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[RP] Eglise Saint Tugdual de Tréguier II

--Hoeldiacre
De nouveau dans son église à nettoyer la face de Saint Yves, Hoel pensait à pas mal de chose et de personnes. Cela faisait un moment qu'il était ici allant et partant au grès des vents et des missions. Missions souvent, il fait le dire fait trop vite et souvent mal préparé. Il sourit en coin en pensant à la fois ou en Irlande, il avait échappé de peu à la mort laissant Imagine pendant quarante jours là-bas. La pauvre !
Puis il contempla le visage du saint et eu un soupir en se disant qu'Yves n'aurait pas aimé voir ce qu'était devenue sa Bretagne. L'erreur est humaine et lui-même n'échapper à la règle. Puis un peu plus tard, il regarda les étoffes suspendues dans l'église. Beaucoup d'entre elles racontés les moments les plus grands du Trégor. Qui n'aurait pas rêver de devenir Chevalier ou même Baron. Lui en tout en avait eu le désir et l'était devenu. Il s'occupait maintenant de sa fille, et restait souvent seul sur ses terres à imaginer un monde nouveau.

Marchant dans l'église, il n'oublia pas de prier pour Méhatibel, mais aussi pour la princesse Ida. Elle était morte à bord du navire qu'il avait construit et dans lequel il avait gravé "pour l'honneur du Trégor" ainsi que tous les noms des personnes qui l'avaient fabriqué. Liocéa, David... Misstaire... Des gens bien. Des Bretons.
Puis se disant qu'il était tant de partir, décrocha la bannière au dragon pour la prendre avec lui. La bannière du Trégor flottera avec lui, quel que soit l'endroit ou ses pas le mènerons. Il savait que le village était entre de bonnes mains.
Hoeldetrajanlablanche
Quoi? Une cloche qui sonne ? Deux ? Donc le dimanche il y a bien une messe ici...Hoel fit donc siffler le... Non sonner les fabuleuses cloches histoire de voir si un pèlerin allait venir ou non...

Non sonner les fabuleuses cloches histoire de voir si un pèlerin allait venir ou non... Pas gagné dans le village, le plus calme de Bretagne. Même les morts s'ennuient ici parait-il, mais cela doit être dû à la mauvaise langue des voisins !
Hoeldetrajanlablanche
Hoel laissa les portes de l'église ouvertes. Un bon coup d'aération ne fait jamais de mal. Puis se mit derrière le pupitre et récitât le credo en breton puis en français.

Krediñ a ran e Doue, an Uhel-Meurbet hollc'halloudek,
Krouer an Neñv hag an Douar,
An Ifernoù hag ar Baradoz,
Barner hon ene war hor marv,
Hag en Aristot, e brofed,
Mab Nikomak ha Faetis,
Kaset evit kelenn ar furnez
Ha lezennoù Doue an Hollved d'an dud dianket.
Krediñ a ran ivez e Kristos,
Ganet eus Maria ha Jiosep,
Gouestlet en deus e vuhez evit diskouez hent ar Baradoz deomp.
Goude en deus diwasket poanioù dindan Ponce,
Eo marvet er verzherinti evit salviñ ac'hanomp.
Aet eo da gavout an Heol el lec'h ma oa Aristot en tu dehou d'an Uhel-Meurbet o c'hortoz anezhañ.
Krediñ a ran e Ober an Doue ;
E Iliz aristotelek ha romanek ;
E komunion ar sent ;
E distaol ar pec'hedoù ;
Er vuhez peurbad.
Amen.

Puis le récita en français

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN "
Hoeldetrajanlablanche
Hoel regarde la foule, peut nombreuse et se posa sur les marches.


Mes amis, vous qui venez ici. Vous devrez vous trouver un autre diacre... En effet, c'était mon dernier discourt. Non pas que je ne vous aime pas. Ni que je n'aime pas partager avec vous ici, ce moment, mais... Ma vie a pris un autre chemin. Je n'en parlerais pas ici. J'ai eu le plaisir de marier quelques-uns d'entre vous. J'ai le plaisir de boire aussi le bon vin de messe. Mais il vous faut une personne présente au conseil municipale et plus souvent proche de vous tous. Je suis souvent sur les routes en compagnie de méhatibel ma belle épouse que cela ne me semble pas honnête. Et être honnête est, et doit rester le plus important.

Tréguier est dans mon coeur. La terre est plus importante que le reste.


Puis il servit du chouchen !

--Meera_diacre
La borgne profite de son passage à Tréguier pour nettoyer l'église et remplacer les bougies usagées sans oublier remettre les bancs en place et les Livres.
Hoel avait démissionné et Meera allait donc officier ce dimanche.
--Meera_diacre
Dimanche était là, elle allait faire une énième messe.
Meera la Diaconesse se décida enfin à laisser le sonneur carillonner la messe dominicale.


(((((((Bong))))))) ((((((Bong)))))) ((((((Bong)))))) …..

Tandis que les cloches sonnaient, Elle alla se placer à l’entrée pour voir arriver les paroissiens et les saluer.
Le temps n'était pas mauvais juste le vent qui était vraiment très froid. Il ne pleuvait pas c'était donc déjà ça.

Elle se doutait bien qu'elle ferait la messe pour peu de monde, mais concrètement l'important n'était pas le nombre de fidèles, mais le plaisir qu'elle elle avait à officier, car oui c'est aussi pour elle qu'elle officie car elle aime ça.

Elle pose ses mains le long de sa robe, qu'elle plisse machinalement.




- Très chers paroissiens et paroissiennes . Bienvenue dans la maison du Très Haut .

--Meera_diacre
Meera avança vers l’Autel fit une génuflexion. Puis se tourna vers les fidèles réunis, ouvrit les mains dans leur direction pour les inviter à s’asseoir.
Sur l’Autel tout était prêt, le Calice recouvert d’un linge blanc, la corbeille avec les hosties. Le Saint Livre était à sa place.

La diacre prit alors la parole.


- Paroissiens, Paroissiennes, pour ceux qui ne me connaissaient pas, je suis Meera de Harscouët, votre Diaconesse ce jour, bienvenue à vous, je vous informe que je peux officier les messes, les mariages, les baptêmes et les enterrements , n'hésitez pas donc à venir me voir si besoin est.

Elle s'arrêta un instant et sourit aux présents.

-Si nous sommes réunis dans la maison de Dieu, pour partager un moment de convivialité, d'amitié, de bonheur et de foi.
Je vous remercie tous d’être présents pour ce moment si important, ma première messe.
Vous tous qui êtes ici sachez que le Très Haut voit votre piété et l'apprécie.
Persévérez dans cette voie et Dieu vous guidera vers le bonheur !
Dans la paix et la joie vous vivrez.


Elle se tait un instant avant de reprendre.

Frères et sœurs, pour sceller ce moment de partage prions :

Elle ouvre les mains et invite les fidèles à se lever. Puis joignant les mains en regardant le sol.

    Mon Dieu,
    Séparez ma cause de celle des impies,
    De l'homme injuste et trompeur, délivrez-moi.
    Accueillez-moi parmi vos amis.
    Amen


- Rendons grâce à Dieu, à Christos son Messie, et à la lignée des prophètes dont les pensées sont une préfiguration de la révélation divine. Maintenant redisons ensemble le credo de notre chère Eglise.

--Meera_diacre
- Je vais maintenant vous lire un passage du Livre des Vertus, extrait de la vie de Christos, le prophète.

    Alors, comme Jeshua continuait à marcher, sans regarder derrière, il vit soudain devant lui l'image d'une grande ville. Cette cité était magnifique, les tours et les murailles ne cachaient pas sa richesse et les maisons, ornées d'ors et de pierreries, semblaient briller de mille feux. Un dôme dépassait, qui devait être celui du palais du maire. La douce voix de la créature sans nom dit à Christos :

    «Vois cette belle ville, et contemple sa richesse ! Si tu voulais, tu pourrais en devenir le maire, avec les talents que tu possèdes. Car en vérité, tu as été capable de jeûner durant toutes ces journées, ainsi que de résister à la fatigue et aux femmes ; ta force de caractère pourrait t'emmener très haut ! »

    Alors Christos lui répondit, sans se mettre en colère : «Va-t-en, Esprit malin, qui veut me perdre dans l'orgueil, l'envie et l'avarice. Je résisterai aussi à ces péchés-là, car il est petit, celui qui cède à ses pulsions. »

    Alors la créature sans nom dit : «Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les plus forts de ses créatures. Parmi nous, je suis sa préférée, car je suis le plus fort de nous tous. J'ai compris que le fort devait dominer le faible, comme vous, les hommes, dominez les vaches, les cochons et les moutons. Dieu nous a donné Sa création pour nous apporter les mille plaisirs du corps et de l'esprit que nous méritons. Y a-t-il un meilleur moyen de Lui rendre hommage autrement qu'en sachant apprécier les plaisirs de Sa création ? »

    Mais Christos lui rétorqua : «Va-t'en, tentatrice! Ta présence parmi la création est une injure faite à Dieu. Sache que tu n'es pas Sa préférée. Il t'a reléguée dans l'ombre, car tu t'es détournée de Sa lumière. Il ne t'a laissé la parole qu'afin d'éprouver la foi des humains. »

    Et il ajouta : «Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les seuls à savoir aimer sans rien attendre en retour. Il ne t'a pas donné ce titre, vile créature, car tu n'as pas de cœur, car ton âme est noire comme le jais. Certes, le monde, créé par Dieu, est source de mille plaisirs. Certes, c'est lui rendre hommage que de savoir les apprécier à leur juste valeur. Mais ces plaisirs doivent être dégustés et non dévorés. Seule la vertu, telle que nous l'a enseignée le prophète Aristote nous permet d'apprécier les plaisirs du monde sans tomber dans le vice et le péché. »

    Il conclut enfin : «Car le péché est la négation de la perfection divine. L'abandon total aux mille plaisirs s'accompagne du détournement de l'amour de Dieu, alors que le goût simple et mesuré de la création divine ne peut se faire que dans l'amour de son créateur. Alors va-t-en! »

    Aussitôt, la créature sans nom, qui rampait à ses côtés, disparut, le laissant aux portes du désert. Il avait traversé ce pays de tentations durant quarante jours.


Prenant une petite pause, la Borgne regarda les personnes qui l'écoutaient attentivement et repris.

- Rappelez vous le soleil dehors, la maison qui vous attend, le pain que vous mangerez ce soir. Christos n'a-t-il pas dit il d'apprécier tout ce que Dieu nous a permis d'avoir avec nous ?
Certes, c'est un plaisir de manger un pain frais, mais il faut se rappeler que le plaisir n'est pas dans le fait de le manger, mais dans celui que c'est Dieu lui-même qui nous a permis de manger ce pain.

C'est pourquoi je vous invite maintenant à partager le pain et le vin, symbole d'amitié pure, une amitié Aristotélicienne.


Après avoir donné le pain à tous les croyants, Meera retourna sur l'autel et fit face à eux.

- Mes amis, souvenez vous du message de Dieu. Chaque chose sur cette Terre est là parce qu'Il nous aime. Il faut savoir le remercier en tout temps. Lorsque vous irez chercher votre pain chez le boulanger, dites lui merci. C'est à Dieu que vous le direz. Et si vous buvez du lait de votre vache, remerciez-la aussi, car c'est Dieu qui lui a permis de vous en donner. Dieu est partout, Dieu est généreux, Dieu vous aime.

Elle sourit.

- Je vous remercie d'être venus partager avec moi vos prières. Et maintenant, allez en Paix. Qu'Aristote demeure dans vos cœurs.

La célébrante descendit alors de l'autel pour se mêler aux croyants.
Zakarine
(((((((Bong))))))) ((((((Bong)))))) ((((((Bong)))))) …..



Les cloches de l'église sonnaient à la volée violant ainsi le calme dominical de Tréguier. Zakarine, qui avait passé la nuit sur les remparts, se réveilla soudainement la tête enfarinée. Les yeux gonflés de sommeil, les cheveux hirsutes, elle regarda Emeric qui dormait encore. Le soleil filtrait à travers les carreaux. La Rousse se leva doucement pour regarder par la fenêtre. Aucun mouvement de foule ne laissait présager d'un quelconque danger. Elle savait qu'aucun mariage, ni baptême n'était prévu. Ce n'était pas non plus un enterrement, puisque ce n'était pas le glas que l'on sonnait. Et puis, qui pouvait bien faire retentir les cloches? Le dernier diacre qu'avait connu le village était Hoël qui habitait Bordeaux à présent.

Un petit brin de toilette, habillage du dimanche obligatoire et voilà que Zakarine sortit de chez elle, après avoir laissé un petit mot à l'attention de son compagnon pour ne pas qu'il s'inquiète. Sa curiosité devait à tout prix être satisfaite.

Elle entra dans le lieu saint et vit qu'il se trouvait les quelques grenouilles de bénitier habituelles jusque là, pas de surprise.. Non, ce qui l'étonna, c'est de voir qu'une personne allait faire la messe, et une femme qui plus est. Après s'être signée dans la travée, la Rouquine s'approcha et s'installa au premier rang. Une borgne. La diaconesse qui faisait l'office était borgne. Elle se souvint du dernier passage de Meera à Tréguier. Un petit signe de tête discret pour la saluer et Zakarine récita le crédo à l'unisson avec les autres ouailles.


Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


La Diaconesse se mit ensuite à lire un passage du livre des vertus. Zakarine, légèrement étourdie par la fatigue de la veille, n'entendait qu'un mot sur deux. Elle faisait pourtant tout son possible pour rester éveillée, par respect pour celle qui avait fait l'effort de se déplacer jusque dans leur village qui n'avait jamais été très porté sur la chose religieuse.

- Je vous remercie d'être venus partager avec moi vos prières. Et maintenant, allez en Paix. Qu'Aristote demeure dans vos cœurs.

La cérémonie terminée, Zakarine se leva pour saluer l'officiante qui venait les rejoindre.

Demat ma Sœur. Comment allez-vous? Cela me fait plaisir de vous revoir.

Elle lui sourit en espérant que la conversation n'allait pas trop durer pour enfin pouvoir aller se recoucher au plus vite et reprendre les forces qui lui manquaient à cet instant précis.
_________________
--Lanaelle
La rousse afficha sa nomination sur la porte de l’église Saint Tugdal de Tréguier II



Citation:
Citation:



    d'al Lun 2 a viz Meurzh 1463*


Aux fidèles de Tréguier et Fougères,
A tout les fidèles du Diocèse de Rennes,
A tout les fidèles de la Primatie de Bretagne,
A tout ceux qui nous liront,



Nous, Soeur Meera de Harscouët, Archidiacre de Rennes annonçons la nomination de soeur Lanaelle du chastel à la charge de Diacre de Fougères et de Tréguier à la Primatie de Bretagne.


Nous prions tous pour la réussite de sa mission et que le Très Haut protège les fidèles de Bretagne.





* le lundi 2 mars 1463.





Après avoir affiché la nomination du diacre, elle mit une autre affiche pour
annoncer le jour de la messe hebdomadaire.


--Lanaelle
Elle s’était levée très tôt pour se rendre à l’église ; elle avait commencé par un grand nettoyage, ensuite elle avait décorée l’église. C’est toujours agréable de voir une église décorée pour la messe. Elle avait déposée des fleurs sur, à coté et devant l’autel.





Ce n’est jamais évident de venir dans une autre paroisse ou l’on ne connait pas grand monde. Elle ne savait pas trop si les gens l’accepteraient et s’ils viendraient assister à la messe…..Elle s’agenouilla devant l’autel et demanda à Dieu de lui donner du courage parce que là, elle était vraiment très stressée…


Elle fit sonner les cloches pour avertir que la messe allait bientôt commencer.






Après s’être changé dans la sacristie, elle alla attendre les fidèles sur le parvis de l’église. Elle salua les personnes qui se arrivaient et qui entraient dans l’église.
--Lanaelle
Une fois tous les paroissiens installés, elle remonta l’allée et alla se placé derrière l’autel. Elle ferma un instant les yeux et respira profondément.


Demat, soyez les bienvenus dans la maison du Très Haut qui est aussi votre maison. Je suis très heureuse d’être ici parmi vous et j’espère pouvoir vous être utile.
Mes sœurs et mes frères, avant de commencer, demandons à Dieu le pardon de nos péchés. Elle commença a réciter la prière du pardon avec l’assemblée.





La prière finie, elle regarda l’assemble…

Aujourd’hui, je ne vais pas vous lire un passage du livre des vertus, je vais vous raconter un conte que j’aime beaucoup.



Il y avait une fois, il y a bien longtemps de cela, dans un petit village, un atelier de menuisier.
Un jour que le maître était absent, les outils se réunirent en grand conseils. Les discussions
allaient bon train car certains outils n’étaient pas du tout appréciés.

- L’un prit la parole : « Excluons la scie : elle mord et elle grince des dents, elle
a le caractère le plus grincheux du monde ! »
- Un autre dit = « Nous ne pouvons pas conserver le rabot qui a le caractère le plus
tranchant : il épluche tout ce qu’il touche ! »
- « Quand au marteau dit un autre, je lui trouve le caractère assommant ; il est tapageur,
il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons-le aussi ! »
- « Et les clous ? peut-on vivre avec des gens qui ont le caractère aussi pointu ?
qu’ils s’en aillent ! »
- « Et que la lime et le râpe partent aussi, car vivre avec elles ce n’est que
frotement perpétuel… »

Ainsi discouraient, en tumulte, les outils du menuisier. Tout le monde parlait à la fois.
C’était une vraie cacophonie !

À côté de ce bruyant atelier, il en existait un autre, tout à fait différent. C’était celui de madame Catherine. Tout y était bien organisé. Il y avait là, des rouleaux de tissus multicolores, des ciseaux finement aiguisés, des aiguilles pointues, des bobines de fil alignées dans leurs boites, des pelotes
de laine serrées les unes contre les autres, des dès argentés, des crochets de toutes tailles…

Et tout ce petit monde s’activait en devisant gaiement. Une vraie ruche quoi ! Et pas
question de se dénigrer ; chacun connaissait son rôle. Les ciseaux coupaient les tissus,
les petites aiguilles cousaient, leurs grandes sœurs tricotaient, les dés protégeaient les doigts, les crochets dévidaient leurs mailles. Et de magnifiques réalisations s’entassaient…

Et voilà que Madame Catherine décida de rendre visite à son voisin Célestin qui venait de
de rentrer dans son atelier. A l’approche du menuisier tous les outils se turent… Célestin saisit alors
une planche et la scia avec la scie qui grince, la rabota avec un rabot au ton tranchant.
Le ciseau qui blesse et la râpé rude, entrèrent en action. Célestin prit les clous au caractère pointu et le marteau qui cogne. Il se servit de tous ses outils au méchant caractère pour fabriquer un magnifique berceau.

Catherine s’approcha doucement, disposa dans le petit lit un drap finement brodé, un
moelleux oreiller, une douillette couverture , une douce brassière… pour accueillir l’enfant
à naître…Pour accueillir la vie… Pour accueillir la paix !




Elle regarda ses paroissiens avant de continuer.

Que veut nous dire ce conte ? On peut voir que les outils du menuisier ne s’entendent pas du tout, que certains veulent se débarrasser d’outils qu’ils jugent inutiles ou trop bruyant par contre chez
Catherine c’est tout le contraire, là les outils travaillent ensemble pour obtenir de meilleurs résultats.
Mais pour finir en utilisant ses outils le menuisier construit un beau berceau, la preuve que quelques soie,t nos idées, nos caractères , l’union fait la force et l’harmonie la parachève.
Savoir écouter, savoir aider, savoir comprendre, c’est aussi se comprendre, s’écouter, gagner sa propre confiance, récupérer une énergie forte qui nous fait avancer. Pourtant en s’unissant, on va au-delà de nos faiblesses, de nos craintes, s’unir c’est s’enrichir.
L’union fait la force. Encore faut-il avoir envie de s’unir.



Elle regarda les paroissiens en souriant.

Mes enfants, partageons le pain de l’amitié.





Elle rompit le pain qu’elle mit dans des panières et les fit circuler dans l’assemblée.
Le partage du pain terminé, elle reprit….


Mes sœurs, mes frères récitons ensemble le crédo.






Lorsque tout le monde eut finit de prier , elle leur dit


Je vous souhaite une bonne semaine, la prochaine messe aura lieu
Mercredi 11 mars.

Allez dans la paix et l’amitié aristotélicienne.







Elle se dirigea ensuite vers la porte, pour attendre les paroissiens et les saluer avant qu’ils ne quittent l’église.

Elle rentra dans l’église, et alla se changer dans la sacristie puis reparti comme elle était venue sans avoir vu personne….
--Lanaelle
Elle entra dans l’église et pendant qu’elle se changeait dans la sacristie, elle demanda au bedeau de faire sonner les cloches




Une fois tous les paroissiens installés, elle remonta l’allée et alla se placé derrière l’autel. Elle ferma un instant les yeux et respira profondément.


Demat, soyez les bienvenus dans la maison du Très Haut qui est aussi votre maison.
Mes sœurs et mes frères, avant de commencer, demandons à Dieu le pardon de nos péchés. Elle commença a réciter la prière du pardon avec l’assemblée.


La prière finie, elle regarda l’assemble…puis commença la lecture du texte qu’elle avait choisi


Hagiographie de l’apôtre Ophélia



Chapitre 1 : Naissance

Ophélia vit le jour dans un petit hameau en Judée autour de l’an huit avant Christos. Son père, Caius Bonux, ancien légionnaire romain avait obtenu, à la fin de son service, une propriété permettant à sa femme, Samantha Lathete et sa fille de vivre dans un relatif confort. La venue de sa sœur et de son frère ne vint pas perturber ce fragile équilibre. Bien au contraire cela lui permit d’être un enfant généreux et aimant justifiant amplement l’origine de son nom : « celle qui est utile ».

Chapitre 2 : Enfance

Ophélia grandit sous le regard bienveillant et protecteur de sa mère mais fut cependant empêchée de recevoir un enseignement scolaire. Au sein de la maisonnée, la jeune enfant devait s’inscrire dans le rôle que lui avait destiné son père aigri et noyant ses rêves de grandeur dans l’alcool. Ses occupations principales consistaient à tricoter, tisser de tentures et à tenir la maison en s’employant aux tâches ménagères.

Chapitre 3 : de la tutelle parentale aux responsabilités

À l’âge de ses treize ans, son père lui annonça qu’elle était désormais promise à un héritier de riches marchands et amis. Âgé de vingt ans, il était destiné à aller effectuer son service au sein de la légion. La peur de ne pas laisser d’héritier avait donc précipité son choix.

Alors la vision du monde qu’Ophélia s’était faite changea entièrement …

Citation :

Citation:
Ophélia s’adressant aux dieux : Alors s’en est ainsi, la vie n’est donc pas que douceur et tranquilliété. On nous impose des choix et on ne peut s’y soustraire. Resterez vous impuissant à ma demande ? Dois-je faire preuvre de fatalisme et accepter sans réchigner ?


A plusieurs reprises, Ophélia rencontra son futur époux. Résignée, fataliste… la jeune fille accepta d’être une bonne compagnie et de respecter le vœu de ses ainées. Elle le trouvait peu attirant, orgueilleux mais fort intelligent. Le mariage aurait donc lieu. La cérémonie était dirigée par des prêtres paiens et de nombreux sacrifices furent effectués pour les augures. Leurs présages prédisaient que le mariage serait heureux et durerait longtemps.

Deux mois après le mariage, juste avant de partir combattre l’ennemi de Rome, son mari hérita dess biens de son père. Cependant, lors de sa première escarmouche, il fut tué. Et c’est ainsi qu’Ophélia se retrouva à la tête d’une belle et grande propriété plusieurs esclaves et un intendant qui gérait ses biens.

Chapitre 3 : rencontre avec Christos

Étant à l’abri du besoin, elle décida d’œuvrer pour sa communauté. Ses actes de générosité ne laissaient guère de doutes quant à ses motivations. Aux pauvres, elle leur offrait de l’argent et de la nourriture. Aux voyageurs, elle leur offrait l’hospitalité de sa demeure. Malheureusement, elle restait insatisfaite. La confiance qu’elle avait accordée aux prêtres avait disparue. Les dons non distribués, les mensonges et sacrifices inutiles aux dieux la désespérait du clergé local. Sa foi s’éteignait peu à peu.

Cette situation aurait perduré sans cette rencontre qui allait bouleverser sa vie.

Un jour alors qu’elle se rendait au marché de la ville, son convoi fut stoppé par la foule. Surprise d’une telle situation, elle demanda à un de ses esclaves d’aller voir ce qui se passait.

Citation :

Citation:
Ophélia : alors Fed, que se passe-t-il ?
L’esclave de retour : il s’agit d’un énergumène qui gêne les prêtres dans leurs tentatives d’effectuer un sacrifice.


Ohpélia se demandant qui osait affronter les prêtres paiens, sauta de sa chaise à porteurs et alla voir de plus près l’affrontement. Sur place, elle reconnut aussitôt Christos grâce à la description qu’on lui en avait faite. Il semblait si simple, si humble… et pourtant une énergie et une puissance se dégagaient de son corps. Elle en fut saisie de respect et se dit que seul Dieu avait pu l’envoyer sur terre pour nous défaire de ce paganisme qu’elle abhorrait de plus en plus. Et c’est instinctivement qu’elle s’interposa lorsque le prêtre paien voulut frapper Christos. Par cet acte, Ophélia choisissait ainsi sa voie et décida de tout quitter.

Au crépuscule de la journée, Christos s’adressa à Ophélia et lui dit :

Citation :
Citation:

« Ma fille, je sais que tu as quitté beaucoup de choses pour me rejoindre et que ce soir, ta maison te sera hostile, tes esclaves te fuiront, ta famille te reniera, mais sache que moi je t’aimerai comme un frère aime une sœur et tous ensemble nous suivrons le chemin que Dieux a tracé pour nous »



Chapite 4 : L’après

Ophélia céda tous ses bies à la communauté aristotélicienne de Jérusalem afin d’aider les pauvre et les orphelins.

L’apôtre expliquera à ses fidèles des années plus tard :

Citation :

Citation:
« Nous étions douze, les femmes et hommes à l’avoir défendu et nous nous sommes joins à lui comme disciples et compagnons.
Christos, le prophète, nous apprit l’amour divin et l’amitié, il nous apprit les enseignements d’Aristte et la vertu. Et chaque jour que nous passions avec lui, les actions qu’il faisait, les choses qu’il nous montrait et ses paroles, toutes étaient remplies de sagesse et d’amitié ».


Un jour, lors de leur voyage, tous dormaient sauf Christos qui était sorti de l’abri et s’était assis sur un gros rocher.
N’arrivant pas à dormir, elle avait eu la même idée que lui et l’avait rejoint.
Durant l’heure qui suivit, ils échangèrent que peu de mots, le silence et la méditation dominaient.

Citation :

Citation:
Voici ce qui se dit :

Ophélia : Je n’arrivais pas à m’endormir, mon passé et ma famille s’éloignent. Je me sens bizarre, à la foi abandonnée et en même temps aimée et guidée.

Christos : Ma fille, ta vie est ainsi et tous, nous devons faire des choix et suivre notre cœur. Sache que Dieu est là et guidera tes pas tant que tu l’aimeras.

Ophélia : Mais, que deviendrais-je quand le monde changera, quand nous ne serons pjus ensemble, nous tous, les douze que nous sommes et vous ? J’ai peur que
cela arrive.


Christos : Les choses sur terre sont faites pour changer, mais notre âme ne meurt pas. Un jour je mourrai, toi aussi, mais cela ne nous empêchera pas d’aimer Dieu, et tous, nous nous retrouverons au paradis, si Dieu nous en juge digne.

Ophélia : Je ne vois pas cet avenir, c’est si difficile. Je sais parler aux gens, mais l’amitié m’est dure.

Christos : Alors ma fille, tu sauras convaincre et faire passer les enseignements d’Aristote aux hommes. Tu sauras éveiller en eux l’amour de Dieu. L’amitié est difficille, mais elle est naturelle en chacun de nous. Un jour, quand tu auras vécu, tu t’abandonneras à l’amitié et tu la chériras dans l’amour de tes frères.

Ophélia ne savait plus que dire, elle avait compris. Ni elle ni Christos ne dirent d’autres paroles ce soir là.



Un jour ce qui devait se passer arriva, et Christos ne fut plus. Se retrouvant seule, elle décida de propager le message de Christos à travers la partie orientale de l’empire romain.

Pendant environ vingt-cinq années, elle voyagea à pied jusqu’à Byzance future cité reine de l’orient. En chemin, elle s’arrêta dans chaque village ou ville et y restait jusqu’à ce qu’une communauté de fidèles y soit établie.

Arrivant à la fin de son long voyage à travers l’Orient, elle s’établit à Byzance avec ses compagnons qui avaient décidé de l’accompagner.

Cependant, quelques jours après son arrivée, le préfet avait eu vent de son entrée dans la ville, de gardes furent envoyer pour l’arrêter.

Comme le fit Christos des années auparavant, elle réussit à convaincre les gardes. Ceux-ci devinrent les premiers fidèles aristotéliciens de la cité. Cette situation dura sept longues années. A l’obstination du préfet, Ophélia répondait par la prêche et la conversation. Cependant, à la fin de la septième année, voyant que le nombre d’aristotéliciens allait dépasser celui des paiens dans la cité, le préfet se décida à envoyer une missive à l’empereur romain afin de le prévenir de la situation. L’empereur du moment, n’était que le très célèbre Néron, qui haissait plus que tout les aristotéliciens. Il envoya sa garde impériale, spécialisée dans la capture et le massacre des fidèles de Christos.

Arrivés à Byzance par la mer, les soldats se rendirent immédiatement sans contacter le préfet chez Ophélia pour l’arrêter. Face aux pires impies et paiens qu’il soit donné de voir, Ophélia ne put rien faire et fut assassinée dans sa demeure. Ses plus proches fidèles furent crucifiés le jour même à l’entrée de la cité.

Le préfet fut mis au courant de cet acte barbare et resta des jours et des jours enfermés dans son bureau rongé par les remords et la honte. La garde impériale rembarquée pour Rome, le préfet au cœur et les idées nouvelles, décida de se repentir et de se converti à l’Aristotélisme.

Il fut ainsi un des premiers hommes politiques aristotéliciens, malgré le fait qu’il dut cacher sa foi aristotélicienne jusqu’à la mort de Néron.

Nouvel empereur, nouvelles croyances

Le préfet put s’activer à développer la communauté aristotélicienne de Byzance sans que l’empereur n’intervienne.

Ophélia fut priée à Byzance et fut considérée comme un de grands personnages de la ville.

Chapitre 5 : Ses enseignements

Ophélia était la patience incarnée. Lors de ces voyages elle n’avait pas peur de rester longtemps dans une ville afin d’enseigner le message de Christos. Elle enseigna de manière profonde ce message car lorsqu’elle créait une communauté, elle y créait une hiérarchie bien pensée et leur laissait par écrit les enseignements qu’elle avait reçus de Christos.

Elle démontra également que la foi aristotélicienne était la plus forte. Elle avait réussi à convaincres par de simples arguments, mais essentiels, que les paiens se trompaient et que Dieu n’était qu’amour, et non pas une sorte de polichinele qui copulait avec tout le monde, comme l’était le princpal dieu des paiens.

Citation :

Citation:
Un jour, un jeune homme paien vint trouver Ophélia. Il souhaita discuter avec elle afin d’argumenter dans le sens de sa foi envers Jupiter et les autres dieux paiens. Opélia qui n’était qu’humilité et patience accepta de l’écouter.

Il s’exprima ainsi : « Toi qui prétends être une messagère de ton Dieu et de ses prophètes, toi qui prétends que ton Dieu n’est qu’amour, explique-moi pourquoi ton Dieu serait le plus fort ? Explique – moi pourquoi serait-il seul également ? Tout le monde sait qu’il y a de nombreux dieux ».

Ophélia lui répondit : « Dieu nous aime tous, car nous sommes ses enfants. Ce que tu crois être tes dieux ne sont qu’une mauvaise interprétation des hommes. Comment tant d’êtres assoiffés de pouvoir pourraient-ils accepter de vivre ensemble ? Ne se tueraient-ils pas tous afin qu’il n’en reste qu’un seul ? Et le vainqueur ne détruirait-il pas de rage toutes les créations de ses ennemis ? Nous serions alors tous déjà morts. Dieu ne peut être qu’un et fort. Cependant nous sommes ses fils et c’est en cela qu’il existe un amour paternel entre les hommes et lui ».

Alors l’autre décontenancé répondit : « oui, mais s’il nous aimait comme tu le dis, pourquoi mourrons nous ? Pourquoi y a-t-il des hommes qui meurent
injustement ? »


Ophélia lui expliqua : « Il peut te sembler y avoir des morts injustes, mais sache que Dieu n’est pas là pour te rendre immortel sur terre. Il a choisit de laisser les hommes eux-mêmes vivre leur vie. Cependant, n’oublie jamais que Dieu ne t’abandonnera jamais car tu es son fils, et qu’au jour de ta mort, Dieu te jugera selon que tu as été vertueux ou non durant ta vie. Et ensuite tu renaîtras au Paradis ou en Enfer ».


Ophélia était ce que lui avait dit Christos, une femme qui avait une telle force de conviction que même les animaux l’écoutaient et se trouvaient subjugués par ses mots.

Citation :

Citation:

« Mes frères, ne voyez-vous pas l’amour ? Ne voyez-vous pas que Dieu vous aime ? Que Dieu vous a donné la vie ? Qu’il est notre père ? Si j’en doutais, je ne serais pas là. Si vous en doutiez, vous ne seriez pas là. Donnons-nous tous la main, mes sœurs et frères, et prions, et faisons de notre vie un message d’amour, de gloire à notre Seigneur et père ».


Ophéla était le reflet de la persévérance dans l’amour de Dieu.
Ophélia est restée fidièle à ce qu’elle croyait jusqu’à sa mort et on raconte que ces derniers mots furent : « Tuez-moi, mais quand vous serez dans vos foyers, soldats, vous saurez que vous avez eu tort et que Christos avait raison. »


La rumeur alla jusqu’à sous entendre que ces mêmes soldats auraient avoué leurs regrets devant les fidèles aristotéliciens de Rome quelques années après. D’ailleurs un de ces mêmes soldats aurait été canonisé par les premiers Aristotéliciens pour les bonnes actions qu’il effectua pour son rachat et obtenir le pardon de Dieu.

On retiendra de son héritage, de nos jours encore, toute l’organisatio de l’Eglise Aristotélicienne en Terre Sainte où l’apôtre a passé sa vie. Les principaux diocèses établis ont réussi à tenir malgré les attaques barbares et les siècles. Les communautés de croyants construites ont été à l’origine de villes nouvelles et de bastions aristotéliciens.














Mes enfants, partageons le pain de l’amitié.




Elle rompit le pain qu’elle mit dans des panières et les fit circuler dans l’assemblée.
Le partage du pain terminé, elle reprit….

Mes sœurs, mes frères récitons ensemble le crédo.




Lorsque tout le monde eut finit de prier , elle leur dit



Allez dans la paix et l’amitié aristotélicienne.


























































































--Meera_diacre
Meera profitait de son voyage à Tréguier pour écoute sa soeur et la saluer.
Elle voyait bien que Lanaelle était en place et maîtrisait très bien. Meera se dit que cette jeune femme avait autant de volonté qu'elle et ferait une très bonne Archidiacre. Il faudrait qu'elle lui en parle en privé.


A la fin de la Messe.

- Ma soeur, je vous félicite votre messe fut très agréable à entendre ça change d'écouter les autres.

Elle lui sourit.

- Je souhaiterai m'entretenir avec vous concernant un sujet. Si vous avez un peu de temps plus tard dans la journée nous pourrions discuter?

Elles discuteront plus tard dans la journée assurément.
--Lanaelle
Lanaelle fut surprise de voir l'archidiacre dans l'église, mais elle
ne se tracassait pas trop.


demat, soueur Meera, c'est un plaisir de vous voir ici.

Je fais de mon mieux, j'espère juste que ça eucouragera
plus de villageois à assister à la messe.



Je souhaiterai m'entretenir avec vous concernant un sujet. Si vous avez un peu de temps plus tard dans la journée nous pourrions discuter?


oui bien sûr, je finis de ranger l'église et je vous rejoins


Elle étaignit les bougies, rangea les chaises, ferma la porte de la sacristie,
puis l'église et alla rejoindre l'archidiacre.
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