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[RP] Eglise Saint Tugdual de Tréguier II

Aldemar.von.nurburg
Aldemar, voulez vous prendre Agnésia pour épouse, lui promettant de l’aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de votre vie et donner par l’exemple de votre union un signe visible de l’amitié du Très Haut sur terre ?

Lanaelle venait de poser à Aldemar la dernière question qu'elle lui poserait à lui, en tant qu'homme non marié.

Le sort en était enfin jeté!


Oui, je le veux!

Ces quatre mots furent prononcés avec une volonté, teintée de douceur, son regard toujours dans celui de Celle qu'il prenait maintenant pour légitime Epouse.

Puis, ce fut le tour d'Agnésia
Tesaura

La fameuse question se poursuivit, celle qui mettrait enfin cette union scellée à jamais entre eux. La jeune fille adressa un sourire en entendant son futur époux prononcer les mots importants. Elle était enfin heureuse de pouvoir enfin être sienne à jamais sans d’empéchements, ni de personne à se mettre entre eux. D’une voix douce, elle ne fit que confirmer les propos dits.


« Oui, je le veux ! »
_________________
--Lanaelle
La réponse des futurs mariés donnée, l’archidiacre fit signe à la personne
Chargée des alliances.


Qu’on apporte les alliances, s’il vous plaît.

Deux anneaux ravissants lui furent présentés, Lanaelle s’empara d’un petit goupillon et les bénits

Bénis, Dieu tout-puissant et miséricordieux, ces anneaux, témoignages de Ton amour, de Ta force, symbole, par leur forme continue, de la fidélité et de l’unité du mariage. Seigneur, Toi qui a donné naissance à toute chose, veille sur cette famille, protèges-les afin qu’ils vivent dans la prospérité de Ton amour et qu’ils soient en concorde avec l’amitié.

Elle tendit les anneaux maintenant bénis vers les mariés qui n’avaient plus qu’à se passer l’un l’autre, la bague au doigt.

Agnésia et Aldemar, je vous déclare mari et femme.

Elle sourit et dit au jeune marié

Vous pouvez embrassez la mariée, pendant que je signe votre certificat de mariage.

Elle prit une plume qu’elle trempa dans l’encre et signa le certificat qu’elle leur tendit en souriant …



Félicitations et tous mes vœux de bonheur.


puis s’adressant à l’assemblée…

Vous pouvez féliciter les mariés
Aldemar.von.nurburg
Agnésia et Aldemar, je vous déclare mari et femme.

Une vague de chaleur et de bonheur envahit Aldemar quand il entendit ces mots de la bouche de Lanaelle.

Il prit l'anneau le plus fin, et le passa au doigt de sa douce et l'embrassa. Il lui chuchota de même:


Te voici mienne et moi tien, notre enfant aura donc ascendance

Il restait à Agnésia à faire de même avec l'anneau restant
Tesaura
La situation délicate avait durée bien des mois alors que désormais tout était enfin régulariser. Son petit être allait pouvoir voir le jour légitiment sans avoir à etre traiter de batard ou autres mots vollaitile. La jeune noldor ne pouvait que sourire chaleureusement à lanalle lorsque celle ci pronoca enfin les mots tant attendus. Elle regarda la geste de son futur époux qui glissait cette anneau, symbole de leurs union avant de pouvoir elle même faire le même geste identique. Les anneaux ayant été placée, il ne restait plus que ce baiser qui allait enfin les scéller à jamais et dans un petit penchement pour se rapprocher de son visage, ses lèvres se collèrent aux siennes avec tendresse et amour. Un baiser d'engagement qui marquait leurs liens et la fin du mariage.

" Je suis vostre et vous êtes miens. "

_________________
Aldemar.von.nurburg
Agnésia lui ayant passé l'anneau au doigt et s'approchant, Aldemar s'approcha également et embrassa sa douce, enfin en toute légitimité.

Leur mariage célébré, ils pouvaient maintenant se concentrer sur leur couple et sur le petit être qui ne tarderait manifestement plus à montrer le bout de son petit nez.
--Lanaelle
(nuit du 12 au 13 aout)


Du fond de la sacristie, elle entendait les cris et les hurlements qui parcouraient les rues de Tréguier. En tant qu’archidiacre, elle ne prenait position pour personne. Pour elle, c’était tous, quelque soit leur camp, des enfants du Très Haut.Elle alla ouvrir les portes de l’église et demanda au bedeau de pousser les bancs de l’église contre le mur. Les gens pouvaient venir s’ils le voulaient, pour prier ou pour trouver un refuge

Pendant ce temps, elle avait préparé une grande marmite de soupe qu’elle distribuerait à tous ceux qui en voudraient.

Elle se rendit dans l’église et s’agenouilla devant l’autel pour prier.


Seigneur Dieu, que ton Esprit de sainteté et de vie anime les coeurs de tous les hommes, et tout particulièrement les coeurs de ceux qui sont ici présents, afin que les barrières qui les séparent soient abattues, que les soupçons se dissipent et que cesse la haine ; afin que leurs divisions soient surmontées et qu’ils puissent enfin vivre dans la justice et la paix.

Seigneurs, prend soin de tes enfants dans cette folie qui règne en Bretagne pour le moment et accueille près de toi ceux qui malheureusement vont perdre la vie durant cette nuit, accueille les près de toi dans le paradis solaire, ce sont tous des braves gens, un peu têtu, un peu belliqueux pour certains mais c’est typiquement breton seigneur, ca ne veut pas dire qu’ils ne vivent pas selon les principes de l’église. Oh non seigneur, ils font les malins, crient forts mais ce sont des braves personnes, Seigneur ils méritent tous une place au paradis solaire, accueille les seigneur et prend soin d’eux.

Seigneur, veille sur toutes les personnes qui vont être blessées, aide les Seigneur et aide aussi toutes les personnes qui se dévouent pour les soigner.

Seigneur fais que la paix revienne et que toute cette horreur s’arrête…
.


Elle se releva et se dirigea vers la porte de l’église… Elle prit une chaise et s’assis près de l’entrée. Elle resterait là toute la nuit…
--Lanaelle
(dimanche 23 aout 1463)


Elle se réveilla de bonne heure, se prépara puis sortit de la sacristie et après avoir demandé qu’on sonne les cloches, elle alla attendre les paroissiens sur le parvis de l’église.





https://www.youtube.com/watch?v=HSq8AJpns8E
(cliquer sur le lien pour entendre le son des cloches)
--Lanaelle
Une fois tous les paroissiens installés, elle remonta l’allée et elle alla se placé derrière l’autel. Elle ferma un instant les yeux et respira profondément.


Demat, soyez les bienvenus dans la maison du Très Haut.
Mes sœurs et mes frères, avant de commencer, demandons à Dieu le pardon de nos péchés.


Elle commença à réciter la prière du pardon avec l’assemblée.




Maintenant réaffirmons notre foi en Dieu en récitant le credo







La prière finie, elle regarda l’assemblée…puis commença la lecture du texte qu’elle avait choisi

Citation:

Livre des vertus

[Aristote] Dialogues XI - Le songe

Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur age, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."




Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."

Sargas : "Croyez-vous, maître ? N’est-ce pas là un simple songe ?"

Aristote : "Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une prémonition. Et je veux m’en assurer par moi même. J’ai fait mon temps ici, et de ta condition de disciple, tu vas passer maître. Le lycée t’appartient."

Sargas : "Comment, maître ? Mais j’ai encore beaucoup à apprendre."

Aristote : "De moi, non, mon cher ami."

Et le maître, toujours aussi grave, laissa Sargas décontenancé, pour s’intéresser aux préparatifs de son voyage en orient…




la lecture terminée, elle revint vers l’autel et s’adressa à l’assistance …

Mes enfants, partageons le pain de l’amitié.




Elle rompit le pain qu’elle mit dans des panières et les fit circuler dans l’assemblée.
Le partage du pain terminé, elle reprit….




Allez dans la paix et l’amitié aristotélicienne.


Marzin
Marzin passa les portes de l'église de la ville pour la première fois depuis son arrivée. Cela faisait bien longtemps qu'il n'était pas allé se recueillir. Il avait quitté son ancienne vie bien malgré lui et avait quelque peu perdu la foi. Mais il sentait que le moment était venu de renouer avec l'église et ses croyances. Il ignorait totalement ce que serait sa vie à Tréguier, mais il espérait s'y sentir comme chez lui. Comme c'était le cas là-bas.

Marzin soupira et s'agenouilla dans une travée pour prier.
--Lanaelle
[dimanche 6 septembre 1463]

Pendant qu’elle se changeait, elle demanda au bedeau de sonner les cloches



https://www.youtube.com/watch?v=HSq8AJpns8E
(cliquer sur le lien pour entendre le son des cloches)


Elle alla attendre les fidèles sur le parvis de l'église
Equemont
Le Salar, tout drapé de sa tenue dominicale, pris le chemin de Saint Tugdual en entendant les cloches sonner. Il avait toujours affectionné cette journée si particulière. La sainte messe du dimanche s'entendait toujours, souvent derrière un pilier, sans démonstration exubérante. Il gravit les marches la légèreté de celui qui se sait protégé. A chaque jour suffit sa peine.

Entrant dans l'église, il retira son couvre-chef pour saluer le Très-Haut, et remonta la nef. Il avait sa place derrière le pilier avant droit. Là où, personne ne pouvait vraiment le reconnaître.

Il planta les deux genoux en terre et joignit les mains.

Et oui, Equemont du Salar, le tyran de Tréguier, était un homme pieux.

_________________
Ricohlene_d_apperault


Fraîchement arrivée, la jeune fille avait fait quelques pas dans le village de Tréguier mais n'avait point souhaité se mêler à la population. Les gens du cru avait un accent étrange et baragouinaient dans une langue à laquelle elle ne comprenait pas grand'chose.

A dire vrai, elle avait obéi aux ordres de sa mère qui l'avait envoyée en avant-garde, histoire de voir à quoi ressemblaient les terres qui l'avaient vue naître. Pas sûr que Ricohlène s'y éterniserait car elle n'aspirait qu'à se cloîtrer à Attigny où elle pouvait étudier la théologie à loisir.

Loin de son cadre familier, étrangère en ces terres, la damoiselle se raccrocha à ce qu'elle avait de plus cher, à savoir, prier le Très-Haut. Lorsqu'elle entendit le son des cloches ameuter les fidèles, son coeur se mit à battre la chamade et elle se rendit prestement à l'office.

Rompue au cérémonial de la messe dominicale, la pieuse jeune fille se plaça dans les premiers rangs, prête à écouter l'officiant.


--Lanaelle
Une fois tous les paroissiens installés, elle remonta l’allée et Elle alla se placé derrière l’autel. Elle ferma un instant les yeux et respira profondément.


Demat, soyez les bienvenus dans la maison du Très Haut.
Mes sœurs et mes frères, avant de commencer, demandons à Dieu le pardon de nos péchés.


Elle commença à réciter la prière du pardon avec l’assemblée.





Maintenant réaffirmons notre foi en Dieu en récitant le credo


--Lanaelle
La prière finie, elle regarda l’assemblée…puis commença la lecture du texte qu’elle avait choisi

Citation:
LIVRE DES VERTUS
Aristote] Dialogues XIII – la reception chez Polyphilos

Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?





la lecture terminée, elle revint vers l’autel et s’adressa à l’assistance …

Mes enfants, partageons le pain de l’amitié.




Elle rompit le pain qu’elle mit dans des panières et les fit circuler dans l’assemblée.
Le partage du pain terminé, elle reprit….




Allez dans la paix et l’amitié aristotélicienne.


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