HAGIOGRAPHIE DE SAINT JERÔME
Jérôme, bien que né de parents aristotélicien, ne fut pas baptisé avant 360, date à laquelle il partit à Rome avec son frère Bonosus pour continuer ses études de rhétorique et de philosophie. Il étudia sous la férule d'Aelius Donat, un excellent grammairien. Jérôme apprit aussi le grec, sans avoir encore l'intention d'étudier les textes fondateurs de laristotélisme.
Très influencé par le concile de Nicée qui avait assis la prédominance de Christos "messie" sur Aristote "simple prophète annonciateur". Il considérait, comme de nombreux croyant de cette époque, létude dAristote comme une perte de temps puisque sa prophétie cétait déjà réalisée.
Après quelques années à Rome, il se rendit avec Bonosus en Gaule, et s'installa à Trèves « sur la rive à moitié barbare du Rhin ». C'est là qu'il entama son parcours théologique et copia, de nombreux texte populaire et religieux trouvé lors de ses étapes
Quelques-uns de ses amis l'accompagnèrent lorsqu'il entama, vers 373, un voyage à travers la Thrace et l'Asie Mineure pour se rendre au nord de la Syrie à la recherche des traces laissée par les premières tribu de lhumanité.
À Antioche, deux de ses compagnons moururent, et lui-même tomba malade plusieurs fois. Au cours de l'une de ces maladies (hiver 373 - 374) il fit un rêve qui le détourna des études profanes et l'engagea à se consacrer à Dieu. Dans ce rêve, qu'il raconte dans une de ses lettres, il lui fut reproché d'être « Cicéronien, et non pas aristotélicien ». Il semble avoir renoncé pendant une longue durée après ce rêve à l'étude des classiques profanes, et s'être plongé dans celle des écrit daristote et de Spyosu.
Il enseigna ensuite à Antioche. Désirant vivement vivre en ascète et faire pénitence, il passa quelque temps dans le désert de Chalcis, au sud-ouest d'Antioche, connue sous le nom de « Thébaïde de Syrie », en raison du grand nombre d'ermites qui y vivaient.
Pourtant ses travaux sur les textes dAristote lui fit voir les choses autrement, et il compris très vite que limportant était de vivre pour les autres et non de faire pénitence en permanence comme les coutumes héritées de Nicée poussaient les croyants à le faire.
Un jour lors dune réunion de théologiens, on lui dit que ses positions risquaient de lécarter de la voie de Christos, il répondit :
Que tel ou tel docteur de l'église soit quasi hétérodoxe depuis le concile de Nicée, peu importe ! Je ne nie pas qu'ils peuvent textuellement l'être sur certains sujets. Mais ce qui importe c'est qu'ils ont bien interprété les Ecritures, expliqué les obscurités des prophètes et dévoilé les mystères du Livre des Vertus.
À son retour à Antioche, en 378 ou 379, il fut ordonné par l'évêque Paulin. Peu de temps après, il partit à Constantinople pour continuer ses recherches, et cest grace à lui si rome pu avoir une bibliothèque des plus riche en textes originaux des début de notre histoire.
Sa plus grand fierté fut de trouver la version originale du Credo et davoir écris la première Hagiographie de Saint Olcovidius et de lamener à Rome où il resta trois ans (382-385), en contact direct avec le pape Damase et la tête de l'Église de Rome.
Invité au concile de 382, qui était convoqué pour mettre fin au schisme d'Antioche, il sut se rendre indispensable au pape. Entre autres tâches, il prit en charge la révision du texte de la préhistoire, sur la base de Nouveau texte daristote redécouvert par lui. Ce travail l'occupa pendant de très nombreuses années, et constitue son uvre majeure, pourtant une grande partie de ce travail fut caché car remettait en cause la prédominance de Christos en montrant combien Aristote était important.
Pourtant il exerça une influence non négligeable au cours de ces trois années passées à Rome, notamment par son zèle à prôner l'ascétisme
la critique virulente que faisait Jérôme du clergé régulier et sa volonté d'imposer Aristote comme prophète de même importance que Crhistos, firent naître une hostilité croissante à son égard de la part du clergé et de ses partisans. Peu de temps après la mort de son protecteur Damase (10 décembre 384), Jérôme quitta Rome.
En août 385, il retourna à Antioche, accompagné par son frère Paulinianus et quelques amis résolus à quitter leur entourage patricien pour finir leurs jours sur la Terre Sainte.
Ses amis et lui visitèrent Jérusalem, Bethléem et les lieux saints de Galilée, puis partirent en Égypte, où vivaient les grands modèles de la vie ascétique. En Alexandrie, il découvrit les texte de Mhour et compris que la vie ne devait pas être fait de souffrance pour être bénie par le Très Haut, bien au contraire la recherche du plaisir et de la boulasse pouvait être bien plus bénéfique que de se mortifier.
Il se replongea dans les textes daristote avec un nouvel il, et détruisit ses derniers travaux pour se replonger dans leur réécriture. Sa devise était maintenant une phrase lOane « ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous davoir souffert pour ne pas le perdre »
Comprenant quil fallait éduquer les gens pour quils puissent vivre socialement et en harmonie il se mis à écrire de nombreux textes pour aider les prêcheur à amener les fidèle à méditer sur des textes parlant de la vie, et de ce quils connaissait : leur vie de tout les jours.
Vivant grâce aux moyens que lui fournissait ses nobles amis, et accroissant sans cesse le nombre de ses livres, il écrivit sans cesse. On doit à ces trente-quatre dernières années de son existence la majeure partie de son oeuvre.
Suite à ses écrits contre les Pélagiens(1), une troupe de partisans de ces derniers envahit sa retraite, y mit le feu et contraignit Jérôme à se réfugier dans une forteresse avoisinante.
Persécuté par de nombreuse factions sectaire de lEglise, et ayant peur que les tenant du tout Christos fasse détruire les textes dAristote il confiât trois enveloppes de cuir scellées contenant des textes originaux dAristote ainsi que son anneau dEvêque à un de ses amis soldat qui devait rentrer dans sa famille à Mont Cassin.
La date de sa mort nous est connue par la chronique de Prosper d'Aquitaine. Ses restes, enterrés d'abord à Jérusalem, ont été ensuite transférés, dit-on, à l'église Sainte-Marie Majeure de Rome.