Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin
Que dire de plus, combien doccasion entre lui et son épouse de côtoyer cet homme.
De la même génération les deux hommes partagés bien des choses assurément, bien des visions, et si leur chemin se sont souvent croisés, étrangement leur champ daction fut souvent différents mais point toujours.
Guillaume de Jeneffe, au delà de lhomme, il sagissait dune plume dun esprit aiguisé comme aux premières heures de maturité.
Etrangement bien que tous les deux aguerris à lexercice des joutes il ne se souvenait point avoir eu à laffronter, de nombreuses inscriptions communes mais point de rencontre fratricide. Combien dannées au service de la Couronne de France et au-delà combien de temps consacré au Royaume selon une certaine idée de la noblesse, il ne valait mieux pas compter, les années ségrèneraient que de trop, les renvoyant à leur cheveux grisonnant, et à compter leur blessures que constellent leur corps
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Ne rien changer aux habitudes, rester dans sa bulle malgré ladversaire, ne penser quà quelques verres alcoolisés à lissue, il en avait des choses à dire au licorneux, mais il était déjà temps de monter en selle.
Armure brillante sous le soleil, déjà la chaleur montée dans larmure magnifique du marquis, le rang de la noblesse souvent pouvait se mesurer à cette dernière. Combien dheure sur cet acier, pour travailler les articulations, en cette heure cest bien les artisans qui tremblait de devoir la retravailler dans le cas dun choc puissant ou dune chute
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Citation:
Que s'avance sur la lice, Guillaume de Jeneffe, Grand Ecuyer de France, chevalier de l'Ordre royal de la Licorne, Vicomte de Marchiennes, Seigneur de Wavrin et Sa Seigneurie Argael Devirieux, Marquis de Senlis, Comte de Menin, Vicomte de Monestier de Briançon, Baron de la Tour du Pin, Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute.
Première lance...
Pour ce dernier duel des demi-finales, Minerve attend que les jouteurs soient prêts et donne le départ. Ils prennent le chemin de la lice avec fougue et vitesse. Les lances s'abaissent et se croisent, celle du Marquis touche alors que le Chevalier n'a pas le temps d'ajuster sa lance. La Pair brise sa lance, et envoie le Grand Ecuyer au sol. Celui-ci se relève sans blessure.
Argael Devirieux est déclaré vainqueur.
Les drapeaux sabaissent, les chevaux sélancent, bien vite la distance samenuise
. Le choc
Une lance qui touche et qui brise, un noble à terre. Chose surprenante, le montagnard na pas croisé la lance adverse, il est en finale
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Dans lassemblée, elle est la elle applaudit sa victime du tour éliminatoire, il sourit quelque part cela lui rappel Sa Lily Jane, sa vassale rappelé trop vite trop tôt auprès du Très Haut, un signe en sa direction, une invitation à la rejoindre sous sa tente pour quelques victuailles
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.Guillaume, accepterais tu un peu de génépi ? Je toffre une revanche à ta convenance chevalier, assurément la chance ce jour était pour moi, ou la déveine de ton côté. Ah et jy songe, tu côtoies un futur père, la marquise attend un enfant quelque chose me dit quil sagira dun fils
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PLUS DE BLASON EN SIGNATURE ALORS HEUREUX ??? Mode révolte ON
Pair de France
Marquis de Senlis
Comte de Menin
Vicomte de Monestier de Briançon
Baron de la Tour du Pin,
Seigneur de Saint Giraud, de Gavre et de Vinderhoute