Gailen_d_arduilet
Il est venu le temps de l'habillage.....
Gaïlen s'appliqua donc à revêtir sa championne de ses plates. La main était tremblante malgré une légère expérience en ce domaine. Il se souvenait du jour ou il avait accompli la même tâche pour celle qui était alors Vicomtesse de Renaix. Le stress qu'il connut ce jour lors de l'habillage était différend aujourd'hui. Fini lémoi du jeune homme à l'idée que ses fluettes mains puissent effleurer le corps d'une femme dont il rêvait secrètement. Aujourdhui il voulait simplement que les Noms de Rassaln d'Arduilet et Zya de Saint Anges en l'honneur desquels ces joutes étaient données soient correctement représentés sur la lice.
Une fois l'habillage effectué il l'accompagna au bord de la lice. Carnage était un bien bel étalon et Gaïlen avait pris le temps de gagner sa confiance. Lui tenant la bride regardait les premières passes écoutant les commentaires d' la duchesse d'Amboise visiblement très inspirée quand il s agissait de commenter les échanges.
Avec l'apparition d'Arnaut, elle ne manqua pas que celui qu'il se plaisait à appeler son cousin avait pris sa cousine pour épouse. L'union de ces deux grandes familles était donc renouvelée et faisait la fierté de nos deux observateurs. Gaïlen ne savait pas si Esylt était présente et ne pouvait pas bien la chercher dans les tribunes doù il était.
Marche gouta le sable de la lice et eu du mal à se relever. Il fût très vite rejoint par Boudicca qui elle, au moins, se releva indemne. Toutes ces défaites des plus ou moins proche de sya faisaient peur à Gaïlen. Le défaite était une chose mais il espérait surtout que sa marraine ne se blesse pas. Il eut encore le temps de voir le vieux Dejeneffe remporter aisément son duel. L'homme avait beau ne pas être de première jeunesse, sa grande expérience en faisait un jouteur redoutable et redouté. Il se demanda si "boucles rousses" était également dans les parages. Il devait des excuses à la jeune femme pour l'avoir lâchement abandonnée lors de leur dernière rencontre...
Mais il était temps pour Gaïlen d'accomplir son office. S'approcha et tendit une lance qu'il avait soigneusement choisie à la louve. Il n'eut plus, ensuite, qu'à s'écarter observer et prier.
Les deux adversaires s'évitèrent à deux reprises, ce qui fît considérablement augmenter le stress chez Gaïlen. Puis vint le choc final. Amboise ne supporta pas le choc et heurta violement le sol. le petit comte se retint de courir directement prendre de ses nouvelles. Son rôle était de rattraper Carnage et il s'exécuta. Une fois le bel étalon récupéré, rassuré et ramené il chercha Sya du regard et constata avec soulagement qu'elle était indemne.
Il avanca vers elles tendit les mains pour récupèrer son heaume et dit maladroitement
Vous allez bien ? Voulez vous quelque chose?
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Gaïlen s'appliqua donc à revêtir sa championne de ses plates. La main était tremblante malgré une légère expérience en ce domaine. Il se souvenait du jour ou il avait accompli la même tâche pour celle qui était alors Vicomtesse de Renaix. Le stress qu'il connut ce jour lors de l'habillage était différend aujourd'hui. Fini lémoi du jeune homme à l'idée que ses fluettes mains puissent effleurer le corps d'une femme dont il rêvait secrètement. Aujourdhui il voulait simplement que les Noms de Rassaln d'Arduilet et Zya de Saint Anges en l'honneur desquels ces joutes étaient données soient correctement représentés sur la lice.
Une fois l'habillage effectué il l'accompagna au bord de la lice. Carnage était un bien bel étalon et Gaïlen avait pris le temps de gagner sa confiance. Lui tenant la bride regardait les premières passes écoutant les commentaires d' la duchesse d'Amboise visiblement très inspirée quand il s agissait de commenter les échanges.
Avec l'apparition d'Arnaut, elle ne manqua pas que celui qu'il se plaisait à appeler son cousin avait pris sa cousine pour épouse. L'union de ces deux grandes familles était donc renouvelée et faisait la fierté de nos deux observateurs. Gaïlen ne savait pas si Esylt était présente et ne pouvait pas bien la chercher dans les tribunes doù il était.
Marche gouta le sable de la lice et eu du mal à se relever. Il fût très vite rejoint par Boudicca qui elle, au moins, se releva indemne. Toutes ces défaites des plus ou moins proche de sya faisaient peur à Gaïlen. Le défaite était une chose mais il espérait surtout que sa marraine ne se blesse pas. Il eut encore le temps de voir le vieux Dejeneffe remporter aisément son duel. L'homme avait beau ne pas être de première jeunesse, sa grande expérience en faisait un jouteur redoutable et redouté. Il se demanda si "boucles rousses" était également dans les parages. Il devait des excuses à la jeune femme pour l'avoir lâchement abandonnée lors de leur dernière rencontre...
Mais il était temps pour Gaïlen d'accomplir son office. S'approcha et tendit une lance qu'il avait soigneusement choisie à la louve. Il n'eut plus, ensuite, qu'à s'écarter observer et prier.
Les deux adversaires s'évitèrent à deux reprises, ce qui fît considérablement augmenter le stress chez Gaïlen. Puis vint le choc final. Amboise ne supporta pas le choc et heurta violement le sol. le petit comte se retint de courir directement prendre de ses nouvelles. Son rôle était de rattraper Carnage et il s'exécuta. Une fois le bel étalon récupéré, rassuré et ramené il chercha Sya du regard et constata avec soulagement qu'elle était indemne.
Il avanca vers elles tendit les mains pour récupèrer son heaume et dit maladroitement
Vous allez bien ? Voulez vous quelque chose?
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