Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[Eliminatoires] Joutes d'avril 1460

Boudicca
Ainsi, elle l'aurait peut etre sa revanche du Lavardin! Le combat serait rude, peut etre incertain. La Blonde avait pris de l'expérience depuis l'automne et quelques blessures aussi. Son genou la lançait encore par temps de pluie. Elle savait qu'elle ne fallait pas sous estimé son adversaire bien qu'elle passait maitre dans l'art de faire chuter les hommes de leur monture au point d'en arriver à la finale.
Boudicca terminée de se préparer, l'arbitre ayant annoncé son combat, son adversaire s'avança.


Ravie de même messire! en effet, ce match nous dira ce qu'il en est! Je vous souhaite également bonne chance! en espérant ne point trop vous faire de mal si je vous fait chuter.

Petite sourit de la Blonde tourangelle. Les adversaires se placèrent sur leur ligne de départ, s'élancèrent rapidement. Le choc et et le bruit du bois qui craque. La jeune femme encaissa le coup violent mais, connaissant les moindres mouvements de sa monture en pareil cas, elle réussit à se maintenir en selle. Victoire!
Elle l'avait sa revanche enfin! Match nul à ce niveau là!
Elle s'avança pour féliciter son adversaire qui ne déméritait pourtant pas, sachant sa frustration de quitter si vite le jeu pour y etre passer par là plus d'une fois. Elle sourit à la dernière remarque qui aurait pu passé pour légère en d'autres circonstances.

Très beau combat résolument! Me voila rassurée sur votre état par ce trait d'humour! Nous nous retrouverons probablement pour d'autres revanches!
_________________
Hersent
Citation:
Que s'avance sur la lice Hersent d'Ar Sparfel, Dame de Maizières et de Vignory et Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard Seigneur de Quiers sur Bezonde.



Première lance...
Les deux jouteurs se font face, Minerve donne le départ.
Ils s'élancent l'un vers l'autre, les lances s'abaissent et touchent! Mais aucune ne se brise, les deux jouteurs restent en selle.

Seconde lance...
Un demi-tour en bout de lice, ils reprennent le chemin de la lice. Cette fois-ci rien ne se passe.

Troisième lance...
Pour ce dernier "croisement" la foule les encourage, les lances s'abaissent, le duc manque sa cible, alors que la Dame, néophyte, fait mouche et brise sa lance. Le duc reste en selle.


Hersent d'Ar Sparfel est déclarée vainqueur.



Hersent s'était inscrite à des joutes pour la première fois de sa vie, elle en avait entendu parler par ses amis et diverses connaissances, aussi franchit-elle le pas lorsqu'elle lut, au Ban Champenois, l'annonce des joutes organisées par les écuries royales. Elle était venue avec son amie Coxynel, décidées toutes les deux à s'amuser et à être "baptisées", elles avaient besoin de changer d'air et d'oublier un peu leur quotidien.

Hersent se demanda si Coxynel avait emporté des sucreries à grignoter entre les tournois sur la lice. Pour cette fois, Hersent n'avait pas d'écuyer ou écuyère, elles s'aideraient mutuellement, Coxy et elle, pour endosser leur armure avant de se mettre en selle pour combattre.

La route fut courte malgré tout: l'ivresse des galops sur les chemins, les cris poussés pour motiver les montures, la joie de vivre tout simplement en ce début de printemps.

Enfin arrivées à bon port, elles plantèrent leur tente décorée aux armes de Champagne et aux leurs, elles déposèrent leur barda qui brinquebalait sur la croupe de leur cheval, la charrette suivait plus loin, conduite par un paysan de Maizières.

Revue des équipements, ajustages divers, affûtage des lances et surtout choix des parures pour Korrigan: Hersent n'était pas peu fière de la belle et longue "jupe" cousue avec ardeur par Florine et Guillemette sous les yeux ébahis des enfants qui se demandaient pourquoi leur mère comptait habiller Korrigan. Elle leur avait expliqué le principe des joutes et le pourquoi de 'habillage des montures: la noblesse montrait à ces occasions, le flamboiement de ses couleurs.

Hersent lut le tableau des éliminatoires...son adversaire serait un duc qui semblait être aguerri dans ce divertissement guerrier. Elle sentit une petite boule au creux de son estomac puis se reprit bien vite: en quoi une Dame serait-elle moins adroite qu'un seigneur et duc?

Elle alla avec Jehan préparer son cheval, l'habiller, l'harnacher de ses plus beaux harnais, le brosser, le lustrer pour qu'il soit au sommet de sa prestance...oui!!! Korrigan, son hongre placide, la porterait avec Force et Honneur pour jouter, lui qui n'avait connu que les champs de bataille et les lices d'entraînement.

Lorsque Korrigan fut prêt, Jehan aida Hersent à revêtir son armure, astiquée avec soin, mettant en valeur son blason. Il l'aida à monter sur son cheval, elle chuchota à l'oreille de ce dernier des mots connus d'eux seuls, ceux qu'elle lui disait avant chaque combat...avant de mettre son heaume, elle souffla dans la longue crinière tressée et respira l'âme de sa monture.

Minerve appela les deux jouteurs, Hersent s'avança, Jehan à ses côtés portant la lourde lance et le bouclier d'apparat, elle salua son adversaire:


Vostre Grasce, je vous salue respectueusement et vous souhaite un beau combat. La Champagne saura se montrer grande et belle!

Elle lui sourit puis abaissa son heaume....fichtre, ça chauffait là-dedans!!! Jehan lui tendit d'abord le bouclier qu'elle mis en position de protection puis ce fut au tour de la lance qu'elle saisit fermement et sans trembler ...un sourire, invisible pour le monde extérieur, étira ses lèvres sous son heaume....une lance qui en rappelle une autre lors de bien jolis moments ...

Elle se positionna correctement le long de la longue séparation en bois, son adversaire en face d'elle à l'opposé. Korrigan piaffe un peu, elle le calme en serrant légèrement les talons contre lui...

première lance, premier affrontement...
War -raok * Korrigan Force et Honneur! s'écria-t-elle dans son heaume. Elle fonce sur son adversaire, abaissant sa lance sans faiblir, prête à toucher le bouclier du duc, elle le touche, lui aussi la touche mais les deux lances restent entières et ô miracle, elle reste en selle. Soupir de soulagement, et ouverture rapide du heaume pour respirer de l'air frais et remercier son cheval.

C'est la seconde lance, ils se remettent en position pour combattre mais lors du croisement rien ne se passe, ce fut comme un effleurement subtil et aérien, presque un ballet guerrier d'une beauté à couper le souffle: deux chevaliers carapaçonnés, deux lances destructrices, deux destriers lancés à vive allure, un vacarme infernal s'achevant en arabesque virevoltante, un moment magique comme un duel silencieux au coeur d'une bataille sanglante. Une seconde d'éternité à savourer lentement.

C'est la dernière lance, la troisième, l'ultime assaut... la sueur perle abondamment sur l'échine de Hersent, elle ruisselle le long de ses joues et de son cou, ses longs cheveux noirs tressés sont humides et des mèches rebelles se collent sur ses lèvres et son cou. Concentration extrême, cri de guerre étouffé par le heaume
War-raok* Korrigan! Force et Honneur.

Elle s'élance vers le duc, la foule hurle, les encourage, Korrigan a ses oreilles en arrière prêt à galoper jusqu'en enfer. Elle abaisse sa lance, ne fléchit pas et là....en une fraction de seconde, la lance du duc se brise tandis que la sienne tient le choc.

Elle regarde en arrière, le duc est resté en selle, n'a que légèrement vacillé mais c'est elle le vainqueur....la chance du débutant certainement mais elle ne boudera pas son plaisir, cette sensation indescriptible d'être seule face à un autre soi-même, l'adversaire que l'on a en chacun de soi, celui que l'on doit combattre sans cesse. Comme elle a aimé ces trois chevauchées, ces lances pointées vers l'Autre, ce ballet intense et gracile à la fois, la sueur des hommes mêlée à celle des chevaux, compagnons d'armes intimement liés par la confiance et le respect, l'homme et sa monture, duo ineffable d'une histoire sans fin scandant la vie et la mort.

Elle attendit Jehan pour lui remettre heaume, lance et bouclier puis elle s'avança vers le duc, le visage rougi par l'effort et l'intensité des duels, ses cheveux séchant au vent printanier, les deux tresses noires, jais, se touchant, celle de Hersent voletant autour de celle de Korrigan.


Vostre Grasce, je vous remercie pour ce baptême: c'était ma première joute, j'ai été chanceuse, la chance du débutant j'en conviens. J'ai aimé ces duels et cette osmose tant avec ma monture qu'avec vous, mon adversaire émérite. Elle rougit de son audace langagière du moins est-ce mon ressenti... sur un champ de bataille je me sens aussi en osmose avec mon adversaire, car nous jouons l'éternelle dramaturgie de la vie et de la mort. Elle se tut un instant avant de le saluer à nouveau Au plaisir de rejouter à nouveau contre vous.

Elle fit faire demi-tour à Korrigan, ayant soudain hâte de quitter sa boîte de conserve appelée armure. Elle mit au trot son cheval et lui glissa son rituel de remerciement à l'oreille.

(*en avant! en breton)
_________________
Deedlitt
Ce poste devrait être après le duel de Valryane, mais vu que je ne peux pas éditer mes message. Voilà désolée..


Citation:
Que s'avance sur la lice, Bourguignon de Sorel, Duc de Beaugency, Vicomte de Fronsac et Baron de Chécy et Theudbald de Malhuys, seigneur d'Irancy.



Première lance...
Les jouteurs se font face, Minerve donne le départ, les lances s'abaissent... et touchent! Mais aucunes ne se brisent, les jouteurs restent en selle.

Seconde lance....
Un demi tour en bout de lice, ils repartent l'un vers l'autre, une fois de plus des lances se croisent... Mais cette fois là, seule le duc touche et brise sa lance, dans la volée il fait chuter son adversaire.
Solide adversaire le seigneur n'est pas blessé.


Bourguignon de Sorel est déclaré vainqueur.


_________________
Ursus
Citation:
Que s'avance sur la lice Hersent d'Ar Sparfel, Dame de Maizières et de Vignory et Ursus de Valbois, Duc de Chateaurenard Seigneur de Quiers sur Bezonde.



Première lance...
Les deux jouteurs se font face, Minerve donne le départ.
Ils s'élancent l'un vers l'autre, les lances s'abaissent et touchent! Mais aucune ne se brise, les deux jouteurs restent en selle.

Seconde lance...
Un demi-tour en bout de lice, ils reprennent le chemin de la lice. Cette fois-ci rien ne se passe.

Troisième lance...
Pour ce dernier "croisement" la foule les encourage, les lances s'abaissent, le duc manque sa cible, alors que la Dame, néophyte, fait mouche et brise sa lance. Le duc reste en selle.


Il y a des jours avec et des jours sans. En ce matin de printemps, le Duc de Chateaurenard ne devait point être en grande forme, car il manqua l’écu adverse trois passes de suite. Lance brisée pour la Dame. Il pouvait donc rentrer au Domaine.

Enfin, il n’allait pas pour cette raison manifester son mécontentement. Ce n’était pas dans son tempérament. Aussi, il s’approcha de Dame Hersent pour lui dire quelques mots.


Félicitations pour votre victoire. Voilà un début bien prometteur. Je vous souhaite bonne chance pour le suite du tournoi.
_________________
Ingeburge
[Tribunes]


Et elle le vit, et elle le regarda comme elle avait regardé tous les autres... enfin, presque. Il y avait plus d'intensité dans son regard, plus d'intérêt et il y avait aussi le désir de le voir conquérir la victoire. Et elle pouvait d'autant plus le regarder que tous ceux en tribune faisaient de même : n'était-il pas naturel, lorsque l'on se trouvait en tribune, de poser les yeux sur la lice et d'y suivre avec attention chaque duel? Alors elle le regarda, sans crainte, sans timidité et ce d'autant plus qu'elle s'était isolée, protégée par sa garde et qu'elle avait choisi, malgré ce mois d'avril, de garder sa capuche sur sa tête. L'on était loin des chaleurs printanières et elle était frileuse, là encore, il n'y avait rien de plus naturel. Elle eut aussi la chance de ne devoir pas trop attendre pour pouvoir l'observer, il fut du deuxième passage et après avoir suivi avec intérêt le premier duel opposant un de ses hérauts et un de ses maréchaux, elle entendit son nom, elle reconnut ses armes et le plaisir sportif fut totalement occulté.

Attentive, elle ne vit que lui, elle ne quitta pas des yeux le rang où il avait pris place et quand les drapeaux s'abaissèrent, elle sentit son cœur s'emballer, sa respiration s'accélérer. Subjuguée mais troublée du fait de la scène s'étant jouée auparavant sous la tente de l'Euphor, elle observa le moindre de ses gestes, du talonnement de sa monture à l'abaissement de la lance et elle se mordit légèrement la lèvre quand l'impact eut lieu. Pour autant, elle n'avait pas peur malgré les risques, elle le savait fort, elle le savait puissant et se perdre en vaines craintes n'aurait pas été lui faire l'honneur. C'était un combat rude, mais courtois et si elle s'était inquiétée pour lui lors de la dernière guerre, elle n'avait jamais rien fait pour l'écarter des champs de bataille; ce n'est pas l'accès à un champ-clos qu'elle allait lui refuser.

Il remporta la victoire, nettement, brisant sa lance et demeura en selle. Satisfaite, elle alla piocher du maïs soufflé et sucré dans une petite écuelle et en enfourna dans sa bouche. Elle suivrait le reste des éliminatoires, contente qu'il ait franchi le premier tour et assisterait aux autres duels. Ainsi, elle verrait avec grand plaisir le duc d'Orléans, son camarade de broderie, s'en tirer honorablement, tout comme elle serait témoin des succès de l'insupportable Jeneffe, de l'adorable duc d'Alluyes et du bougon marquis de Senlis. Seule ombre au tableau? La déconvenue de son vassal qui vint clore les éliminatoires. C'était ça de courir le Breton quand plus personne ne se battait!

_________________
Aimelin
Citation:
Que s'avance sur la lice Aimelin de Millelieues, Seigneur d'Etampes sur Marne, joutera en l'honneur de sa suzeraine Dotch de Cassel et Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin.



Première lance...
Deux grands jouteurs se font face, Minerve abaisse les drapeaux.
Les chevaux sont talonnés, les lances s'abaissent, mais seul le Vicomte touche et brise sa lance. Jouteur expérimenté, le seigneur reste en selle.

Seconde lance...
Un petit demi tour, une nouvelle lance pour les Vicomte et les voilà repartis. Une fois de plus le seigneur manque sa cible, le Vicomte, lui, ne le manque, avec force et technique il brise sa lance sur l'écu de son adversaire, et l'envoie au sol sans autre forme de procédé.
Dans sa chute le seigneur se blesse légèrement au bas du dos. Minerve fait signe à son écuyer qu'il vienne s'occuper du seigneur.


Guillaume de Jeneffe est déclaré vainqueur.


[Retrouvailles sur le sable]


Les joutes des grandes écuries, retour une année en arrière, sa victoire finale et surtout pour accompagner cette fierté, sa rencontre avec Aliénor.
Aujourd’hui elle l'avait accompagné, mais ne pouvait participer aux joutes, blessée depuis de nombreux jours à cause de la stupidité de certains champenois. Mais il était venu pour faire plaisir à sa blonde complice Célénya même si le cœur n’y était pas. La fatigue, la lassitude, le dégoût, autant de mots qui peuvent nous enlever le goût à pas mal de choses. Et puis pour couronner le tout, il faisait encore parti des éliminatoires et devait affronter le Grand Ecuyer de France, Guillaume de Jeneffe, homme qu’il avait déjà affronté avec malchance et que de plus il respectait.

Altaïr soigneusement protégé par des plaques de fer, par ses soins parce qu’il laissait rarement à d’autres le soin de s’en occuper, le jeune Etampes attendait à l’entrée de la lice jusqu’à ce que son nom retentisse. Une hésitation avant de mettre son étalon en marche, de saisir machinalement la lance et de saluer Minerve, lui indiquant d’un signe de tête qu’il était prêt. Son équipement, son éternelle brigandine et son bacinet, parce qu’il déteste ces armures qui lui rappellent les champs de bataille.

Les drapeaux s’abaissent et l’étalon s’élance emportant son cavalier. Trop lent à baisser sa lance, il ne rencontre que du vide alors qu’il a senti le choc contre son écu et entendu le fracas du bois qui se brise. Cette fois-ci, il arrive à se maintenir en selle, tandis qu’il peste sous son bacinet.


Concentres toi nom d’un âne baté !

Un demi tour en lice et le voila qui élance à nouveau Altaïr, abaisse sa lance et ne rencontre à nouveau que du vide tandis qu’il sent la force du coup adverse le déséquilibrer. Il repense à sa dernière chute et à ses blessures et finit lourdement sur le sol encore une fois.

La douleur dans son dos revient et se redressant il enlève son bacinet qu’il envoie bouler à quelques pas, se relevant ensuite avec quelques difficultés en voyant le Vicomte à ses côtés. Il tient à saluer son adversaire comme à chaque fois, heureux ou malheureux.


Vicomte, je ne peux dire que c’était un plaisir car chaque défaite est amère, mais je suis très fier de jouter contre vous de temps en temps... un sourire sincère à l’hommepeut être qu’un jour j’arriverai à vous battre en tout honneur.

Il incline la tête et ramasse son bacinet qui comptait sans doute partir sans lui, attrape les rênes d’Altaïr et se dirige vers la sortie non sans avoir adressé un petit sourire complice à Célénya. Il était des amitiés qui perduraient malgré l’absence et l’éloignement, et ces choses là n’avaient pas de prix.
_________________

Merci aux merveilleuses rpistes avec qui je joue
Neyco
Les éliminatoires....

Bon première joutes, rencontrer le Pair de France. Cela risquait d'être douloureux pour son popotin.

Pour sure que son bouclier allait encore amortir sa chute. Vive les écus solide et rembouré pour accueillir ses fesses. Bon sans compter son armure refaite pour être sure de ne jamais être blessé au fessier. Cela aurai fait couard type la fille qui s'était enfuit. Et comme blessure de "guerre" c'était pas classe admettons le.

Mettant son heaume minuscule, la mini biscuit, s'avança en lice prête à jouter et surtout chuter, mais passons.

Première lance, une brisure, comme d'hab en général les première lance lui disaient vite. Allez tombe tu aura moins mal aux fesses.

Se réajustant, la mini biscuit partie pour la seconde lance. Une brisure, un élan en arrière.

Ah je vole. Mais nan en fait je chute.

Petit repliement des jambes pour amortir chute, la on peut facilement dire et voir qu'elle à l'habitude la biscuit pour les chutes. Et vi professionnelle.

Debout elle enleva heaume, facilement et fit signe à Minerve qu'elle allait bien.

S'approchant du pair de France.


Ce fut un honneur pour moi de jouter contre vous Marquis.

_________________
Thegregterror
Citation:
Que s'avance sur la lice Grégoire d'Ailhaud, dict Thegregterror, Duc de Brunelles, Comte de Lille & de Sainct-Omer, Baron d'Aire-sur-la-Lys, d'Arques & de Melun, Seigneur d'Isles-sous-Ramerupt et Lexhor d'Amahir, dict Orléans, Duc d'Alluyes, Baron de Chateau-Landon et d'Auneau, Seigneur de Pléaux, Maréchal d'Armes de France et Pair de France.



Première lance...
Les deux jouteurs sont expérimentés et se connaissent bien, tout du moins sur la lice.
Sans attendre ils prennent position et s'élancent avec vélocité l'un vers l'autre. Les lances se croisent, s'abaissent et touchent, dans un choc terrible elles se brises! Le duc Orléanais reste en selle mais son adversaire lui n'a pas la même dextérité et chute sur le sable de la lice, aucune blessure n'est à déplorée.
Dans une rencontre comme celle-ci le moindre écart, la moindre inattention ne pardonne pas, aujourd'hui c'est l'Alençonnais qui en fait les frais.


Lexhor d'Amahir est déclaré vainqueur.


Décidemment, le Très-Haut aimait parfois s’amuser. Alors que Grégoire avait déjà rencontré le Duc d’Alluyes à Vielleségure le mois dernier, ils allaient à nouveau se rencontrer… et lors des éliminatoires. Serait-ce une revanche pour le Pair de France ou une confirmation pour le Comte de Sainct-Omer ? De son point de vue, la seconde option était clairement plus plaisante, mais c’était loin d’être gagné…

L’arbitre donna le départ et voilà que la première passe débuta. Précis, le Duc de Brunelles touche et brise. Une bonne chose, si ce n’est qu’il perd la lice de vue pour entrevoir le ciel avant de s’écraser au sol. Cela avait tourné court et la première option avait été la bonne, malheureusement pour lui.

Les dernières joutes lui avaient laissé une belle cicatrice qu’il n’aurait loisir à montrer, excepté à son épouse. Bien que complètement guérie ce jour, elle serait sans nul doute une excuse facile pour expliquer sa défaite du jour. Il était parfois plus simple de se trouver une excuse, bien qu’il fallût reconnaitre les compétences du jouteur adversaire.

Ce n’était pas le jour, une autre fois peut-être. Le salut et les félicitations de rigueur pour le vainqueur avant de quitter la lice et le tournoi. Et puisque le trois n’allait pas sans le deux, à quand la belle ?

_________________
Argael
Citation:
Que s'avance sur la lice, Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute et Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul.

[blason en construction]

Première lance...
Le Marquis et la baronne mini biscuits s'avancent pour ce dernier duel des éliminatoires.
Minerve leur donne le feu vert, ils s'élancent l'un vers l'autre et c'est le Marquis qui ouvre le bal, il touche et brise sa lance sur l'armure de la baronne.

Seconde lance...
Un demi tour et les voilà repartis de plus belle, le marquis semble en forme. Il touche une fois de plus sans laisser la moindre chance à la baronne. Il brise sa lance et l'envoie au sol aussi sec. Souple est agile, la baronne se relève sans la moindre blessure.


Argael Devirieux est déclaré vainqueur.


La Baronne Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi, une vieille connaissance, mais que cela remontait maintenant, définitivement les années passées. Les chemins possédaient des ramifications multiples.
A la réflexion il ne l’avait jamais vu en lice, la chance des débutants ?

La première lance le vit toucher et briser, tandis que la Baronne se maintient en selle. Le marquis apprécia la pugnacité, petit sourire derrière son heaume, mais déjà il fallait se remobiliser pour la seconde confrontation.

Deuxième touche, deuxième brisure de la lance et pour le coup un resultat différent, la baronne vient toucher le sol, moment toujours angoissant, ayant toujours quelques appréhensions de blesser la noblesse.

Fort heureusement Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi se relava assez rapidement et se dirigea vers lui pour lui tenir quelques propos.


Ce fut un honneur pour moi de jouter contre vous Marquis.

Baronne l’honneur est pour moi, assurément feue ma vassale Lily Jane aurait appréciait d’assister à cet échange. Je vous souhaite pleine réussite dans vos entreprises, et compte sur vous pour me soutenir lors de mon parcourt dans ces joutes

_________________
PLUS DE BLASON EN SIGNATURE ALORS HEUREUX ??? Mode révolte ON
Pair de France
Marquis de Senlis
Comte de Menin
Vicomte de Monestier de Briançon
Baron de la Tour du Pin,
Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute
Bourguignon
Citation:
Que s'avance sur la lice, Bourguignon de Sorel, Duc de Beaugency, Vicomte de Fronsac et Baron de Chécy et Theudbald de Malhuys, seigneur d'Irancy.



Première lance...
Les jouteurs se font face, Minerve donne le départ, les lances s'abaissent... et touchent! Mais aucunes ne se brisent, les jouteurs restent en selle.

Seconde lance....
Un demi tour en bout de lice, ils repartent l'un vers l'autre, une fois de plus des lances se croisent... Mais cette fois là, seule le duc touche et brise sa lance, dans la volée il fait chuter son adversaire.
Solide adversaire le seigneur n'est pas blessé.


Bourguignon de Sorel est déclaré vainqueur.



A peine installé, le Sorel avait envoyé son jeune ecuyer lui donner le tableau des éliminatoires et encore une fois le Boeuf devait passer par ce tour pour pouvoir arriver jusqu'au huitième de finale.
Erunlan lui rapporta le nom de son adversaire, un ancien héraut de Bourgogne, d'après les souvenirs du Beaugency mais cela s'arretait la quand aux renseignements qu'il avait pu glaner sur lui.

Se préparant il enfila son armure avec l'aide de son jeune serviteur et sorti de sa tente pour monter sur son cheval, s'approchant de la lice il regarda les différents combats qui avaient lui, quelques choc rudes, des surprises mais les orléanais se defendaient bien. Lorsque se fut enfin son tour d'entrer en lice le Boeuf saisit sa lance et se présenta sur le sable en fixant Minerve qui tardait un petit peu à annoncer son combat, ce petit temps d'attente s'expliquait surement par le fait que la Heraut - Juge devait boire un petit verre pour se désalterer après avoir annoncer tant de duel.

Après un salut à son adversaire le Boeuf s'élança au signal, foncant il fixa l'écu de son adversaire mais à trop vouloir se concentrer le Boeuf ne mit pas assez de force pour faire choir le bourguignon.
Une deuxième lance était donc necessaire, cette deuxième chance le Sorel ne la manqua pas puisqu'il toucha, brisa et réussit à faire tomber son adversaire.

Donnant quelques coups à sa monture il s'approcha du seigneur et mis pied à terre...


Messire je vous remercie pour ce duel
J'espère que nous aurons le plaisir de nous recroiser un jour sur le sable de la lice

_________________
Vonlichtenchein
Après avoir regardé le tableau d'affichage, il grinça des dents mince encore une dame pour commencer, c'est bon je ne passe pas les éliminatoire encore.

Il soupira un grand coup. Jeta un coup d'œil à l’adversaire de sa Douce et du Volcan. Son visage se raidissant un peu plus, espérant qu'il n'y est pas de blessé.

Il attendu son tour, il passé le premier de la joyeuse compagnie.
Il se présenta en début de liste, monta sur son destrier, pris lance et parti au galop au signal du départ.

Premier passage, il rata sa cible, son adversaire également.
Point grave, il fallait reprendre au deuxième il touchera, il se relança, cette fois, il senti le choc lorsqu'il fut touché sans pour autant lui atteindre son objectif.
Il grimaça légèrement énervé, de cet état de fait, puis se replaça pour la dernière.
Qui se solda par un échec de chacun.
Il s'approcha de son adversaire, retirant son heaume.


Je vous remercie pour cette joute, bonne continuation.

Puis se rapprochant de sa douce.

Je n’ai pas la tête à cela aujourd'hui encore, faut qu'on reprenne des entrainements je crois.
_________________
Ptitmec13
Que s'avance sur la lice, Elhrik Vonlichtenchein d'Erementar dicte Vonlichtenchein, Seigneur de Saint Jean de Rive et Brassac et Célénya Océalys dicte Ptitmec13, Dame de Lasson, Poursuivante d'Armes de Minerve.




Cela faisait bien longtemps que la blondine n'arrivait pas à passer les éliminatoires voire le premier tour. Pourquoi? Allez savoir vous!! Une petite baisse de forme peut être.. Ou alors à vouloir d'être de toutes les joutes aussi.. ou les champs de batailles.. Ou les formations à corriger.. Ou les voyages incessants.. Ou tout ça à la fois...
C'est ça il fallait qu'elle ralentisse le rythme, qu'elle épure ses activités.
Bref ce n'était pas le moment de se perdre dans ses pensées, on l'appelait en lice.
Elle donna une légère pression des talons dans les flancs de sa monture pour la faire s'avancer au pas vers sa place. Elle fit le vide dans sa tête en même temps qu'elle passait son heaume, regardant droit devant vers son adversaire. Un dernier salut respectueux de la tête avant de baisser la visière puis elle saisit la lance qu'on lui tendait.
Les drapeaux s'abaissent et elle talonne sa jument qui démarre dans un galop instinctif. Ptit cherche la faille, étudie son adversaire mais rate son coup. Heureusement aucun choc de la part du Seigneur.
Demi tour en bout de lice elle s'élance à nouveau et se concentre sur sa cible. Effort récompensé par une lance qui se brise sous le choc.
Son adversaire encore en selle elle fait faire une nouvelle fois un demi tour à Belle Dragonne puis se saisit d'une nouvelle lance.
C'est parti, les jouteurs se croisent sans pour autant se toucher. Ptit est la seule à avoir brisé elle est donc déclarée vainqueur.
Elle se dirigea vers son adversaire en ôtant son heaume de même et lui adressa un sourire franc.


Je vous en remercie tout autant. Au plaisir de vous recroiser, en lice ou pas.


Un salut respectueux de la tête puis elle se dirigea vers la sortie. Perchée sur sa jument elle pourrait assister aux joutes suivantes.
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)