mais Maman elle est plus zoli kelle. Et moi plus que Maman.
Meme que la reine, elle est pas la, ya pas de plus belle robe que moi!

Et ca parle, ca parle. Trop lon.


Hilda? Z'est qand qu'on peux jouer avec Max et Matild'?

Chuttttt. Ils échangent leur voeux, c'est un des plus beaux moments.


Hilda, elle ai bizarre. Je veux jouer moua!








Love Love Love

And bouncing around everywhere. Mom she speaks and speaks again. "Everything must be perfect" "You must be perfect." Wise also. She has that word in there mouth. Wise by wise by it. And then dress???????? I want to dress me. Mom she has promised me a beautiful dress, princess dress. Even I would have a most beautiful dress queen. Because there will be the queen. Finally Mom said another word but I have not used.

Mom announces that tonight we sleep together me and Eng '. Too happy. Tomorrow and the dress.


[The following]

Pffffffffff Mom is angry. She wants nothing. We eat and dressed after. Not the same as usual.

I want the dress!

No. You eat and after you dress. Do not get dirty.

I eat anything then!

It was a big day. If you do not eat you get hungry and I have no time to take care of you. I also take care of Jade today. You eat and then you discuss it. Otherwise, no dress either.


I want Mom. She is not my Mother. This is a bad mother.

Wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa. I love you mom!!

And yes, children are versatile! Just a dress or out of its case and wham! They change their minds.
Eral mom. She thinks I am no effort, I move all the time. But I'm excited, I want her on me, that I was a princess. And then after holding the hairstyle. The comb ringworm.


How I'm too pretty!

Madame? Duchess of Vittel ask you.


That's a sign that Mom goes. She goes to see Jade's godmother Eng. Seems that it will have a pretty dress too. But it will be less beautiful than me.
Hilda is nice but I prefer Mom. Hilda plays not like Mom.

Mom returns. She runs. She dresses too. She leaves the room





You're so beautiful Mom.

I watch all the time she looks in the mirror. Mom, this is the prettiest of all.

You're a dirty shoulder.

This is not dirt, it is a scar on my Angel.


My angel is me. What is a scar? Mom holding her back to hide, but the fabric falls again. She never said what the scar. She never shows either.
We run up to the chapel. Mom is pressed. There are plenty of people in the chapel. This is not a chapel, it's too big for a chapel is a church or cathedral.
Hilda makes us sit down quickly. Mom was gone. It must be with Jade.

Moreover, the voila. And Jade too. It follows Mom, but it is not good. It could quickly caught my mom. There are also children. Those with whom we went to Italy! The very long journey.
She has a beautiful dress too. But Mom what she is prettier. And I more than Mom.
Even the Queen, she is not, there is no better dress than me!

And it speaks, speaks ca. Too long.


Hilda? This is qand we can play with Max and Matild '?

Chuttttt. They exchange vows, it is one of the finest moments.


Hilda, it's weird. I want to play me!

Sorry, the English version is less childish than the French version, but otherwise, google translate can not translate ...



_________
Uriel
Uriel fit alors coulisser légèrement son étole pourpre de Cardinal et en entoura les mains jointes des époux.
Il dit alors :


Puisque vous avez donné pareil consentement à votre union, donnez-vous l'un à l'autre la foi que vous devez à Dieu et à la sainte Église Aristotélicienne. Gardez-vous mutuellement dans la parfaite fidélité et l'aide mutuelle, selon la règle et le dévouement du mariage.

Puis il se tourna vers la personne qui détenait les alliances, pour lui signifier de s'approcher.
De sa dextre, il s'empara des deux anneaux.


Dieu Créateur et conservateur du genre humain, Toi qui donne la grâce spirituelle et qui fais largesse de la vie éternelle, daigne envoyer Ta bénédiction céleste sur cet anneau , œuvre d'un artisan, Ta créature ; afin qu'en le portant, l'épouse soit munie de la protection céleste, qu'elle fuie les tentations du sans-nom, qu'elle garde fidélité à son mari, qu'elle instruise ses enfants dans la piété, qu'elle trouve grâce auprès de tous et que par une conduite bonne sainte elle parvienne au salut éternel.

Il remit alors l'anneau à Ezéqueil, afin qu'il crée "l'alliance" avec Jade et une fois l'anneau passé, le clerc reprit le cours de la cérémonie :

Mes Enfants, je vous déclare donc mari et femme, époux et épouse.
Aimez-vous dans la joie, la bonne humeur, mais aussi lorsque les vents mauvais de l'existence souffleront, vous n'en serez que plus forts, ensemble pour les affronter.

Ezéqueil ... vous pouvez embrasser la mariée.


Il lui sourit, afin de les laisser échanger ce chaste baiser.
Ezequiel.a.joaquin
Les yeux plantés dans ceux de sa mie, il laissa bien entendu Uriel disposer son étole autour de leurs mains jointes, et écouta ses dires.

Lorsqu’il prit l’anneau et le bénit, l’Ibère sourit, ému ; après que le Cardinal eut béni celle-ci et l’ait confié à Ezequiel, celui-ci prit l’anneau et la glissa d’une main légèrement tremblante au doigt de celle qui serait d’un instant à l’autre son épouse, et laissa échapper un léger soupir d’émoi.

Et vint enfin l’instant où l’officiant les déclara mari et femme. Ces trois mots, trois tous petits mots prirent autant de sens que le « je t’aime » qu’il murmura à Jade, alors que, un sourire épanoui aux lèvres, il se pencha pour cueillir ses lèvres avec égard et tendresse, les mains toujours glissées dans les siennes.

Mari et femme. Epoux et épouse… Deux mots, deux êtres pour un seul couple. Elle et lui, infiniment.
Jade.de.sparte


Il lui avait fait une déclaration... tendre, amoureuse, enchanteresse, bref idéale ! Perdue dans ce regard qui l'envoûtait, la jeune femme eut peine à s'extirper de cet aura qui semblait les entourer, les lier, les protéger. Ezequiel faisait référence à leur rencontre, à leur début, à ces émotions qui étaient leurs, qui avaient donné naissance à des sentiments plus profonds, durables. Bouleversée, Jade était aux bords des larmes devant ce serment émouvant, il serra ses mains au creux des siennes en souriant, la réconfortant par le geste et un sourire vint orner le joli minois de la flamboyante rousse. Son regard se porta ensuite vers ses enfants, ils étaient là, adorables et Jade eut envie de les prendre tout contre elle, tellement elle se sentait heureuse et sereine mais se retint, elle le ferait dès la fin de la cérémonie qui devait se poursuivre.

Uriel joignit alors leurs mains, l'entourant de son étole. Jade sentit son coeur s'emballer dans sa poitrine, les émotions reprenaient vivement le dessus et fut tant émue qu'elle dut faire des efforts surhumains pour ne pas pleurer. Elle vit Maximilien s'approcher avec les "nanneaux" comme il disait, fière de son magnifique fils, elle lui fit un sourire tendre et affectueux.

Son annulaire se fit couvrir d'un anneau, l'anneau qui les liait désormais l'un à l'autre, témoin de leurs serments, leurs promesses. Jade fit de même, glissant à son tour ce signe de leur alliance au doigt de son futur époux.

C'est alors qu'elle entendit de la bouche de son ami Uriel, les mots qu'elle attendait depuis longtemps... mari et femme... heureuse, touchée, émue, la nouvelle mariée sentit les larmes couler sur ses joues tout en souriant, tout comme l'arc-en-ciel suit parfois la pluie lorsque le soleil y met sa touche délicate. Comblée, les mains dans les siennes, elle accueillit sa déclaration d'amour en ajoutant "Sabes que te amo mas ?" *, jouant leur jeu habituel. C'est alors que leur premier baiser de mariés, d'époux et d'épouse et tendrement, y répondit avant de quitter ses lèvres, au comble de la joie.


* Sais-tu que je t'aime davantage ?

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En deuil de Sa Majesté Impériale Adala, qu'elle repose en paix
Uriel
Uriel fit à nouveau glisser son étole afin de libérer leurs mains et les laissa échanger ce tendre et chaste baiser.
Entre temps, il était retourné là où il avait tenu son office et entama la dernière partie du sacrement, et pas forcément la moins importante, celle qui ravissait tout le monde, croyant comme non croyants.

Prenant une corbeille dans laquelle reposait un pain encore un peu chaud, tout frais du matin, il s'en empara et le rompit, puis, il prit la coupe et la remplit de vin, le goûtant tout d'abord pour savoir si il ne sentait pas le vieux bois.
Pour l'occasion il avait pris le vin de l'archidiocèse de Trèves ... où il avait tant oeuvré dans le passé, et celui-ci était excellent, loué soit Saint Sylphaël pour le plaisir des sens, dont en particulier, celui du goût, présentement.

Tendant alors la corbeille et la coupe à Jade et à Ezéquiel en premier lieu, il invita ensuite tout un chacun à venir communier à l'autel, afin de partager l'amitié aristotélicienne et féliciter cette nouvelle union.




... ainsi s'achevait doucement cette cérémonie, ils étaient mariés et ils devaient en être heureux. Maintenant chacun pourrait aller en paix.
Jade.de.sparte


Après le baiser, la déclaration et la liesse qui s'en suivit, vint la communion. Uriel prépara le pain et le vin, semblant particulièrement apprécier ce dernier. La corbeille leur fut tendue et Jade en prit un morceau qu'elle rompit en deux, en offrant la moitié plus généreuse à son époux, signe de leur union, du partage qui serait leur. Puis se fut le vin, la nouvelle mariée s'y trempa quasiment que les lèvres tant elle chercha à boire avec précaution, tendant la coupe à Ezequiel avec un sourire attendri.

La communion se poursuivit avec les invités à ce mariage et la joie du moment éclaira le visage de la flamboyante rousse. Ils étaient mariés ! Se tournant vers Uriel, Jade prit ses mains entre les siennes avec un air reconnaissant

Merci beaucoup Uriel pour cette magnifique cérémonie ! Je suis heureuse que c'était toi qui officiait, ce fut empreint d'émotions et convivial, fidèle à tes habitudes.

Ses mains quittèrent celles d'Uriel pour retourner dans celles de son époux

Vous êtes tous invités à Vittel pour un grand banquet préparé par l'Échanson Impérial !

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En deuil de Sa Majesté Impériale Adala, qu'elle repose en paix
Princesssewen
Je regardai ma suzeraine les yeux pétillant à nouveau d’amour et de bonheurs qu’elle avait droit enfin..

Moi qui me retrouvait seule et juste un peut nostalgique a penser a mon passé..

J’espérai que plus tard au banquet, je ne sertirai pas assise toute la soirée et qu’un gentilhomme sera assez galant pour m’inviter à une danse..

Il était vrais que depuis un longue période je n’étais sortie, de chez moi a cause de mes enfant mais aussi et surtout a cause de mon travail.

Je suivai donc comme tout le monde, les mariés en direction de la sortie.
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Ex Maire de Marseille, 5 mandats
Ezequiel.a.joaquin
L’anneau apporté par Maximilien, béni par Uriel et glissé à son doigt par sa désormais tendre épouse décidément, lui allait comme un gant. Il s’en fit rapidement la réflexion alors que la taquinerie de sa douce lui restait encore à l’esprit et parait ses yeux de mille points étoilés et pétillants ; oui, cet anneau, signe de leur engagement l’un envers l’autre, avait cette impression de plénitude qui ne nécessiterait pas qu’il s’habitue à sa présence.

Il communia à la suite du Cardinal et de son épouse, alors que celle-ci remerciait le premier pour la merveilleuse tenue de la cérémonie. Souriant à son tour, il porta une main à son cœur comme il adressa ses vœux de gratitude à Uriel :


- Eminence… Merci infiniment pour la façon dont vous avez su nous accompagner d’un bout à l’autre du mariage, des premières dispositions jusqu’à cette superbe cérémonie.

Jade prenait à nouveau ses mains ; c’est avec un plaisir et une béatitude non dissimulés qu’il entremêla ses doigts aux siens, et sourit aux invités comme Jade les conviait tous à la suite de la célébration de leur union. Un regard tendre aux enfants… Une nouvelle vie commençait là, ici, et maintenant.
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